Bon bah voilà! encore une fois on se laisse prendre par le récit et "le méchant" n'est pas du tout celui auquel on pensait.
Bien écrit, facile à lire, prenant, rythmé, du bon!!
Je recommande pour les amateurs.
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L’ex lieutenant Jordan Marsalis, démissionnaire par devoir politico-familial de la police new-yorkaise est officieusement chargé d’enquêter sur la mort de Gerald, le fils de son frère, maire de New York. Débute alors la traque aussi hasardeuse que problématique d’un assassin qui sème la mort dans de sinistres et spectaculaires mise en scènes. Si l'intrigue n'est ni surprenante ni vraiment palpitante, on peut tout-de-même découvrir une intéressante analyse des dérives fréquentes du milieu de la haute société et une réflexion passionnante sur l'art et son rapport latent à la violence comme à la déraison. Tout cela est associé à une trame policière teintée de paranormal, dont le sujet est loin d'être inintéressant, mais qui au final se révèle extrêmement décevante quant à son développement d'une ineptie totale. Si l’histoire qui s'apparente d'une certaine façon à un Giallo est engageante, le sujet en revanche n’est pas toujours très bien exploité. Une enquête plus conséquente, plus d’investigations, moins de fantastique et de commodités scénaristiques auraient donné davantage de perspectives, de rebondissements et de rythme au récit. Les révélations s’emboitent comme des poupées russes, sans cohérence ni plausibilité. Beaucoup de digressions sans objet, d’exposés inutiles, d’ambiguïtés inopportunes et d’heureux hasards improbables. On s’interroge même sur l’utilité réelle de certains des personnages, hormis le fait d’introduire dans l’intrigue une romance incertaine et des coups de théâtre confondants. La conclusion sommaire, à la fois très convenu mais contraire à la déontologie ne relève d'aucune façon le coté simpliste et invraisemblable de la trame. Giorgio Faletti se fourvoie dans des tergiversations psycho-sociales, des dilemmes sentimentaux et des rancœurs existentielles qui ne présentent guère d’intérêt pour l’histoire, si ce n’est des longueurs fastidieuses. Droit dans les yeux reste évidemment un roman convenable et plaisant, avec des idées originales comme le gang des Peanuts, ou la référence au film "les yeux de Laura Mars", mais, la structuration trop fantaisiste à l’opportunité douteuse laisse sceptique et déprécie l’ensemble.
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Une fois par mois, et ce pendant environ 5 jours, votre femme boude un mal de bide qui lui file matière à vous corner les mains, qui dans un génocide laiteux vous collent une imagination fertile avec toutes les petites chattes capables de discuter levrette sur le coin de la table, prêtent à tailler le bout de gras pour votre imagination délurée d’homme fidèle jusqu’à l’hémorragie de votre douce et tendre salope qui depuis qu’elle est maman se pose des questions existentielles sur le sens de sa vie…
Cette période hebdomadaire et délicate est « les règles » d’une tranquillité qui vous en con-jusre mérite que votre ceinture reste bien serrée le temps qu’elle reprenne gout à la luxure… après chacun y voit matière à négocier une autre porte d’entrée hein…
Alors pourquoi je vous parle de ça, et bien voyez-vous, hier je regardais la télé affalé dans une chaleur suffocante d’un appartement non climatisé qui sous les combles dégouline d’un soleil capricieux qui inonde votre salon de températures à la con…
"Putain j’ai chaud…mais pas trop chaud pour se faire sucer"
Je vous en prie mettez-vous à l’aise, donc je regardais la télé, quand s’en vient une page de publicité au capitalisme subliminal, vous invitant s’il vous plait à remplacer votre brosse à dents obsolète qu’il serait idéal pour vos caries de remplacer par la nouvelle encore plus efficace au non improbable faisant passer sa précédente pour une petite bite du brossage… un exemple parmi tant d’autre j’en conviens… mais je me suis vraiment bien marré quand soudain, apparu une petite nana pas dégueulasse pour un bout de gras en trop, respirant la joie de vivre, pleine de vie, sportive, le short très court, capable de réaliser les plus grands défis d’une vie épanouie, alors que madame pue du cul…
Bah oui c’est comme ça, bandes de chiennes en chaleur, quand ça coule d’un rouge abondant vous puez, ce n’est pas moi qui le dit, c’est la voix off un peu sexy qui vente votre indépendance, moi perso quand je me promène dans la rue à mater les petits culs en toute discrétion machiste, je n’imagine pas une seconde lui renifler les fesses pour vérifier que les dispositions sont toutes réunies pour faire des bébés, nous évitant ainsi un mal de tête bien tombée qui nous obligerait à jouer en solo une partie de branlette improvisée sur Youporn…
Mon chien quant à lui par contre ne se gêne pas pour renifler chaque centimètres carré de promenade, alors on serre les cuisses pour le bien de chacun… du coup je n’ai pas chien, nous évitant tout malaise qui ne laisserait aucun doute sur votre état de baiser…
Et la meuf, et bah, elle est contente avec sa nouvelle serviette super absorbante, ou son tampon super rentrant, puis elle se marre la joie de pisser du minou, une vraie renaissance, enfin libérée de ces regards accusateurs dont nous ignorons tout parce que on sent que dalle…
Non mais franchement on n’a pas idée de te pondre des pubs pareilles, c’est quoi ces conneries d’un marketing à deux balles qui vous pousserait vous mesdames, à vous dépasser plus que de raison parce que ça vous coule entre les cuisses, rassurez-vous, personne n’a l’odorat aussi développé, soyez tranquille et en beauté laissez-vous bercer par votre grâce au combien délicieuse, soyez sans crainte pour votre derrière, dandinez du cul pour notre plaisir, souriez, vous êtes matés avec bienveillance par des hommes aux idées mal placées, dans le respect et le romantisme queue vous méritez, et allez manifester contre ces pubs à la con qui franchement me font doucement sourire, devant cette bêtise qui caractérise l’être humain dans toute sa connerie….
Une femme ça se regarde droit dans les yeux, à guetter la petite étincelle de désir, ensuite avec un peu d’entraînement tu peux loucher sur les nichons, mais tu n’iras jamais lui renifler le cul la main ans la culotte pour vérifier qu’il n’y a pas un bout de ficelle qui se flambise, non dormez tranquille, avec ou sans, on vous aime comme vous êtes…
A plus les copains
PS : Un bon petit polar Italien qui n'a rien a envier aux polars américains...Les français restent les meilleurs dans ce domaine...
- N'importe quoi, tu dis ça parce que tu es français ?
- C'est pas faux, mais c'était bien quand même !
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Palpitant, captivant, effrayant. Un thriller à couper le souffle. À peine le livre commencé, nous plongeons dans un monde inconnu : celui d'un tueur. Nous entrons, non pas dans un univers, mais dans deux qui sont parallèles : l'ombre et la lumière, le glauque et le stupéfiant. Nous découvrons un tueur mystérieux, presque surhumain. C'est vraiment intéressant à lire. C'est un polar riche, bien fait, quasiment parfait.
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Super flippant! Mais c'est un SUPER livre pour ceux qui aiment les Trillhers. Sa vous tiens jusqu'au bout de la nuit. Vous aurez surement comme moi, une hésitation en commancant a le lire mais a partir du moment ou le "premier Carnaval" Sera passer, vous serez plongé dans un livre qui fais peur mais qui est une magnifique histoire grace a Franck Ottobre et au Comissaire Hulot. Je vous souhaite une bonne lecture a tous!
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La lecture avait bien commencé pour moi ; la mise en place des personnage, les premiers crimes, le début d’enquête..
Malheureusement, au fil de la lecture, j'ai très souvent décroché.
Ce thriller pourrait être très intéressant si Giorgio Faletti n'avait pas le besoin de tout commenter, de tout décrire, de rappeler des anecdotes durant une action ... bref, à trop décrire les pensées et/ou le physique/mimiques des personnages, on en arrive à briser le rythme de l'action.
Donc un roman qui semble très long et parfois un peu barbant mais qui pourrait très bien (si ce n'est déjà fait, je ne me suis pas renseignée) être adapté au cinéma.
Ceux qui aiment s'imaginer les personnages comme dans un film, s'imaginer les lieux, les mimiques à tel moment, ou la pensée du personnage pourraient aimer ce thriller.
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Jean-Loup Verdier, animateur de RMC, reçoit pendant son émission l’appel d’une voix mystérieuse « Je suis un homme et personne » et qui termine par un bref « Je tue ».
Plus tard, dans le port monégasque, un couple a été assassiné à bord d’un yacht. Le tueur leur a écorché le visage, avant de signer son forfait en lettres de sang « Je tue ».
Nicolas Hulot, commissaire de la principauté est aidé par Franck Ottobre, agent du FBI en butte à la culpabilité suite au suicide de sa femme. Il commence son enquête en associant les meurtres et l’appel anonyme de la radio. Mais ce double assassinat n’est que le premier.
Monaco est un cadre original. On n’imagine pas un tel scénario dans la principauté luxueuse et si sécurisée. L’écorchage des visages, scalp compris est assez flippant. L'intrigue avec son suspense nous tient en haleine. Certains personnages sont attachants.
Mais le récit comprend quelques longueurs agaçantes et quelques clichés que j’ai trouvés bien maladroits. « Je tue » de Georgio Faletti est donc une bonne histoire sans plus.
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Très bon livre malgré des longueurs dues à la présentation des personnages qui se font assassiner. j'ai failli décrocher au début, mais l'attente et le suspense sont excellents, une histoire qui tient la route.
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Beaucoup de critiques mitigées sur Babelio...
Je viens de le terminer en langue originale, d'habitude quand je lis dans une autre langue que le français, je dois au bout d'un moment arrêter ma lecture pour passer à un livre dans ma langue maternelle. Ici, ce ne fut pas le cas, j'ai délaissé tout car j'ai été pris par ce récit.
Même lorsque le nom de l'assassin est connu - bien avant la fin - la tension subsiste.
Bref, un bon policier.
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Quel plaisir de retrouver cet auteur, j’avais eu un coup de cœur pour Seuls les innocents n’ont pas d’alibi, et celui-ci est dans la même veine. Un très bon thriller qui prend son temps pour poser l’ambiance, les personnages avant de mettre un coup sec derrière la nuque du lecteur et le faire lire la suite sans le lâcher. De la subtilité, c’est ça que j’aime !
Le tueur, froid, implacable, semble insaisissable et pourtant ses aveux qu’il fait à la radio sont déjà un bon indice. Les enquêteurs vont rapidement se mettre sur une piste qu’ils ne lâcheront plus jusqu’à la fin. J’adore le style de l’auteur pour disséminer quelques pistes dès le début, j’adore l’ambiance de Monaco qui m’est inédite, et j’adore encore plus le déroulement de l’enquête qui suit un rythme à la fois soutenu et relâché. Il y a de nombreuses anecdotes qui rendent le récit crédible et l’ancre dans la réalité. Même quand le nom du tueur est connu, la tension reste, il s’agit ensuite de l’attraper et le confondre en justice.
Un auteur à découvrir ou redécouvrir, laissez-vous prendre dans cette spirale infernale.
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Carrément flippant !
J'ai fait la connaissance de Giorgio Faletti sous la forme d'un thriller noir/psychologique monté sur des ressorts.
On est rapidement saisi par le rythme lancinant qui se déchaîne où tous les ingrédients d'un bon polar sanglant y sont présents, de plus, maniés par une plume intelligente, subtile, efficace et intelligente.
Immersion dans la tête d'un tueur à la cruauté sans limites.
Giorgio Faletti réussit un thriller de grande qualité car ses héros ont des états d'âme, des doutes mais surtout ils éprouvent la peur ! On en tremble jusqu'à la dernière minute car rien n'est laissé au hasard dans l'enchevêtrement macabre de la construction de ce récit.
L'auteur crée une tension et un suspense que ses incisives ironiques habiles ne viennent jamais entamer ou amoindrir, mais au contraire, enrichissent la lecture d'un second degré.
Fans de polars sanglants, rendez-vous avec la virtuosité de l'auteur italien !
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Je me souviens qu'il m'a fallu m'y reprendre à plusieurs fois pour pouvoir arriver au bout de ce livre.
J'avais tenter de le lire à l'adolescence, sans succès, puis à l'age presque adulte, et il m'a fallu attendre encore quelques années pour parvenir à savourer cette histoire sombre...
Car oui ce roman est sombre, presque dérangeant. C'est encore la sensation que j'éprouve en tentant de me replonger dans ce livre.
Hélas je n'y arrive pas, car mes goûts ont évolués et que l’écriture à la troisième personne m'incommode.
Malgré cela, je garde ce livre sur mes étagères, afin de le prêter, afin de continuer à le faire vivre, car il fait partie de ces romans qui m'ont marqués.
Bonne lecture à tous.
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Avis plutôt mitigé sur cette lecture. Ça démarrait fort, avec la mise ne place des personnages, du décor, le premier crime... mais, malheureusement, plus le livre avançait et plus je me suis lassée de ces personnages, de cette histoire, de ces crimes... Il faut dire que les intrusions de l'auteur dans l'action y joue pour beaucoup. À trop vouloir en dire, on finit par trop en mettre, et ça coupe le rythme de la lecture. Mais c'est aussi que nous connaissons très rapidement le nom du tueur, alors, ça enlève un peu (beaucoup) de suspense et de mystère... et la recherche de la vérité en est altérée. Bref, une lecture somme toute moyenne. Pas déplaisante, mais pas enlevante non plus.
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On est très vite plongé dans ce thriller, il est impossible de le refermer avant de connaître l’identité de ce tueur fou et de savoir pourquoi.
On est désarmé face au manque d’indices et à l’horreur de ces crimes.
Comme souvent dans les thrillers, les enquêteurs ont des secrets, un passé difficile auquel il va falloir faire face tout en essayant de résoudre l’enquête.
J’ai trouvé un petit ralentissement dans le rythme (dû a la découverte du tueur), mais on est très vite replongé dans ce livre.
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L'écriture est assez lourde, les personnages sont caricaturaux, l'histoire aligne les clichés et manque cruellement de suspense. Je ne conseille pas.
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Pas mal, j'accroche à l'écriture, au style et à l'histoire...
A plus les copains
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