Expédition de sabotage derrière les lignes ennemies, c’est encore une resucée de scénario déjà vu mille fois, mais il y a du rythme, des rebondissements, de l’action, une pointe d’humour, ça se lit non sans déplaisir. Dans cette histoire, les personnages de Bryan et Tripps passent à la trappe pour que les héros deviennent un binôme, leurs antagonismes boostent leur aventures, l’un est lâche, l’autre est téméraire, Cauvin a trouvé ses personnages pour ne plus les quitter. Il y a toujours les faiblesses de la série, humour répétitif, et repompage d’idées déjà vues au cinéma ou dans d’autres BD, mais l’action, le rythme et le ton humoristique maintiennent la série dans un niveau très correct. Les tirades de Blutch s’étoffent pour donner un peu plus de consistance aux personnages. Même si l’intrigue n’est pas très originale, c’est une lecture agréable et sympathique.
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cupidon charmant petit ange 😇 et chargé d, unir les amoureux 😍. hélas ses flèches ne vont pas toujours ou il faut.
pour notre bonheur.
une bd pleine de tendresse. et d, humour. pour toute la famille 👪.👏
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Je ne connaissais absolument pas la série Pierre Tombal avant d'avoir ce tome entre mes petites mains.
J'ai d'ailleurs mis quelques secondes avant de comprendre le jeu de mots sur le nom du héros...Bah oui, suis un peu lente quelquefois...mais comme je n’avais pas capté tout de suite que les histoires de cette série se passaient souvent dans un cimetière et que le héros était le gardien du dit cimetière...
Un héros sympathique, philosophe, qui s'attache à ses pensionnaires qui pourtant lui en font voir de toutes les couleurs....
Je me suis vue sourire à la lecture de certains gags, sans pour autant trouver cela extraordinaire...
Pas mal, mais je pense qu'au bout de quelques volumes, on doit rapidement tourner en rond...
Cela ne vaut évidemment pas un bon vieux Gaston...
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Photographier la guerre dans toute son horreur n'aide pas vraiment au recrutement de nouveaux soldats... Pourquoi alors ne pas "bidonner" un tantinet les clichés ? La mission est ainsi confiée au photographe Sutton, avec , à sa disposition, la compagnie de Chesterfield et Blutch pour mettre en scène cette "comédie".
Tome 39 des tuniques bleues, basé sur une idée plutôt bonne, mais pas forcément bien exploitée à mon sens (l'histoire devient vite répétitive au bout d'un moment).
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Nos célèbres tuniques bleues sont réquisitionnées pour aller récupérer leurs nouvelles montures, bien originales. Si la BD est toujours pleine d'humour, l'histoire elle manque un peu de saveur et traine en longueur, ce qui n'en fait pas l'une des meilleures histoires de la série .
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Dans cet album, la 4ème des Tuniques bleues, en pleine guerre de sécession, les troupes nordistes et confédérées n'arrivent plus à se faire la guerre "entre gens civilisés", sans cesse tiraillées par les "sauvages (les Commanches et les Mexicains) qui grouillent dans la région.
Pour y remédier, Chesterfield et Blutch sont victime d'une comédie: on fait semblant de les exclure de l'armée pour qu'ils intègrent les rangs des hors la loi et finissent par localiser le repère de leurs ennemis.
Cet album est assez confus au niveau du scénario, on n'y comprend pas grand chose, mais heureusement, les gags et bons mots continuent à fuser et faire mouche, Blutch est toujours autant obsédé par la désertion et Chesterfield par l'honneur et l'amour de l'uniforme.
Ca bouge, il y a de l'humour, de l'amitié. Ca se laisse lire!
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Quelques années avant qu'une autre idole des cours de récréation, le suisse Titeuf, n'apparaisse, le belge Cédric faisait déjà son entrée dans le monde de la bande dessinée franco-belge.
À revenir aux origines de ce personnage, une grande déception générale m'a envahi. Le rythme est déjà loin d'être au rendez-vous et ce n'est pas l'humour qui rattrape le tout ici, car même si certains passages feront largement sourire, d'autres appelleront plutôt la pitié ou l'incompréhension : finalement, comment comprendre que tout le monde se moque cruellement et méchamment de tout le monde dans cette famille ? Les rires forcés ne font rire personne selon moi. Ajoutons à cela le choix fait des historiettes pour aborder bon nombre de situations différentes, choix qui est sûrement défendable, mais qui, pour moi encore une fois, n'est pas très attirant pour une bande dessinée.
Heureusement, on retrouve les ingrédients habituels (et obligés) de ce genre littéraire : le garnement à la maison et le cancre à l'école, les problèmes familiaux qu'ils soient relationnels (le grand-père est malgré tout impayable !) ou professionnels (le "vendeur de carpettes" est toujours sujet à discussions caustiques...), l'amour naissant, etc. D'ailleurs, l'élément déclencheur, avec la venue d'une petite nouvelle à l'école censée faire chavirer le cœur de notre jeune héros, tient finalement peu de place ici, et ce n'est finalement pas si mal, car ces Premières Classes de Cédric posent le contexte qui sera développé dans les albums suivants et, malgré tous ces défauts originels, la série vaut encore aujourd'hui son pesant de "comédie sociale à travers les yeux de la jeunesse"...
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Ce quarante deuxième tome d'une série qui peine à se renouveler n'apporte rien de bien nouveau; les gags présentés sentent quelque peu le réchauffé, seuls les dialogues ont été adaptés à l'époque même si parfois ils semblent être nouveaux il n'en est rien car il ne suffit pas d'écrire que maintenant les choses ont changées pour que cela devienne une vérité.
Reste peut être quelques saynètes amusantes pour qui ne connaît pas le milieu de l'intérieur ( sans jeu de mot)pour les autres, c'est loin d'être une sinécure.
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L'armée du général Alexander fait face à une puissante résistance confédérée, et l'issue de la bataille en est fortement affectée.
Mais une idée vient de faire son chemin, celle de passer derrière les lignes ennemies, et d'inciter les esclaves, en grand nombre, à se révolter et de facto, détourner l'attention des sudistes, tout en réduisant leurs effectifs.
La mission est confiée à nos deux héros préférés, flanqués d'un soldat nordiste noir, "Black Face", chargé de convaincre les siens.
Mais petit souci, Black Face a autant de ressentiment pour les sudistes que pour les nordistes.
Le plan risque donc de réserver quelques surprises...
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La dernière charge de cavalerie, même composée de seulement trois cavaliers a occupé les confédérés un bon moment, mais le capitaine Starck a été fait prisonnier et le sergent Chesterfield a eu beaucoup de chances de s'en sortir san dégâts. Quant à Blutch, il se remet de la chute inopinée de son cheval.
L'armée de l'Union se retrouve ainsi sans cavalerie, ce qui peut causer beaucoup de problèmes aux unités d'infanterie ou d'artillerie, privées d'un support rapide.
Mais la solution à ce problème pourrait bien venir de France.
L'Union possède en effet un ballon, qui pourrait servir pour anticiper les mouvements de troupes confédérés. Encore faut-il trouver deux volontaires pour y prendre place.
La chèvre qui a servi de cobaye s'est écrasée au sol après une chute de plus de trente mètres, sans que le ballon en soi directement responsable.
Mais cela a été suffisant pour que personne n'ose mettre un pied dans la nacelle.
Mais il reste bien deux cavaliers sans commandant...
La mission est pour le sergent Chesterfield et le caporal Blutch !
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C'est l'un des livres que mon fils a reçu en cadeau pour son anniversaire, de la part de son copain avec qui il échange assez souvent ses lectures, et qui lui a d'ailleurs fait découvrir cette série d'albums.
Dans ce tome, on a droit à plusieurs versions de la mort de Blutch, mais qui toujours meurt en héros. Cet album met en avant les sentiments et la relation que les deux protagonistes principaux entretiennent, tergiversant entre amitié et chamailleries. Je l'ai trouvé très bien construit, et la chute est drôle à souhait.
Je lui ai trouvé également un côté plutôt ironique : nous sommes du côté des Nordistes, et devinez qui creusent les tombes et enterrent les morts ? Et oui, toute une ribambelle de Noirs, et uniquement eux. Au point d'avoir eu un doute (ce n'est que le second album que je lis de cette série) et d'aller vérifier sur le net que je ne me trouvais pas du côté des Sudistes...
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C’est un tome que je trouve plutôt pas mal.
Les deux armées ayant subi tellement de pertes lors de la dernière bataille, qu’elles se retirent en arrière pour se renforcer. Les nordistes décident de laisser leurs blessés dans le village de Rumberley, qui est un village confédéré, mais peuplé uniquement de femmes, d’enfants et de vieux. C’est l’occasion de confronter armée diminuée et population civile hostile. Dans cet épisode, il y a de la tension, de l’humour (essentiellement burlesque), de l’action et du rythme. Ça se lit avec un certain plaisir.
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Humour gentil d'un gamin espiègle... comme Boule, sans Bill mais avec un grand-père, l'humour de cette série reste pour moi en retrait de celle de Roba. sur cet opus, les plus drôles des gags sont ceux qui se passent à la fête de l'école. Ça détend, on sourit, c'est vite lu. C'est plutôt bien observé, assez juste, il y a beaucoup de tendresse et je retrouve l'ambiance de l'enfance insouciante.
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Blutch et Chesterfield vont aller à la traque aux déserteurs, cela va les amener un peu trop loin de leurs lignes et vont se retrouver prisonniers dans le camp adverse. De l’action, des retournements de situation, une pointe d’humour, avec un dessin classique dans l’esprit du magazine Spirou, ça ce lit avec un certain plaisir, sans être révolutionnaire. Il s’agit du tome 50, il y en a encore beaucoup que je n’ai jamais lu, mais je constate que la qualité se maintient plutôt bien, même si les gags et les situations sont assez répétitifs, plus de 60 tomes dans le même esprit n’évite certainement pas les redites (combien de fois Blutch et Chesterfield se font capturer puis s’échappent, et combien y-a-t-il de répliques sur la lâcheté de Blutch ?). En lire un de temps en temps n’est pas désagréable, et cet épisode est assez réussi.
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Tome 19, de la série.
Dans cet album, on retrouve 10 histoires plus ou moins longues cette fois encore :
- Fichez-moi la paix ! ;
- Chaud ! Chaud ! Chaud ! ;
- Vu à la télé… ;
- Le meilleur ami de l’homme ;
- Vrai ou faux ? ;
- Mise au parfum ;
- Gelée de groseille ;
- Artiste en herbe ;
- L’homme invisible ;
- L’important, c’est la rose.
Cédric ne change pas est reste le petit garçon qui veut plaire à Chen. Son grand-père, le pauvre, en prend souvent plein les dents, qui lui restent… Une histoire plus émouvante sur sa grand-mère et son fidèle petit chien. Une plus drôle sur la canicule. Bref, il y en a pour tous les goûts.
Bientôt la suite des aventures de CédLic.
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Cupidon, divinité grecque de l'amour, est ici le bras droit de saint Pierre (cherchez l'erreur) et répond aux appels souvent désespérés des célibataires en mal d'amour.
S'en suit une série de gags se terminant généralement mal pour les protagonistes de la relation ou pour Cupidon lui-même.
C'est un peu lourd, c'est parfois un peu drôle. Mais, dans l'ensemble, j'ai trouvé ça sans relief. Cauvin tente une critique des relations modernes mais sans réelle saveur.
Le dessin de Malik n'est pas à mon gout mais fait le job, sans plus.
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une aventure sympathique
avec beaucoup d, humour
qui en fait un livre agréable à lire.👍
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lady o et de retour, et Capone va en faire les frais.
Eliot va faire appel à jack et
sammy pour lui mettre la main dessus.la prohibition
vu par cauvin c'est pas triste. une bonne parodie
des incorruptibles, et d, al
Capone. du grand spectacle divertissant.pour toute la famille.👍
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C'est la deuxième fois que je lis une bande-dessinée des aventures de Pierre Tombal notre fameux fossoyeur et j'ai pris plus de plaisir que pendant la lecture du précédent tome, l'humour noir présent tout au long de cet album m'a souvent fait sourire et sans être une grande adepte de cette série, je tenterai encore très certainement d'autres tomes de cette série.
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