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Critiques de Nakaba Suzuki (296)
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Four Knights of the Apocalypse, tome 1

MANGA FANTASY / HEROIC FANTASY.

Le mangaka reprend la formule du la saison 1 de "Seven Deadly Sins" : il y a quelque chose de pourri au Royaume de Camelot, on aurait un méchant établi avec les nouveaux chevaliers sacrés qui ont tous un look de monstres de tokusatsu, et on aurait un méchant résurgent avec une prophétie qui annonce la fin du monde. Donc c’est à Perceval qui appartient à la nouvelle génération de découvrir à quel camp il appartient et qui sont les gentils dans tout cela…

Sur le fond j’espère vraiment que Nakaba Suzuki s’est débarrassé de son syndrome d’assujettissement vis-à-vis de ses responsables éditoriaux. Sur la forme le bonhomme n’a rien perdu de son talent, donc même avec un matériel très classique ça fait son effet !
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Seven Deadly Sins, tome 26

Celui qui dit que les mangas sont simplistes il va falloir qu'il se plonge sérieusement dans cette série parce que les situations et les retours en arrière deviennent sérieusement compliqués.



C'est encore Diane et King qui sont les personnages principaux en y ajoutant Gowther. on en apprend beaucoup sur ce personnage très énigmatique.



L'esprit du créateur de ce manga est sacrément retors. Si j'aime les revirements de situation et les surprises inattendues., il va quand même falloir qu'il fasse attention à ce que ça ne se complique pas trop pour le bien être du lecteur. J'avoue que sur ce tome pour moi c'était limite. J'ai du parfois revenir en arrière et bien poser les choses dans mon esprit pour que tout s'éclaircisse.



En tout cas une belle surprise avec ce tome 26.
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Seven Deadly Sins, tome 22

Moi qui voulais de la baston je suis servie !!



Méliodas s'est servi du tournoi pour faire venir ses ennemis en masse... de la s'enchaîne des coups, de la ruse, des ressuscitations en pagaille ... enfin tout ce qui fait que les seven Deadly sins sont ce qu'ils sont.



Il faut que j'avoue que j'ai une affection particulière pour ces ressuscitations en pagaille.. l'imagination de l'auteur est au sommet... c'est ce qui fait d'ailleurs l'humour de ce tome, il est moins verbal mais toujours là.



Je suis toujours sous le charme de ce manga, avec ses superbes graphismes et son scénario parfois ubuesque , mais au final tellement bon
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Seven Deadly Sins, tome 20

Un tome très certainement de transition.



Les personnages doivent traverser un labyrinthe pour pouvoir se rendre sur l'aire de combat.;. la route n'est pas sans péripéties.



Les graphismes sont toujours exemplaires.. on remarquera certains changements de tenues pour des personnages emblématiques... question est ce que cela va durer ?

J'avoue une fois de plus avoir rit aux éclats avec cet épisode. Comme on dit le ridicule ne tue pas.. et fort heureusement !! Hawk est remarquable dans ce tome.. il éclipse tout les autres personnages.



Juste envie de me ruer sur le tome suivant qui promet de très belles bagarres ^^
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Seven deadly sins, tome 24

Un tome qui me semble un peu brouillon, du simple fait que ça part un peu en cacahuète sans réelle explication. Mais bon c'est un tome assez intense avec beaucoup d'éléments.. ce qui explique peut être cela.



Néanmoins de jolis pieds de nez sont fait et je me suis fait avoir comme une bleue.... j'étais si sûre que le mage était une femme appartenant au seven Deadly sins... et bien non !!

Du coup ce style de passe-passe renforce mon intérêt.



Maintenant il reste encore quelques méchants, j'ai hâte de voir à quelle sauce ils vont être servis et surtout qui va les combattre. Parce qu'il est vrai que certains personnages sont restés en retrait depuis quelques tomes... après ce n'est qu'un souhait de les voir un peu plus.. enfin on verra bien.

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Seven Deadly Sins, tome 23

Je suis plus mitigée avec ce tome, qui est, somme toute prévisible en tout ou presque.



Beaucoup de pages pour ne pas faire beaucoup avancer l'intrigue. On en apprend un peu plus sur l'opposition des seven Deadly sins et de teen commandements. Ainsi que sur la généalogie de Méliodas.



Le seul grand atout de ce tome est surtout graphique. Il y a des pages qui sont juste magistrales au niveau esthétique. Du bonbon pour les yeux.



J'espère que la suite sera plus intéressante au niveau de l'intrigue. Je reste néanmoins fan de cette série.

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Blizzard Axel, tome 6

Ce tome 6 VF qui regroupe les tomes 11 et 12 VO est un véritable feu d'artifice : « Gonna Fly Now » !



Plus que jamais alter ego de Evgeni Plushenko, Fubuki Kitazako trouve en Gabriel White son Aleksey Yagudin ! Mais nous sommes aussi dans un remake de "Rocky IV" : le Japonais pétri de valeurs humanistes affronte un Américain qui ne vit que par et pour la victoire à travers la compétition et la compétitivité. Le « Quad Devil » écrase tous ses concurrents, au point qu'ils veulent abandonner massivement la Crystal Cup et que Fubuki victime d'un choc psychologique est victime d'un yips. Arriver si haut pour tomber si bas, il est gagné par le désespoir et revit en silence les pires moment de son existence...



Et c'est là que le droit de quota de flashbacks intervient pour raconter un autre histoire, encore plus grande et encore plus noble. Fubuki et Gabriel sont les deux faces de la même pièce, celui de l'humanité prise au piège du cercle rouge séparant / rassemblant l'estime de soi et le respect des autres, qui finit par broyer des millions d'individus générations après générations…

Fubuki et Gabriel ont été deux enfants mal aimés, ignorés voire abandonnés avant de devenir des adolescents en colère. Mais dans leur quête d'identité qu'ils ont décidé de façonner à travers le patinage artistique ils ont fait des choix différents :

- Fubuki patine pour les autres car il n'a d'autre adversaire que lui-même, et c'est ainsi qu'il incarne l'espoir et qu'il tire tout le monde le haut car c'est en donnant au lieu de recevoir il est heureux

- Gabriel ne patine que pour lui car le monde entier est son adversaire, et c'est ainsi qu'il incarne le désespoir et qu'il tire tout le monde vers le bas car c'est en recevant au lieu de donner il est malheureux

Nakaba Suzuki connaît ses classiques : c'est exactement l'histoire de de Goku et Piccolo racontée par Akira Toriyama dans "Dragon Ball" ! Donc la fin est écrite à l'avance : sous les huées puis les acclamations du public américain Fubuki pousse dans ses derniers retranchements le « démon réglé comme une machine qui ne craint aucun adversaire », et en plantant en lui l'ombre d'un doute il plante aussi en lui les graines du bien. Il n'est pas de meilleure façon de vaincre un ennemi que de s'en faire un ami, et c'est de la plus belle des façons que Fubuki ramène Gabriel du Côté Clair de la Force !





L'épilogue est magnifique car il nous mène vers « un monde encore plus merveilleux » ! Fubuki revient au Japon, se réconcilie avec son père, trouve la pièce manquante du boléro de Kanon, mène le timide Raïzo sur le chemin de la danse sur glace… Et c'est quatre ans plus tard aux Jeux Olympiques de Vancouver que nous retrouvons tout le monde ! Fubuki avait deux rêves, et c'est avec et Rikka qu'il réalise le premier. Gotanda qui est passé de sportif besogneux à artiste complet contemple le duel que se livre Kanon qui mise d'abord et avant tout sur l'expression et Gabriel qui mise d'abord et avant tout sur la technique. Fubuki qui sublime expression et technique entre en scène, il s'élance, et Blizzard Axel sous les acclamations du public et sous vos applaudissements… THE END !



S'épanouir en s'acceptant soi et acceptant les autres : c'est un très beau message qu'on aimerait entendre plus souvent. Blizzard Axel est au final une série courte pédagogique et humaniste, qui porte haut les valeurs positives de l'espoir et l'amitié, de l'estime de soi et du respect des autres, de l'effort et de la bonne volonté. Pour ne rien gâcher c'est super bien dessiné : elle doit figurer dans tous les CDI et toutes les bibliothèques de France et de Navarre et puis c'est tout !!!





PS: j'ai tellement aimé que je n'avais pas envie de parler des bémols, mais par honnêteté je les signale si vous avez envie de pinailler :

- je me serais bien passer des pitreries de l'homme-crapaud qui sert de comic relief

- on aurait pu se passer des magouilles et des tricheries de Randall, mais il fallait bien un « vrai méchant » (qui évidemment ne pense qu'au pognon par et pour pognon, en bon hypercapitaliste ultralibéral)

- sur le fond comme sur la forme on est fait des caisses sur le côté implacable de Gabriel et de son entraîneur Kalachnikov... alors oui le shonen est manichéen voire pompier, mais là c'était limite Darth Maul et Palpatine !

- héritage "Rocky" : quand tu demandes trop à ton corps tu t'épuises jusqu'au claquage, la foulure, la luxation ou la fracture, tu ne pisses pas le sang par tous les pores de la peau jusqu'à tomber dans les pommes… il était l'arbitre pour tout arrêter avant d'avoir un mort !
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Seven Deadly Sins, tome 25

ah là là ! quel tome !! quel retournement de situations et de révélations.



Je trouve ce tome très abouti en ce qui concerne le scénario. Sans vouloir rien dévoiler c'est assez difficile d'en parler. Mais on retrouve King et Diane comme personnage principal du moins sur la première moitié du manga. Ensuite on en apprend énormément sur les trahison des uns et des autres.



Il y a certaines planches (je ne sais pas si on parle de planches aussi dans les mangas) qui sont juste incroyables de détails et de finesses.

Un tome qui nous pousse a vouloir encore en savoir plus.... l'auteur (j'espère) ne peut faire autrement ou il en dit de trop ou pas assez.. mais il faut avouer que c'est juste vicieux d'arrêter un tome comme ça... une torture pour la petite curieuse que je suis.



Il faut reconnaître aussi que l'auteur a réussi a créer des mystère au milieu de ses révélations.... un grand talent !!

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Seven Deadly Sins - Original Sin

"Seven Deadly Sins - Original Sin" est un volume hors série qui présente des allures non négligeables de fond de tiroir car on trouve :

- des gags mangas en 4 images en veux-tu en voilà

- une interview qui ressemble à une collection d’anecdotes (mais on y apprend des trucs quand même)

- le résultat d’un sondage de popularité des personnages (une plaie dans le monde des shonens puisque de leurs résultats dépendent la suite du récit)

- la mini-série "Les Vampires d’Édimbourg" qu’on attendait depuis trop longtemps et qui arrive bien trop tardivement

- un récit court publié dans un magazine shojo qui est essentiellement comique ("Dangereuses Emplettes"), et dont le comique repose sur l’arrivée successive des personnages dans de situations tirées par les cheveux

- la reprise de l’épisode 0 qui a servi de prototype à la série et qui avait déjà été publié dans "Seven Short Stories"



Pour ce dernier, je vais comme l’éditeur ne pas me fouler et faire du copier-coller :

« Il s’agit de l’épisode pilote de la série, et s’il s’agit d’un prototype assez pour ne pas dire très abouti tellement le résultat est proche du rendu final. L’Avalon remplace le Boar Hat, Elisabeth est une petite extravertie au lieu d’être une grande timide, Gilthunder est ici un gros psychopathe des familles et on ajoute une araignée géante arcanepunk. L’absence de Hawk se fait sentir et les dialogues sont moins bien sentis que dans le feuilleton, bref ça manque de cochon mais ça reste bon tellement ça sent bon l’esprit dragonballesque ! »



Pour "Les Vampires d’Édimbourg", je fais faire un effort car j’ai bien aimé quand même :

Tout se passe 12 ans avant le début de la série. Les Vampires alliés obligés des Démons ont été châtiés pour trahison lors de la Grande Guerre il y a 3000 ans, ils avaient été scellés, et quelqu’un ou quelque chose les a libérés… Démons et Déesses ayant rejoint l’enfer ou le paradis, fées et géants ayant cédé leur place aux humains, les vampires se disent que c’est l’occasion ou jamais de régner sur le monde. Pas de chance pour eux, après le Royaume d’Édimbourg se dresse devant eux le Royaume de Liones et il est protégé par l’unité d’élite des Seven Deadly Sin !

Pour Meliodas puisqu’il ne savent rien de leurs ennemis et vice-versa la meilleure stratégie c’est de n’avoir aucune stratégie, et c’est ainsi qu’ils débarquent dans le désordre et on va le dire un peu n’importe comment à Édimbourg transformé en éternel royaume de la nuit. Le problème vient que comme dans la relation films / animes, ce récit doit condenser tous les personnages et tous leurs gimmicks ainsi que tout l’epicness to the max et le tragicness to the max d’arc voire d’une saison entière dans un format réduit. Donc les adversaires manquent forcément de personnalité… L’idée est de présenter les personnages d’ « avant » en tant que chevaliers et non comme les personnages de « maintenant » passés de héros à traîtres puis de traîtres à héros. Meliodas est sérieux, Ban a un sérieux problème d’alcool, Merlin a perdu ses tenues sexy pour de longues robes, et Gowther est toujours aussi zarbi mais en armure lourde on ne voit pas son visage. L’attraction aurait dû venir d’Escanor le Lion de l’Orgueil qui lors de la publication de la série n’était pas encore apparu dedans, sauf que Pika publie ce subit trop tard pour que le shadowing face le moindre effet. L’attraction aurait aussi pu venir des vampires qui confondent Meliodas et son frère Zeldris, et de la vampire Gerda de la Poussière qui demande à Meliodas de la tuer pour que Zeldris n’ait pas à le faire : c’était du bon foreshadowing, mais comme les relations entre les personnages ont déjà été exploités dans la série mère cela ne marche aussi bien que cela aurait dû… (d’un autre côté comme les relations Zeldris / Meliodas et Zeldris / Gerda, et réapparaissent dans le tome 37 qui sort juste en même temps, c’était peut-être le meilleur moment pour rattraper le coup, donc ils ne sont si bête que cela chez Pika)





Sinon chez Pika, ils les sortent quand les séries précédentes de Nakaba Suzuki ? Parce qu’il a bien su m’embarquer avec ses histoires de patinage artistique ("Blizzard Axel") donc il doit être capable d’embarquer du monde avec ses histoire de golfeurs ("Rising Impact") et de karatékas ("Ultra Red")...
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Seven Deadly Sins, tome 38

Je vais encore radoter. C’est très bien dessiné, le mangaka connaît par cœur les codes du shonen nekketsu et maîtrise parfaitement les vibes de l’epicness et du tragicness to the max avec la force de l’espoir et de l’amitié et tutti quanti…

Après les Seven Deadly Sins combattant le Roi des Démons réincarnés dans un nouveau corps pour délivrer Méliodas, bis répétita et voici Méliodas et Elisabeth qui combattent le Roi des Démons réincarné dans un nouveau corps pour délivrer protéger les Seven Deadly Sins et délivrer la nouvelle victime du Roi des Démons. Comme dans le combat précédent, et c’est que le bât blesse car aussi bien fait soit-il c’est complètement répétitif, le Roi des Démons endort son hôte (ici Zeldris) dans un monde intérieur illusoire (où ici Gerda demande à Zeldris de tout laisser tomber et de s’endormir pour l’éternité). Méliodas et Elisabeth combine leurs pouvoirs démoniaques et angéliques pour réveiller Zeldris et neutraliser le Roi des Démons qui gagne en puissance et qui sera invincible quand il retrouva son pouvoir « The Ruler ».

Pour que les renforts n’arrivent trop vite le Roi des Démons a lâché un kaijû sur Britannia, à savoir un « Indura de Faveur » capable de se démultiplier presque à l’infini via un système de spores (faut arrêter avec les délires vidéo-horrifiques hein) qui doit occuper tous les autres personnages de la saga. Mais la force de l’espoir et de l’amitié fini par triompher, et c’est les Seven Deadly Sins au grand complet et ayant effectué tous leurs power-up qui s’affichent dans le cliffhanger de fin : un pour tous, et tous pour un !



C’est très bien, mais c’est le chemin pour arriver là qui ne va pas : c’est la plus longue série de l’auteur, et on voit bien qu’il a pataugé dans la semoule à plusieurs moments (les résurrections fumées, les personnages qui changent de camp, les crises d’identité de Gowther, les crises d’amnésies de Diane, l’éternel retour du roi légendaire, les combattants du grand tournoi aussitôt amenés aussitôt enlevés). Les responsables éditoriaux japonais devraient comprendre qu’il faut mieux mettre un série en pause quelque temps pour que l’auteur trouve les meilleurs voies vers lesquelles orienter son histoire au lieu de les pousser au cul pour faire un chapitre par semaine qu’il vente, qu’il pleuve ou qu’il neige. Donc là pour rallonger la sauce, le mangaka a ressorti la vieille ficelle du boss à tiroir, et nous a fait le coup 5/6 fois du « combat final ». Il faut que la série se termine enfin, et comme plusieurs tiroirs se referment (Coure-Chouse la relique sacré de Ban, la réconciliation entre Mael et Escanor qui effectue de manière très émouvante son dernier combat en tant qu’homme puis en tant que héros, ou le gros délire des personnages au look adolescent qui deviennent adulte en gagnant en puissance), on peut espérer que cette fois-ci c’est la bonne ! Et effectivement elle se termine au tome 41, car il y a encore le tiroir du « roi légendaire » à refermer. C’est pénible ces responsables éditoriaux qui obligent les auteurs à multiplier les expédients pour faire durer la série avant de les obliger à multiplier d’autres expédients pour effectuer un sprint un ligne droite et en hâter la fin...
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Four knights of the apocalypse, tome 2

MANGA FANTASY / HEROIC FANTASY.

Un tome 2 plus rondement mené que le premier, mise en place du récit oblige. Pour ne gâcher il pleut du foreshadowing sous la forme de petits cailloux blancs : le Château de Merlin, la Dame du Lac, la malédiction chaotique de Camelot, Sin qui mène nos héros par le bout du nez, Dolores la nonne géante au passé de guerrière d’élite, Nasciens qui pourrait bien être « Épidémie » avec sa faculté d’absorber, de synthétiser et de produire du poison à volonté en quantité illimitée… Le cliffhanger est cool aussi, donc To Be Continued !
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Seven Deadly Sins, tome 39

Dans ce tome 39 la lutte finale contre le Roi des Enfers se poursuit, et on se croirait dans un combat contre le boss de fin d’un opus de la fabuleuse saga fantasy "Dragon Quest", avec la petite touche d’epicness to the max nekketsuesque qui va bien (ceux qui ont déjà vu "Saint Seiya" ou "Dragon Ball", "Naruto" ou "One Piece" savent).

"Seven Deadly Sins" est une série qui avait toutes les qualités pour devenir un classique, car Nakaba Suzuki dessine très bien et maîtrise tout aussi bien les vibes de l’épique et du tragique entre autres qualités. Las, passé sa « première saison », on a bien vu que de tours débouchant en fausses pistes et de détours débouchant en impasses le mangaka a perdu la main fasse à des échéances hebdomadaires de plus en plus difficile à gérer.



On a une 1ère phase où les Seven Deadly Sins affrontent le Roi des Enfers pour délivrer l’esprit de Zeldris, qui fait écho voire doublon avec les tomes précédents où les Seven Deadly Sins affrontaient le Roi des enfers pour délivrer l’esprit de Meliodas. Même si c’est bien fait, ça se voit un peu beaucoup que les ficelles sont grosses pour gratter des tomes car tant qu’on gagne on joue… Et c’est bien dommage, car avec une autre construction du récit il y avait bien mieux à faire avec Gerda l’amante vampire de Zeldris qui coche toutes les cases du Ban au féminin !



Pour laisser le plaisir de la découverte passons en mode ATTENTION SPOILERS :



C’était super, dommage qu’on mette aussi bien en avant ce personnage aussi tard…



Sur ce seul tome j’aurai mis sans hésiter plus de 8/10, mais ô combien a été frustrant a été le chemin nous ayant amené jusque là…
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Seven deadly sins, tome 36

Avec ce tome 36 on se rapproche de la fin, et après s’être trop longtemps dispersé le mangaka se recentre ce qui fait la coolitude de sa série depuis le premier tome : l’héritage d’Akira Toriyama à travers les saintes écritures de "Dragon Ball" et de "Dragon Quest" !



Le pouvoir appelant le pouvoir, les préceptes convergent vers Méliodas dans sans cocon est en train de se transformer en nouveau Roi des Démons (à moins que ce soit l’ancien Roi des Démons qui ne le possède et qui ne fasse que récupérer le corps qu’il lui avait prêté : ceux qui ont lu "La Quête de Daï" savent !). Les guerriers les plus puissants du monde doivent gagner du temps pour Merlin qui lancent un sort interdit de gel du temps (ceux qui ont lu "La Quête de Daï" savent !). D’un côté l’archange Ludeciel affronte Zeldris qui est prêt à tout et au reste dans l’espoir que son maître ressuscite son amour perdu Gerda, d’un autre côté l’humain Escanor affronte le Démon Primordial qui remplir sa mission outrepasse sa malédiction (sa capacité est Crisis : en punition de sa réunification, puisque le bras droit du Roi des Démons avait été divisé en deux pour avoir voulu devenir Roi des Démons à la place du Roi des Démons, il s’autodétruit au fil du temps et plus il se détruit et plus ses forces augmentent)… Plus les minutes filent, plus le Démon Primordial se renforce et plus Escanor s’affaiblit : pour l’un comme pour l’autre la fin est inéluctable, mais la victoire serait pour les Forces du Mal et non pour les Forces du Bien. C’est là qu’arrivent les renforts menés par celui que Seven Deadly Sins ont fait revenir du Côté Clair de la Force ! Ça c’est de l’epicness to the max de qualité pour ne pas dire de haute volée !!!



J’en ai déjà trop dit, donc passons maintenant dans la ZONE SPOILERS :





Que voilà un bon shonen nekketsu des familles. "La Quête de Daï" faisait 37 tomes, et cela été beau et bon que "Seven Deadly Sins" en fasse 37 aussi : l’hommage au classique de la fantasy japonaise aurait été parfait. Malheureusement l’éditeur va sûrement encore pousser au cul l’auteur pour qu’il délaye l’affrontement final, ou pour réaliser un très long épilogue, et ainsi gratter quelques tomes au passages (ça a gâché tous les shonens mainstream à rallonge des années 2000, mais bon tant qu’il y a du pognon à se faire ils en ont rien foutre). C’est dommage de marcher sur les pieds des créateurs pour tirer l’ensemble vers le bas (ça accélère, puis ça ralentit, ça se disperse, puis ça se rassemble pour accélérer à nouveau : ce n’est pas du bon boulot tout ça !)… Après Nabaka Suzuki est parfaitement capable de faire un coup cochon à ses supérieurs, cela ne serait pas la première fois qu’il fait cela ! Je me réserve le droit de revenir relever la notation ultérieurement s’il nous le fait ce tour de cochon
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Seven Deadly Sins, tome 18

Un tome que j'ai trouvé étrange. divisé en trois grandes parties , la première pleine d'humour (j'avoue avoir beaucoup rit... et la ville de Belford ; ville des plaisirs interdits ça a été le pompon moi qui habite dans le Doubs !!). Pour la seconde partie, elle est assez triste et pleine de sentiments et enfin la dernière qui est juste de la belle baston comme on en a l'habitude.



Je me suis franchement régalée avec cet épisode. Avec le retour de Ban , plus sexy que jamais. Et de plus de belles planches sur une page entière. Bref du bonbon pour les yeux.

Je n'ai juste envie que d'une chose attaquer la suite.
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Blizzard axel, tome 3

Le tome 3 VF correspond aux tomes 5 et 6 VO, et l’ensemble est consacré au match entre les clubs d’Hakutei et de Frost Queen.



Le 1er affrontement oppose sur le ballet "Don Quichotte" de Léon Minkus et Marius Petipa le couple Kazushi et Julia et le couple Fubuki / Rikka. Le premier joue la sécurité et la carte facile du comique, le deuxième joue le tout pour le tout et la carte du tragique sur fond de « ça passe ou ça passe ! » / « la victoire ou la mort ! »… Et Fubuki réussit l’exploit nous seulement de redonner confiance à sa partenaire mais aussi de la réconcilier avec son père : pour un peu, on en pleurerait presque..



Le 2e affrontement oppose Susumu Katô qui patine contre les autres sur le "Concerto pour piano numéro 2" de Rachmaninov et Jin Gotô qui patine contre lui-même sur le "Jupiter" de Gustav Holst mais qui au contact de Fubuki a résolument décidé de patiner pour les autres. Le premier calcule chacun de ses actes pour impressionner son adversaire et le pousser à la faute, le deuxième en a strictement rien à secours de toutes ces simagrées et se contente comme toujours de donner le meilleur de lui-même…



Le 3e affrontement oppose le champion Masaomi Nanase qui a choisi le thème du film "Le Parrain" au rookie Tadashi Gotanda remplaçant au pied levé de ses coéquipier qui malades, blessés, ou occupés ailleurs, qui a choisi le thème du film "Mission Impossible"… Transcendé par les exemples et les encouragements de ses amis, il réalise l’impossible avant de devoir renoncer en raison d’un cheville blessée !



A ce stade de la compétition, avec les affrontements féminins qui ne nous pas montrés (shonen oblige, et c’est bien triste), les deux équipes sont 3 à points partout. Et tout la pression repose sur les épaules de Fubuki qui faire remporter son équipe et sauver son coach en passant la barre des 140 points alors que le record de son adversaire Yû Amasawa dépasse les 170 points. Les deux prodiges rivalisent de talent, le premier sur "Fly Me to The Moon" de Bart Howard et le second sur "Stairway to Heaven" de Led Zeppelin. Et celui qui est sûr de son talent et qui patine pour lui seul se fait donner la leçon par celui qui découvre son talent mais qui patine pour les autres. C’est le sens artistique qui va les départager sur le programme long, car les deux surdoués ont choisi comme musique la "Symphonie n°3 « Héroïque »" de Beethoven. Le prodige égotique de Frost Queen pense que l’œuvre du maestro célèbre la victoire d’un guerrier invincible… Monumentale erreur alors que le prodige altruiste Fubuki s’empare lui du véritable message de l’œuvre du maestro qui s’est senti trahi après que Napoléon ait abandonné à leur sort tous les idéaux la Révolution ! Et ouais on peut parler politique, économie, société et lutte des classes dans un manga consacré au patinage artistique, Oh Yeah !!!





Dans un sport élitiste Fubuki apporte la démocratisation, dans un sport égotique Fubuki apporte l’altruisme. Son charisme, son optimisme et son enthousiasme emportent tout sur leur passage. Pour révolutionner le monde du patinage artistique, il est le Messie et ses coéquipiers sont ses Apôtres !

Alors certes échéances hebdomadaires obligent, le mangaka délaisse l’interprétation artistique pour les explications techniques. Pour simplifier sa mise en scène il oppose les réactions pleines d’admiration des ses entraîneurs aux réactions complètement cartoonesques de ses adversaires (mais connaissant le bonhomme, il est parfaitement capable de revenir au « serious business » pour le climax de son récit). Au final c’est vraiment du bon boulot ! Nakaba Suzuki semble capable de rendre épique n’importe quoi, donc j’attends avec impatience que les éditeurs français toujours en quête d’un bon filon s’intéressent par exemple à ses mangas sur le golf et sur les arts martiaux...
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Seven Deadly Sins, tome 33

Un tome 33 clairement divisé en 2 parties qu'on aurait longtemps pu croire placées sous les astres néfastes des errements de "Fairy Tail" (le manga où l'auteur balance des mystères lostiens qu'il résout ou ne résout pas au petit bonheur la chance en fonction des échéances hebdomadaires)

Dans un 1ère partie, nous suivons Ban au purgatoire qui regagne son identité grâce à son immortalité avant de retrouver Meliodas qui regagne son identité grâce à sa puissance innée. Les deux compères font la rencontre du sanglier Wild qui depuis une éternité est à la recherche de Mild son petit frère cochon enlevé par le Roi des Démons (oui, vous devriez tout de suite avoir compris de qui il s'agit), et pour échapper du Purgatoire le trio affronte le boss de fin et son pouvoir inégalé car inégalable intitulé « The Ruler »…

Dans une 2e partie, les propos d'Estarossa sont de plus en plus incohérents, et on irait tout droit vers le WTF si le mangaka ne retombait pas sur ses pieds (à la différence d'Hiro Mashima qui à chaque fois sombre dans les sables mouvants de ses errances scénaristiques). Car d'un côté on met en avant la relation entre Meliodas qui n'a pas su venir en aide à son frère unique Zeldris, et d'un autre côté on met en avant le frère benjamin Estarossa jaloux de son frère aîné Meliodas : les deux versions sont incompatibles entre elles, ce qui fait intervenir Gowther. Car jusqu'à présent tout ce qui a été construit autour Gowther a été bien fait : le mystère restant était de savoir quel était le master plan du Gowther d'origine pour mettre fin à la guerre entre les anges et les démons…



Je le dis depuis plusieurs tomes, le mangaka est en difficulté face aux échéances hebdomadaire d'où les problèmes de rythme et d'homogénéité, donc on alterne le bon et le moins bon. Il faudrait que le manga se finissent assez rapidement pour rester sur une bonne impression, et je croise les doigts vus que le boss de fin a fait son apparition (ou du moins l'un des boss de fin car si on est dans une logique « manichéenne » ils sont deux)...
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Seven Deadly Sins, tome 21

On arrive dans la période des combats avec ce tome 21.



Je les attendais avec impatience, mais ce n'était pas vraiment ce a quoi je m'attendais. Je les pensais plus violents.



Néanmoins cela reste une très bonne surprise... comme quoi après 21 tomes on peut encore avoir des surprises (a mon plus grand plaisir). J'ai trouvé que l'auteur sortait des sentiers battus en prenant le parti de l'humour, voir même du ridicule ( le combat de Méliodas et de Ban est le summum). Et puis on a aussi de belles surprises et on en apprend plus sur le dernier Seven Deadly sins a avoir rejoint la bande.



Mais comme toujours le manga fini sur un point qui pousse le lecteur a vouloir en savoir plus....

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Seven Deadly Sins, tome 31

A l'image du tome précédent, ce tome 31 est très riche mais s'éparpille plus ou moins…

Il y a d'abord les frères Meliodas, Zeldris et Estarossa à la fois alliés et concurrents pour renverser le Roi des Démons, et chacun pour des raisons différentes, il y a le Diable Têteur et le Faucheur Somnolent qui aimerais bien se débarrasser tout de suite d'Elisabeth qui n'a plus que 2 jours à vivre… Cette dernière prend la poudre d'escampette pour prendre la tête des Seven Deadly Sins et s'allier aux Archanges de Stigma : Ludeciel l'Éclair, Sariel la Trombe et Tarmiel l'Océan (persuadés que c'est Escanor qui a hérité du Soleil du 4e archange Mael naguère tué par Estarossa). C'est à grands renforts de sorts de persuasion, pour ne pas dire de lavage de cerveau, qu'ils reconstitue la Grande Alliance entre humains, géants et fées : nos héros ne sont pas dupes, mais l'ennemi de leur ennemi est pour le moment leur ami et les Forces du Bien sont répartis entre commando de défense, commando d'attaque et troupes de nettoyage. Est-ce « the final countdown » pour la bataille finale ?

https://www.youtube.com/watch?v=9jK-NcRmVcw



Le mangaka sème plein de petits cailloux blanc pour bien nous faire comprendre que les choses ne pas aussi manichéennes qu'il veut le faire croire et qu'il y a bien quelque chose de pourri au royaume du ciel… Après sans spoiler, il fait aussi quelque de très bien ma foi d'assez moorcockien autour de ce bon vieux Arthur Pendaragon ! (décidément l'influence de l'auteur anglais sur la SFFF japonais est immense ^^)
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Seven Deadly Sins, tome 30

Ce tome 30 très riche redistribue le cartes de manière assez intéressante.

Il commence par l'ultime combat tragicness to the max du roi des fées et du roi des géants qui passe le témoin à la nouvelle génération... On a ensuite quelques interludes avec le siège de Liones, la résistance de Camelot, la quête de Margaret accompagné de Dreyfus et Hendrickson pour arracher Gilthunder des griffes de Viviane, mais l'essentiel est consacré à Meliodas qui dissout les Seven Deadly Sin pour rejoindre ses frères Zeldris et Estarossa et déclencher la guerre de succession au trône du Roi des Démons : celui qui réunira les Dix Préceptes qu'il avait confié à ses lieutenants pourra le challenger pour espérer prendre sa place, régner sur tous les enfers et se lancer à la conquête de la terre et du ciel (chacun des trois frères à ses raisons d'agir, et à ce stade rien ne dit que Melodias ne joue pas avec le feu dans le seul espoir de libérer Elisabeth de sa malédiction). Toujours est-il que les recherche des uns et des autres conduisent Zeldris à Merlin qu négocie de haute volée et de main de maître pour lâcher le précepte de la Foi de Merascylla contre le maximum de concession. L'auteur en profite pour révéler sa véritable identité et raconter sa véritable histoire : au début je me suis dit tout ça pour ça, et puis après coup j'ai trouvé assez cool de revenir aux sources de mythe (après tout Merlin était l'enfant d'un démon et d'une sainte, et ici le garçon est devenue une femme ^^). Les autres Seven Deadly ne restent pas les bras croisés puisque Ban rejoint le Purgatoire pour récupérer les sentiments du chef volés par le Roi des Démons. Et quel cliffhanger !

https://www.youtube.com/watch?v=9jK-NcRmVcw

Un tome bien rempli, et j'aurais pu et j'aurais du lâcher les étoiles mais j'ai repérer une faille dans le travail du mangaka : il est dépassé par son oeuvre et pour souffler face aux échéances hebdomadaires il se donne du temps en multipliant les POVs, mais du coup on perd en rythme, en homogénéité et en cohérence (les mêmes causes produisant les mêmes effets on pensera au Trône de Fer de GRR Martin) au point d'avoir encore l'impression quelques fois qu'il manque des informations voire qu'il manque des scènes et c'est quand même dommage. Je m'octroie le droit de relever la note si dans les tomes suivants le mangaka arrive à reprendre la main sur sa saga ^^
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Seven Deadly Sins, tome 27

Ce tome 27 est un tome de transition qui souffre de sa nature même de tome de transition, mais il déborde de belles promesses quant à l'avenir (avec encore beaucoup de changement de camp en perspective) ! Car si d'un côté il offre beaucoup de résolutions, d'un autre côté il laisse en suspens beaucoup d'éléments pour mieux les résoudre plus tard ^^

On ne réécrit pas le passé, car ce qui est arrivé est arrivé...



Les Seven Deadly Sins sont enfin au grand complet !



Mais la lutte contre les forces spéciales du Roi des Démons n'est pas finie...



Et si nous avons beaucoup appris sur la malédiction de Meliodas, Zeldris nous en apprend beaucoup sur la malédiction d'Élisabeth car
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Qui est Méliodas au début de l'histoire?

Un enfant qui dirige un restaurant
Un adulte qui à l'apparence d'un enfant et qui dirige une taverne
Un pervers

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