Citations de Masashi Kishimoto (656)
Lee, tu n’as pas compris, même à la fin… Le ciel ne pardonne pas aux impétueux qui ne savent que mettre leur vie en jeu pour avancer.
- Si ce ne sont que de banals clones, il suffit de trouver les originaux. Il n’y a qu’à foncer dans le tas jusqu’à mettre la main dessus !
- T’es vraiment le roi des plans stupides…
En ce qui concerne la composition, j'ai fait souffler le vent de bas en haut alors que derrière eux on peut voir les têtes de Naruto et Sakura. En les dessinant, je voulais faire un parallèle entre leur rivalité (entre Sakura et Naruto) et celle entre Sakura et Ino.
Reculer devant le devoir est la marque du lâche.
Les parents doivent simplement croire en leurs enfants, rien de plus… C’est dans cette confiance que se trouve la véritable valeur…
C’est vrai que pour Naruto, le village de Suna ne représente rien du tout. Par contre Gaara étant un réceptacle, comme lui, Naruto est bien placé pour comprendre ce qu’il ressent et cela bien mieux que n’importe qui de votre village. Dans tous les villages, les réceptacles sont traités de la même manière, c’est pour ça qu’il tient absolument à le sauver. Konoha, Suna… pour Naruto, cela n’a aucune importance.
Tu veux savoir pourquoi tu es si faible ? C’est parce qu’elle est trop petite ta haine.
Tu te trompes lourdement. Naruto est plein de ressources. Contrairement à moi, il a toujours cru en lui. Je l’admire tant pour ça, car je sais que ce n’est pas une chose évidente. Autrefois, personne ne voulait reconnaître son potentiel. Tout le monde l’ignorait. Mais maintenant, il est au centre de toutes les attentions. Tout le monde reconnaît ses qualités.
Les traités ne sont qu’un subterfuge destiné à endormir la vigilance de l’adversaire.
- Ote-moi d’un doute. Pourquoi m’avoir trahi ? Tu étais haut placée dans l’organisation pourtant. Ça ne te suffisait pas ? Naruto Uzumaki… Comment peux-tu lui attacher autant d’importance ?
- Il est si lumineux. C’est tout naturel, il nous attire les uns après les autres, parce que nous aspirons tous à vivre dans la lumière.
Dans la guerre, le malheur frappe d’ordinaire tous les camps… avec son lot de morts et de blessés. Mais on accepte difficilement la perte d’un être cher surtout s’il fait partie de ceux qui n’entendent rien à la guerre. C’est typique d’une génération comme la tienne. Aussi, on préfère penser que cela ne peut pas nous arriver. On se perd alors en conjectures sur le sens de la mort… Mais quand ça nous arrive vraiment, il n’y a plus de place que pour la souffrance et pour une haine qu’on ne sait pas contre qui ou quoi diriger. Ce contact réel avec la mort ouvre dans l’âme une plaie qui ne se refermera jamais… une douleur qui ne passera jamais. Voilà ce que c’est, la guerre.
Les gens ne s’appuient jamais que sur le peu qu’ils savent pour appréhender les phénomènes du monde. Ce qu’ils arrivent avec difficulté à entrevoir, c’est ce qu’ils appellent « réalité ». Mais leur savoir est une chose bien relative, et la réalité parfois illusoire. Les gens vivent d’impressions fausses.
Mûrissez. Un shinobi doit savoir accepter la mort. Même quand elle semble inadmissible. Il n’y a pas d’avenir possible si on ne surmonte pas cette épreuve.
- Ça ne changera donc jamais… Tout ce que je peux faire pour lui est toujours tellement insignifiant.
- Qu’il s’agisse de choses grandioses ou insignifiantes, le problème n’est pas là. L’important c’est la profondeur de tes sentiments pour lui, tu ne crois pas ?
Voilà pourquoi je vise désormais le titre de Kazekage, comme tant de shinobis. Pour créer des liens profonds avec notre communauté. Je veux que le village me reconnaisse pour mes efforts à son service. C’est ce que m’a inspiré l’exemple de Naruto.
- Tu as toujours vécu seul ! Qu’est-ce que tu sais de moi ? Hein ? C’est quand on a des liens qu’on souffre ! Tu ne sais pas ce que c’est que de perdre un être cher !
- C’est vrai… Je n’ai jamais connu ma famille… Mais quand je suis avec le professeur Iruka, mon imagination travaille. J’ai l’impression de savoir ce que signifie « avoir un père ». Et quand je suis avec toi… Je me dis qu’avoir un frère, c’est un peu comme ça.
L’art, vois-tu, c’est une intense effusion de passion qui jaillit d’un paysage au calme plat.
Choisir la mort de son plein gré, c’est ça la liberté ?
« Les trois interdits du ninja » ? Ce terme désigne les trois désirs qui mènent le ninja sur la voie de la perdition. Il s’agit de l’alcool, des femmes et de l’argent.
On mène des guerres pour défendre ses intérêts et sa prospérité, et on travestit cela en "préservation de la paix", pour défendre l’amour, on engendre la haine.