AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jean de La Fontaine (283)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Cent fables

Dans ce recueil de la sélection du reader's digest, nous retrouvons cent fables de Jean de La Fontaine.

J'ai plutôt aimé (re)découvrir les fables d'un des poètes de mon enfance. Surtout que j'ai toujours apprécié son style.

Cependant, les petits paragraphes d'autres pointures du monde de la littérature à la fin de certaines fables m'ont ennuyés. Ils se contentent de vanter La Fontaine et j'aurais préféré avoir une explication sur le sens de la fable. À la fin du livre, quelques vers sont expliqués, mais c'est seulement des vers et non le sens global. De plus, on y vante encore La Fontaine. Alors, je me suis contentée de lire les fables.

En conclusion, la lecture m'a été agréable mais sans plus.
Commenter  J’apprécie          00
Comme chiens et chats

Quel plaisir de lire ces textes courts qui font honneur à nos amis chats et chiens ! Bien illustré, d'un format agréable, voici un joli cadeau pour les fêtes, d'ailleurs je viens d'en commander plusieurs à offrir à mes amis.

La Fontaine revisité, c'est un moment de fantaisie et de poésie, de l'humour à chaque page pour celui qui avait choisi de rire de nous en empruntant avec finesse les traits des animaux.
Commenter  J’apprécie          40
Comme chiens et chats

Très joli recueil de fables de Jean de La Fontaine sur nos compagnons, les chiens et les chats.

C'est vraiment un joli livre-objet, tout d'abord par son format carré et souple qui est très agréable mais aussi pour les illustrations de Pascal Lemaître. De plus, j'ai pu découvrir de nombreuses fables que je ne connaissais pas comme Le chat et un Vieux Rat.

Je vous le recommande si vous aimez les fables de La Fontaine et surtout, si vous aimez les chats et et les chiens !
Commenter  J’apprécie          10
Comme chiens et chats

Un petit recueil de 20 fables de Jean de la Fontaine, sur le thème des chats puis des chiens, superbement illustré par Pascal Lemaître. Le petit format carré de 15cm de côté environ, est très pratique.



Les dessins sont simple, faciles, en noir et blanc, visuels, coups de crayons représentatifs des fables choisies. Les enfants sont comblés, parce qu’il y a un thème qu’ils adorent : les deux principaux animaux domestiques, parce qu’il y a des dessins qu’ils comprennent et qui illustrent parfaitement ce petit recueil, parce que le format est idéal pour eux, et pour nous qui leur faisons la lecture.



Certaines fables sont bien connues, comme « Le loup et le chien », « le chat et les deux moineaux » ou encore « le chat et le rat » ; quant aux autres, nous avons plaisir à les découvrir ou redécouvrir.



Un petit ouvrage bien sympathique, qui a trouvé sa place chez nous. A lire et à relire, par morceaux, par affinités.



Je remercie les Editions de l’aube et Babelio pour ce condensé dont la lecture a été très agréable.

Commenter  J’apprécie          10
Comme chiens et chats

Petit recueil bien sympathique de vingt fables choisies dans lesquelles on retrouve à chaque fois un chat ou un chien.

Le format est très pratique (15x15), la texture du papier très agréable et les illustrations de Pascal Lemaître superbes, paru aux Editions de l'Aube.

De 7 à 107 ans.

Très belle découverte.
Commenter  J’apprécie          20
Comment l'esprit vient aux filles

Un joli recueil de poèmes tous aussi hardis les uns que les autres, et qui permet de découvrir La Fontaine sous un autre angle.

On observe tout de même une certaine redondance d'apparitions de nonnes, que l'auteur met en scène de façon cocasse !

Agréable à lire !
Commenter  J’apprécie          30
Comment l'esprit vient aux filles

Recueil de contes qui pour mon niveau de lecture en poésie fût compliqué à lire et à finir. J'étais heureux commencer à lire Jean de La Fontaine, j'étais non moins content d'avoir pu le finir.

Pour les adeptes et les inconditionnels de poésie, les non-initiés tels que moi auront plus de mal.
Commenter  J’apprécie          120
Contes d'animaux : Charles Perrault - Les f..

Et oui rentrée oblige nous voilà replonger dans les contes du soir ou l'on s'y replonge à merveille
Commenter  J’apprécie          40
Contes d'animaux : Charles Perrault - Les f..

des versions de grands contes classiques adaptées aux plus petits : assez longues pour ne pas les frustrer, mais faciles à comprendre !
Commenter  J’apprécie          10
Contes de La Fontaine (Ed. 1865)

Tous les Français connaissent les Fables de la Fontaine. Mais quasiment personne n'a lu ses Contes. J'ai fait cette expérience et j'ai ainsi découvert que tous ces textes sont grivois, touchant à la sexualité, plus spécialement au "cocuage". Leur trame provient de sources antiques, mais aussi et surtout italiennes (L'Arioste, Boccace, etc). Dans ces histoires, les maris trompés sont ridicules face aux bellâtres qui inventent mille stratagèmes pour arriver à leurs fins; quant aux ingénues, la plupart du temps, elles se laissent faire sans trop de façons. Mais La Fontaine s'amuse à faire traîner les choses en longueur par son goût de l'ellipse et son art du "suspense" grivois.

Ces contes n'ont donc pas l'exquise concision des Fables. Pour ma part, je les ai trouvés beaucoup trop longs. De plus, la langue me semble moins accessible dans les Fables. Quant à leur sujet, il me semble un peu trop trivial. Ma lecture s'est arrêtée donc prématurément, au bout d'une demi-douzaine de textes: cela m'a bien suffi.

Commenter  J’apprécie          10
Contes de La Fontaine (Ed. 1865)

Les Contes de J. de la Fontaine, qui se veulent coquins, ennuient parfois, par leur côté prétendument grivois, mais tellement dépassé !



En revanche, il n'y a jamais d'ennui avec les Fables qui sont toujours délectables. Pat
Commenter  J’apprécie          10
Contes et nouvelles en vers

- La Fontaine conteur ? Qu'est-ce que vous me chantez là, c'est une fable!

- Non, non, je vous assure, La Fontaine est fabuliste ET conteur.

- A d'autres. Les contes, au XVIIème siècle, c'est "Le Petit chaperon rouge" ou "La Belle et la Bête", les conteurs ce sont Perrault et Mme Le prince de Beaumont, ou Mme d'Aunoy, mais La Fontaine, allons donc !

- Je vois mon ami que vous êtes loin du compte. Laissez-moi vous dire (ne m'en veuillez pas), qu'en matière de conteur, vous êtes un bleu. Pour reprendre les choses depuis le début, il faut savoir que le conte, avant d'être un genre littéraire, est d'abord un objet littéraire comme la nouvelle ou le roman. Vous comprenez, conte, nouvelle, roman, c'est une question de format, en somme. Ensuite, il y a le sujet évoqué : les auteurs que vous me citez, comme deux siècles plus tard les frères Grimm et Andersen, et comme au XXème siècle Marcel Aymé ou Pierre Gripari, ont écrit, plus ou moins à destination d'un jeune public, des histoires où domine le merveilleux. C'est aussi le cas avec les contes orientaux comme ceux des Mille et une nuits. Mais c'est loin d'être le cas de tous les contes : certains sont carrément fantastiques, voire horrifiques, certains sont du domaine de la science-fiction, les contes populaires qui viennent du fin fond de nos campagnes touchent un peu à tous les genres...

- Oui mais La Fontaine dans tout ça ?

- J'y viens. La Fontaine écrit des contes libertins.

- Libertins, vous voulez dire... cochons ?

- Je n'irai pas jusque là, je dirais plutôt coquins, grivois, lestes...

- Erotiques, quoi.

- Oui, si l'on veut, mais avec beaucoup d'esprit. Voyez-vous, la cour de Louis XIV est très prude, très pudibonde ( et ça s'aggravera avec Mme de Maintenon), tout l'art de La Fontaine est d'évoquer la sexualité (puisqu'il faut l'appeler par son nom) avec suffisamment de précautions pour ne pas choquer, et de sous-entendus pour faire sourire les... euh... initiés...

- Je n'aurais pas cru que La Fontaine fût... comme ça.

- Attention, La Fontaine était un bon vivant, mais il ne fait que reprendre une vieille tradition... gauloise, dirons-nous, qui remonte à Rabelais. Il s'est inspiré à la fois du Décaméron de Boccace et des conteurs français du XVIème siècle comme Bonaventure des Périers. Tout son génie a été de traduire cette gaillardise de façon subtile, il ne dit pas, il évoque, il ne décrit pas, il suggère, et tout en parlant à demi-mot, il fait naître la connivence, et donc le sourire.

- Mais, on peut encore lire ce genre de choses à notre époque ?

- Certes oui, je dirais même, il faut le lire : la liberté de ton de La Fontaine reste très posée, très loin de la vulgarité qui préside à ce genre de choses de nos jours. Et la place des femmes n'est pas plus mise à mal que dans les autres productions de l'époque, souvent même, elles ont le dernier mot !

- Et donc...

- Donc, si vous m'en croyez, dans ces histoires-là, ne vous en laissez pas conter... Ou alors que ce soit par La Fontaine !





Commenter  J’apprécie          73
Contes et nouvelles en vers

Je trouve que certains de ces contes rappellent le style de ses lettres écrites en 1663 à sa femme lors de son exil volontaire dans le Limousin (la traversée de l'actuelle région Poitou-Charentes n'est pas reluisante...). Un style leste, gaillard et parfois paillard pour jeter un regard sur le monde de son époque... Plus toujours très faciles à comprendre (là, l'appareil critique et les notes peuvent être utiles), mais un tableau du 17e siècle sous un jour différent de ce qu'on lit dans les livres d'histoire...


Lien : http://vdujardin.over-blog.c..
Commenter  J’apprécie          20
Contes et nouvelles en vers

Ces récits sont plus longs que les fables, on voit d'autres méthodes de construction du récit. J'aime bien ce ton "souriant", galant. Le commentateur le compare au Décaméron, je trouve qu'il donne davantage une impression de recherche.
Commenter  J’apprécie          40
Contes et nouvelles en vers

La Fontaine ou l’érection en verve du vers,



Véritable poil à gratter du Grand Siècle, Jean de La Fontaine ne s’est pas seulement rendu coupable des Fables, bestiaire critique des puissants de son temps, le fabuliste du XVIIe siècle s’est aussi risqué à faire paraitre des contes cocasses et libertins !



Dans la filiation du Décaméron de Boccace, de l’Heptaméron de Marguerite de Navarre, de Rabelais ou même des fabliaux du Moyen-Âge, ces contes et nouvelles en vers sont un renseignement précieux sur les moeurs pernicieuses de ses contemporains. Par exemple, l’un des plus connu, “Comment l’esprit vient aux filles” est une véritable torpille pour la chasteté du clergé… qui ne le lui pardonnera d’ailleurs jamais, La Fontaine sera contraint par son confesseur, sur son lit de mort, de renier ses écrits “je conviens que c'est un livre abominable” écrira-t-il.



Parce qu’il est beaucoup lu à la cour, La Fontaine aiguise la jalousie de ses pairs, et quel meilleur prétexte que l’immoralisme de ces nouvelles poétiques pour son concurrent Nicolas Boileau (qui bout…pardon) “je ne puis estimer ces dangereux auteurs (…) trahissant la vertu sur un papier coupable, aux yeux de leurs lecteurs rendent le vice aimable”.



Il est assez frappant de voir comme la jouissance des uns ne se fait qu’au dépend des autres. Tantôt les hommes à l’image du Prince ou du curé bernent la figure consacrée de la jeune ingénue, tantôt l’épouse rusée leurre son mari cocu. Est-ce que cela est lié au corset social et moral de l’époque ? On peut le supposer et conclure que c’est surtout les moeurs du siècle que dupent finalement les personnages de ces nouvelles licencieuses…



Qu’en pensez-vous ?
Commenter  J’apprécie          984
Contes et nouvelles en vers

Œuvres d'un grand talent qui suscita polémiques et reconnaissances.



Pages à feuilleter avec curiosité...
Commenter  J’apprécie          20
Contes et nouvelles, tome 1

Moins connues aujourd’hui que ses Fables, les Contes ont pourtant permis à La Fontaine d’obtenir ses premiers succès important d’auteur. Ce premier volume paraît en 1665, et l’intérêt du public pousse La Fontaine à lui donner rapidement une suite, un deuxième volume paraît l’année suivante, d’autres vont suivre ultérieurement. Mais ce succès est aussi un succès de scandale. Alors que La Fontaine n’invente rien, il ne fait que réécrire et mettre en vers des historiettes un peu lestes, empruntées à d’autres auteurs, et dont certaines ont plusieurs fois été traitées, ou reposent sur des schémas utilisés et réutilisés, il fait scandale. C’est que l’époque a changé, la fin du XVIIe est marqué par un retour de la morale, et ce qui paraissait anodin à la génération précédente choque, provoque des réactions hostiles, en particulier des milieux religieux. La réputation sulfureuse de ces contes, malgré leur succès, ou peut-être à cause de ce succès, va valoir de nombreuses avanies à leur auteur. Ils vont retarder son entrée à l’Académie française, et La Fontaine promettra de n’en plus écrire pour en être. Promesse qu’il ne respectera d’ailleurs pas. Dans ses vieux jours, lorsqu’il se tournera vers la religion, il devra les abjurer.



Ce premier volume compte treize textes parfois très courts. Maris trompés, femmes bernées, jeunes filles abusées, il s’agit avant tout d’une recherche de plaisir, d’amour charnel, sans frein imposé par la morale ni les sentiments. Il y a une sorte de manifeste dans cette manière de parler de l’amour, à contre courant de son époque, une mise en cause de conventions sociales de son temps. Car pour écrire ses textes, La Fontaine use d’un art poétique, mis, y compris par lui-même (Adonis) au service d’une tout autre vision de l’amour, une vision nettement plus idéalisées et policée. Ce décalage entre le fond et la forme est d’une certaine manière ironique, et met en cause une bien-pensance affichée par ses contemporains, qui ne les empêche pas d’avoir par ailleurs des comportements qui ne sont pas ceux officiellement admis.



Pour un lecteur contemporain, l’intérêt principal de ce texte consiste dans les vers de La Fontaine, qui préfigurent quelque peu les Fables, et l’auteur va d’ailleurs écrire les deux en parallèle pendant une bonne partie de son existence, comme les deux faces d’une même médaille. Et ces contes ont le mérite d’introduire une forme de complexité, de dissonance dans l’image d’un fabuliste dont la lecture permet d’instruire utilement les enfants. D’un homme fort moral en somme. Ce que La Fontaine n’a certainement pas été. Et cela pousse à une autre lecture des fables.
Commenter  J’apprécie          238
Contes interdits

Un livre peu connu de Jean de la Fontaine

Je l’ai découvert en flânant dans une librairie

J’en avais déjà entendu parler et je suis tombée dessus par hasard

Plus de vingt histoires drôles et truculentes sont ici rassemblées.

Il valut à La Fontaine critiques et condamnations. Mais en mêlant avec élégance gaillardise et finesse, l'auteur ne souhaitait rien d'autre que " d'attacher le lecteur, de le réjouir, de lui plaire enfin "



Commenter  J’apprécie          50
Contes interdits

J'étais curieuse de lire l'auteur des fables moralisantes dans un registre beaucoup moins moral.

Au final, les textes sont sans surprise quand on a lu Boccace et Marguerite de Navarre.

L'écriture en vers donne un rythme somnifère et le langage dix-septièmiste rend certains passages peu compréhensibles.

Même s'il y a de l'impertinence dans les texte, je n'ai pas été piquée. J'avais même tendance à m'endormir !
Commenter  J’apprécie          10
Contes libertins

En complément de ses célèbres Fables et dans leur continuité, Jean de la Fontaine poursuivit son exploration des "contes et fables" tirés entre autres des œuvres d'Esope ou Boccace, mais réajustés à la réalité de son époque à sa vision de la société française.

Entre humour trivial et libertinage, cette littérature licencieuse est d'un goût exquis : aujourd'hui, cet humour serait largement vu comme sale ou déplacé, mais avec quelques rimes et un sens du ton bien choisi, c'est toute autre chose ! Du cocu content aux jeunes filles cherchant grivoisement de l'esprit, chacun est servi et le style est ô combien rafraîchissant.

Courts et intenses, ces petits contes libertins se lisent sans fin...
Commenter  J’apprécie          210




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jean de La Fontaine Voir plus

Quiz Voir plus

Les Fables de La Fontaine

A quel siècle a vécu Jean de La Fontaine ?

16ème siècle
17ème siècle
18ème siècle
19ème siècle

10 questions
372 lecteurs ont répondu
Thème : Jean de La FontaineCréer un quiz sur cet auteur

{* *}