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Critiques de Jirô Taniguchi (2163)
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Le sommet des Dieux, tome 1

J'ai entamé cette lecture avec un à priori de taille, la montagne ne m'attire pas plus que ça ! Le froid, l'effort physique demandé, la souffrance, le danger encouru pour les montagnards et les secours... tout ça reste abscons... De la même manière, l'océan et ses furies, les raz-de-marées et ses dangers sont autant de repoussoirs qui physiquement me laissent très éloignés d'eux.



Cependant, je reconnais la beauté de cette nature qui parfois se déchaîne avec ses éléments qui nous rappellent que nous ne sommes que des vers de terre.

Je ne vais donc pas les chatouiller de près comme de loin. Je reconnais la beauté d'un volcan en éruption mais je m'en tiens écarté.



Cet univers est venu jusqu'à moi par le biais de cette œuvre graphique d'une pure beauté dans la réalisation des planches et d'une maestria scénaristique dans son élaboration.

Forcément, aux crayons, c'est Jirô Taniguchi qui s'y met et il s'appuie sur un roman japonais jamais traduit en français de 1997, écrit par Baku Yumekakura.



C'est magistral !



Tout d'abord, les personnages ne sont pas comme tout ceux que Taniguchi dessine habituellement... ils ont leur visage propre qui me fait penser davantage à une BD européenne.

Ensuite, le scénario part d'un photographe sportif, Fukamachi Makoto, qui tente de retracer la provenance d'un objet retrouvé dans un lieu improbable... l'enquête l'amène à croiser un alpiniste japonais mythique et oublié de tous, qu'il s'empresse de pister.



Ce premier tome retrace la mise en place de l'histoire et la présentation des personnages au travers d'une enquête qui nous explique le caractère d'une légende qui en a croisé une autre et pour laquelle, un duel sportif fait d'exploits et de respect pour l'un, s'est opposé aux exploits et à l'envie pour l'autre.



J'ai hâte de savourer le second de cette série qui en compte cinq.
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Le sommet des Dieux, tome 1

Très bon manga pour celles et ceux qui aiment les récits d'aventure avec des personnages forts.

Par contre, sur certaines planches, je n'ai pas ressenti le poids de la montagne, le côté vertigineux des chemins empruntés.

C'est sans doute dû au noir et blanc.

Sinon les différents récits sont épiques et parfois dramatiques. La montagne ne pardonne rien.
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La montagne magique

Cette œuvre est la première bande-dessinée deJirô Taniguchi où lorsque Casterman, l'éditeur de Hergé et des célèbres aventures de Tintin, se propose de réaliser le rêve d'un homme, éditer sa première bande-dessinée !



L'album commence par une note de l'auteur sur ses motivations, ses envies et cette opportunité que lui a apporté Casterman. L'auteur explique que le Japon est le pays du manga et que le format, la realisation, les dessins, le scénario, les couleurs, les contrastes enfin presque tout l'a attiré le jour où il a découvert la bande-dessinée européenne, cette nouvelle façon d'exprimer ses histoires. Il en avait toujours rêvé et Casterman l'a fait !



Un entretien avec l'auteur termine cet album et concerne davantage la réalisation de "La montagne magique".



La realisation des dessins montre un Jirô Taniguchi qui maîtrise déjà bien son art et ce conte pour enfants qu'il nous propose est simple et apporte une morale toute japonaise dans sa réalisation.

Les dessins sont simples mais finement réalisés et ce mélange fantastique m'a conquis.

Le thème abordé est très dramatique et s'oriente rapidement vers du fantastique puis on bascule naturellement dans du folklore japonais sans nous en apercevoir...au détour du chemin... tout en connectant l'écologie, les traditions, la nature n'y est nullement oubliée et est au centre de l'histoire.

Il y a bien sûr une dimension initiatique dans l'odyssée que parcourent Ken-ichi et Sakiko qui les amènent à se souvenir, devenir des gardiens de l'avenir et des relais pour le futur.

C'est donc un énorme message d'espoir qui est délivré pour les générations à venir...



C'est un aspect deJirô Taniguchi qui m'était inconnu et qui me confirme que cet auteur est un des plus grands.
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Un ciel radieux

Superbe redécouverte.

J'ai lu ce manga peu après sa parution (il y a donc un peu de temps en arrière). J'en avais oublié l'histoire.

Je suis toujours aussi fasciné par les dessins de Taniguchi. C'est si finement dessiné, si précisément détaillé, que pour ne rien raté, j'en mets mes lunettes.

C'est un tourbillon d'émotions qui m'a emporté jusqu'à la dernière page. Mes yeux se sont humidifiés à plusieurs reprises. Les battements de mon coeur ont eu des sursauts soudains.

Puis la réflexion s'est invitée : sur les non dits, sur la difficulté à être pleinement et sincèrement soi face à son alter égo, sur la perte d'un être cher, sur son rapport au travail, sur le travail au Japon (et ailleurs...), etc.

Riche lecture que ce manga.

Ne pas passer outre je recommande.



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Le gourmet solitaire

"Le gourmet solitaire" est un manga de Taniguchi qui date déjà de 25 ans et qui me laisse un avis assez partagé.

Je n'ai pas particulièrement apprécié le dessin où les japonais ressemblent plutôt à des occidentaux. Les 18 chapitres sont tous construits de la même manière : le héros, m. Inokashira, toujours en costume cravate sauf a un match, est pris d'une fringale irrésistible et recherche le meilleur restaurant où il pourrait contenter son appétit. Il sombre dans une frénésie alimentaire qu'il assouvit de manière qui frôle la boulimie et tranche avec le titre le Gourmet. Certains, et notamment l'auteur de la post face, y voit une possibilité de combler un vide, de s'affranchir des règles et contraintes et de trouver une forme de liberté. La psychologie du personnage reste assez réduite.

Ce qui est intéressant en revanche ce sont les descriptions des nombreux plats typiques au Japon. Certains sont des spécialités de telle ou telle ville ou de même de tel quartier. Les restaurants sont souvent des petits établissements mais avec des mets originaux, loins des fast food ou même des sushis sachimis qu'on connait. Le riz est omniprésent quand vous mangez pour combler votre faim, mais absent si le repas est un prétexte pour accompagner le saké. Ah le bento avec une languette à tirer pour réchauffer votre plat ! Quel raffinement ! La nouvelle de Kusimi en post face est subtile et vient bien compléter le manga. J'aime les formules de politesse "merci d'avoir attendu " lorsque le plat est servi, auquel repond " merci pour cet excellent repas". On ne remecie pas assez ceux et celles qui préparent à manger!

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L'homme qui marche

Au programme: une lecture telle une promenade apaisante loin du rythme effréné du temps qui passe, une sobriété rare et salutaire qui souligne la magie de chaque élément du quotidien allant du flocon de neige à la contemplation des oiseaux voire même un moment sous les étoiles, une parenthèse à la fois dans l'air du temps et hors du temps qui pousse à la réflexion, bienvenue dans l'univers poétique de L'Homme qui marche!



J'avais adoré découvrir le travail si particulier de Jirô Taniguchi au travers de Quartier lointain: sa précision dans les décors qui ne prennent pas non plus le dessus sur l'action, ce point de vue unique, ce trait splendide et surtout cette leçon de vie et l'invitation à prendre du recul. le tout sans le moindre jugement... Cette fois encore, le pari est plus que réussi, notamment grâce à des planches dignes d'un film d'auteur, d'une toile de peintre ou même d'un cliché de photographe.



S'il y a peu de dialogues et d'interactions, il y a tant de messages transmis au lecteur tout au long de ces chapitres l'invitant à savourer chaque instant, à trouver de la poésie dans d'infimes détails et de la reconnexion à ce qui compte vraiment. J'ai fondu d'admiration devant les pages colorées dans de doux tons neutres nous plongeant dans ce monde pas si loin du nôtre, loin de l'agitation, de l'action incessante et du drama à tout va. A contre-courant de nos habitudes livresques pour mon plus grand bonheur. Le temps d'une respiration, pour de vrai, pour se reconnecter à l'essentiel

(Bonus que je tiens à souligner, les deux récits en sens de lecture occidentale que j'ai savouré telle une douceur de fin de journée: Inokashira, le Parc ainsi qu'En remontant la rivière).



Une Ode au temps qui s'écoule et aux petits bonheurs du quotidien

Un Carpe Diem qui fait du bien
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Les années douces, tome 1

Une série assez fascinante composée de 2 volumes, fascinante par le dessin d'abord, et par la poésie, le rythme lent et la grande sensualité qui se dégage, notamment dans le volume 2, quand le maître et Tsukiko s'avouent leur amour et se découvrent physiquement.

Il y a aussi beaucoup de pudeur et de douceur dans le récit de cette relation pour le moins étrange, sans fougue, sans réelle passion...quoique...
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Furari

Je termine avec nostalgie ce superbe roman graphique qui m'a fait voyager dans Edo (ancien nom de Tokyo) grâce au rêve d'un arpenteur.



Ino Tadataka (1745-1818) fut le premier à établir une carte "fiable" du Japon avec toutes les incertitudes de mesures que sa technique comportait, en 16 ans de promenade après avoir étudié l'astronomie occidentale.



J'ai adoré me promener au milieu d'Edo dans les estampes de Hokusai et de Hiroshige...

J'y ai retrouvé les ponts de la Nihonbashi mais aussi quelques panoramas des "36 vues du mont Fuji" d'Hokusai ou encore les rues animées avec leurs marchands hétéroclites.



J'ai particulièrement apprécié la chasse aux lucioles (p95) que l'on retrouve dans les "Quatre sœurs" de Tanizaki ou encore la remise à l'eau de la tortue achetée (p33) qui est imagée par une estampe d'Hiroshige.



Enfin, la rencontre avec le poète Issa, considéré comme un des quatre meilleurs poètes de haïkus, m'a subjugué.



C'est mon troisième roman graphique de Jirô Tanigushi et c'est à chaque fois un voyage réussi au Japon d'hier et d'aujourd'hui. Merci.
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L'orme du Caucase

Je viens de terminer mon second roman graphique de Jiro Tanigushi et je dois avouer que j'aime vraiment bien.



Les scénarios des huit histoires sont empreints de philosophie et débordent d'amour.



J'aime bien plonger dans les traditions japonaises, m'imerger dans ce monde qui m'est étranger mais qui impose le respect.



Au travers de ces contes, la société japonaise est dépeinte sans fard, naturellement croquée avec ses habitants qui montrent sans orgueil leurs faiblesses, leurs erreurs de parcours et leurs conséquences.



J'ai particulièrement aimé la première histoire "L'orme du Caucase". Elle me rappelle un souvenir de mon enfance.

Mes parents avait un grand jardin où pas moins de 3 pruniers étaient établis et n'avaient jamais donné aucun fruit en 15 ans.

Une année, mon père a envisagé de les couper puisqu'ils étaient inutiles. L'année suivante, nous avons fait une récolte de plus 50 kg d'abricots et de prunes !

Oui, apparemment, il y avait aussi des abricotiers stériles dans le jardin !

Je suis entièrement d'accord avec le jardinier : les arbres ont une âme !
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L'homme qui marche

"L'homme qui marche" est aussi l'homme qui regarde... L'homme curieux... L'homme libre !



C'est un véritable hymne à la liberté qui nous emporte à pas d'homme sur les chemins du Japon... Peut-être Tokyo...



Ce roman graphique invite à la lenteur, à la découverte de la nature et des gens... Il nous amène à penser que marcher permet de voir enfin...



Le marcheur débonnaire se différencie des autres par son port de tête... Son regard est invariablement attiré vers haut, le bas, le côté gauche, le paysage qui vient de défiler, une bergeronnette , un coquillage, un héron, les nuages, un cerisier...



Sa curiosité insatiable le rend improbable.. Il défie le temps, la société, les règles... Pourquoi ?

Une femme ? Ou une autre femme ?



Il s'affranchit des règles et explore ce monde comme un extra-terrestre... Un nouveau-né... Un autiste... Un artiste...



Léonard de Vinci marchait beaucoup et observait tout et tout le temps, faisait des croquis, regardait la nature.

Lorsqu'il ne créait pas, il peignait, dessinait traçait des plans, construisait des prototypes, faisait des essais et des tests...

"L'observation est la base de tout", disait-il !



J'ai aimé cette lenteur, les détails des paysages, les dialogues minimalistes, le temps qui passe.. Un éloge de la lenteur... De la vie...

Cette poésie qui nous rappelle que nous courons après le temps.
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Quartier lointain - Intégrale

L’architecte japonais quadragénaire Hiroshi Nakahara accumule les actes manqués et finit par prendre le train qui le ramène dans la ville de son enfance. A sa grande stupeur, il retrouve son quartier inchangé et réintègre son corps à l’âge de quatorze ans avec son esprit et ses souvenirs d’adulte. Il se glisse dans les quartiers lointains de son passé avec une aisance qui s’accroît à mesure qu’il accepte sa nouvelle condition et que les lieux, les situations et l’entourage prennent place. Bien sûr, à l’école, il devient brillant dans des disciplines qu’il a maîtrisées plus tard au lycée et dans sa vie professionnelle. Il séduit la belle collégienne inaccessible auparavant, dans sa première vie. Il découvre la force et la beauté singulière du sentiment amoureux à l’adolescence qui masque les sentiments pour sa femme et ses enfants. Progressivement, il infléchit le déroulement des événements qui ne collent plus aux souvenirs qu’il en avait conservés. La question lancinante qui court tout le long des 400 pages consiste à savoir si Hiroshi va pouvoir empêcher le départ et la disparition irrémédiable de son père.

Franchement, « Quartier lointain » est une vraie merveille qui prend son temps et son aise pour dévoiler les différentes facettes du diamant noir de la mélancolie. Taniguchi excelle à rendre la vie du Japon d’après-guerre et à faire évoluer ses personnages dans un quotidien éphémère où chaque instant est à déguster pleinement. Ainsi, le repas familial fait dire en pensée à Hiroshi : « Comment avais-je pu si longtemps oublier l’apaisante douceur qui se trouvait là ? ». Où se niche le bonheur ? Comment faire pour l’approcher, le tenir et le conserver ? Taniguchi ne fait pas de morale. Il instille une vraie tendresse dans ses personnages. Il sait bien que les dés sont pipés et que l’on est toujours perdant quoi que l’on fasse mais il ne se résigne pas. Le rêve enchante le monde et le maître du manga le met un court instant à la portée du lecteur.
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Les années douces, tome 2

Même si Tsukiko ne se l'avoue pas et n'arrive pas à définir la nature de ses sentiments, elle apprécie ces rencontres fortuites mais assez régulières avec son ancien maître.

.

Le graphisme est identique au premier tome.

Le point fort de ces deux tomes est le récit qui, malgré le calme, nous transmet les divers questionnements et émotions de ces deux personnages .

Je ne connais pas le roman qui a permis son adaptation mais c'est un réel voyage culinaire.
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Les années douces, tome 1

Sans s'être donné rendez-vous, dans leur troquet habituel, Tsukiko trentenaire fait la connaissance d’un homme solitaire et élégant, de plus de trente ans son aîné. Elle réalise qu’elle le connaît : il était son professeur de japonais.

.

De rencontres inopinées, ils en viennent petit à petit à organiser quelques sorties.

C'est un récit sans fioriture, tout en simplicité sur un moment de vie mais efficace dans la narration sur un rythme assez lent. Niveau graphisme, c'est du Taniguchi.
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L'homme qui marche

Je ne pensais pas que le manga pouvait être une ode à la contemplation. Une ode aussi belle à la vie.

Quelle jolie découverte.



L'homme qui marche nous invite à regarder avec le coeur, à prendre le temps. A se perdre au détour d'une ruelle.

Lors de ses pérégrinations, un sentiment de bien être profond m'a parcouru.

Observer la vie. L'accueillir. Et lâcher prise.

Saisir ces moments volés.

Vivre simplement.



Et quand on prend conscience de la société japonaise dans laquelle cette bande dessinée est née, on savoure d'autant plus ces moments de vie au ralenti.



Tout y est poétique.



Maintenant il n'y a plus qu'à se lever et marcher.
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Un zoo en hiver

Lu en 2017. Une BD (manga adapté) touchante d'authenticité.

Il s'agit d'un récit d'apprentissage (à fort accent autobiographique) , à travers différentes étapes de vie décisives et la rencontre avec l'amour... J'avais une fois de plus succombé au graphisme de Jirô Taniguchi, si sensible, expressif, sensuel et épuré à la fois, mais le charme a moins opéré en ce qui me concerne sur la manière dont l'histoire est contée.

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Quartier lointain, tome 1

Lu les deux tomes en 2016. Une bande-dessinée qui fut primée au festival d'Angoulême en 2003 (adaptation graphique de Frédéric Boilet).

Un récit fantastique et original. Il prend la forme d'un émouvant voyage dans le temps, entre introspection, onirisme et inconscient... J'avais préféré le second tome.
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Terre de rêves

Lu en 2018. Une bande-dessinée tout en finesse, sensibilité et délicatesse.

Un album qui regroupe cinq nouvelles : les quatre premières concernent les mêmes personnages et se suivent chronologiquement ; la dernière est une histoire entièrement à part. J'avais été touchée par ces tranches de vie, la simplicité et la pudeur des sentiments, l'attachement et les rêves oubliés, le dépassement de soi et le retour aux sources...
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Le sommet des dieux, tome 5

Un dernier tome merveilleux, extrêmement poétique et déchirant. Comme George Mallory avant lui, Habu Joji s'est attaqué à la montagne de sa vie. Fukamachi a choisi la prudence à la passion sans pour autant renoncer à son rêve. Sa persévérance le mènera à obtenir les réponses qu'il attendait temps et à rendre justice à ces forces humaines inconnues et oubliées.
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Le Sommet des dieux, tome 4

Depuis qu'on a appris le projet fou d'Habu et les raisons de sa disparition des radars, j'avais franchement hâte de suivre son ascension et suis contente que Fukamachi puisse être un spectateur de ça.Sa passion pour ce sport et pour Habu va le mener à franchir la ligne rouge malgré un entraînement rigoureux. Habu se révèle plus humain que la carapace dure qu'il s'est forgée.
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Le sommet des dieux, tome 3

Un tome un peu mouvementé ou la copine d'Habu et Fukamachi se retrouvent pris dans un toile pour trouver des infos. Beaucoup de temps forts et de révélations (sur Habu, Ang Tsering etc.) séparées par des petits moments plus calmes qui nous permettent de nous plonger dans les magnifiques dessins de Jirô Taniguchi qui rendent à merveille la magie du paysage montagneux.
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