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Critiques de Leslie Kaplan (58)
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Le Psychanalyste

que dire?



j'ai beaucoup peiné à finir... Au départ, le style m'a beaucoup plu, toutes cette succession de chapitres extrêmement courts qui nous plongeaient tour à tour dans le cabinet du psy et de ses mille visiteurs, dans la tête du psy lui-même, dans la vie de cette Eva dont il sera question tout au long du roman, ou encore cette Louise, quand ce n'est pas Josée... Mais au final tout ceci est décousu, lassant; certains fils directeurs (Kafka, entre autres) s'épuisent avant d'avoir trouvé leur aboutissement; tout comme ce parallélisme troublant entre la vie d'Eva et la pièce que joue Louise, qui raconte la même histoire. On reste sur sa faim, les choses ne vont pas jusqu'au bout, il y a l'esquisse et pas la couleur, le trait reste inachevé et pourtant! presque 500 pages pour raconter... rien, ou pas grand chose, pour dire à quel point les vies sont vaines, les recherches de sens fastidieuses (mais essentielles?)...



et puis il faut bien le dire, le style, bien qu'intéressant, est épuisant à lire! des grandes phrases qui ont pour ambition d'imiter la souplesse, la rapidité, la flexibilité de la pensée (enfin, du moins c'est comme ça que je l'interprète!) pfuitttttt!
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Un fou

Un fou c'est un roman très court. Sorte de farce satirique qui en moins de 100 pages nous raconte notre époque, ses luttes, ses espoirs. Dans une suite burlesque l'auteur nous raconte la rencontre de Simon, qui se dit d'emblée " fou" et Hélio dans un train. Dans une longue diatribe l'auteur nous entraîne dans une histoire qui pourrait être loufoque si elle ne s'appuyait pas sur des faits concrets.

Simon se fait passer pour le président pour des actions étonnantes. au début on rit, et puis l'Elysée dément, ce n'est pas le vrai. Mais le grain de folie a germé, les gens - et même les enfants s'y mettent aussi. Rébellion foutraque où chacun se plait à dire ce qui ne va pas ( culture, école, hôpital...) même les enfants s'en mêlent.

Mais tout va s'accélérer. On ne peut laisser le peuple s'émanciper. Matraquages et grenades .

" Une vieille dame piétinée.

" Elle n'avait qu'à pas être là"; " A son âge on reste chez soi" etc...

Dans ses mots, écrits comme dans l'urgence le message est clair, les références aussi. Folie des mots, folie de cette vie, folie des hommes...

" on était dans un drôle de moment"





Tout va se terminer rapidement. "On était dans un drôle de moment "

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L'excès-l'usine

Livre instructif et livre témoignage sur la vie des ouvriers, ouvrières en France, avant la totale expension de la mondialisation.

Kaplan écrit bien avant la délocalisation et nous fait découvrir l'univers de l'usine, ses rythmes, ses saisons, ses ambiances, son esprit.

Ce livre n'a pas pris trop de rides. Si on s'intéresse à la question du monde ouvrier et aux personnes sur les lignes de production alors il ne peut échapper à la bibliographie.

Mon vrai coup de cœur, sur ce thème, revient à Ponthus pour ses feuillets d'usine 2019, entre poésie et roman.
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Désordre

Ca coûte 7 € avec un bandeau attrape-nigauds, et ça se lit en une demi-heure avec, pour ma part un début d’amusement très embryonnaire qui est resté sur sa faim. Je veux bien qu'il faut que les éditeurs, les auteurs et toute la chaîne du livre vivent, mais il faut aussi que le lecteur s'y retrouve… J'ai eu la chance de ne payer que par mes impôts locaux puisque je l’ai emprunté en médiathèque, mais, bon, ça sent quand même un peu le foutage de gueule.



Dans une époque qui n'est pas la nôtre tout en étant la nôtre, soudain, des « crimes de classe » (au sens de la lutte des classe) se multiplient, constituant une expres​sion(de quoi, nul ne le sait) spontanée, sans caractère de mouvement. Leslie Kaplan prend un plaisir à énumérer les diverses crimes sur des résumés de deux à huit lignes, qu’elle intercale avec la réaction médusée et interrogative des médias et de la population. Le final est un retournement de situation qui n'apporte pas grand-chose à la sauce, un espèce de queue de poisson.



C'est une nouvelle, donc, et ce n'était par conséquent pas forcément pour me plaire, mais il me semble que, si c’est agréablement écrit, c’est bâclé, à partir d'une seule petite idée d'origine, qui n'a pas du tout été creusée.Que le cocasse aurait pu être plus cocasse, le politique plus politique, la réflexion plus réfléchie.
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Depuis maintenant, tome 2 : Les Prostituées p..

Leslie Kaplan, c'est avant tout un rythme et une langue. De la fluidité et de la précision. Chez elle, même les hésitations sont précises, parfaitement ponctuées, souvent extrêmement symboliques.



Ce court roman ne m'a pas transporté mais j'ai trouvé le travail autour la psychologie des personnages remarquable. Très (trop) Freudien, très (trop ?) psychanalytique, mais remarquable. Et puis, il y a quand même énormément de travelos dans cette histoire, même qu'ils font de la philosophie dans les bars, alors bon, les amis, n'en demandons pas trop.
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Millefeuille

Jean-Pierre Millefeuille habite rue Antoine Bourdelle à Paris près de la gare Montparnasse. C’est un ancien professeur de littérature passionné de Shakespeare. Bien qu’il soit à la retraite, il maintient toujours une activité d’écriture. Il a pour projet d’écrire un livre sur les rois dans les œuvres de Shakespeare. Il mène une vie très cadrée. C’est un homme âgé, veuf, qui vit un train-train quotidien sans doute comme beaucoup de personnes seules. Son fils Jean est souvent en voyage. Il est peu présent pour son père. Millefeuille est entouré de ses inconditionnels amis : Jeanne, Micheline, Charles, Gérard son garçon de café préféré. Il a ses repères, ses habitudes. Il déjeune ou dîne toujours à la même brasserie en bas de chez lui, fait ses courses à Monoprix, lit et relit toujours les mêmes livres de Shakespeare, regarde les films que Sammy lui amène chaque semaine. Il cherche souvent à nouer de nouveaux liens surtout avec les jeunes. Il ne peut s’empêcher de les aborder et leur demander ce qu’ils font dans la vie, de se renseigner sur leur vie personnelle. Il aime être en présence de la jeunesse. Pour certains en mauvaises passes, il ne peut s’empêcher de se faire du souci pour eux alors qu’il ne les connaît pas spécialement. Millefeuille est cultivé, adore Paris et ses musées. Il aime souvent s’y balader.

Ce roman paraît anodin, racontant innocemment la vie tranquille de Jean-Pierre Millefeuille. Pourtant en y réfléchissant bien, la légèreté du style de Leslie Kaplan lui permet d’évoquer à travers ce roman des sujets plus graves, que sont ceux de la solitude des personnes âgées, et de leurs soucis concernant la fin de vie et la mort.

Le lecteur s’attachera vite au personnage de ce livre et passera un excellent moment en sa compagnie. Un roman est plein d’humanité, un vrai bonheur.

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Millefeuille



« Il n’en pensait rien, de ce chapitre. Il avait tout lu attentivement, il n’avait rien sauté, et il n’en pensait rien ». Cette citation définirait très bien mon sentiment face à cette lecture. Mais… non, finalement, j’en ai pensé quelque chose.



Dans l’histoire, on suit Millefeuille, un homme d’un certain âge qui vit sa petite vie. Sa petite routine devrais-je dire. Il tourne en rond, et nous, lecteurs, on tourne en rond avec lui. Je ne me suis pas vraiment intéressée à l’histoire de Millefeuille. Je l’ai juste trouvé un peu refermé sur lui-même, pas du tout ouvert aux autres et aux changements. A un moment, on sent qu’il change, un petit peu, qu’il fait des efforts, mais en fait non. Vraiment, j’ai trouvé cette histoire complètement vide.



Sans compter que le style de l’auteur ne m’a pas rendu la lecture facile. C’est plat, répétitif. J’ai vraiment eu du mal à entrer dans ce roman en partie à cause de l’écriture. J’avais vraiment du mal à garder les yeux ouverts plus de cinq pages. Je me suis forcée à le lire assez rapidement pour le faire tourner aux autres membres du comité de lecture, mais je crois que j’aurais pu l’abandonner en cours sans aucuns regrets.



Je suis probablement dure avec ce roman mais je ne l’ai pas apprécié. Pour autant, je ne l’ai pas non plus détesté. Il est tellement plat qu’il me laisse neutre. Une chose est sûre cependant, je ne me souviendrai sûrement pas de lui.

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Millefeuille

C'est le portrait d'un vieux monsieur parisien qui sait son temps compté, Jean-Pierre Millefeuille. Nous accompagnons ce personnage dans son quotidien,ses rencontres, ses doutes, ses lâchetés...



Ce livre pourrait être sélectionné pour le Prix Chronos, car il nous montre le désarroi devant une vie qui s'effiloche, mais malgré cela le personnage est attachant , très humain et nous sommes happés par l'écriture de Leslie Kaplan, qui apporte une certaine légéreté devant la gravité du moment.
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Le Psychanalyste

Bien avant les séries En thérapie, In treatment, etc., un livre qui compile des morceaux de séances, et de moments hors séances, avec un personnage central autour duquel gravitent des personnages non secondaires. Ce n'est cela dit absolument pas des dialogues simplement retranscrits, pas un verbatim de séances. C'est de la littérature, c'est en un sens fou et sans aucun sens. Puis ça semble en prendre, pour reperdre le fil aussitôt.

C'est une addition, strate après strate, petit texte tordu après petit texte raboté, après petit texte concave, convexe, plié, déplié, arraché, recollé. La langue, la vie, le sens, Freud, l'écoute, le silence, les silences, les rapports humains, les morts et la mort, les émotions et les sentiments.

Tout ça foutraque et en 600 pages.



A la fois intéressant et absolument inutile. Une certaine littérature.
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Le Psychanalyste

La quatrième de couverture était prometteuse mais les 103 premières pages n'ont pas tenu les promesses, j'ai abandonné le livre.
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Mai 68, le chaos peut être un chantier

Cette année est celle de la commémoration du 50ème anniversaire de Mai 68. J'ai donc choisi un livre pour marquer l'événement.

Et ce livre est celui de Leslie Kaplan, auteure que j'apprécie d'autant plus qu'elle a été encensée par Marguerite Duras.

On retrouve le style de Leslie Kaplan dans ce texte hors norme écrit à l'occasion d'un colloque sur l'alternative du commun qui s'est tenu à Cerisy en 2017 et intitulé "Mai 68, le chaos peut-être un chantier".

Elle a choisi d'illustrer l'idée de commun par une pièce de théâtre dans laquelle le personnage principal fait une conférence sur la prise de parole en 1968. La conférencière commence par parler du silence qui a été rompu. le silence c'est avant tout celui de ce qui n'est pas dit, en particulier la torture pendant la guerre d'Algérie.

La révolution culturelle de Mai 68 s'est faite par la parole qui a permis à des inconnus de se rencontrer dans une volonté de connaître les autres, même différents.

Mais ce qui est surprenant et très original c'est l'interruption régulière de cette conférence. Deux femmes vont discuter de choses et d'autres, sérieuses ou pas, parfois très drôles sur le quotidien ou leur vision de la vie.

On retrouve un peu les personnages de "Louise, elle est folle" que j'ai vu au théâtre.

Il y a des bizarreries que l'on retrouve aussi dans le titre mais qui donnent de la profondeur aux propos car on comprend bien le chaos de Mai 68 qui est un grand bouleversement et le chantier puisque il y a encore un impact de cette période aujourd'hui.





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Louise, elle est folle - Renversement

On se demande qui est folle dans « Louise, elle est folle », pièce de théâtre écrite par Leslie Kaplan.

Cela fait longtemps que j'avais envie de lire cette auteure dont le premier roman a été salué par Marguerite Duras. J'ai eu l'occasion d'aller voir une amie jouer cette pièce, j'en ai donc profité pour lire ce texte. C'est un dialogue en forme de duel ou deux femmes sont en scène et s'apostrophent. Elles ne sont pas tendres et se tiennent tête dans une logorrhée absurde et drôle.

Elles n'ont pas d'identité mais chassent le cliché, traquent la langue de bois, pointent l'absurdité par un langage décalé. Pour elles, c'est Louise qui est folle. La seule à être nommée mais que l'on ne verra pas.

Elles déboulonnent les idées reçues en laissant apparaître des situations saugrenues, en déplaçant les lignes de la normalité et de la folie. Il y a de la joie, de la curiosité, de la fantaisie, de l'étonnement dans cet échange sans concessions. Rien de psychologique. du factuel : elles se parlent, se questionnent sur elles-mêmes et sur le monde avec franchise et brutalité.

Leslie Kaplan explique son intention dans un texte court qui accompagne la pièce de théâtre et qui se nomme « Renversement ».Il est sous-titré « contre une civilisation du cliché » et « La ligne Copi-Bunuel- Beckett », comme un clin d'oeil à ses auteurs de référence. Comme eux, elle prône le renversement, c'est à dire la transgression de ce qui se dit ou ce qui se fait, le renversement de la normalité, de ce qui est donné comme fou mais qui n'est pas nécessairement fou. Serait-ce le miroir d'un monde en perte de sens?





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Mathias et la Révolution

Un jour de vague à l’âme, de petite déprime, ouvrez ce livre, à la fois drôle et sérieux, léger et profond.

Matthias est chômeur, alors il s’est improvisé chercheur en révolution. Au hasard des rues et des jardins symboliques de Paris, il aborde les passants et les questionne sur la révolution : celle de 1789 bien sûr mais aussi celle que l’on pourrait faire aujourd’hui. Le voilà qui rencontre des prostituées, des sans-abri, un marchand de lumières, des mères de famille, un académicien, un astronome, des étudiants, des élèves … Tout ce petit monde, parle, s’interroge, s’excite. Peu à peu, des liens se tissent entre les différents personnages, des conversations se nouent et se dénouent toujours sur la révolution française et ses prolongements, mais aussi sur leur vie quotidienne. Les opinions se croisent, s’accordent, s’opposent, s’affrontent d’autant plus qu’au même moment, Paris est perturbée par une actualité qui prend de l’ampleur et menace la stabilité du pays

Leslie Kaplan joue avec le langage, avec les mots, avec les idées. Très bien documentée sur le sujet, elle excite notre curiosité et retient notre intérêt, en distillant des informations à travers les propos badins de ses personnages.



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Mathias et la Révolution

Un texte entre roman et théâtre (on comprend aisément son adaptation par Elise Vigier), qui fait le parallèle entre la France d'aujourd'hui et celle pré et post révolutionnaire. Il y a un foisonnement de personnages, de points de vue, de dialogues, aussi divers que notre pays peut l'être. C'est un texte politique et poétique, très actuel et très documenté. A découvrir !
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Les Amants de Marie

Marie cherche l'amour et le fuit en même temps. Elle parcourt la ville, lieu de tous les possibles, elle fait des rencontres, David, Sammy, Max, elle part, toujours, jusqu'à ce que... (extrait de la quatrième de couverture)



Et voilà, je suis tombée sous le charme de ce livre à l'écriture particulière ! Comment vous expliquer ? Il s'agit ici d'une sorte de roman choral. Des personnages se baladent dans Paris. Nous les suivons chacun, un à un, et alternativement. Ils ont la particularité d'avoir tous, un jour ou l'autre, rencontré Marie, l'héroine de cette histoire, jeune fille libre et libérée qui cherche l'amour mais ne peut s'empêcher de le fuir lorsqu'il devient trop présent. En filigrane, un mystère se joue, un exhibitioniste parcourt la ville et fait perdre la tête à ses habitants. La rumeur et les journaux s'emparent du sujet. Mais qui est-il ? Marie, elle, tournoie dans ce petit monde qui ne pense qu'à elle... Une écriture inventive, une intrigue qui prend le lecteur presque malgré lui, un roman à plusieurs voix qui m'a vraiment beaucoup plu.



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Désordre

Livre court et incisif, plein d'humour... noir...

La brièveté ne signifie pas que nous sommes quittes du livre en quelques minutes. Car Leslie Kaplan proposent de nombreux tiroirs, parallèles, analogies, références. Son livre est une manière d'initier des thèmes philosophiques mais à nous d'aller ensuite creuser les pistes qu'elle esquisse.

Oui l'Histoire de l'humanité c'est aussi l'histoire des guerres, des révoltes et des révolutions, sire ! Et une Histoire qui se répète. Les gouvernants n'ont qu'à bien se tenir car ils pourraient y laisser leur tête. Ce n'est pas moi qui le dit mais L Histoire et Kaplan sonne le rappel.

Un livre instructif que je recommande vivement, même si un brin anarchiste.
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Désordre

Décevant !
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Désordre

Très bien écrit, très drôle. De courts paragraphes qui racontent toujours le renversement violent et inattendu d'un rapport de domination...
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Depuis maintenant, tome 6 : Mon Amérique comm..

Avec un tel titre, je pensais soit m'envoler à l'ouest vers le pays du capitalisme, soit m'enfoncer à l'est dans les vestiges du communisme (la deuxième voie aurait eu ma préférence). Je suis malheureusement restée les pieds vissés en France, à suivre une partie de la vie de la narratrice, principalement dans le Paris des années 60.

Juxtaposition de faits politiques, culturels, importants, insignifiants, brèves plongées dans les cultures américaines et yiddish avec en toile de fond la vie de cette américaine expatriée. J'ai trop eu l'impression que Leslie Kaplan sautait du coq à l'âne, en éfleurant bien des sujets importants qui auraient mérités qu'on les explore plus en détail ou en s'attardant longuement sur des aspects de la vie de certains protagonistes qui m'ont semblé apporter peu au récit.

Enfin, bien que le style de l'auteure soit très agréable à suivre, j'ai trouvé les traductions systématiques de chaque expression ou mot anglais utilisé particulièrement lourdes.

En résumé, je ne retiendrai, hélas, pas grand chose de cette tranche de vie au croisé de plusieurs cultures, alors que je sujet était très prometteur : dommage.
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Le Psychanalyste

Moi j'ai eu beaucoup de mal à commencer. D'ailleurs je n'ai pas continué?
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