Jeffry P. Lindsay

Je lis la saga Dexter après avoir vu la série. L'auteur nous plonge vraiment dans le quotidien de Dexter, sa vie, ses ressentis,.. nous imaginons parfaitement les scènes et chaque personnage est détaillé afin de nous permettre de nous approprier l'histoire. Hâte de lire la suite.

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Dexter, ce tueur psychopathe étranger à tout sentiment humain et qui ne trouve du plaisir qu'en découpant au scalpel certains de ses contemporains les plus horribles, est devenu, par la grâce de l'écriture et du style de Jeff Lindsay, un personnage attachant auquel on peut même s'identifier. Quelle prouesse !

Cependant, ce 7° opus (sur 8) marque une rupture très nette avec les précédents. En effet, Dexter ne va tuer qu'une seule fois, et ce de manière non pas ultra préméditée et préparée, comme à son habitude, mais de manière bâclée et improvisée. Un comble, pour un perfectionniste comme lui ! Et un changement radical pour nous, lecteurs.

Il faut dire que la découverte d'une sensation étrange et complètement nouvelle, lui d'habitude totalement insensible et dépourvu de tout sentiment humain, va (presque) lui faire perdre de vue son activité de détente préférée : recouvrir un monstre de chatterton et le découper au scalpel avec raffinement. Cette sensation nouvelle, c'est l'amour (et son corollaire, le désir). Dans ce domaine, il faut dire que Dexter part de loin. Bien que marié à Rita et père de trois enfants, il ne ressent absolument aucun sentiment, ni amoureux ni paternel, son rôle de mari et de père se limitant à assurer un vague service après-vente, principalement issu de l'observation attentive des comportements sociaux des êtres humains. Pour le reste, il subit stoïquement ce qu'il considère ni plus ni moins que comme un calvaire incessant et épuisant : traites, appareils dentaires, chaussures neuves, courses, piaillements, vacarme, claquements de portes, couches, disputes, réunions de parents d'élèves, hurlements perçants… On le voit, aucune comparaison possible entre la vie familiale de ce tueur psychopathe déshumanisé et celle du commun des mortels.

La rencontre de Dexter avec Jackie Forrest, une star de cinéma adulée, belle et lumineuse, va bouleverser la vie de notre héros. Les scènes de tortures et de tueries habituelles sont alors remplacées par des moments délectables d'introspection, où Dexter est vraiment le seul à ne pas comprendre ce qui se déroule sous nos yeux avertis et amusés : il est en train de tomber amoureux de Jackie.

On a beau savoir que les histoires d'amour finissent mal (en général), le final est quand même inattendu de par sa violence, laissant Dexter seul et désespéré auprès des cadavres de Jackie et de Rita.

« Dexter fait son cinéma », qui aurait donc pu s'intituler « Dexter tombe amoureux », est un vrai petit bijou d'humour noir et décalé, mon préféré de la série.

Avec une mention spéciale pour les scènes de la vie quotidienne familiale, totalement jubilatoires.

Je pense que tout le monde a du entendre parler de Dexter, le charmant tueur en série travaillant au laboratoire médico-légale. Accompagné de sa soeur, ils forment un duo de choc contre les autres criminels de Miami.



Bien que j’en ai déjà entendu parler, je trouve l’idée originale et j’aime beaucoup le fait que Dexter soit guidé par des règles. Je ne peux m’empêcher de trouver ça encore plus intéressant.



J’ai beaucoup aimé les touches d’humour noire de Dexter ou plutôt de son Passager, ça permet de lire certaines scènes avec plus de légèreté.



Dans l’ensemble j’ai bien aimé, c’est un bon thriller.



Il ne me reste plus qu’à regarder la série maintenant !

Riley Wolfe est un voleur d’un professionnalisme exceptionnel et d’un orgueil démesuré.
Lien : https://www.telerama.fr/livr..

Un bijou de légende et un homme araignée pour un roman de haut vol…

Je remercie Martine Paradis qui lors de l’un de ses concours m’a fait gagner et ainsi découvrir Jeff Lindsay que je n’avais jamais lu. Tout y est pour un thriller des plus efficaces.

Riley Wolfe est le meilleur voleur du monde ; il n’aime que les défis impossibles ! Alors quand il apprend que le Daria-e nour, fleuron des joyaux de la Couronne iranienne va être exposé dans le musée privé des Eberhardt à Manhattan, la tentation est trop forte. Il veut le voler mais c’est irréalisable. Comment lui faire entendre raison ? Peut-être que sa complice Monique, une faussaire géniale pourrait y arriver…

C’est à un rythme trépidant que j’ai suivi la vie mouvementée de Riley Wolf, un voleur aussi distingué que sanguinaire, aussi séduisant que cynique. Aucun moment de répit entre la préparation du vol et la vie mondaine d’un escroc trompant son monde. Je me demandais sans cesse quand la tour des mensonges et tromperies allait s’écrouler, quand l’agent Delgado, futé et tenace, allait désorganiser ses plans. C’était réjouissant d’être passé derrière le rideau et d’en savoir plus que les pauvres riches à dépouiller qui pourtant étaient des plus méfiants.

J’avoue avoir été impressionnée par la connaissance des méthodes des voleurs comme des services de sécurité mises sous nos yeux, ce constat faisant que les péripéties les plus inimaginables devenaient crédibles. Le travail de Monique, personnage à multiples facettes, est si bien présenté que l’on pense à l’art et non à la fraude. Au détour d’une page, j’ai aimé user ma curiosité des symboles Adinkra.

Rien à dire sur la forme, applaudissements pour le fond au suspense garanti, c’est une bonne lecture divertissante pour les journées plage ou les longues soirées d’hiver. Amateurs du genre, n’hésitez pas à découvrir ce polar sorti en 2022.

Le livre peut se résumer très rapidement: Dexter est un imbécile. Il ne comprend jamais rien, même son passager est rendu un parfait imbécile.

Le livre est majoritairement un monologue intérieur où Dexter se dit qu'il ne comprend rien. Des paragraphes entiers uniquement dédiés à nous expliquer qu'il ne comprend pas.

J'ai lu les 200 dernières pages en diagonale et n'ai rien manqué.



Puisque ce sera le dernier tome que j'endure, je me permets d'ajouter que la série en général est profondément décevante. Le permier tome m'avait énormément plu mais les autres étaient atrocement répétitifs, sans aucun réalisme, avec très peu d'action et très peu de "Dexter" comme on le connaissait grâce à la série télé. Ce personnage si prometteur perd tout de son charme et devient un lourdaud inoffensif, toujours dépassé par les évènements, rarement un prédateur et presque toujours une stupide proie qui ne comprend rien.



L'écriture est bourrée de répétitions et de banalités, les personnages n'évoluent que très peu en 6 romans, bref, j'ai perdu beaucoup de temps avec cette série!

Il faut avouer que j'ai persévérée dans cette série uniquement parce que je possédais déjà les livres alors...

Ce 5eme tome est toutefois meilleur que les 3 précédents. La lecture est facile, garde un bon rythme et quelques éléments intéressants.



Toutefois, les "punchs" sont tout simplement ridicules. Tout est tellement évident que j'étais frustrée que Lindsay nous prennent pour des poires comme ça. Dexter se demande "mais où ai-je donc déjà entendu ça?"... bizarre car moi je m'en rappelle parfaitement. Aucune surprise, tous les indices laissés plus tôt sont tellement évidents. Et toujours les personnages ultra clichés. Deb est vulgaire, astor est une ado, cody ne parle pas beaucoup, dexter a faim. On a compris, merci.

C'est avec un grand plaisir que je continue à lire la série des Dexter. Le talent de l'auteur pour nous faire rire alors qu'il nous plonge dans l'ambiance meurtrière de Miami, avec des cadavres un peu partout dans des états vraiment effrayants, m'impressionne toujours beaucoup. Comment fait-il ? Il arrive à nous décrire des choses abominables tout en restant léger. Bon, c'est peut-être mieux quand même d'éviter de lire Dexter juste avant de dormir, on rigole mais certaines scènes pourraient inspirer de très beaux cauchemars. Les seuls passages qui me gênent un peu sont ceux qui mettent en avant le goût du meurtre chez ses beaux-enfants Cody et Astor, je les trouve beaucoup plus glaçants que leur modèle. Cette partie de l'intrigue n'apparaît pas dans l'adaptation télé mais paradoxalement je la trouvais plus angoissante que les livres, peut-être à cause des images. Aussi, il me semble que les méchants étaient plus "sérieux", ils faisaient vraiment peur alors que ceux des livres ont un petit côté ridicule qui ajoute de l'humour et de la décontraction. Autre exemple : le personnage de Doakes dans l'adaptation télé était très froid, assez antipathique, alors que dans les livres il est à mourir de rire maintenant avec son appareil qui parle à sa place et lance des insultes sur un ton guilleret. Même si j'ai adoré la série télé, je crois que j'aime encore plus les livres.

Vous pensez que c'est de la folie ? du suicide ? Que c'est impossible ? Ca l'est. Vous pensez que c'est infaisable ? C'est ce qu'on va voir.



Riley Wolfe vous a mis en garde. Il vient de se lancer un défi et il va réussir. Son objectif : rien de moins que dérober le Daria-e nour: l'Océan de lumière, plus gros diamant rose de tous les temps, d'une valeur approximative de quinze milliards de dollars. Dans le cadre d'un rapprochement culturel entre Les Etats-Unis et l'Iran, le Daria-e nour, ainsi qu'une collection exceptionnelle de joyaux de la Couronne appartenant à la République islamique, va être exposé à Manhattan, au musée Eberhardt. Rien n'est laissé au hasard en matière de sécurité. Le musée Eberhardt est équipé de ce que l'on fait de mieux en matière de lasers, détecteurs et rayons infrarouges ; les bijoux seront protégés nuit et jour par la société Black Hat Security, dont chaque membre est un ancien des Forces Spéciales américaines. Ces derniers seront secondés de Gardiens de la Révolution. Et pourtant, Riley Wolfe n'hésite pas un seul instant.



Jeff Lindsay, qui tire les ficelles de Riley, est l'auteur de la série Dexter. Dans cette nouvelle série, il met en scène un voleur redoutable que rien ni personne ne peut arrêter. Surtout lorsqu'il s'agit de dépouiller les très, très riches. Riley est extrêmement doué : il maîtrise parfaitement l'art du maquillage et du déguisement. Il peut reproduire tous les accents et les façons de parler. Il se fond dans ses personnages, à tel point qu'il ne se reconnaît plus lui même dans la glace... Et la nuit, tel Spiderman, le champion de parkour voltige d'immeuble en immeuble. Cambrioleur, mais pas gentleman : alors que son lointain cousin français Arsène Lupin mettait un point d'honneur à ne pas verser le sang, Riley écarte brutalement et définitivement tous ceux qui se mettent sur son chemin. En les jetant du haut d'un hélicoptère ou d'un immeuble, en les faisant accuser de crimes... En maltraitant les femmes, surtout celles qui ont le malheur de se laisser séduire.



Le roman de Jeff Lindsay se lit d'une traite. Riley Wolfe nous décrit minutieusement ses objectifs et sa méthode, dans un style décalé qui mêle gouaille et termes techniques, humour et cynisme. Personnellement, plus que les personnages incarnés par Riley, j'ai beaucoup aimé Frank Delgado, agent spécial du FBI qui traque le cambrioleur, jour après jour, et Monique, la géniale faussaire et coach de Riley. Monique, femme inaccessible... pour qui Riley n'est qu'un client, et rien de plus.



La série va se poursuivre avec deux nouveaux romans qui n'ont pas été encore traduits en français : Fool me twice et Three Edged Sword. Et puisque l'on parle de traduction.... Riley tente l'impossible m'a semblé un titre un peu impossible lui aussi, j'aurais préféré quelque chose d'un peu plus flamboyant, qui reprenne l'image du titre original "Just watch me" c'est ce qu'on va voir, regardez moi, ou pourquoi pas, "Cherchez la faille"....

on retrouve avec plaisir dexter Morgan médecin légiste le jour, et tueur la nuit.cette fois ci il va être confronté à un autre tueur, qui prend les touristes pour cible.mais les choses se compliquent, lorsque le tueur, menace de révéler la véritable nature de dexter sur les réseaux sociaux.

Grinçant, cynique, hilarant on suit les aventures de dexter avec un plaisir coupable. Aventures qui seront adapté à la télévision, avec Mickaël Carlyle Hall dans le rôle de dexter.👍

Les premiers mots qui me viennent pour qualifier ce roman où apparaissent des corps décapités, du sang et des démons sont : très drôle ! Dexter a beaucoup d'humour, ce qui allège nettement l'ambiance « fête des psychopathes ». Après avoir lu le tome précédent, j'avais un peu peur d'attaquer celui-là, n'ayant pas trop envie de voir Dexter apprendre à Cody et Astor les rudiments du métier de meurtrier en série. Mais finalement, cette partie de l'intrigue est elle aussi abordée avec humour et presque une certaine légèreté, on ne peut qu'admirer le talent de l'auteur pour mêler événements cauchemardesques et décontraction. Pour autant, je ne conseillerais pas de lire les aventures de Dexter avant de dormir.

VOA

Meilleur que le précédent, mais comment aurait-il pu être pire? On retrouve ici un livre très facile à lire, une lecture légère où l'on doit accepter la prévisibilité de l'histoire et les personnages sans aucun réalisme. Aucun personnage n'est vraiment attachant, Dexter est répétitif à en devenir fou, Debbie est insupportable 100% du temps, les enfants sont sans aucun intérêt et Rita est une cruche parfaitement stéréotypée.

Malgré tout, le rythme rend la lecture facile, avec de courts chapitres et quelques rebondissements corrects.

Imaginez un mélange de "le cerveau" avec D.Niven, "la panthère rose" de Blake Edwards, "Topkapi" ou encore "FBI : duo très spécial" et vous avez le ton du livre. Nous suivons les pérégrinations de Riley Wolfe, voleur et assassin à ses heures. Il a décidé de voler le célèbre diamant rose iranien qui sera en exposition à New York et montera un plan machiavélique pour s'en emparer tout en menant le jeu du chat et de la souris avec un agent du FBI qui le traque sans relâche. Ce roman immoral fait penser au célèbre "Dexter" que l'auteur à déjà mis en scène. Immoral et jubilatoire à souhaits.

Super voleur style Arsene Lupin mâtiné Spiderman, athlète acrobate, adepte  du parkour, Riley Wolfe a combiné le plus énorme casse du siècle : les bijoux du trésor iranien, exceptionnellement exposés à New York (en vue d'un rapprochement entre les E. U. Et l'Iran... T'as qu'as croire)        

L'agent Franck Delgado, son agent fédéral ennemi intime, va tenter une fois de plus de l'arrêter . Il sait. : c'est lui le vrai profileur....

Enfin, l'action, puis la rencontre entre la loi et le crime....à quelques minutes près ...

Enfin : l'Amour... ou ce qu'il en reste. Style Arlequin (inversé).

Pour ceux qui aiment:- un polar avec des Super men, women ,

- l'argent n'est pas un problème ,

- La fin du polar ouvre la porte au prochain.

En ces temps tourmentés, je me sens vieux jeu (je le suis d'après les experts familiaux), aussi le prochain sera un Maigret... ou un Simiot... ou un P. Rambaud... Enfin, ce n'est pas le choix de bonne littérature facile qui manque.

Donc : 2+ 1/2 sur 5.

Riley Wolphe :

Beau parleur,

Psychologue

Grand séducteur

Grandeur d'âme et

Tueur sans état d'âme

Grand athlète parkour

Critique d'art

Gouts exquis

Expert culinaire

Ingénieur et technicien pluridisciplinaire

L'inspecteur Delgado

Psychologue

Obstiné

Peu discipliné

Individualiste

Désintéressé

Les femmes du roman : voir coll. Arlequin.

Jeff Lindsay revient aux affaires avec cette l'histoire de Riley Wolfe, artiste inégalé de la cambriole prêt à relever tous les défis pour marquer l'histoire de son empreinte.

Après une première partie un peu poussive voire ennuyeuse, le roman prend vraiment son envol avec la mise en place du scénario concocté par Riley pour arriver à ses fins. En effet ces 120 premières pages sont truffées de clichés et autres longueurs qui ont bien faillis avoir raison de ma patience.

Dans la seconde partie l'auteur laisse libre court à son imagination et nous dépeint avec rythme et enthousiasme les tribulations de ce cambrioleur donc, mais aussi l'enquête menée par Delgado, agent spécial du FBI qui n'a pour objectif que la capture de celui qui l'a tourné tant de fois en ridicule.

Le suspense atteint alors son paroxysme et tout le vice et la finesse du personnage se révèlent à nous dans un dénouement haut en couleurs.

Le seul regret à la lecture de ce roman est le fait que J.L n'ait pas su complètement se démarquer de ses œuvres précédentes.

Les personnages de Dexter et Riley apparaissent diamétralement opposés dans leurs attitudes et leurs motivations tout au long du roman.

L'un tue par habitude et par convictions, l'autre se met au défi de voler tout ce qui semble impossible à voler et tue si besoin. Aucun des deux n'éprouvant de remord à le faire. Alors pourquoi affubler Riley d'une NOIRCEUR, au même titre que Dexter. Riley ne peut-il pas aimer cambrioler aussi bien qu'il apprécie de tuer quelqu'un, au besoin, sans avoir à justifier de ses actes?

Je vous laisse en juger.

Bonne lecture.

VOA

Tellement décevant. Un bon 100 pages de répétitions et de tournage en rond. La liste des phrases toutes faites est infinie. Ça fait maintenant 3 livres qu'on nous dit que :

Astor fait quelque chose comme "seule une fille de 10 ans peut faire"

Deborah est agressive

Dexter a un métabolisme rapide et doit manger souvent

Vince n'a pas d'émotions convaincantes.

Cody ne parle pas beaucoup.



Et tout un livre où Dexter ferme les yeux aux 2 pages pour savoir si son passager est revenu. Alors déjà là, ça fait lourd comme lecture. Quand on ajoute tout le côté ésotérique, les Dieux, les démons, les rêves, les pertes de contrôle... beurk.



Si le prochain livre est aussi mauvais, j'arrête définitivement la série.

Lu en VOA

Un peu moins intéressant que le premier, ce deuxième tome se lit toutefois très rapidement, sans se casser la tête. Il ne se passe pas grand chose, mais ça reste divertissant.

Les répétitions commencent à m'agacer. On sait que Dexter est "un monstre qui ne comprend rien aux émotions humaines", pas besoin de l'écrire à toutes les 20 pages !