René et Claude , octogénaires , ont choisi de vivre leur retraite à Uzès.
René était ornithologue au muséum d'Histoire naturelle.
Ils ont participé à de nombreux congrès dans le monde et observé des quantités d'oiseaux car son épouse partage la même passion pour les oiseaux et l'aide à rédiger ses travaux. C'est une passion véritable.
Dans les environs d'Uzès, ils observent un oiseau rare, le merle bleu.
Ils sont seuls dans la vie bien qu'ils participent à la vie sociale des nantis de la ville. Claude aime à faire croire qu'elle est de souche aristocratique.
Leurs neveux ne leur téléphonent qu'aux fêtes et à leurs veilles d'anniversaires en vue de recevoir un cadeau.
Un jour, arrive dans la cité un jeune homme venu de nulle part qui ment sur sa provenances et utilise un nom qui n'est pas le sien : Alain Rachet.
Il cherche juste un foyer pour se trouver à l'abri du besoin.
René et Claude vont craquer pour ce jeune homme.
Les ennuis vont commencer insidieusement.
J'ai trouvé le livre plus intéressant au niveau des ambiances et des personnages décrits plutôt que dans le thème qui vire au thriller finalement alors qu'il avait commencé si paisiblement.
L'écriture est magnifique.
J'ai retrouvé Michèle Gazier après de nombreuses années quand j'avais lu "Les convalescentes "dont j'avais beaucoup aimé la lecture. Celui-ci, je l'ai un peu moins apprécié.
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Ravie de renouer avec Michèle Gazier, dont j'avais beaucoup aimé" Le merle bleu" et "Mont-Perdu"!
J'ai retrouvé son écriture fluide et fine, et l'acuité de ses observations.
" Nous sommes tous le fruit de notre histoire et de l'Histoire". C'est une remarque de Claude Ribaute , sociologue revenu dans son village natal.Ce pourrait être le thème central de ce roman.
En effet, deux "étrangers" vivant depuis peu à Saint-Julien-des-Sources suscitent des commentaires acerbes, pour ne pas dire injurieux. L'un est peintre allemand célèbre, qu'au village on surnomme " le boche", l'autre, "le Blondin", à l'accent d'un pays du Nord, semble se cacher.
L'Histoire, nazie, terroriste, est au coeur des secrets, des obsessions. L'histoire des personnages , on sent qu'elle s'entrechoque de plus en plus avec ces zones d'ombres et d'horreur du passé...
Et il y a un élément catalyseur, sans le savoir: la blonde et mystérieuse Valentina, une enfant attachante, qui se refuse à parler et vit dans son monde imaginaire. Le drame surviendra.
Un livre subtil, posant des questions très pertinentes sur la mémoire collective et individuelle , le poids des souvenirs, la transmission du sentiment de culpabilité, notamment en Allemagne. Un livre qui sait aussi restituer l'ambiance suspicieuse et intrusive d'un village, où les êtres différents sont épiés et rejetés. Vraiment intéressant.
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Trouvé sur un site d'occasion, ce court roman fait partie des publications plus anciennes de Michèle Gazier, auteure que j'affectionne.
Dans cet été révélateur d'un secret se retrouve l'attirance qu'elle a pour l'Espagne, ses racines familiales. Ce sont aussi celles de la narratrice , Lisa. Jusqu'ici, elle n'était quant à elle que peu interessée par le pays natal de son père et de Mamita, sa grand-mère, qui n'en parlait jamais. Toutefois, elle est envoyée par son père dans un petit village espagnol, pour qu'elle améliore la connaissance de cette langue au contact de ses cousins, en vacances au sein de la maison familiale.
Et c'est là qu'elle essaiera ( difficilement, les gens se taisent...), d'en savoir plus sur son grand-père, mystérieusement disparu.
Roman d'initiation pour cette adolescente, il est aussi révélateur des pensées cachées de chacun, du poids des non-dits empoisonnés sur une famille. De son écriture fluide et précise, l'auteure dissèque, comme Lisa, un passé déchirant. La fin abrupte surprend un peu mais reflète bien le secret brisé.
Ce n'est pas mon livre préféré de Michèle Gazier, car je trouve que les personnages ne sont pas assez approfondis mais il est attachant à bien des égards. Pourquoi pas le découvrir...
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Une belle pépite, dans ma collection " Le goût de..." , qui s'agrandit, proposée par Mercure de France.
Un petit livre riche en textes qui parlent tous aux lecteurs passionnés que nous sommes! De Montaigne à Michel de Castillo, de Pierre Dumayet à Danièle Sallenave, ils expriment combien lire est indispensable, bénéfique, envoûtant.
" Il s'agit de s'adjoindre les livres, non pour changer de vie , mais pour changer la vie. Tout le reste masque la douleur de la vie ordinaire: seuls les livres la métamorphosent." Danièle Sallenave.
Quatre parties s'articulent autour du thème de la lecture: naissance d'une passion, mots à la bouche, je n'ai pas vu le temps passer... et solitude à deux . La deuxième m'a particulièrement plu: cette gourmandise, cette faim des mots...
Merci à Michèle Gazier pour ce choix judicieux de textes, j'ai découvert certains auteurs comme Robert Lalonde et Manguel, liseur pour Borges devenu aveugle.
" Voici enfin le moment tant attendu où je peux étaler le volume sur mon lit, l'ouvrir à l'endroit où j'ai été forcée d'abandonner...je m'y jette, je tombe...impossible de me laisser arrêter, retenir par les mots, un courant invisible m'entraîne..." Comme Nathalie Sarraute, nous sommes nous aussi insatiables , emportés avec ravissement par les mots.
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Un grand merci à Mladoria pour l'envoi de ce petit livre plein de sagesse, d'anecdotes et de vérité sur la lecture...
On se retrouve au fil des pages, au milieu de grands écrivains qu'on a lu ou pas mais qui ne nous sont pas inconnus. On se reconnaît dans ce bonheur simple de lire, de vivre avec un livre près de soi et de se construire parfois sur les mots des autres...
Un petit temps suspendu... Magique...
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Superbe anthologie !
Bonheur de lecture, débuts de jeune lecteur, souvenirs de relecture, apprentissage de la lecture aux enfants, goût de lire, bonheur de lire ...
Ces pages magnifiques sont à lire, à relire, à grappiller, à lire en entier, en diagonale, en silence ou à voix haute ...
Je repense toujours aux "Droits imprescriptibles du lecteur", de Pennac, auteur dont des extraits sont évidemment cités dans ce beau recueil.
Merci fanfanouche24 pour m'avoir donné envie de découvrir ce livre, avec la belle liste sur les typologies de lecteurs. Un très beau et chouette livre, qui parlera beaucoup aux personnes de la communauté de Babelio !
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Elise ,la petite vingtaine, part retrouver ses parents dans une station thermale des Pyrénées orientales. Ses relations avec ses géniteurs , sans être compliquées, portent la trace de la non acceptation du passage à l'âge adulte d'Elise. L'ambiance est parfois lourde et l'irruption de Lola petite voisine de 7 ans énigmatique met du sel au séjour. D'autant plus qu'elle semble avoir deux frères que l'on n'aperçoit jamais.
Roman où la sensibilité affleure. Peut on vivre normalement en étant différent ? Le regard des autres est il supportable ?
Le choix des traits de caractère d'Elise me semble très pertinent . Sa douceur, ses fréquentes introspections, ses relations avec ses parents, la rendent plus réceptives aux problèmes de l'homosexualité ou au rejet d'enfants différents.
Toutefois, cette lecture s'oubliera sans doute.On aurait aimé faire un tour dans ces si belles montagnes de l'ouest de Pyrénées orientales . Ce n'était pas le sujet .
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Après avoir lu ( l'été dernier ) le roman épatant d'Olivier Weber intitulé - Dans l'oeil de l'archange -, m'est venue l'irrésistible envie de revisiter en lecteur passionné par le sujet, la guerre d'Espagne.
Ont suivi les lectures incontournables de Bernanos - Les grands cimetières sous la lune -, de George Orwell - Hommage à la Catalogne -, celles plus récentes de Leonardo Padura - L'homme qui aimait les chiens -, de Lydie Salveyre - Pas pleurer - etc
Vous l'aurez compris, des trois premiers livres mentionnés ont émergé des grandes figures, qui ont marqué l'Histoire.
Parmi celles-ci, la personnalité trouble et troublante de Ramon Mercader...que Leonardo Padura a mis en scène brillamment dans - L'homme qui aimait les chiens -.
Une autre, féminine, s'est naturellement imposée, je veux parler de Dolores Ibarruri, plus connue sous le pseudonyme de "La Pasionaria".
Outre la guerre d'Espagne, ces deux personnalités ont en commun leur rapport au communisme... le stalinisme serait plus approprié..., à l'URSS où ils ont vécu et qu'ils ont servie idéologiquement et historiquement... jusqu'au fanatisme...
Je n'ai encore pas fait référence à la biographie de "la Pasionaria", que j'ai essayé d'acquérir... en vain ... Mon choix s'était porté initialement sur le livre écrit par Mario Amoros et intitulé - ¡No pasarán!: Biografía de Dolores Ibárruri, Pasionaria -... hélas disponible seulement en espagnol, langue dont je ne connais que quelques mots...
Déçu, je me suis dit alors, "pourquoi ne pas essayer une BD ?"
Et me voilà quelque temps après avec celle écrite par Michèle Gazier et illustrée par Bernard Ciccolini.
Lue et relue ( ça se fait très vite ), elle n'est qu'un survol de la vie et des énigmes que celle-ci recèle, d'une femme qui a presque vécu un siècle et dont à part le fait qu'à "l'égale" de Bernadette Soubirous, elle était habitée par une foi "transcendantale", elle a comme la petite bergère de la grotte de Massabielle, laissé derrière elle plus de questions que de réponses, plus de doutes que de certitudes.
C'est un survol qui peut être didactique, donc une introduction à la vie de cette figure historique... mais rien de plus.
Le parti pris de cette BD est de faire de "la Pasionaria" une héroïne - ce qu'elle fut en un sens -, tout entière vouée à une cause... qu'elle a dévoyée, tout comme l'a fait Ramon Mercader en devenant, au nom de cette cause, un des sicaires de Staline, et ce faisant l'assassin de Trotsky...
Le graphisme de Bernard Ciccolini ne m'a guère emballé.
C'est du travail honnête mais le crayon n'est pas habité... et quid d'une Pasionaria sans passion ? ( c'est facile... tant pis !)
À lire si vous voulez apprendre le minimum minimorum sur cette enfant d'un siècle aux "turbulescences" inédites...
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Savoureux, délicieux, enchanteur, envoûtant... Quel plaisir ce fût pour moi que de picorer ces extraits, un à un, en prenant le temps de reposer le livre entre chaque auteur afin de m'imprégner de chacun.
A la douce mélodie d'un Pennac, d'un Manguel ou d'un Sepulvéda se mêle l'urticant Rousseau (qu'est-ce que cette présomption faussement nuancée de modestie peut m'agacer), la taquine Pujade-Renaud, l'effrayant Montalban, Le Clézio et Proust, Sarraute et Montaigne, entre autres...
De la naissance de la passion à l'image terrifiante de l'autodafé domestique, je remercie Mme GAZIER pour ce voyage sensoriel du goût de la lecture, avec des lecteurs emblématiques, à travers les âges et les oeuvres. On ressort cotonneux de cette lecture mise en abyme par de grands écrivains... et lecteurs.
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Un petit roman qui plait, par cette histoire toute en finesse et tendresse. Ce couple retraité arrivé au bout d'une vie, installé dans le midi pour une retraite paisible, se prend d'amitié pour un réfugié. Ce dernier bien sûr, a provoqué la rencontre, séduit, amadoué ce couple, mais en toute simplicité, juste pouvoir se faire "adopter" afin de palier à ses difficultés financières et de trouver un refuge le temps de trouver une autre solution à son statut.
J'ai beaucoup aimé les personnages, et toute la psychologie autour de cette histoire. On ressent combien les personnes âgées bien que vulnérable, ont besoin d'être aimées et soutenues au quotidien. Ce jeune homme, Alain, fut cette main tendue, ce rayon de soleil dans leur triste routine, et même un souffle d'énergie qui manquait pour clore l'article sur le merle bleu. Alain, se fait écrivain imaginaire, mais se prête au jeu, quand le couple lui demande son avis cet article, les aide pour le mettre en forme sur ordinateur etc... au final, on pourra lire l'article achevé.
une très belle histoire touchante et intéressante pour l'aspect humain de cette relation un peu particulière et également pour l'ornithologie.
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Un beau roman choral où l'on suit un cabinet d'infirmières libérales. Une patiente va bouleverser leur quotidien et va dévoiler un secret de famille.
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Dans une station thermale du Gard, Lise la prof dépressive, Oriane la jeune bourgeoise anorexique et Daisy la riche Américaine rescapée d’accident, tentent toutes les trois de se rétablir. Ce mystérieux homme en noir, est-il bienveillant ou maléfique ?
L’intrigue est un peu téléphonée, le roman est vite lu, et le serait encore davantage s’il était débarrassé de ses longueurs. Il en serait probablement plus réussi, d’ailleurs.
Tel quel, c’est une lecture de vacances qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
Challenge Globe-Trotter (Andorre)
Challenge Départements (Gard)
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Quelle observation fine, profonde et sensible de ces 3 personnes en convalescence et d'un accompagnant qui vont rentrer en relation tout au long du livre.
Lise, un professeur en rupture avec sa vie personnelle.
Oriane, jeune fille anorexique dont la psychologie est finement analysée et décrite.
Daisy,une américaine, qui se remet d'un accident de voiture.
Maxime, le nouveau mari de Daisy et celui qui introduit le mystère dans le roman.
Les ambiances sont prenantes et les personnages sont très plausibles.
En plus, l'écriture est très agréable.
Pour moi, une réussite.
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Etre mère... Certaines en rêvent, d'autres ne veulent pas en entendre parler.
Tomber enceinte... Rien de plus naturel sauf quand la nature fait la gueule.
Ce roman écrit tout en délicatesse promène le lecteur à travers des moments de vie de plusieurs femmes qui sont connectées, de près ou de loin, à cette période clé où le désir de maternité se fait entendre ou pas, où l'enfant est prêt à paraître ou pas.
Je découvre ici la plume de cette autrice et je suis tombée sous le charme. La lecture de ce court roman était vraiment réjouissante même si le sujet abordé ne l'est pas toujours lui-même. En effet, la maltraitance gynécologique que subissaient beaucoup de femmes au 20e siècle (et malheureusement encore aujourd'hui parfois) est également traitée sous différents aspects.
En usant du mode épistolaire mêlé au narratif simple, l'autrice dresse plusieurs beaux portraits de femme dans leur relation à la maternité. S'y glissent aussi deux hommes, étonnamment ou pas.
On retrouve aussi pas mal d'humour à travers les pages même si ce n'est pas l'émotion primaire qu'appelle cette lecture. Un roman délicat de réalisme et touchant par les différentes facettes qu'il expose, le tout sous une plume qui vaut le détour.
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Un livre délicieux pour les boulimiques de lectures.
Michèle Gazier a fait un beau travail de sélection de textes sur le thème "Le goût de la lecture". Vaste sujet quand on imagine toutes les publications qui évoquent l'amour des livres et ce que cela représente dans une vie.
Elle présente les extraits choisis en quatre chapitres complémentaires aux titres évocateurs : Naissance d'une passion, Mots à la bouche, Je n'ai pas vu le temps passer... et Solitude à deux.
Si on retrouve plusieurs fois certains livres comme "Les confessions" de Jean-Jacques Rousseau, les "Essais" de Montaigne et "Lire aux cabinets" de Henry Miller, tous les genres littéraires sont présents dont les romans qui n'ont pas été oubliés. D'ailleurs, j'ai noté à lire "Le canapé rouge" de Michèle Lesbre en le faisant remonter dans ma PAL ainsi que "Don Quichotte" de Cervantes, "Le chercheur d'or" de Le Clézio, " L'énigme du retour" de Dany Laferrière et "Un si joli petit livre" de Claude Poujade-Renaud.
Évidemment, je ne cite pas ceux que j'ai déjà lu.
Comme son titre l'indique ce petit livre donne envie de se régaler.
Challenge Riquiqui 2023
Challenge Plumes féminines 2023
Challenge Multi-défis 2023
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*** Un oiseau sur la Place aux Herbes à Uzès ***
Hormis la première page de couverture qui est plate et insignifiante, ce roman initiatique est une grande bouffée d'oxygène qui se passe dans le Gard et notamment à Uzès.
Uzès, la Place aux Herbes, son marché du samedi matin, ses cafés et restaurants, et ses appartements bourgeois surplombant les passages voûtés.
C'est justement dans un de ces appartements où vivent un couple d'octogénaire bourgeois, passionné d'ornithologie.
Ce sont "Les René" - Claude et René Pernet - dit René et Clô. Leur seule occupation : observer le merle bleu, un drôle d'oiseau vivant dans les roches calcaires de la région. Sinon, ils sont bien seuls Les René, pas d'enfants, une famille de neveux s'intéressant plus à leurs deniers qu'à leur personne, attendant l'héritage avec avidité.
Puis, un jour, un élégant jeune homme fait son apparition à Uzès, un étranger, un écrivain, dis t-on dans le cercle bourgeois, bref un "drôle d'oiseau" très mystérieux.
Clô, de sa fenêtre l'observe tous les jours à la même heure et faire sa rencontre devient obsessionnelle.
Puis, cette rencontre arrive et immédiatement Clô et son époux se prennent d'affection pour lui. Il se nomme Alain Rachet. C'est du moins ce qu'il prétend ... car en fait le jeune homme a une mission très particulière : "se faire adopter" et être à l'abri du besoin auprès d'un couple fortuné.
Sa manipulation psychologique est telle que Les René tomberont dans un piège qu'ils ne soupçonnent pas ... Mais en finalité qui sera vraiment piégé ? le vieux couple ou Alain Rachet ?
Ce roman est écrit avec grande finesse et comporte beaucoup de tendresse.
Un beau rayon de soleil, très émouvant, sur la belle Place aux Herbes d'Uzès.
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Lisa est envoyée pour plusieurs semaines en séjour linguistique en Espagne chez des oncle et tante qu'elle ne connaît pas.
Elle va découvrir les raisons du décès de ce grand père qu'elle n'a pas connu et ce point commun qu'elle a avec lui d'aimer le dessin.
Gentille petite histoire, simple mais agréable à lire.
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Cette BD raconte l'histoire de La Pasionara, Dolores Ibarruri. Je ne connaissais pas cette femme morte à 94 ans à Madrid. Elle a pourtant été une figüre majeure du parti communiste espagnol et a mené toute sa vie une lutte acharnée contre l'injustice.Si cette BD est très instructive, elle ne dégage pas d'orignalité dans ses textes ou même ses dessins et il s'en dégage peu d'émotion.Ceci explique ma note un peu sévére. Sa force est de faire connaître la persévérance de cette militante et quelque part de rappeler l'imporance de vivre jusqu'au bout dans la défense de ses idéaux même si la vie les met perpétuellement à l'épreuve.
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