AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Giorgio Faletti (33)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Droit dans les yeux

L’ex lieutenant Jordan Marsalis, démissionnaire par devoir politico-familial de la police new-yorkaise est officieusement chargé d’enquêter sur la mort de Gerald, le fils de son frère, maire de New York. Débute alors la traque aussi hasardeuse que problématique d’un assassin qui sème la mort dans de sinistres et spectaculaires mise en scènes. Si l'intrigue n'est ni surprenante ni vraiment palpitante, on peut tout-de-même découvrir une intéressante analyse des dérives fréquentes du milieu de la haute société et une réflexion passionnante sur l'art et son rapport latent à la violence comme à la déraison. Tout cela est associé à une trame policière teintée de paranormal, dont le sujet est loin d'être inintéressant, mais qui au final se révèle extrêmement décevante quant à son développement d'une ineptie totale. Si l’histoire qui s'apparente d'une certaine façon à un Giallo est engageante, le sujet en revanche n’est pas toujours très bien exploité. Une enquête plus conséquente, plus d’investigations, moins de fantastique et de commodités scénaristiques auraient donné davantage de perspectives, de rebondissements et de rythme au récit. Les révélations s’emboitent comme des poupées russes, sans cohérence ni plausibilité. Beaucoup de digressions sans objet, d’exposés inutiles, d’ambiguïtés inopportunes et d’heureux hasards improbables. On s’interroge même sur l’utilité réelle de certains des personnages, hormis le fait d’introduire dans l’intrigue une romance incertaine et des coups de théâtre confondants. La conclusion sommaire, à la fois très convenu mais contraire à la déontologie ne relève d'aucune façon le coté simpliste et invraisemblable de la trame. Giorgio Faletti se fourvoie dans des tergiversations psycho-sociales, des dilemmes sentimentaux et des rancœurs existentielles qui ne présentent guère d’intérêt pour l’histoire, si ce n’est des longueurs fastidieuses. Droit dans les yeux reste évidemment un roman convenable et plaisant, avec des idées originales comme le gang des Peanuts, ou la référence au film "les yeux de Laura Mars", mais, la structuration trop fantaisiste à l’opportunité douteuse laisse sceptique et déprécie l’ensemble.
Commenter  J’apprécie          00
Je tue

Super flippant! Mais c'est un SUPER livre pour ceux qui aiment les Trillhers. Sa vous tiens jusqu'au bout de la nuit. Vous aurez surement comme moi, une hésitation en commancant a le lire mais a partir du moment ou le "premier Carnaval" Sera passer, vous serez plongé dans un livre qui fais peur mais qui est une magnifique histoire grace a Franck Ottobre et au Comissaire Hulot. Je vous souhaite une bonne lecture a tous!
Commenter  J’apprécie          30
Je tue

Quel plaisir de retrouver cet auteur, j’avais eu un coup de cœur pour Seuls les innocents n’ont pas d’alibi, et celui-ci est dans la même veine. Un très bon thriller qui prend son temps pour poser l’ambiance, les personnages avant de mettre un coup sec derrière la nuque du lecteur et le faire lire la suite sans le lâcher. De la subtilité, c’est ça que j’aime !

Le tueur, froid, implacable, semble insaisissable et pourtant ses aveux qu’il fait à la radio sont déjà un bon indice. Les enquêteurs vont rapidement se mettre sur une piste qu’ils ne lâcheront plus jusqu’à la fin. J’adore le style de l’auteur pour disséminer quelques pistes dès le début, j’adore l’ambiance de Monaco qui m’est inédite, et j’adore encore plus le déroulement de l’enquête qui suit un rythme à la fois soutenu et relâché. Il y a de nombreuses anecdotes qui rendent le récit crédible et l’ancre dans la réalité. Même quand le nom du tueur est connu, la tension reste, il s’agit ensuite de l’attraper et le confondre en justice.

Un auteur à découvrir ou redécouvrir, laissez-vous prendre dans cette spirale infernale.

Commenter  J’apprécie          70
Je tue

Quand on aime lire on aime aussi les gros "pavets", J'avais lu les critiques avant et j'ai bien fais de suivre mon instinct j'ai adoré ce livre même si j'ai mis plus d'une semaine à le lire, il y a beaucoup de descriptions effectivement mais on ne s'ennuie pas et les personnages sont intéressants l'intrigue est prenante après il faut aimer les romans noirs, comme quoi les goûts et les couleurs !
Commenter  J’apprécie          20
Je tue

Carrément flippant !

J'ai fait la connaissance de Giorgio Faletti sous la forme d'un thriller noir/psychologique monté sur des ressorts.



On est rapidement saisi par le rythme lancinant qui se déchaîne où tous les ingrédients d'un bon polar sanglant y sont présents, de plus, maniés par une plume intelligente, subtile, efficace et intelligente.

Immersion dans la tête d'un tueur à la cruauté sans limites.



Giorgio Faletti réussit un thriller de grande qualité car ses héros ont des états d'âme, des doutes mais surtout ils éprouvent la peur ! On en tremble jusqu'à la dernière minute car rien n'est laissé au hasard dans l'enchevêtrement macabre de la construction de ce récit.



L'auteur crée une tension et un suspense que ses incisives ironiques habiles ne viennent jamais entamer ou amoindrir, mais au contraire, enrichissent la lecture d'un second degré.



Fans de polars sanglants, rendez-vous avec la virtuosité de l'auteur italien !





Commenter  J’apprécie          570
Je tue

Un bon policier mais beaucoup trop long. De très longues description des victimes, des personnages secondaires inutiles, pas grand chose sur le meurtrier et sa folie.

Dommage, j'avais commencé avec beaucoup de plaisir....
Lien : https://www.lesmotsjustes.org
Commenter  J’apprécie          10
Seuls les innocents n'ont pas d'alibi

Comme, Avec je tue, Faletti fait une nouvelle fois mouche et le réalisme de son écriture nous accroche et parfois nous bouleverse.



Francesco Marcona, alias Bravo, est un proxénète dont les affaires prospèrent dans le Milan de la fin des années 1970. Il n'a plus de sexe depuis qu'il a été châtré au couteau. Dans une époque marquée par l'ultraviolence des Brigades rouges, Bravo va tomber éperdument amoureux de Carla, une prostituée prête à tout pour vendre ses charmes.



 



Giorgio Faletti n'a pas son pareil pour façonner des labyrinthes dont lui seul connaît la sortie. Seuls les innocents n'ont pas d'alibi, dont l'action se déroule en 1978, au moment de l'enlèvement du dirigeant démocrate-chrétien Aldo Moro, en apporte la plus brillante des illustrations. Dans le sillage de Bravo, à travers ce Milan des années 1970 qu'il a bien connu et au terme d'un suspense haletant, Giorgio Faletti, nous conduit à vive allure jusqu'au jour des ténèbres des années de plomb italiennes marquées au fer rouge par l’ultra violence terroriste. Comme avec je tue, Faletti fait une nouvelle fois mouche et le réalisme  de son écriture nous accroche et parfois nous bouleverse. Une écriture assez fleurie, très méditerranéenne. C'est violent,  déroutant. Très bien construit le scénario nous surprend jusqu'au bout.  Un titre dont on ne sort pas indemne
Lien : https://collectifpolar.com/
Commenter  J’apprécie          40
Je tue

Avis plutôt mitigé sur cette lecture. Ça démarrait fort, avec la mise ne place des personnages, du décor, le premier crime... mais, malheureusement, plus le livre avançait et plus je me suis lassée de ces personnages, de cette histoire, de ces crimes... Il faut dire que les intrusions de l'auteur dans l'action y joue pour beaucoup. À trop vouloir en dire, on finit par trop en mettre, et ça coupe le rythme de la lecture. Mais c'est aussi que nous connaissons très rapidement le nom du tueur, alors, ça enlève un peu (beaucoup) de suspense et de mystère... et la recherche de la vérité en est altérée. Bref, une lecture somme toute moyenne. Pas déplaisante, mais pas enlevante non plus.
Commenter  J’apprécie          40
Seuls les innocents n'ont pas d'alibi

Très bonne intrigue à l'époque des brigades rouges

Commenter  J’apprécie          00
Je tue

Ce roman contient tous les ingrédients d'un bon thriller, mais pas que. En plus, il lorgne aussi du côté du roman noir, et pour couronner l'ensemble, il vous conte une histoire de serial killer à vous glacer le sang. J'ai aimé suivre cette enquête, voir évoluer les personnages attachants et qui ont de l'épaisseur, l'action se situe dans le monde de la Jet Set, les faits se déroulent aux alentours de Monaco et de la Provence, mais ce n'est pas racoleur, on est sur le terrain, dans les coulisses des salons. La pression venue d'en haut est pesante et les enquêteurs sont confrontés à l'horreur et se font balader par un tueur redoutable et diabolique. Comme l'ouvrage est épais, avec un écriture dense, on ne lit pas ce roman d'une traite. C'est ce qui le différencie d'un thriller plus conventionnel. Les descriptions, les mises en place des personnages prennent beaucoup de place. Personnellement, j'aime beaucoup, mais certains amateurs de thrillers qui vont à 100 à l'heure seront peut être un peu rebutés.
Commenter  J’apprécie          20
Je tue

Je me souviens qu'il m'a fallu m'y reprendre à plusieurs fois pour pouvoir arriver au bout de ce livre.



J'avais tenter de le lire à l'adolescence, sans succès, puis à l'age presque adulte, et il m'a fallu attendre encore quelques années pour parvenir à savourer cette histoire sombre...



Car oui ce roman est sombre, presque dérangeant. C'est encore la sensation que j'éprouve en tentant de me replonger dans ce livre.



Hélas je n'y arrive pas, car mes goûts ont évolués et que l’écriture à la troisième personne m'incommode.



Malgré cela, je garde ce livre sur mes étagères, afin de le prêter, afin de continuer à le faire vivre, car il fait partie de ces romans qui m'ont marqués.



Bonne lecture à tous.
Commenter  J’apprécie          50
Onze contre un

Un très bon petit roman qui se déroule dans le milieu du du football (une de mes passions). Il est ici question de corruption qui est malheureusement très présente dans ce sport. L'auteur nous fait pénétrer avec plaisir au sein d'u club moyen de série b italienne. Les personnages sont vraiment très intéressants quoique parfois quelque peu stéréotypés ,mais cela ne gène en rien la lecture de ce livre. J'essaierai de me procurer d'autres romans de cet auteur. Bonne lecture à toutes et tous.
Commenter  J’apprécie          00
Je tue

L’histoire se déroule dans la principauté de Monaco. Un soir, Jean-Loup Verdier, un animateur à succès de Radio Monté Carlos, reçoit durant son émission « Voices » l’appel mystérieux d’un inconnu qui se présente comme étant « un homme et personne » et qui déclare « Je tue », accompagné de quelques notes de musique, avant de raccrocher. Le lendemain matin, un champion de Formule 1 et sa compagne, championne d’échecs, sont retrouvés assassinés et atrocement défigurés sur leur voilier de luxe alors que le bateau a foncé dans la marina. Le tueur a signé son crime d’un « Je tue » sanglant…

Nicolas Hulot, le commissaire de la Sûreté Publique de Monaco qui est chargé de résoudre cette enquête va demander à Franck Ottobre, un agent du FBI avec qui il est ami depuis plusieurs années et qui réside dans la principauté, de l’aider. Les deux hommes vont alors se lancer dans cette chasse à l’homme non sans difficultés et courir après le temps alors que les victimes se font de plus en plus nombreuses…



Je dois avouer que je n’ai pas été plus emballée que ça par ce roman. Je lui ai trouvé beaucoup trop de longueurs – qui m’ont d’ailleurs poussé à sauter quelques passages, chose qu’il ne m’arrive que très très rarement de faire – et de raccourcis trop faciles. Je n’ai pas vraiment été passionné par le scénario, les personnages ne m’ont pas spécialement convaincus, tout comme le style de l’auteur. A cause de tout cela, j’ai vraiment eu du mal à terminer ma lecture mais j’ai persévéré jusqu’au bout, espérant comprendre pourquoi certaines personnes de mon entourage l’avaient apprécié… raté !
Lien : https://desflaneriesetdesmot..
Commenter  J’apprécie          10
Droit dans les yeux

Commentaire de ma collègue Geneviève Deschênes:





Fervente amateure de séries policières, je me souviens avoir déjà entendu un personnage souhaiter que le visage du meurtrier soit imprégné sur la rétine de la victime (je crois qu'il s'agit d'Angela Montenegro dans Bones). C'est une idée semblable qui a inspiré Giorgio Faletti dans son roman Droit dans les yeux et j'avoue que cela m'a bien plu.



L'intrigue est originale et se tient généralement bien (même si je me demande encore pourquoi la policière n'a pas appliqué les manoeuvres de réanimation cardiorespiratoires à l'homme en plein infarctus q'elle tenait entre ses bras). Les personnages sont diversifiés et si certains semblent stéréotypés, d'autres sont attachants et/ou surprenants. C'est le cas de Jordan Marsalis, ex-enquêteur du New York Police Département (NYPD) et de Lysa, son étrange colocataire.



L'auteur fait également preuve d'un humour sarcastique qui m'a beaucoup plu.



Le plus grand bémol de cette édition est la traduction franchouillarde, truffée d'anglicismes. La maison d'édition a beau avoir ajouté Québec et un fleur de lysé à son logo, la traduction n'a certainement pas été faite de ce côté-ci de l'Atlantique. En fait, le traducteur n'a nullement tenu compte de la francophonie à l'extérieur du vieux continent dans la réalisation de la version française. Si l'original avait été en anglais, j'aurais délaissé avec plaisir la version traduite dès la 86e page.





Je vous recommande tout de même cette lecture aux mordus de polar. Vous y trouverez votre compte.


Lien : http://letempsdlire.blogspot..
Commenter  J’apprécie          10
Droit dans les yeux

Une fois par mois, et ce pendant environ 5 jours, votre femme boude un mal de bide qui lui file matière à vous corner les mains, qui dans un génocide laiteux vous collent une imagination fertile avec toutes les petites chattes capables de discuter levrette sur le coin de la table, prêtent à tailler le bout de gras pour votre imagination délurée d’homme fidèle jusqu’à l’hémorragie de votre douce et tendre salope qui depuis qu’elle est maman se pose des questions existentielles sur le sens de sa vie…



Cette période hebdomadaire et délicate est « les règles » d’une tranquillité qui vous en con-jusre mérite que votre ceinture reste bien serrée le temps qu’elle reprenne gout à la luxure… après chacun y voit matière à négocier une autre porte d’entrée hein…



Alors pourquoi je vous parle de ça, et bien voyez-vous, hier je regardais la télé affalé dans une chaleur suffocante d’un appartement non climatisé qui sous les combles dégouline d’un soleil capricieux qui inonde votre salon de températures à la con…



"Putain j’ai chaud…mais pas trop chaud pour se faire sucer"



Je vous en prie mettez-vous à l’aise, donc je regardais la télé, quand s’en vient une page de publicité au capitalisme subliminal, vous invitant s’il vous plait à remplacer votre brosse à dents obsolète qu’il serait idéal pour vos caries de remplacer par la nouvelle encore plus efficace au non improbable faisant passer sa précédente pour une petite bite du brossage… un exemple parmi tant d’autre j’en conviens… mais je me suis vraiment bien marré quand soudain, apparu une petite nana pas dégueulasse pour un bout de gras en trop, respirant la joie de vivre, pleine de vie, sportive, le short très court, capable de réaliser les plus grands défis d’une vie épanouie, alors que madame pue du cul…



Bah oui c’est comme ça, bandes de chiennes en chaleur, quand ça coule d’un rouge abondant vous puez, ce n’est pas moi qui le dit, c’est la voix off un peu sexy qui vente votre indépendance, moi perso quand je me promène dans la rue à mater les petits culs en toute discrétion machiste, je n’imagine pas une seconde lui renifler les fesses pour vérifier que les dispositions sont toutes réunies pour faire des bébés, nous évitant ainsi un mal de tête bien tombée qui nous obligerait à jouer en solo une partie de branlette improvisée sur Youporn…



Mon chien quant à lui par contre ne se gêne pas pour renifler chaque centimètres carré de promenade, alors on serre les cuisses pour le bien de chacun… du coup je n’ai pas chien, nous évitant tout malaise qui ne laisserait aucun doute sur votre état de baiser…



Et la meuf, et bah, elle est contente avec sa nouvelle serviette super absorbante, ou son tampon super rentrant, puis elle se marre la joie de pisser du minou, une vraie renaissance, enfin libérée de ces regards accusateurs dont nous ignorons tout parce que on sent que dalle…



Non mais franchement on n’a pas idée de te pondre des pubs pareilles, c’est quoi ces conneries d’un marketing à deux balles qui vous pousserait vous mesdames, à vous dépasser plus que de raison parce que ça vous coule entre les cuisses, rassurez-vous, personne n’a l’odorat aussi développé, soyez tranquille et en beauté laissez-vous bercer par votre grâce au combien délicieuse, soyez sans crainte pour votre derrière, dandinez du cul pour notre plaisir, souriez, vous êtes matés avec bienveillance par des hommes aux idées mal placées, dans le respect et le romantisme queue vous méritez, et allez manifester contre ces pubs à la con qui franchement me font doucement sourire, devant cette bêtise qui caractérise l’être humain dans toute sa connerie….



Une femme ça se regarde droit dans les yeux, à guetter la petite étincelle de désir, ensuite avec un peu d’entraînement tu peux loucher sur les nichons, mais tu n’iras jamais lui renifler le cul la main ans la culotte pour vérifier qu’il n’y a pas un bout de ficelle qui se flambise, non dormez tranquille, avec ou sans, on vous aime comme vous êtes…



A plus les copains



PS : Un bon petit polar Italien qui n'a rien a envier aux polars américains...Les français restent les meilleurs dans ce domaine...



- N'importe quoi, tu dis ça parce que tu es français ?

- C'est pas faux, mais c'était bien quand même !

Commenter  J’apprécie          3421
Onze contre un

Silver, le magasinier de l’équipe dont le prochain match pourrait être décisif pour le titre de champion de Serie B (championnat de deuxième division italienne) apprend que son fils, joueur dans celle même équipe, surnommé La Niaque, est impliqué dans une affaire de matchs truqués. Comment faire pour le remettre dans le droit chemin ?

Toute ressemblance avec une équipe ou joueur de football existantes ou ayant existé est totalement fortuite. Une histoire de corruption, ce n’est pas que de l’imagination, ça arrive plus souvent qu’on ne le croit : l’affaire Valenciennes-OM (1993) ou pour se rapprocher de l’Italie où se passe l’action, plusieurs équipes d’Italie en 2006. Dans Onze contre un, Giorgio Faletti dévoile les matchs truqués, les questions d’argent, quand la véritable gloire n’existe plus. L’intrigue se met doucement en place, quand le match approche, l’auteur détaille la préparation, les interactions entre joueurs et staff, la tension qui monte… L'enchaînement des scènes est discutable mais Faletti rend très bien le milieu du football pour quelqu’un qui ne le connait pas du tout (mais il était bien entouré… un certain Alessandro Del Piero, entre autres). A l’approche du prochain Euro qui se déroulera en France, on espère que la vérité sera celle du terrain. Un roman qui se lit très rapidement, un auteur que je relirai.

Commenter  J’apprécie          200
Je tue

Beaucoup de critiques mitigées sur Babelio...

Je viens de le terminer en langue originale, d'habitude quand je lis dans une autre langue que le français, je dois au bout d'un moment arrêter ma lecture pour passer à un livre dans ma langue maternelle. Ici, ce ne fut pas le cas, j'ai délaissé tout car j'ai été pris par ce récit.

Même lorsque le nom de l'assassin est connu - bien avant la fin - la tension subsiste.

Bref, un bon policier.
Commenter  J’apprécie          220
Je tue

Faletti Giorgio, - "Je tue" - J’ai lu, 2013 (ISBN 978-2290072981)



Encore un exemple parfait de roman verbeux surchargé d’un monceau de phrases aussi inutiles que lourdes, si bien que le texte pourrait être raccourci des deux tiers sans dommage aucun ; ce qui n’ôterait pas pour autant le côté aussi niais qu’invraisemblable de l’intrigue.

Commenter  J’apprécie          10
Je tue

Une fois qu'on a réussi à passer outre le fait que le flic s'appelle Nicolas Hulot, on est là face à un très bon thriller avec une qualité d'écriture incroyable (pour un coup d'essai c'est franchement fort)...

Et ce malgré le gros spoiler tout pourri posté sur Facebook à la mort (prématurée) de l'auteur en 2014, qui ne gâche presque pas le livre (l'identité du tueur y étant révélée aux 2/3 du bouquin) : on attend plutôt le dénouement comme la confirmation d'une idée excellente (s'il en avait été autrement ç'aurait d'ailleurs été super décevant).

S'ensuivent moult rebondissements et/ou explications dans le 3ème tiers, malheureusement nécessaires pour boucler la boucle et faire en sorte que le héros retombe sur ses pattes (même si ça reste tout de même légèrement tiré par les cheveux (...)

La suite ici :
Lien : http://www.delacritiquehyste..
Commenter  J’apprécie          10
Seuls les innocents n'ont pas d'alibi

Un mot pour résumé ce livre : BRAVO :)

Une découverte au hasard d'un présentoir, pourquoi pas ?

Et surprise, dès les premières pages un plongeon dans cette Italie qui est mienne pour moitié. Un polar mené tambour battant, tous les ingrédients y sont sans tomber dans copié/collé.

Encore BRAVO
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Giorgio Faletti (364)Voir plus

Quiz Voir plus

Morales de La Fontaine (1)

Dans quelle fable de J. de La Fontaine trouve-t-on cette morale: « Rien ne sert de courir, il faut partir à point » ?

Le renard et le bouc
Le laboureur et ses enfants
Le lièvre et la tortue
L’ours et l’amateur des jardins

8 questions
237 lecteurs ont répondu
Thèmes : poésie françaiseCréer un quiz sur cet auteur

{* *}