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Critiques de Philip-José Farmer (238)
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Comme une bête

Wouh! Une autre lecture motivée par la critique de l'amie Zazaone, et en voilà une lecture qu'elle est loin de ce à quoi je m'attendais.

Nous voilà donc plongés dans un pastiche de hardboiled fantastico-érotique en technicolor, avec une exploitation de la clique de stéréotypes mythologiques habituelle (vampires, loups-garous, femmes-porcs et j'en passe et des meilleures!) à la fois drôle et originale.

Bon, la traduction française (impossible de trouver la V.O. neuve, en rupture, ou d'occase à prix raisonnable) est assez désuette mais en fin de compte, ça colle parfaitement au cadre.

Bref, je suis sûre que Farmer avait tout un tas de choses intéressantes à transmettre dans ce roman, mais personnellement, j'ai passé un excellent moment entre rire et horreur à suivre les aventures érotiques d'un détective privé parachuté au beau milieu d'un incroyable "snuff movie", dans les brumes toxiques d'une Los Angeles en bout de course.

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Les amants étrangers

Est-ce un roman de science-fiction ou une manière détournée de faire passer un message politique lourd?

Si c'est la deuxième option, alors l'ouvrage de Farmer est digne d'intérêt; sa manière d'aborder la question de l'attirance et de la relation (dans sa composante sexuelle) avec une autre espèce est très pertinente et on est assez déboussolé de la manière qu'il a de décrire un monde extraterrestre peuplé de jolis extraterrestre. La 2e partie du roman est à cet égard vraiment très intéressante.

Mais si ce roman se veut un roman de science fiction supposé nous embarqué dans un autre monde, dans un autre possible, sans nous prendre pour des lecteurs consommateurs, alors c'est raté car ce n'est pas le meilleur ouvrage de science fiction, loin s'en faut.

Question de point de vue.

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Deux faucons de l'autre terre

Un livre très agréable à lire, un plaisir de retrouver cet auteur. Les personnages sont bien dépeints, on s'y attache facilement. Un livre qui montre l'importance de la technologie sur les civilisations. Dans cet ouvrage, l'homme reste l'homme quel que soit le monde, avec ses qualités et ses défauts, ce qui parfois peut être dérangeant ou plaisant.
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La saga des hommes-dieux, tome 6 : Plus for..

Nous voici à la fin de la saga : la couleur est rouge :Orc du même nom contre le rouquin Kickaha ! Le grand méchant a décidé de tout remettre à zéro en éradiquant les mondes des Thoans pour leur substituer le sien propre. Très grosse baston car Farmer sort de son chapeau de nouveaux protagonistes dont un Khringdiz (ceux qui créèrent les Thoans et furent dégommés en remerciement par leur progéniture (Procédé courant dans les familles divines ,voir Chronos et Zeus).Bouquet final farmérien . Cependant je suis bien déçu de n'avoir pas vu réapparaître Jadawin et Briséis ... disparus dans les poubelles de l'histoire ou les méandres du cerveau de l'auteur.
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La saga des hommes-dieux, tome 4 : Les Murs..

Changement de décor dans ce quatrième tome de la saga :retour à la terre ! Non Kickaha et Anania ne se mettent pas à planter des légumes en Ardèche ,mais leur poursuite du dernier voleur d'âme et du couple Jadawin/Briseis les a ramené sous le ciel bleu de Gaïa , la nôtre.Quoi que ...quelques révélations vont mettre à mal l'orgueil terrien..De plus le couple infernal va se trouver aux prises avec Orc le Rouge et Urthona tontons flingueurs de chez les hommes dieux .Que d'imagination!
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Comme une bête

À Los Angeles, Harald Childe, détective privé, a perdu de vue son associé Matthieu Colben, disparu mystérieusement alors qu’il enquêtait sur une banale affaire d’adultère. La police lui fait visionner un film d’amateur que quelqu’un lui a envoyé. Il y voit avec horreur la mort ou plutôt l’exécution de Colben dans une sorte de rituel sexuel fort peu ragoûtant. L’inspecteur Bruin, sorte de gros ours mal léché assez indifférent à la souffrance humaine, est chargé du dossier. Mais cette affaire semble des plus délicates à élucider. Un spécialiste de l’étrange et du paranormal finit par orienter Childe sur un riche original possédant une immense propriété dotée de rien moins que de deux murs d’enceinte…

« Comme une bête » est un roman – premier d’une trilogie – assez difficile à classer vu qu’il se trouve aux limites du fantastique, de l’horreur et du pornographique. Les scènes de sexe sont nombreuses et fort répétitives. Le contraire eut été étonnant. Certaines sont si poussées qu’elles relèvent quasiment de la parodie voire de la farce potache. L’horreur est également bien présente avec toute une galerie de monstres dont le lecteur ne sait pas trop d’où ils sortent : fantômes, goules et surtout une femme avec un très long serpent lui sortant du sexe pour finir dans la bouche. La présence de vampires venus de Transylvanie et d’un lointain descendant du comte Dracula ajoute un côté fantastique à cette histoire au bout du compte assez simple pour ne pas dire simpliste. Dans sa post-face, Theodore Sturgeon attire à très juste raison l’attention des lecteurs sur le côté fable et même conte philosophique de ce bouquin. Le style n’est ni vif, ni léger, un tantinet trop descriptif et presque tirant à la ligne à notre goût. Pas le meilleur de cet auteur.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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Le Fleuve de l'éternité, tome 1 : Le Monde du f..

L'idée originale de ressusciter l'humanité entière au bord d'un fleuve permettait d'infinis développements, avec Philip Jose Farmer à la barre le projet promettait énormément.



Dans un premier temps, le pari fut tenu mais progressivement, peut-être trop haché par l'agaçante arythmie de la politique éditoriale des éditions J'ai Lu, "Le Fleuve de l'Eternité" s'embourba, s'égara, phagocyté par les trop nombreuses histoires dans l'histoire mettant en scènes les personnages favoris de l'auteur dans d'innombrables et dispensables péripéties secondaires.



Trop de bavardages, trop de dispersions et le final tant attendu m'avait passablement frustré.



Farmer ne m'a pas véritablement déçu avec son "Fleuve de l'Eternité" mais je lui préfère la "Saga des hommes dieux".
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Le Fleuve de l'éternité, tome 1 : Le Monde du f..

Ils étaient morts et les voilà vivants au bord d’un fleuve sans fin. Tout ce que la Terre a porté d’êtres vivants vient d’être ressuscité, époques et pays confondus. « Ceux qui ont nié l’au-delà croient qu’ils se retrouvent en enfer pour l’avoir nié. Ceux qui se croient au paradis sont choqués, j’imagine, de se retrouver tout nus. » (p. 33) Parmi eux, Richard Francis Burton, le célèbre explorateur britannique, est bien décidé à comprendre ce qui s’est passé et qui les a fait revenir. Avec une poignée de ressuscités, il entreprend de remonter le fleuve jusqu’à sa source. Son périple sera émaillé de rencontres plus ou moins plaisantes, de découvertes majeures et de questionnements sans cesse renouvelés. « Finalement, toutes ces cultures en présence dessinent peut-être la Civilisation du Fleuve, ou plutôt les civilisations du Fleuve. » (p. 233)



Le monde du Fleuve est le premier tome d’une fresque en cinq volumes. Je vais m’en tenir là pour le moment. L’histoire n’est pas déplaisante, mais elle a vieilli : la science-fiction écrite dans les années 1970 est souvent très touchante à découvrir, car elle fantasmait le futur – qui est notre présent – bien au-delà du raisonnable. Par ailleurs, l’auteur a trop souvent recours à des processus de répétition qui alourdissent le texte. Je comprends le succès de ce texte à sa sortie, mais je suis loin d’être aussi enthousiaste que les lecteurs de l’époque. Blasée, moi ?

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La nuit de la lumière

Une excellente surprise pour moi, après la déception du "monde du fleuve".

Un roman plein d'action, mais aussi de questionnements métaphysiques et religieux, d'une profondeur inouïe, et pourtant très clair. C'est un livre foisonnant d'idées !

Le héros, John Carmody, est au début du livre un affreux bonhomme mandaté par une Eglise Catholique Terrienne très inquiète pour se renseigner (et régler le problème "brutalement" au besoin, ce qu'il va faire) sur la religion "Boontiste" (et il y a de quoi être inquiet pour les prêtres cathos vu que sur "la joie de Dante", le fils de la déesse s'incarne réellement). Mais Carmody, même s'il accomplit sa mission, ressortira du séjour sur la planète "la joie de Dante" profondément changé.

La fin, ouverte, qui m'aurait agacée ailleurs, m’apparaît ici comme juste, il ne peut y avoir de réponse simple.
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Le Fleuve de l'éternité, tome 4 : Le Labyrinthe..

Tous les mystères du fleuve sont dans ce tome dévoilés, ainsi que les raisons pour lesquelles les éthiques ont ressuscité l'humanité. Tous les fils de l'intrigue sont réunis pour atteindre l'épilogue, qui est, malgré tout, un peu décevant.
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Le Fleuve de l'éternité, tome 5 : Les Dieux du ..

Philip José Farmer clôture sa saga monumentale, « Le Fleuve de l'éternité », avec « Les Dieux du Fleuve », un tome qui parvient à apporter une conclusion satisfaisante à cette épopée complexe et riche.



Si les deux premiers volumes de la série m'avaient captivée par leur originalité et leur exploration de l'histoire humaine à travers les âges, les tomes 3 et 4 m'avaient laissée avec un sentiment de confusion, en partie à cause de leur longueur et de leur dispersion narrative. Cependant, ce cinquième et dernier opus réussit à rassembler les éléments épars de l'histoire pour offrir un épilogue cohérent et gratifiant à l'ensemble.



L'un des aspects les plus appréciables de ce tome est l'approfondissement de la vie terrestre et de celle sur les rives du fleuve des personnages principaux. Farmer nous permet de mieux comprendre leurs motivations, leurs évolutions personnelles et les conséquences de leurs actions à travers les siècles. Cela ajoute une dimension humaine et émotionnelle à une série déjà riche en concepts.



Bien que le récit comporte toujours des digressions, celles-ci s'avèrent plus intéressantes dans ce volume. L'idée d'un ordinateur tout-puissant détenant le savoir de l'humanité soulève des questions fascinantes sur le contrôle, la connaissance et la responsabilité. L'exploration de ces thèmes, ainsi que la quête pour découvrir l'identité réelle de Jack l'Éventreur, offre des moments captivants de réflexion.



Un point fort de ce dernier tome est également la nouvelle au début du roman. Elle fonctionne comme une introduction dynamique et engageante, permettant au lecteur de se réimmerger dans l'univers complexe de la série.



En résumé, « Les Dieux du Fleuve » parviennent à redonner de l'élan à la série « Le Fleuve de l'éternité ». Bien qu'il y ait toujours quelques longueurs, cet ultime tome offre un épilogue satisfaisant à une saga qui a oscillé entre l'excellence et la perplexité. Si la série avait été ponctuée de plus de récits courts tels que la première partie de ce volume, et un peu moins de développements psychologiques parfois redondants, elle aurait pu être un véritable coup de cœur. Malgré cela, j'ai passé un excellent moment de lecture avec ces ouvrages uniques et originaux offerts par l'auteur.
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Le Fleuve de l'éternité, tome 2 : Le Bateau fab..

Ce deuxième tome continue d’exploiter l’idée géniale du « fleuve de l’éternité », sans trop s’essouffler.



J’ai même trouvé qu’il était un cran au dessus du premier. Il y a un peu moins de tentative de justification de cet univers, et un peu plus de situations épiques.



Si le premier tome vous a intéressé, partez sans hésiter sur cette suite de cette grande saga (trop méconnue à mon avis).

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Les amants étrangers

Un régime façon « servante écarlate », l’hypocrisie d’une société conduite par la religion, conditionnement dès le plus jeune âge, manipulation des masses… Le tout à la sauce SF post-apocalyptique.

Pas juste après l’apocalypse mais quelques siècles plus tard, avec une reconfiguration des puissances mondiales.

Et comme ils disent dans la chanson : « Toi et moi, dans tout ça … »



Le texte est fluide, ça se lit très vite ! J’ai passé un très bon moment avec ce roman, lu en 3 jours ! J’ai bien aimé les références à la linguistique, science qui m’est totalement inconnue.





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Le Fleuve de l'éternité, tome 4 : Le Labyrinthe..

Une longue, parfois très (trop?) longue, saga basée sur une idée de départ assez fantastique: toute l'humanité réunie le long d'un long, long, long (plusieurs millions de kilomètres) fleuve sur une planète inconnue. On y retrouve ainsi Mark Twain, Alice (celle de Lewis Caroll), Goering (entre autres), en quête du "pourquoi sommes nous ici ?". Un classique de la science-fiction, à découvrir si vous n'avez pas peur de sa longueur.
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Le Fleuve de l'éternité, tome 5 : Les Dieux du ..

Une longue, parfois très (trop?) longue, saga basée sur une idée de départ assez fantastique: toute l'humanité réunie le long d'un long, long, long (plusieurs millions de kilomètres) fleuve sur une planète inconnue. On y retrouve ainsi Mark Twain, Alice (celle de Lewis Caroll), Goering (entre autres), en quête du "pourquoi sommes nous ici ?". Un classique de la science-fiction, à découvrir si vous n'avez pas peur de sa longueur.
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Le Fleuve de l'éternité, tome 3 : Le Noir dessein

Une longue, parfois très (trop?) longue, saga basée sur une idée de départ assez fantastique: toute l'humanité réunie le long d'un long, long, long (plusieurs millions de kilomètres) fleuve sur une planète inconnue. On y retrouve ainsi Mark Twain, Alice (celle de Lewis Caroll), Goering (entre autres), en quête du "pourquoi sommes nous ici ?". Un classique de la science-fiction, à découvrir si vous n'avez pas peur de sa longueur.
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Le Fleuve de l'éternité, tome 1 : Le Monde du f..

Après leur mort, des millions d’humains de toutes générations et de toutes provenances se réveillent complètement nus sur les rives d’un fleuve immense serpentant sur une planète inconnue. Il y a là Richard Burton, célèbre explorateur britannique du XIXè siècle, Peter Frigate, son ami, Lev Ruach, rescapé de l’Holocauste, Mrs Alice Heargraves, jolie lady de l’époque victorienne, Loghu, la primitive, un Néanderthalien doté d’une force hors norme et d’une fidélité à toutes épreuves et beaucoup d’autres, tous circoncis, tous sans poils ni barbe ni cheveux et tous miraculeusement revenus dans l’intégrité physique de leurs jeunes années. De gros champignons percés de trous distribuent de la nourriture quand on leur présente un récipient appelé « graal », mais aussi du tabac, de l’alcool et même des chewing-gums contenant une puissante drogue. La nuit venue, son effet aphrodisiaque exacerbe l’instinct sexuel de celles et ceux qui l’ont mâchée. Hommes et femmes se ruent les uns sur les autres pour des accouplements aussi violents qu’orgiaques. Les passions déchaînées amènent meurtres et règlements de comptes. Tous ces gens sont-ils arrivés au paradis ou en enfer ? Qui a organisé cette étrange résurrection ? Comment Burton et ses amis vont-ils pouvoir survivre dans un monde aussi étrange ?

« Le monde du fleuve » est le premier tome d’une saga de science-fiction à succès qui en compte cinq. L’originalité de l’intrigue tient beaucoup à cette description d’une vie après la mort qui ressemble souvent en pire à celle d’avant. En bon explorateur, Burton n’a qu’une obsession, remonter aux sources du fleuve pour découvrir le fin mot de toute cette histoire. Il ne le trouvera pas, bien évidemment, vu que le suspens doit être maintenu sur toute la durée de la narration. Entre autres péripéties, il croisera plusieurs fois la route d’un certain Hermann Gœring, avatar du célèbre maréchal d’aviation et dignitaire du régime nazi, qui s’évertue à se recréer un petit royaume totalitaire avec esclaves et liquidation des Juifs. Ce monde est dangereux, on y meurt facilement, mais c’est pour très vite revenir dans le circuit. Bien que répertorié dans le registre humoristique, cet ouvrage nous semble surtout philosophique et assez influencé par les idées libertaires de mai 68 (amour libre). La suite qui devrait mettre en scène toutes sortes d’autres personnages historiques méritera toute notre attention. Sans crier au « chef-d’œuvre », il s’agit bien de science-fiction intelligente et de très belle qualité à conseiller aux amateurs du genre.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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La Saga des hommes-dieux, tome 5 : Le Monde..

Saga des hommes-dieux ,cinquième! On retrouve la fine équipe (2 humains et 3 demi dieux ) de la fin des "Murs de la terre" projetés sur le monde fabriqué par l'un d'entre eux Urthona. Lequel aurait besoin d'une sérieuse thérapie tant sa création est démente: un mix de Jérome Bosch et Escher en mutation constante . Et c'est dans ce foutoir que s'engage la course à celui qui trouvera la sortie ,dans le palais volant d'Urthona. Bien du plaisir pour les concurrents ...et pour le lecteur.
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La saga des hommes-dieux, tome 2 : Les port..

On retrouve Robert Wolf devenu Jadawin l'homme dieu ,toujours aussi dieu mais plus homme avec sa belle Briséis.Et justement on la lui kidnappe (ça arrive souvent à Conan ,ou à John Carter aussi) . Il paraît que c'est le pater familias Urizen qui a manigancé ça pour défier son fiston et aussi tout le reste de la fratrie .Famille à côté de qui les Atrides sont des Bisounours! Encore un excellent cocktail de science fiction et fan tasy riche en rebondissements et bagarres.
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L'odyssée Verth

Un livre qui, malgré ses nombreuses qualités, n'a réussi qu'à moitié me plaire.



L'écriture est de bonne qualité. Les personnages y sont bien dépeints, surtout la psychologie du principal et de sa femme. L'histoire est bien écrite mais m'a peu emballé. Le monde où elle évolue est crédible, mais il n'est pas assez exploité et il reste trop de parts d'ombre à l'arrivée. La fin par contre est une catastrophe, trop prévisible, trop vite amenée, sans rebondissement aucun, bref bâclée.



En conclusion, un livre en demi-teinte, qui se laisse lire, avec de bonnes idées, mais qui au final n'aura pas réussi à me faire vibrer. Je n'ai aucun doute que certains y trouveront leur compte, mais ce ne fut pas mon cas, surtout avec une telle fin.

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