Isaac Asimov

Lu et relu 10 fois depuis mon adolescence. Un de mes livre préféré.

Elijah Baley est encore une fois appelé dans un monde spatien pour résoudre une enquête. Cette fois, il se rend sur Aurora, le premier des mondes spatiens où l'éminent professeur Fastolfe est accusé d'avoir mis Jander, son propre robot humaniforme, en état de gel mental. Avec l'aide de Daneel et de Giskard, un robot "classique" comparé à Daneel, Baley va devoir se lancer dans une enquête impossible pour sauver le roboticien, mais surtout, pour sauver la Terre.



J'ai adoré, comme tous les tomes du cycle des robots que j'ai lu pour l'instant. C'est toujours aussi bien écrit. L'histoire est prenante, les renversements inattendus, les personnages attachants ou répugnants (c'est selon). Bref, c'est vraiment génial.

A lire de toute urgence.
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J'ai lu beaucoup d'Asimov dans ma vie et ce recueil de nouvelles n'est pas le meilleur de ce qu'a fait l'écrivain. Ce sont surtout des vieilles nouvelles qu'il a écrites en début de carrière.



Il y a deux histoires que j'ai vraiment beaucoup aimées. La première est bon sang ne saurait mentir qui raconte l'histoire d'un fantôme qui va en justice pour pouvoir hanter une maison qu'il dit sienne. L'autre nouvelle que j'ai aimée est Auteur! Auteur! qui raconte l'histoire d'un romancier dont son personnage principal devient réel.



Pour les autres histoires, je les ai trouvé plutôt moyennes par rapport à ce que j'ai déjà lu d'Asimov.

Lij Baley, enquêteur terrien, est envoyé sur Solaria, un des mondes extérieurs, pour y enquêter sur un meurtre. Il y retrouve R. Daneel, le robot Aurorien qui l'a accompagné dans sa précédente aventure.

Un éminent scientifique est mort. De l'avis général, c'est sa femme qui l'a tué, car elle est la seule à en avoir eu l'occasion, la seule assez près de lui dans ce monde ou "voir" quelqu'un en face à face est presque obscène. Mais notre détective n'est pas de cet avis, et va tout faire pour le prouver. Car, avec la victime, il y avait aussi une autre personne. Enfin, je devrais plutôt dire un robot...



Toujours génial, cet aventure précise le monde du cylce des robots. Baley y fait une théorie sur l'interprétation de la première loi de la robotique qui met en avant les faiblesses d'un monde qui semble parfait. Une écriture efficace, j'ai adoré.
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Le livre qui m'a fait aimer la littérature. merci Gege pour cette découverte

Asimo, un grand monsieur de la SF

Toujours dans l'univers des Robots d'Asimov, une suite de nouvelles plus captivantes les unes que les autres !

Un chef-d'oeuvre de la SF !! Pour faire connaissance avec l'univers des Robots d'Asimov, ce livre est à lire de toute urgence !

J'avoue que j'ai longtemps hésité avant de me plonger dans Fondation. Je crois qu'au vu des différentes critiques, je me méfiais un peu. Je suis souvent déçue par les livres qui suscitent l'engouement des lecteurs, peut-être parce que j'en attends beaucoup trop... J'ai bien aimé ce premier tome mais sans être réellement emballée, si je trouve le thème plutôt intéressant, j'ai eu beaucoup de mal à éprouver de la sympathie pour les personnages et j'avais l'impression d'avoir affaire à des nouvelles vaguement reliées entre elles par le prétexte de "La crise Seldon". Mais peut-être que ce premier livre pose les bases de l'histoire et qu'il faut attendre le deuxième tome pour rentrer un peu plus dans le vif du sujet.

Ce second tome du cycle des robots nous emmène sur Solaria où Elijah Baley va découvrir une planète au fonctionnement des plus surprenants mais oh combien intéressant. Ce que j'adore dans les romans d'Asimov, c'est de voir comment il construit des sociétés et explique les comportements des gens à partir d'un simple postulat: le système immunitaire est peu développé en absence de contact avec des microbes (ce qui est le cas des gens habitant Solaria).

La dernière enquête d'Elijah Baley, sur Aurora. Un excellent roman où on retrouve la logique implacable des 3 lois de la robotique.

Ce roman, probablement l'un des moins intéressants de la série de fondation, à cause peut-être de son aspect décousu, permet de faire la jonction entre "Prélude à Fondation" et "Fondation" (le tome 1 du cycle). Il n'est pas indispensable mais se doit d'être lu pour tout fan qui se respecte!

Un vrai défi d'écrire une chronique sur un tel classique !! :D
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Isaac Asimov est un grand maître de la nouvelle, et son talent pour les récits courts s'exprime une fois de plus dans ce recueil. Le point commun des nouvelles réunies ici est qu'elles sont toutes au carrefour de la science-fiction et de la littérature policière. Asimov y met en pratique sa conception de la loyauté pour un auteur policier: donner au lecteur tous les éléments nécessaires à la résolution de l'énigme, particulièrement les connaissances scientifiques qui interviennent. Cela donne des récits bien menés, souvent teintés d'humour, et des énigmes habiles. On a même droit à une nouvelle teintée de grivoiserie, ce qui est inhabituel avec Asimov. Les nouvelles n'ont pas de lien entre elles, même si plusieurs mettent en scène un investigateur particulier, le Dr. Wendell Urth, spécialiste des sciences de l'espace qui n'a jamais quitté la terre et ne s'éloigne jamais de sa ville.

Chaque nouvelle est accompagnée d'une notice de l'auteur, sur les circonstances de sa création, ses sources d'inspiration ou les réactions qu'elle a suscité. Ces commentaires éclairent agréablement le travail de l'écrivain et permettent une fois encore de profiter de l'humour d'Asimov.

Seul point négatif, le style est parfois assez ampoulé, sans que cela convienne bien au contexte. Pourquoi écrire "enténébré" plutôt que "sombre" ou "ténébreux" quand on est dans un récit à connotation scientifique et qui est par ailleurs plutôt factuel? Il n'est pas impossible que ce trait vienne de la traduction, mais difficile de l'affirmer sans avoir lu l'original...

Cher Jupiter est mon premier contact avec Isaac Asimov. Et je n'ai pas été déçu.



Ce recueil de nouvelles se lit vraiment très (très) vite. Bien sûr il y a quelques nouvelles qui m'ont laissé une impression mitigée, mais essentiellement parce qu'il y avait trop de termes techniques. Mais une infime minorité.



Quant au reste des nouvelles, elles sont pleines d'humour, d'absurde, de philosophie, le tout servi par un style agréable.



Une surprise de ce recueil a été les commentaires d'Asimov entre chaque nouvelles, expliquant leur origine, ou parlant de sa vie. Très agréable, on a une impression d'entretien avec l'auteur dès que l'on a fini une nouvelle. Impression renforcé par le fait qu'il s'adresse directement au lecteur en l'appelant "ami"



Bref, excellentes nouvelles, et même si ce n'est pas LE Cycle de la Fondation ou des Robots... : A découvrir ! Même les non-amateurs de SF trouveront leur compte.
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“Contre la stupidité… les dieux eux-mêmes… luttent en vain”



2070, l’humanité, en la personne du docteur Hallam, a trouvé une solution à ses problèmes énergétiques : la pompe à Electrons. Machine géniale, elle permet d’alimenter la Terre avec une source d’énergie illimitée, gratuite et propre. Cependant, en mettant en contact deux univers parallèles, la machine menace leur équilibre en bouleversant leurs lois fondamentales.



Cette machine, qui n’a pas été créée par les hommes qui se sont contentés de mettre en oeuvre les plans envoyés par une para-civilisation venue d’un autre univers, pourrait bien sonner le glas de l’équilibre universel.



...



La suite sur le blog!
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Autant j'avais adoré Nemesis d'Asimov, autant la lecture du premier tome des Fondations a été plus pénible.

Pour commencer, je trouve ce roman très machiste : aucun personnage féminin n'intervient. On se retrouve dans un monde d'hommes de pouvoir qui décident seul de l'avenir de l'univers.

Je suis d'accord, l'écriture est superbe, les descriptions très riches et complexes. On visualise très bien cet univers futuriste.

Cependant on passe d'une génération à une autre très rapidement sans vraiment avoir le temps de se poser à une époque.

Je ne continuerai pas cette série.
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Asimov nous démontre une foie de plus qu'il est un maître de la SF. Ce livre nous dévoile le développement de la psychohistoire, ou Seldon devra déjouer plusieurs menaces pour amener à bien son grand projet.



Les personnages sont toujours aussi attachant et plus l'histoire défile plus on est ému.



A lire absolument pour tous ceux qui on aimé le cycle de fondation.

Magnifique. Magnifique univers, magnifique ... tout !



J'ai découvert Asimov grâce àce livre pioché par hasard sur les parterres de Sandaga,un marché de Dakar, et j'ai été scotché.

Les dieux eux-mêmes a été écrit par Isaac Asimov en 1972. Il renouait alors avec son style fétiche, la Science-Fiction.



Les dieux eux-mêmes est un excellent livre et je vous le conseille fortement, que vous soyez fan de S.F. ou non. Et d’autant plus si vous n’avez jamais gouté aux titres de l’auteur.



http://ifisdead.net/livres/les-dieux-eux-memes-de-isaac-asimov/
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"Mortelle est la nuit" et "Chante-cloche" sont deux nouvelles extraites du recueil "Histoires mystérieuses"(1954) de l'écrivain américain d'origine russe Isaac Asimov, célèbre pour ses oeuvres de science-fiction et particulièrement son "Cycle de Fondation".

"Chante-cloche" nous fait faire la connaissance du pilote spatial Louis Peyton, un cinquantenaire qui a pour habitude peu commune de passer chaque mois d'août dans l'abri anti-atomique qui lui sert de lieu de villégiature.

Sauf que cette année, il part en voyage...sur la Lune, accompagnant un certain Cornwell dans une quête qui fera leur richesse à tous les deux. Mais alors que satisfaits de leur mission, ils s'apprêtent à plier bagage, Cornwell se fait désintégrer.

La police enquête sur ce qui pourrait bien être le premier meurtre spatial. Mais comment coincer le coupable avec certitude? Seul le Dr Urth, extraterrologiste pourra élucider ce mystère...



"Mortelle est la nuit" . Venus des 4 coins de l'univers pour assister à une grande convention d'astronomie, Kaunas, Ryger et Talliaferro profitent de l'occasion pour se retrouver entre anciens camarades de classe qui ne se sont plus revus depuis 10 ans.

Contrairement à eux, Villiers n'a pas réussi à obtenir son diplôme d'astronomie. Le voilà justement qui interrompt la réunion des 3 compères, affirmant qu'il est sur le point de révéler une découverte capitale pour l'histoire de l'astronomie : le transfert de masse.

Malheureusement, le futur Spok n'aura pas le temps de mettre son projet à exécution puisqu'il trouvera la mort dans la nuit. C'est à nouveau le savant Dr Urth qui sera chargé de confondre le meurtrier parmi les 3 seuls coupables potentiels.



Pourquoi ai-je voulu lire ces nouvelles alors que je suis une totale quiche en matière de science-fiction? Principalement parce que le recueil se défendait de mêler science-fiction et enquête policière.

Ma lecture avait bien commencé. Je découvrais les premières pages de "Chante-cloche" avec curiosité, en essayant de ne pas buter sur chaque mot qui résonnait étrangement à mon esprit de néophyte. Vous arrive-t-il d'emprunter le stratojet agravifique pour vous rendre au travail? Où préférez-vous l'aéroglisseur subgravifique?

Bref. Si cette première nouvelle m'a bien plu, c'est sans doute parce qu'en dépit de théories scientifiques dont quelques éléments m'échappent encore, j'y trouvais encore certains repères. Nul besoin d'être détenteur d'un diplôme en sciences pour comprendre comment le meurtrier a cru s'en tirer à bon compte.



Mais les choses se sont plus ou moins corsées lorsque j'entrepris la lecture de "Mortelle est la nuit" qui me fit dire que je n'étais décidément pas la lectrice visée par ce genre de récit.

En l'espace de quelques pages, je me suis retrouvée catapultée au milieu d'une réunion de scientifiques/geeks évoquant des théories dont mon esprit ne fut pas en mesure de saisir toute la complexité. Ou plutôt si, j'ai bien compris que tout cela était fort compliqué...

J'ai ressenti la désagréable impression que l'auteur s'était servi d'une enquête policière pour étaler son savoir, ce qui a eu pour effet de me tenir en quelque sorte à distance de l'enquête.



Dans les deux cas, j'ai toutefois fort apprécié le personnage du Dr Urth, un savant-fou faussement inoffensif, à l'esprit plus fin que son anatomie le laisserait croire et qui vient ajouter un côté un brin déluré aux deux récits.



En somme, une lecture pas impossible mais plutôt ardue que les fans du genre sauront mieux que moi apprécier à sa juste valeur. Quant aux autres, je leur souhaite de pouvoir s'accrocher...
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