AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Nicholas Sparks (691)


"Si la conversation constituait les paroles d'une chanson, le rire en devenait la musique, et les moments passés en tête à tête, une véritable mélodie qu'on pouvait rejouer sans cesse sans jamais se lasser."

"Les histoires sont aussi uniques que les personnes qui les racontent, et les meilleures sont celles qui réservent une surprise à la fin."
Commenter  J’apprécie          70
J'ai tendance à croire qu'une relation n'est pas sérieuse tant qu'on ne se dispute pas. Jusqu'à présent, vous étiez en phase lune de miel. Après tout, on ne peut pas savoir si des liens sont forts avant de les mettre à l'épreuve.
Commenter  J’apprécie          70
- Tu m’aimes ?
- ... Oui.
- Alors veux-tu faire quelque chose pour moi ?
- T’a qu’à le dire !
- Veux-tu m’épouser ?
Commenter  J’apprécie          70
Je serais navré que tu ne connaisses plus jamais le bonheur. Sois heureuse à nouveau, je t'en prie ! Découvre l'homme qui te rendra le bonheur. Ce n'est pas évident et ça te semblera peut-être impossible, mais j'aimerais que tu essaies. La vie est plus douce quand on sourit.
Commenter  J’apprécie          70
On ne pouvait pas raviver ou éteindre la flamme de l'amour comme on actionnait un interrupteur.
Commenter  J’apprécie          70
My Darling,
One year has passed since I sat with your father in the kitchen. It is late at night and though the words are coming hard to me, I can’t escape the feeling that it’s time that I finally answer your question.
Of course I forgive you. I forgive you now, and I forgave you the moment I read your letter. In my heart, I had no other choice. Leaving you once was hard enough; to have done it a second time would have been impossible. I loved you too much to have let you go again. Though I’m still grieving over what might have been, I find myself thankful that you came into my life for even a short period of time. In the beginning, I’d assumed that we were somehow brought together to help you through your time of grief. Yet now, one year later, I’ve come to believe that it was the other way around.
Ironically, I am in the same position you were, the first time we met. As I write, I am struggling with the ghost of someone I loved and lost. I now understand more fully the difficulties you were going through, and I realize how painful it must have been for you to move on. Sometimes my grief is overwhelming, and even though I understand that we will never see each other again, there is a part of me that wants to hold on to you forever. It would be easy for me to do that because loving someone else might diminish my memories of you. Yet, this is the paradox: Even though I miss you greatly, it’s because of you that I don’t dread the future. Because you were able to fall in love with me, you have given me hope, my darling. You taught me that it’s possible to move forward in life, no matter how terrible your grief. And in your own way, you’ve made me believe that true love cannot be denied.
Right now, I don’t think I’m ready, but this is my choice. Do not blame yourself. Because of you, I am hopeful that there will come a day when my sadness is replaced by something beautiful.
Because of you, I have the strength to go on.
I don’t know if spirits do indeed roam the world, but even if they do, I will sense your presence everywhere. When I listen to the ocean, it will be your whispers; when I see a dazzling sunset, it will be your image in the sky. You are not gone forever, no matter who comes into my life. You are standing with God, alongside my soul, helping to guide me toward a future that I cannot predict.
This is not a good-bye, my darling, this is a thank-you. Thank you for coming into my life and giving me joy, thank you for loving me and receiving my love in return. Thank you for the memories I will cherish forever. But most of all, thank you for showing me that there will come a time when I can eventually let you go.
I love you,
T
Commenter  J’apprécie          70
Il resta un long moment immobile. Aussi soudainement qu'elle était arrivée, elle était repartie. Pour toujours cette fois. Pour toujours.
Il ferma les yeux, la revoyant en train de s'éloigner, de plus en plus, en emportant son cœur avec elle.
Commenter  J’apprécie          70
Parfois j'aimerai pouvoir remonter le temps et effacer tout ce qui fut triste, seulement la gaité ne disparaîtrait-elle pas aussi ?
Commenter  J’apprécie          70
Il comprit alors qu'elle était celle qu'il passerait peut-être le reste de ses jours à chercher, sans espoir de la retrouver.
Commenter  J’apprécie          70
Si la conversation constituait les paroles d'une chanson, le rire en devenait la musique et les moments passés en tête à tête, une véritable mélodie qu'on pouvait rejouer sans cesse, sans jamais se lasser.
Commenter  J’apprécie          70
Elle aussi lui appartenait à jamais... aussi imparfaite qu'elle soit.
Commenter  J’apprécie          70
-Fais gaffe, bébé, sinon tu risques de finir la nuit tout seul.
-Bébé ?
-C'est un petit mot doux. Je l'emploie avec tous les mecs qui sortent avec moi.
-Tous ?
-Ouais. Les étrangers aussi. Comme ceux qui me laissent leur place dans le bus. Ca peut m'arriver de leur dire : "Merci, bébé."
-J'imagine que ça fait de moi quelqu'un de privilégié.
-Et comment !
Commenter  J’apprécie          70
P186
J'eus une revelation : voilà ce que je voulais. Je voulais Natalie, et pas juste ce soir, mais puur une vie entière de jours et de nuits comme celle là.
Saisi d'un sentiment indéniable, je compris soudain ce que mon grand père avait certainement éprouvé en voyant Rose pour la première fois, devant le drugstore, au temps jadis.
Commenter  J’apprécie          60
P142
Après dîner je me resignai à poursuivre mes lectures sur la terrasse du jardin. Avant d'ouvrir un seul livre, me figurant que Natalie avait quitté son service depuis un petit moment, je me pris à saisir mon téléphone. J'hésitais à l'appeler puis me ravisai. J'optais pour un rapide SMS. "une petite pensée. J'espère que votre journée a été bonne. Êtes vous disponible pour dîner ce week-end.
Si tant est que j'aurais dû remiser mon portable, j'espérais qu'elle se trouve suffisamment proche du sien pour consulter mon message. Tel qu'espere, je reçus confirmation de sa lecture, pensant recevoir une réponse dans la foulée. Au lieu de quoi, je restai sans retour. Je passai le restant de la soirée à vérifier l'écran. Puéril. Compulsif. Ou encore immature. Il peut m'arriver d'être tout cela. Comme le dit Bowen, chaque personne est s une œuvre en construction.
Commenter  J’apprécie          60
Je cherchais désespérément à comprendre, à la fois perdu et, je l’avoue, effrayé. Quand elle s’est enfin calmée, elle a levé la tête vers moi et m’a embrassé si doucement qu’il m’a semblé qu’un souffle m’effleurait. Les yeux gonflés de larmes, elle a passé doucement un doigt sur ma joue.
– Il ne faut pas être amoureux de moi, Landon. Nous pouvons être amis, nous pouvons nous voir. Mais il ne faut pas m’aimer.
– Pourquoi ? me suis-je écrié d’une voix rauque sans rien y comprendre.
– Parce que je suis très malade, Landon, a-t-elle dit d’une toute petite voix.
Je m’y attendais si peu que je n’ai pas saisi le sens de ses paroles.
– Et alors ? Tu prendras quelques jours …
Un sourire triste s’est dessiné sur son visage et j’ai compris brutalement ce qu’elle tentait de m’expliquer. Sans me quitter des yeux, elle a alors prononcé les mots qui m’ont transpercé le cœur :
– Je vais mourir, Landon.
Commenter  J’apprécie          60
Pour limiter la souffrance, je limite mes réponses. Certains jours, elle ne sait même pas qu'elle a des enfants, ni que nous sommes mariés.
Commenter  J’apprécie          60
N'avait-il pas compris qu'elle faisait peu de cas de l'argent et de la célébrité ? Les magasins, les spectacles, ou la fait de pouvoir acheter des plats thaïlandais au milieu de la nuit, ne pesait pas lourd dans la balance. Elle avait une autre conception de l'existence. Être ensemble, se promener main dans la main, parler tranquillement en admirant le coucher du soleil, c'était cela la vie. Rien de spectaculaire, mais que souhaiter de mieux ?
Commenter  J’apprécie          60
Ces choses-là se produisent quand on mûrit. On apprend à mieux se connaître et on s'aperçoit que les gens que nous avons connus ont un autre regard. On garde d'excellents souvenirs mais chacun poursuit son chemin.
Commenter  J’apprécie          60
En guise de réponse, Will fit un pas vers elle, et la suite se déroula si vite que ça défiait toute logique... L'instant d'avant il se tenait à un mètre d'elle, et celui d'après il s'avançait et l'attirait à lui pour l'embrasser. Ses lèvres se révélaient d'une douceur incroyable. C'était peut-être dû à l'effet de surprise, mais elle lui rendit son baiser.
Commenter  J’apprécie          60
Le lendemain, je suis passé la prendre à l'heure pile, heureux d'admirer se cheveux en liberté. Et comme promis, elle portait le pull que je lui avais offert.
Commenter  J’apprécie          60



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Nicholas Sparks Voir plus

Quiz Voir plus

Chemins croisés de Nicholas Sparks

Comment s'appelle le vieil homme dans l'histoire ?

David
Luke
Ira
Frank

10 questions
12 lecteurs ont répondu
Thème : Chemins croisés de Nicholas SparksCréer un quiz sur cet auteur

{* *}