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Citations de Marianne Fredriksson (27)


Elle s'attarda devant l'étagère des poètes, en compagnie d'Ekelöf, Stagnelius, Martinson, Boye… Elle comprit tout à coup qu'elle cherchait une tonalité. Celle de maman. Elle songea que chaque personne possède une tonalité unique, qui n'appartient qu'à elle. Bien entendu, elle ne la trouvera pas tout de suite, pas de cette manière. Et elle n'a pas la prétention de croire qu'elle parviendra à la faire résonner comme autrefois.
Mais si elle prend patience, si elle attend, elle finira peut-être par la découvrir.
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- La vague ne meurt pas. Elle ne peut pas disparaître, car elle ne succombe jamais à la tentation de la séparation.
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 Elle roulait vers le nord pour raconter à sa mère qu'elle allait donner naissance à un enfant, mais qu'elle n'avait pas l'intention de se marier. Si le vert de l'été dominait encore dans la capitale, au nord de Sala les premières stries rouges flamboyaient dans les érables et, lorsqu'elle s'approcha de Bollnäs, le vent projeta des bouquets entiers de feuilles dorées des bouleaux contre le pare-brise.
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Nous ne comprendrons jamais, pensa-t-elle. Mais les détails, les petites choses nous font signe. (p305)
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Mais il ajouta que l'être humain ne supporte pas l'excès de réalité...du moins, pas d'un seul coup
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Cette terre n'était pas faite pour les paysans, mais pour les bêtes sauvages et les chasseurs intrépides. Pourtant, un peuple obstiné s'était accroché à ces champs de misère. Ils avaient construit une église et une école, s'étaient mariés, avaient fait des enfants. Trop d'enfants.
Il se souvient des paroles d'August: "Ca a toujours été dur par ici, mais la misère est arrivée seulement quand les gens ont commencé à se reproduire comme des lapins."
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Pourquoi les hommes font-ils en sorte qu'il soit si difficile de les aimer ?
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En fait, il avait honte de sa mère. J’avais bien vu à son regard au cour du dîner de noces, qu’il était gêné et inquiet de ce que nous pourrions penser d’elle, de ses bavardages, de sa vanité. […] Et j’étais bien placée pour savoir que les hommes qui n’ont pas vaincu leur mère se vengent sur leurs femmes, leurs épouses et leurs filles.
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Pour elle, la vie ne pouvait pas être expliquée, elle devait seulement être vécue. Supportée. (p.436)
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Il y avait un bonheur muet dans le fait d'être seule.(p303)
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Bientôt il passa maître en la matière. Les mensonges lui dégoulinaient de la bouche, le premier en entraînait un deuxième qui en engendrait un troisième et ainsi de suite.
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Mais les violettes ont quelque chose de magique. C'est comme si elles sentaient notre nostalgie et tentaient de nous réconforter.
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Commérages ; pas méchants, pas bienveillants non plus. Pour la première fois, Anna songe que ces bavardages interminables étaient l'occasion d'une orgies de sentiments. Les deux femmes se vautraoent dans les malheurs des autres et se déchargeaient ainsi à bon compte de leur misère personnelle. Parler de soi était impossible. C'était honteux.
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Toi ,tu es en béton, tu t'en sortiras très bien.
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Elle roulait vers le nord pour raconter à sa mère qu'elle allait donner naissance à un enfant, mais qu'elle n'avait pas l'intention de se marier. Si le vert de l'été dominait encore dans la capitale, au nord de Sala les premières stries rouges flamboyaient dans les érables et, lorsqu'elle s'approcha de Bollnäs, le vent projeta des bouquets entiers de feuilles dorées des bouleaux contre le pare-brise.
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La plupart de ceux qui préfèrent réconforter cherchent à se consoler de leurs propres craintes.
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Heureuse ? (...) Jamais plus le bonheur, pensa-t-elle, non sans irritation. Jamais plus cette chose exquise, fragile et inquiète. Qui se brise toujours en mille morceaux. On se blesse, on pose un sparadrap, on se dit qu'on guérira. (p304)
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J'ai peur de lui, je ne le supporte pas, je le déteste. Ce qui complique les choses c'est que je l'aime.(p26)
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- J'ai un ami qui est veuf mais qui a vécu un mariage long et stable. Il dit que l'amour, c'est vivre comme des vases communicants. On sait où l'autre se trouve, on sent la douleur de l'autre, on pense parallèlement. En Suède, nous avons un poème célèbre qui l'exprime très bien : "J'ai froid à tes mains".
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ce petit être qui commençait à penser au lieu d'être...(p.
416)
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