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Critiques de Michel Ciment (38)
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Le cinéma en partage. Entretiens avec N. T. B..

Le Cinéma en Partage, paru en Octobre 2014 chez Rivages est un livre d’entretiens que Michel Ciment livre à son confrère N. T. Binh (qui écrit depuis 30 ans dans la même revue Positif que Ciment).Michel Ciment s’y révèle sans fard et se raconte sans vraiment aborder la sphère intime (on saura juste qu’il a eu deux mariages et qu’il est de confession judaïque). De son enfance à son entrée à Positif en passant par ses publications et ses documentaires, c’est toujours sa passion folle pour le cinéma qui ressort de cette passionnante et documentée biographie.



Critique avisé, biographe estimé (Son ouvrage consacré à Kubrick) est devenu une référence pour les passionnés de cinéma à travers le monde.) mais également universitaire, Ciment, qui s’est parfois fait quelques inimités (notamment avec certains rédacteurs des "Cahiers du Cinéma", où la guerre des écoles avec Positif dure depuis plus de 50 ans) mais tout le monde ne peut que reconnaitre la passion qui l’anime et sa grande capacité de réflexion et d’analyse sur le cinéma mondial, son histoire et ses enjeux.ping pong auquel se prête Ciment.



Ce que personne ne pourra contester à Ciment c'est cette soif inassouvie de savoir qu'il possède au bout des ongles, celle qui le pousse à découvrir et redécouvrir les classiques en devenir et les chef-d’œuvre méconnus du passé et une capacité à refuser le consensus-il peut défendre des films et des cinéastes mal aimés et descendre des films aimés de tous pour imposer sa position, aussi tranchée soit elle.



Une passion toujours partagée, jamais unilatérale, et un livre aussi bien passionné que passionnant, qui en plus est, est accompagné du documentaire de Simone Lainé réalisé en 2010, à travers différents témoignages de réalisateurs et de collaborateurs, un panorama de l’influence exercée par Michel Ciment sur ses contemporains, qu’ils soient journalistes ou cinéastes.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Le cinéma en partage. Entretiens avec N. T. B..

Livre d’entretien. MC est interrogé par un des confrères de Positif, NT Binh, sur les films, les réalisateurs, la critique. MC a une formation littéraire très solide, il a fait des études d’anglais, s’est spécialisé sur la civilisation américaine. Il a vu et mémorisé tous les films de tous les pays. Il est la tête pensante de Positif depuis des années, il a participé à des jurys de grands festivals, son expérience est complète et très variée.

Son père était juif hongrois, il est attiré par la période faste de Vienne. Il connait personnellement les grands réalisateurs dont certains ont lu ses livres sur Kazan ou d’autres (Tarentino, Frères Coen). Il est curieux des autres arts, de la peinture, le cinéma étant un art pictural. Il est rarement négatif, ce qui peut être parfois un peu ennuyeux.

Son enthousiasme, son côté positif quoique peuvent aussi parfois frôler le pontifiant. La description de ses entretiens et rencontres avec Fellini, Losey, Kubrick est passionnante.

Un livre qui élargit les horizons.

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Le cinéma en partage. Entretiens avec N. T. B..

On pourrait dire puisque on se pose souvent la question à quoi sert le critique de cinéma, le critique étant un "cinéaste raté", ici, il convient d'admettre que le critique est comme l'engrais pour les plantes, il aide les cinéastes à se trouver, en les faisant réfléchir à leur démarche, il aide à l'épanouissement des films en salle en en défendant la valeur, en fait le cinéma est un écosystème, et en cela il est nécessaire.
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Le cinéma en partage. Entretiens avec N. T. B..

Intéressant.

J'aime beaucoup les critiques de Michel Ciment sur France Inter, j'avais déjà lu son Kubrick et c'est donc tout naturellement que je me suis tourné vers ce livre de souvenirs, de critique et d'analyse.

Le livre est intéressant, sans être bouleversant. Il permet de comprendre les grilles de lecture d'un critique important, de cerner ce en quoi cela peut consister une vie de critique (je signe de suite !), les festivals etc...

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Le Crime à l'écran, une histoire de l'Amérique

Epopée criminelle



A travers le récit de ces films noirs, c'est aussi une histoire de l'Amérique que nous fait découvrir Michel Ciment.



De "Scarface" de Howard Hawks à "Chinatown" de Roman Polanski en passant par la trilogie des "Parrains", c'est une multitude de chefs-d'oeuvre que revisite l'auteur. Cela permet de redécouvrir de nombreux réalisateurs ainsi que leurs interprètes.





Michel Ciment nous raconte l'évolution de ces films noirs en mettant en parallèle la mutation de la société américaine.



De l'époque de la prohibition où les héros de ces films sont les gangsters qui bravent l'interdiction et osent défier la bien-pensance, au retour à l'ordre moral après la chute de grands mafieux tel Al Capone, le héros devient inspecteur ou détective privé. L'auteur fait remarquer d'ailleurs que ce sont souvent les mêmes acteurs, les Humphrey Bogart, James Cagney et autres Edward G. Robinson qui interpréteront les deux types de rôles. et connaîtront le même succès.



Puis viendra la guerre avec ces films patriotiques : peu de place pour le film noir sauf pour les espions et les traîtres.



Il faudra attendre les années 60/70 pour voir de nouveau des criminels à l'honneur avec des films tels que "Bonnie and Clyde" et bien sur "Le Parrain"



La fin de l'ouvrage est consacrée à des témoignages et des documents sur des acteurs de la meilleure période des films noirs, celle des années 30/40 avec un portrait de Edward G. Robinson et surtout un retour sur la conception de films tels que "Le Faucon maltais" de John Huston.





Un petit livre qui se lit comme un roman, d'une traite sauf si l'évocation de tous ces films vous donne envie de les découvrir ou de les revoir, ce qui j'en suis sûr, ne manquera pas de vous arriver...



Juste pour vous tenter... Comment résister à l'envie de revoir les films déjà cités ainsi que "Quand la ville dort" de John Huston ou encore "Le grand sommeil" de Howard Hawks et pourquoi pas "La soif du mal" d'Orson Welles.



Cet ouvrage est un pousse au crime… !!!
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Le Crime à l'écran, une histoire de l'Amérique

Michel Ciment est une légende du monde du cinéma . Quand il entreprend un nouvel ouvrage on à la certitude que celui - ci va étre un grand moment de lecture. La preuve ici , ou sur un sujet réguliérement abordé il parvient â étre passionnant . Oui les gangsters on toujours eu une place de choix au cinéma , peut étre parceque leur mode de vie est une maniére pour le spectateur de s'émanciper un peu du monde dans lequel il vis . Le cinéma américain à trés souvent abordé cette thématique , pas toujours avec succés , mais les exemples sont nombreux ne serait ce que Scarface , ou Al Capone . Le millieu du crime à toujours eu une aura mystérieuse chez les spectateurs , que Michel Ciment en spècialiste avisé qu'il est se propose d'analyser dans cet ouvrage remarquablement écrit qui permet de mieux comprendre l'intéret des studios et des spectateurs pour cet univers ...
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Le Crime à l'écran, une histoire de l'Amérique

Michel Ciment (grand exégète de Kubrick) est avant tout un universitaire. La lecture de ses "études" élève la critique classique au firmament de ce que ses élèves (les Cahiers, Positif)... n'ont pu qu'esquisser...
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Le Crime à l'écran, une histoire de l'Amérique

Un livre lu avec un mélange singulier de plaisir et de tristesse.

Plaisir car le livre est passionnant, accessible et érudit. De Griffith à De Palma, Michel Ciment retrace avec clarté les liens entre crimes et histoire du cinéma aux Etats-Unis. Le livre est certes un peu vieilli et sans doute daté, pour certaines de ses réflexions ici ou là, mais il demeure remarquable et d'ailleurs très typique de cette collection, nouvelle alors, Découvertes Galimard.

Et puis tristesse bien sûr car Michel Ciment vient de nous quitter et avec lui un incroyable passeur dans le domaine du cinéma. Il parvenait à m'envoyer au cinéma en quelques phrases et il est sans doute celui qui m'a le plus permis de goûter les cinéastes dont il est ici question.

J'ai eu plaisir à apprécier son écriture simple, sons sens des titres. Ainsi "crimes en silence" pour aborder son sujet à l'époque du muet, c'est tout de même pas mal !

Mais en le lisant difficile de se dire que l'on ne l'entendra plus critiquer les films avec l'intelligence qui était la sienne....
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Les conquérants d'un nouveau monde

« Si le cinéma était un pays, Hollywood en était manifestement la capitale », dixit François Truffaut.

Voici Hollywood et ses metteurs en scène : ce recueil commence avec Erich von Stroheim et finit avec Terrence Malick. Des essais écrits entre 1963 et 2014, publiés dans Positif et ailleurs. Vous trouverez (parmi les textes les plus faciles d'accès) des réflexions sur La fièvre dans le sang d'Elia Kazan ; ou alors sur l'Impératrice rouge de J von Sternberg, ou encore sur la complicité entre Elia Kazan et Marlon Brando. Attention, ce ne sont pas de critiques ciné, ce sont des essais. Des essais érudits pour cinéphiles mordus.



Si vous ne craignez pas les notes plus ardues, lisez les pages consacrées au « Procès » d'Orson Welles. Il est question de prisons imaginaires, de récit symbolique et de recherche d'une vérité métaphysique. Un autre article plutôt exigeant questionne la paternité du scénario de Citizen K. Ou alors découvrez les extraits de Genette dans l'article consacré à « Il était une fois dans l'Ouest » de Leone – oeuvre que M Ciment associe au baroque et au « sophisme pathétique ». Vous trouverez également des écrits sur Stroheim, Wilder, Mulligan, Malick …



Lorsque je cherche à me repérer dans l'univers hollywoodien, je fais appel au Dico de Lourcelles et aux « Films de ma vie » de Truffaut. Avec le présent recueil, je dispose d'un troisième ouvrage, mais celui-ci n'est pas pour me repérer, c'est pour approfondir.

Ce que j'aime le plus avec M Ciment, c'est la mise en perspective : la lecture d'une oeuvre dans un vaste contexte, autrement dit en dépliant les correspondances avec l'univers littéraire et l'histoire.



Extrait p 281

[ le film America, America d'Elia Kazan] a toutes les apparences du roman picaresque sur le thème des années d'apprentissage et de voyage, et l'on ne s'est pas privé des comparaisons les plus évidentes, du côté littéraire avec Istrati, Gorki, Kazantzakis, du côté cinématographique avec Sayajit Ray et Donskoï. [ ] le film ne se comprend que par référence à son auteur [ ] dont il fait le portrait moral en filigrane, le reliant subtilement à cette préoccupation majeure chez lui : la conception qu'il se fait de l'Amérique, thème de tous ses films, intimement mêlé à sa vie privée. [ ] Tout aussi éloigné de l'anecdote que de l'allégorie, le voyage qui conduit Stavros des montagnes d'Anatolie à New York s'éclaire par une série de correspondances que lui offrent les rencontres les plus diverses …[ ]



Un autre extrait :

« L'homme n'est rien, c'est l'oeuvre qui est tout » - Flaubert cité dans l'article consacré au Portrait de l'artiste en Sherlock Holmes, film de Billy Wilder, p161.



Un portrait de Michel Ciment :

http://www.histoire.presse.fr/actualite/portraits/michel-ciment-ou-l-esprit-positif-01-05-2012-45218

Une interview :

http://www.lesinrocks.com/2014/10/25/cinema/michel-ciment-11531870/





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Passeport pour Hollywood

Six rencontres exceptionnelles avec des légendes, menées par un des plus grands journalistes et historiens de l'usine à rêves.
Lien : https://www.francetvinfo.fr/..
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Petite planète cinématographique : 50 réalisateur..

Il n'y avait que Michel Ciment pour parvenir à regrouper autant de témoignages , de visions , sur le cinéma . Cet homme vis par le cinéma et pour le cinèma , il a donc fait ici un trés grand livre sur les divers visages de cet art magistral en se rendant auprés de ceux qui font cet art . Ces entretiens sont absolument passionants . Une telle érudition est si rare .... On a grace a cet immense monsieur du cinéma , un tour du monde de la caméra . Si certains entretiens ne sont pas forcément aboutis , il n'empéche que ce remarquable ouvrage ne pourra que combler les amateurs du vrai cinéma , que Michel Ciment défend dans la meilleure revue de cinéma : Positif .
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Une renaissance américaine : De Woody Allen à R..

Témoignage important sur l’histoire du cinéma, « Une renaissance américaine » parle plus généralement des choix de vie et de carrière de chacun.
Lien : http://www.lesechos.fr/cultu..
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Une renaissance américaine : De Woody Allen à R..

Trente entretiens avec des réalisateurs américains. Il vaut mieux avoir un souvenir assez vif des films évoqués, sinon c’est frustrant.

Avis mitigé, vu l’ancienneté de ces interviews, la plupart se situent dans les années 80.



Quelques notes de lecture et deux extraits :

- Le regard très pessimiste de Robert Altman, qui, à l’époque de l’interview (1979) était au creux de la vague

- L’interview de Kubrick (1987) évoque presque exclusivement le film Full Metal Jacket

- L’interview de Coppola (1982) focalisée notamment sur la technique appelée à l’époque cinéma électronique (=prévisualisation en vidéo ou storyboard en vidéo, il l’a expérimentée avec One from the Heart, considéré un flop)

- L’interview de Scorsese (1978) tourne autour de New York, New York et du film musical en général



***

Extrait d’une interview avec Michael Cimino (1979) au sujet de la guerre du Vietnam, a propos de Deer Hunter (Voyage au bout de l’enfer).

Q : Etes-vous allé au Vietnam vous-même ?

R : Non, j’étais dans l’armée, stationné au Texas, mais par chance on ne m’a pas envoyé au Vietnam, bien que j’aie redouté longtemps d’y être appelé.

Q : Y seriez-vous allé ou étiez-vous tenté par la possibilité de l’insoumission ?

R : On ne peut pas répondre après coup à cette question. Sur le moment nous avions trois options : partir au front en devançant l’appel, quitter le pays ou attendre d’être appelé. A l’époque le suspense était terrible, les gens étaient en pleine confusion, personne ne savait exactement que faire, l’angoisse régnait. Le film trahit cette inquiétude. P66



***

Extrait d’une interview avec Spike Lee (1991) au sujet de Do the Right Thing.

Q : Vous décrivez vos films comme des « tests au papier tournesol » (litmus tests). Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?

R : Je peux dire que neuf fois sur dix, avec des films comme Do the Right Thing ou Jungle Fever [ ], vous pouvez être sûr que dans leurs papiers les critiques vont parler de la destruction de la pizzeria de Sal, une propriété blanche, mais dans leurs critiques de trois pages ils ne parleront pas de la mort de Radio Raheem. Et cela montre exactement ce qu’ils pensent des Noirs et de leur vie. Ils accordent plus d’importance à l’arrivée de la police de New York qu’au meurtre lui-même. P238.

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Une renaissance américaine : De Woody Allen à R..

Le cinéma américain à vécu une grande crise identitaire quand les tènors se sont eclipsés . Il fallait relever le défi d'une nouvelle scéne , qui ferait vivre de nouveau ce grand mythe du cinéma américain . Dans le cadre de cet ouvrage d'une importance considérable , Michel Ciment convoque trente réalisateurs américainspour qu'ils livrent leurs sentiments sur ces années ou ce cinéma s'est reconstruit , pierre par pierre . L'impression qui ressort de tout cela , c'est que le cinéma américain ne disparaitra pas , il y aura toujours des gens pour sauvez cette institution . Et ces créateurs s'expriment ici dans un ouvrage de référence qui porte haut l'amour du 7 éme art .
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Une renaissance américaine : De Woody Allen à R..

Un livre sur le cinéma-passion.





30 réalisateurs, 30 interviews qui nous font revivre 40 ans de cinéma.



30 interviews, certaines datent des années 1970, les dernières des années 2010 ( le livre est de 2014 ), avec pour chacune, en préface, un retour sur les principaux films du réalisateur mais aussi la présentation du film à l'origine de cet entretien.



30 réalisateurs avec pour commencer un retour sur leurs parcours, leurs origines, leurs études, leurs formations, leurs histoires, en fait, et surtout ce qui leur a donné envie de faire du cinéma ainsi que leurs références et leur connaissance qu'ils ont des metteurs en scène et des films qui les ont le plus influencés.



Puis, l'auteur aborde le processus de création , la genèse des films, les scénarios, le travail avec les acteurs, les répétitions, les choix de décors, les chefs opérateurs, tout ce qui participe à faire un film. Chaque réalisateur raconte sa propre vision du cinéma mais aussi les difficultés de financement, les échecs, les projets qui n'aboutissent pas, les rencontres avec les acteurs, les déceptions...



Michel Ciment maitrise parfaitement son sujet, connaît ses références cinématographiques par coeur, relance à travers ses questions intelligentes et pertinentes, les réflexions des interviewés sur leur métier, les oblige à des confidences .





Cet ouvrage est un vrai bonheur pour ceux qui aiment le cinéma, le grand cinéma fait par des auteurs et il met en valeur leurs oeuvres et leur passion pour cet art tout en restant accessible au novice qui souhaite découvrir.



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Une vie de cinéma

Vivant, cultivé et curieux, celui qui est sans doute le plus grand critique du septième art rassemble des textes publiés tout au long de sa vie. Savoureux.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Une vie de cinéma

Le directeur de la publication de Positif signe deux ouvrages, dont une anthologie d’entretiens, de reportages et d’essais. Le temps d’un regard rétrospectif sur sa passion pour le cinéma.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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Une vie de cinéma

A 80 ans passés, Michel Ciment rassemble ses voyages, ses rencontres, ses exercices d'admiration, et quelques philippiques (ah, sa vieille scie sur « le triangle des Bermudes » devenu, avec le temps, un pentagone des Bermudes) dans Une vie de cinéma.




Lien : http://bibliobs.nouvelobs.co..
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