Le directeur de la publication de Positif signe deux ouvrages, dont une anthologie d’entretiens, de reportages et d’essais. Le temps d’un regard rétrospectif sur sa passion pour le cinéma.
Lire la critique sur le site : LeMonde
A 80 ans passés, Michel Ciment rassemble ses voyages, ses rencontres, ses exercices d'admiration, et quelques philippiques (ah, sa vieille scie sur « le triangle des Bermudes » devenu, avec le temps, un pentagone des Bermudes) dans Une vie de cinéma.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Vivant, cultivé et curieux, celui qui est sans doute le plus grand critique du septième art rassemble des textes publiés tout au long de sa vie. Savoureux.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
[Le journaliste François Forestier] a publié une édition de ses 101 Nanars - Une anthologie du cinéma affligeante mais hilarante où l’on retrouve les médiocrités attendues mais aussi, de manière plus surprenante, quelques membres du canon [ ] : « Alain Resnais a fait roupiller trois générations de spectateurs avec des gourdins comme L’Année dernière à Marienbad, La vie est un roman et le cocufiage pâteux de Mélo ». « Joseph Losey, malgré quelques bons films, a été un maître ès nanars ». « Kazan a donné quelques nanars impeccables (revoir L’Arrangement et mourir de rire). James Dean, l’épileptique, n’a tourné que des conneries. A l’est d’Eden est donc une merveille dont la vedette est un fayot ». « Blow-Up n’est pas mieux traité que Le Charme discret de la bourgeoisie (images moches, dialogues plats, scènes mécaniques ») ou La Grande Bouffe (« nanar maousse, une date dans l’histoire du cinoche navrant ».) P501
[M Ciment se montre assez critique face à cette vision du nanar, mais le livre 101 nanars de François Forestier jouit d’une bonne presse sur babelio]