Au lendemain de la grande guerre, en Corrèze, nous suivons la famille Mercoeur et son patriarche Baptiste, qui a pour seul horizon ses terres et son Domaine de Rocheveyre. C'est une véritable religion transmise de génération en génération. Mais voilà, les temps changent et après la seconde guerre mondiale, le monde rural va devoir s'adapter...
Une saga familiale magnifiquement décrite par Jean-Paul Malaval avec des personnages attachants. Un roman du terroir qui laisse la part belle aux sentiments, tout en nous décrivant admirablement bien l'évolution des campagnes et de ceux qui la font vivre.
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Livre bien écrit, je n'avais pas encore lu d'autre livre de cet auteur, cela me donne envie d'en lire d'autres.
L'héroïne traverse bien des épreuves, dans une Corrèze rurale et dure, avant et pendant la guerre ... Promise par son père, âgé et désargenté, à un paysan riche mais rustre, issu d'une famille détestée dans la région, Angéline se rebelle soudain en découvrant qu'elle ne pourra jamais l'aimer.
Elle rencontre alors un jeune homme sensible ...
Angéline est une héroïne intéressante, qui semble dure mais aussi attachante, découvrant les réalités de la vie alors que la France entre en guerre.
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D'une guerre à l'autre, les générations se suivent à la Bastide " des chagrins". Certains hommes meurent à la guerre et d'autres en reviennent plus ou moins détruits par ce qu'ils ont vécu. Jean-Paul Malaval évoque dans ce roman des haines familiales et des trahisons amoureuses, des jalousies et des blessures.
Le message est clair mais pas nouveau: la guerre laisse des traces indélébiles, les hommes n'en sortent jamais indemnes. C'est un fait, mais ici les caricatures sont nombreuses: le patriarche, inflexible, Le petit frère, sournois, Elvire, belle et séductrice, Catherine, pauvre veuve soumise à la famille...etc...
Je ne garderai pas ce roman en mémoire.
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Il m arrivee de temps en temps de lire un livre de cette collection où l'on découvre les paysages et nos régions.
Avec celui-ci j'ai passé un magnifique mo!ment dans le Luberon.
Mais il n'y a pas que le Luberon il y l'histoire de ces petites abeilles que je n'aiment pas mais qui m'ont séduites de part leur comportement.
Le parallèle entre notre société et le monde des abeilles est très original et réél.
Chambouler sa vie avec les codes imposés par la société est ce possible ?
J'ai eu envie de recopier plein de passages.
C'est presque un coup de coeur
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Au tout début frère et sœur tellement dissemblables qui ne se comprennent pas et se déchirent suite au décès de leur mère et à l'héritage.
Puis petit à petit l'histoire d'un amour non abouti d'une française et d'un allemand en 1944. La recherche d'un père, la découverte d'une mère, une inconnue.
Histoire émouvante qui a dû arrivée à tant de femmes et d'hommes durant la dernière guerre.
L'amour entre deux êtres n'a pas de frontière quelle que soit la folie des hommes.
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Merci à Babelio et aux éditions de Borée qui m'ont envoyé ce roman dans le cadre de Masse Critique. Déjà, ça m'a permis de faire des progrès en géographie car j'ignorais jusqu'à l'existence des Grandes Causses, il a fallu faire un tour sur Wikipedia!
Les moutons ou les pins noirs....Dis comme ça, cela semble un drôle de duos d'ennemis, non? Et pourtant voilà la cause du conflit qui tient le coeur de ce roman, le pin noir utilisé pour boiser la causse, fermant les pâturages. Bon, ça modifie aussi les écosystèmes mais ça n'a pas tellement l'air d'être le coeur du problème pour ceux qui s'y opposent.
J'avoue que les meilleurs passages en fait sont les passages consacrés aux description du causse, quand l'auteur en oublie les humains, quand le journaliste, l'un des principaux protagonistes, cherche les orchidées sauvages, admire les anémones... Toutes ces pages là donnent envie de chausser ses bottes et de partir en balade, d'admirer les premiers perce-neige en février ou quelque soit les beautés de la nature environnante, des causses, des bois, des prairies, d'ailleurs.... ça se corse un peu quand les personnages s'en mêlent, surtout au niveau des dialogues qui sonnent diablement faux hélas.
Cela reste un roman qui donne envie de visiter les lieux, mais le côté roman lui même ne m'a pas toujours convaincue, dommage.
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Le Notaire de Pradeloup a été publié par les Presses de la Cité en 2009, puis en version poche par les éditions De Borée dans la collection Terre de poche. Le style de Jean-Paul Malaval se distingue par un vocabulaire recherché, une écriture alerte et truculente: "Il aimait le bel ouvrage des vieux ébénistes, et celui-ci, un bureau Louis XV, était une réussite d'une époque où l'on ignorait encore le clou et la colle. Il ouvrit son tiroir délicatement, en sortit trois plumes, un encrier de marque Herbin. Cétaient ses préférées, celles qui lui avaient apporté le plus de bonheur dans sa vie de gratte-papier." (Page 83).
Corrèze. Juin 1963. Le notaire de Galiane-sur-Sévère est à l'agonie. Les langues se délient. Les commères du village veillent au grain: il ne s'agirait pas que ce mécréant notoire parte sans avoir au préalable mis de l'ordre dans ses affaires, confessé ses péchés afin de monter au ciel l'âme apurée.
Mais les choses ne vont pas se passer comme prévu. Car le notaire, qui toute sa vie a géré de main de maître les affaires des habitants du canton, gardant dans son étude les secrets de tout un chacun, n'est pas aussi respectable qu'on pourrait le croire. Sa double vie ne tarde pas à émerger au grand jour.
L'imminence de sa succession éveille questions et convoitises, une véritable boîte de Pandore. Le fils et la fille accourent, se frottant les mains à l'avance. Le partage des biens immobiliers et des valeurs accumulés au fil du temps est depuis longtemps réglé, pensent-ils. Mais une sacrée surprise les attend...
L'hôtel Pradeloup: une demeure à la hauteur de l'image que renvoie le notaire, sa position sociale, le prestige familial: à la mort de son père, Lazare n'avait absolument rien changé au décor: que du Directoire, du Récamier, du Louis-Philippe, un décor étouffant de reliques familiales qui en imposent certes, mais font ressembler la maison plus à un mausolée qu'à un endroit où il fait bon vivre.
Un gros coup de coeur pour ce roman vif, drôle, très bien écrit. Jean-Paul Malaval nous propose avec Le Notaire de Pradeloup une farce à la Molière sur le thème de la famille bourgeoise, de l'argent et du pouvoir, de la piété filiale. Dans laquelle il se moque d'hommes et de femmes guidés par leur passions, leurs bassesses et leurs mesquineries sordides, les égratignant parfois sauvagement. Une friandise qui pétille en bouche, que l'on savoure en la faisant doucement fondre sur la langue. Un rare moment de pur bonheur comme seuls les bons romans savent nous les procurer.
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bof bof un peu déçue par le livre de cet auteur qu' en principe j aime beaucoup
Certes le milieu de la bourgeoisie à notre époque actuelle est bien décrit grande demeure amour de la campagne avec tout son confort mais pas de description d un métier d'une époque comme d habitude la notion de terroir est abandonnée
Ce roman nous narre uniquement une vie de famille qui obéit au patriarche tout en faisant plein de cachoteries
Beaucoup de discussions autour du thème du divorce qui m ont lassées
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Bien, mais concerne seulement le monde des vignerons du sud et leurs calculs.
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La suite des noces de soie est aussi bien que le 1er tome
nous voila a Lyon, et plongeons dans le monde des soyeux.
Belle description des "guerres" de milieux, de la guerre commerciale sur le marché de la soie qui etouffe les petites mains, de la rage de revanche de Silvius...
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Un livre tres agreable et facile a lire.Les personnages,les paysages, les ambiances, les caractères, les atmosphères sont très bien rendu(e)s ' sans fioritures.
On découvre l' histoire de la soierie lyonnaise, le travail des magnans, la vie terrible des campagnes, les querelles persistantes entre catholiques et protestants
bref on a envie de connaitre la suite
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Très bon roman du terroir qui se situe à la fin du 19 °siècle.Je n'ai lu que le premier tome pour l'instant.Je dois emprunter les autres à la médiathèque.
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Juste après la Libération
Les règlement de compte sont à peine achevés, la présence d'Italiens immigrés mal acceptées, une amourette entre une jeune fille et un médecin quadragénaire... Des éléments de psychologie fort intéressants. Ce roman me semble parfois très inégal dans son écriture, son histoire, sa narration. La chute est assez peu crédible. Un avis très partagé !
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un roman sympa comme c'est à chaque fois le cas avec Malaval histoire de famille d'héritage .Ce roman se passe après la guerre chacun cherche à gagner de l'argent ('magouille ou honnêtement).
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Le tome 3 des Noces de soie est une vraie déception, il ne se passe vraiment rien de palpitant. La saga n'est pas très palpitante à la base, on se laisse quand même piqué par la curiosité alors on lit les 3 livres. Le dernier est vraiment sans intérêt, la fin n'est même pas une vraie fin
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