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4.16/5 (sur 440 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Un petit groupe de lecteurs sympathiques s'est créé sur Facebook:
https://www.facebook.com/groups/120476686046587/?ref=share

N'hésitez pas à le rejoindre. J'aimais bien quand vous m'écriviez en direct mais je répondais toujours aux mêmes questions.
Je remercie en tout cas du fond du cœur les créateurs et administrateurs de ce groupe, ainsi bien sûr que les participants, pour le soutien qu'ils m'apportent.

"Terres sauvages", mon dernier roman, est disponible sur Amazon et Audible

Mon nouveau roman, "le tueur de fœtus" est parti à la correction. Il sera disponible sur Amazon au plus tard en février 2021. Il est bien calé dans mon univers et je l'aime bien, mais comme toujours ce sont les lecteurs qui auront le dernier mot.

Un grand merci, de manière générale, aux gentils commentaires sur Amazon comme sur Audible. Quant aux commentaires moins gentils, heureusement peu nombreux, ils ne sont pas inutiles puisqu'ils me permettent de progresser, voire de me remettre en question.

Il n'est jamais simple de décider à l'écriture de quel roman se consacrer. il y a tellement de belles histoires à raconter! Leurs personnages sont impatients de les vivre et ils chuchotent constamment à mon oreille.

Mais, comme je leur explique, il faut du temps pour écrire un livre et donner à ses personnages une vie qui vaut la peine d'être vécue.

En ce qui me concerne, il n'y a pas grand chose à dire, mais il faut savoir que lorsque j'écris, je suis presque tout le temps dans l'histoire. Le soir dans mon lit est un moment particulier, riche en idées, en rebondissements, mais je suis aussi dans l'histoire quand je fais mon jogging, quand je suis dans une salle d'attente ou sur mon vélo.
Écrire une histoire c'est la vivre à la puissance 10, c'est oublier presque totalement le monde réel.
On est dans une petite pièce de 8 m² et on tient l'univers dans sa main.

J'ai écrit de nombreux ouvrages dont beaucoup ne seront jamais publiés, mais c'est toujours le dernier, celui que je vis, qui me semble le plus passionnant.

Pour terminer, je remercie Amazon qui me permet de m'adonner à ma passion de l'écriture.
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
- Tu as supprimé tellement de métiers qui semblaient indispensables sur Terre...
- Oui, les métiers de l'argent, les métiers de l'assurance, les métiers liés à la propriété privée, les métiers liés à l'application de la loi... Notre société fonctionnera sans ces parasites.
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- L'histoire montre qu'on ne peut pas gouverner contre le peuple, dit-il d'un ton solennel, même lorsque ce dernier a tort. Il faut le convaincre de prendre la bonne direction, pas la lui imposer.
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La rencontre avec Elisabeth et Nil avait marqué un tournant décisif avant un retour à une vie normale au cours de laquelle on avait progressivement pris conscience des enjeux : ne pas reproduire les mêmes erreurs que sur Terre et prouver aux autres peuples du Cosmos que les humains étaient capables du meilleur. Un objectif auquel elle avait alors décidé de consacrer sa modeste existence, sans chercher à se distinguer, comme une fourmi ouvrière au sein de la colonie. Elle avait vécu la dégradation inéluctable de la situation sur Terra. Il ne pouvait en être autrement alors qu'on diluait les premiers colons, idéalistes, avec des terriens qui aspiraient désespérément à retrouver un confort égoïste et surtout, des opportunités de s'élever au-dessus des autres, que se soit par le sport, le travail, l'escroquerie ou tout simplement la chance. On retrouvait les mêmes démons qui avaient très probablement détruit toute humanité sur Terre.
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Profitant de son poste à la passerelle, Elisabeth s'emplissait les yeux une dernière fois du spectacle de cette si belle planète qui recelait tout ce qu'il fallait pour abriter la race humaine et que l'on n'avait pas su traiter avec tous les égards qui lui étaient dus.
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Afin de montrer que la vie n'avait aucune raison de ne pas suivre son cours habituel, Élisabeth avait repris ses visites dans le Camp 0. Bien entendu, tous ceux qu'elle visitait lui parlaient du serpentin de verre des Aliens, mais elle s'efforçait de minimiser l’événement, recentrant systématiquement la discussions sur les problèmes liés à la colonisation.
À la Mairie, les membres du groupe de réflexion se relayaient devant la radio qui les reliait à l'Esperanza 64, au cas où il se passerait quelque chose. Mais pour le moment, c'était le calme plat en orbite. D'ailleurs, à bord du vaisseau, Xavier avait supprimé la plupart des activités liées à la présence du vaisseau Alien, se contentant de ne conserver que 2 personnes de garde sur la passerelle. L'effectif sur l'Esperanza 64 suffisait tout juste pour assurer la maintenance des installations, des navettes spatiales, s'occuper des serres et assurer le réveil des 1400 prochains colons.
De son côté, l'équipe d'exploration maintenait la surveillance de l'extrémité du serpentin, ainsi que du vaisseau au sol. Mais il ne se passait rien. Même si elle faisait désormais partie du groupe de réflexion qui aidait Élisabeth à diriger la colonie, la Commandant était retournée dans le futur commissariat pour superviser les agencements en cours. Liven, qui voulait conserver de bonnes relations avec elle, mettait les bouchées doubles, affectant 8 de ses ouvriers au chantier. Il venait aussi régulièrement s'assurer que le travail avançait et essayer de discuter avec la Commandant. Mais cette dernière était peu loquace et elle ne s'intéressait qu'aux travaux en cours dans le commissariat.
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Il faut arrêter de croire que les gens sont instruits et raisonnables ; l'humanité est à 80 % un troupeau de bêtes ignares guidées par leur ego et par leurs pulsions primaires. Tout le travail des gouvernants est de maintenir l'ordre dans ce troupeau, le faire avancer en évitant les violences, tantôt en le flattant, par exemple en inventant le principe de démocratie, tantôt en lâchant du lest comme avec le principe de la libre entreprise malgré ses conséquences désastreuses pour la nature, tantôt en sévissant avec le principe du code pénal applicable à tous.
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Et lui, Nil, serait alors le premier responsable puisqu'il était chargé d'ouvrir le robinet qui allait libérer le fléau humain sur ce monde vierge. Mais pourquoi ferait-il cela alors qu'il savait pertinemment que les humains étaient une calamité ?
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L'enfant peut faire n'importe quoi, grandir en devenant chaque jour plus égocentrique, plus soucieux de lui que de l'autre, ce sera avec la bénédiction de sa mère qui n'a d'autre souci que sa réussite.
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Elle vit que plusieurs carreaux du dôme avaient été remplacés par des carrés opaques, du même alliage que celui qui constituait les parois du vaisseau.
- Il s'est passé quoi ? Demanda-t-elle en désignant la réparation du doigt.
- Des météorites, lui dit une des femmes présentes. Il paraît que ça été un vrai cauchemar. Avec les pannes de sas un peu partout, la moitié du vaisseau s'est trouvée dépressurisée. L'équipe de garde a fait au mieux et surtout au plus vite pour éviter que les Spa-V ne souffrent. Mais le mal était déjà fait, beaucoup de feuilles sont parties dans l'espace et sans le treillis, la terre et les Spa-V, racines comprises, seraient aussi partis dans l'espace.
- Et les Orgoom ?
- On ne sait pas, sans doute ont-ils souffert aussi, mais ils ont survécu puisqu'ils sont encore là.
- Ça c'est produit quand ?
- Je ne sais pas exactement, il y a 1 500 ans je crois.
Juste après ma deuxième garde, calcula Mila. Elle parla encore quelques minutes avec l'équipe au travail dans la serre et retourna ensuite dans sa cabine. Selfi était parti lui aussi aux nouvelles, ils se retrouveraient, feraient le point, et iraient ensuite manger ensemble.
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Lum referma la porte du troisième sas et se redressant dans l'étroite cheminée, il agrippa le barreau de l'échelle. Encore 10 mètres et il atteindrait l'air libre. Aucune lumière ne filtrait. Il commença à monter, tâtonnant machinalement autour de lui pour vérifier le bon état de la paroi. Il savait bien qu'il ne rencontrerait pas la moindre racine, la cheminée n'ait pas 10 ans, elle était comme neuve, mais c'était le boulot : il fallait s'assurait du bon état de la paroi. Et puis surtout, c'était sa cheminée à lui. Aucun autre nettoyeur ne l'empruntait. En bas, son nom était gravé sur la porte de la salle d'accès avec à côté un petit compteur qui indiquait le nombre de sorties réalisées. Aujourd'hui, le compteur afficherait 489. Le record absolu pour Antéa, la cité souterraine. Jusque-là, personne n'avait dépassé 297 sorties.
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