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Critiques de Ruta Sepetys (871)
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Hôtel Castellana

Coup de cœur !!!

2ème livre de Ruta Sepetys que je lis. J'avais déjà beaucoup aimé Le sel de nos larmes, mais je pense avoir encore préféré Hôtel Castellana !

La toile de fond historique est passionnante et Ruta Sepetys a, comme à son habitude semble-t-il, fourni un travail de recherche colossal pour parvenir à un tel résultat.

L'intrigue romanesque est très justement intégrée dans ce contexte.

L'équilibre entre les deux est parfait.

Je suis bien contente d'aller souvent fouiner dans les rayons ado de ma bibliothèque, sinon je serai passée à côté de cette pépite.
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Big Easy

Encore une fois ravie par un roman de Ruta Sepetys !

Nous découvrons dans Big Easy Josie Moraine. A l'aube de ses 18 ans, elle n'a pas eu une vie facile : fille d'une prostituée qui ne lui porte guère d'affection et d'attention, ne connaissant pas son père, Josie a dû se prendre en main seule dès ses 12 ans. Faisant le ménage au petit jour dans la maison close où travaille sa mère, au service de la charismatique Willie et travaillant dans la librairie de son ami Patrick le jour, Josie entretient un rêve : entrer dans la prestigieuse université de Smith.

Je prends toujours grand plaisir à lire la plume de Ruta Sepetys qui nous promène ici à la Nouvelle-Orleans dans les années 50. Une lecture tout à fait plaisante et divertissante, bien que l'émotion soit moins présente que dans ses précédents romans (Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre ou Le sel de nos larmes par exemple).
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Le sel de nos larmes

Le sel de nos larmes est un roman avec 4 personnages principaux se déroulant pendant la seconde guerre mondiale.



Nous suivons 4 personnages, 4 origines, 4 destins bouleversés chacun à sa manière par la guerre.



Il nous donne un point de vue différent du point de vue habituel sur ce triste épisode de notre histoire.



Les 4 personnages sont pleins d'humanité et tellement réalistes qu'on se sent proche d'eux. Leurs tristesses nous envahissent car nous aurions pu être l'un d'eux, soutenus tant bien que mal par l'espoir de survivre et par les paroles d'un vieux cordonnier...



Un beau roman (et pas que jeunesse) nous rappelant combien la folie des hommes peut être meurtrière.
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Le sel de nos larmes

C'est simple : les pages se tournent toutes seules !

La formule est connue, mais toujours efficace : un chapitre, très court, par personnage. Le lecteur ne se lasse pas, le rythme de l'action et de la lecture est soutenu.

Alors, tous les personnages ne sont pas logés à la même enseigne. Certains sont plus touchant que d'autres, ont plus d'importance au sein de l'histoire. Mais tous ont leur portrait parfaitement brossé.

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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

J'ai lu un certain nombre d'ouvrages traitant de la seconde guerre mondiale. Ce sont toujours des récits

difficiles et poignants. C'est la toute première fois que je découvre l'auteure Ruta Septys qui nous transporte à travers sa plume dans un univers impitoyable. Celui de Lina jeune Lituanienne de 17 ans, douée pour le dessin et promue à un brillant avenir. Pourtant cette dernière ainsi que tous les membres de sa famille vont être déportés. l'auteure nous décrit avec brio les conditions de déportation, ces hommes et ces femmes sont entassés à l'intérieur de wagons où les conditions de survie sont impitoyables. Ils vont y rester des jours et des jours. Certains vont mourir, les autres vont survivre pour être amenés en camps de concentration. Ils vont y subir des actes de cruauté inimaginable. Certains hauts placés vont essayer de les « acheter » en leur promettant des privilèges. Nous suivons particulièrement la famille de Lina et de son petit frère Jonas, de leur

mère et d'une cousine. Ses personnages sont tous très attachants, ils vont livrer bataille pour ne pas mourir, ils vont connaître la faim, la peur, la maladie… Ruta Septys nous amène avec elle à travers ce long périple. Certains vont être transférées ailleurs. Parce qu'ils n'ont pas voulu coopérer ? parce que leur destin était scellé d'avance en fonction de leur profession ? De leur niveau d'instruction ? Toujours est-il

que j'ai tremblé pour chacun des héros du roman. Quand bien même arriveront-ils à faire partis des

des survivants, comment se reconstruire après avoir vécu une telle horreur.

C'est un roman qui interpelle, qui bouleverse, qui nous fait osciller en tant que lecteur ou lectrice, entre

espoir et désespoir. Est-ce que la lutte acharnée de Lina et des siens leur permettra d'en réchapper. Au fil des pages, je me suis questionnée : Est-ce que tous ces malheureux ne se sont pas demandés s'il ne valait pas

mieux mourir pour échapper à une telle barbarie. Eh bien non, parce que quoi qu'il arrive il reste en chacun

de nous l'instinct de survie.

Un grand bravo à l'auteur qui a su retranscrire tellement d'émotions dans ce très beau roman qui gagne

à être connu.

Malgré un thème très difficile, j'ai énormément aimé cette lecture. C'est pour moi un gros coup de coeur.

Je le conseille vivement même si certaines scènes peuvent choquer mais retracent malheureusement la triste réalité d'une terrible époque. C'est aussi un devoir de mémoire, pour que de génération en génération

nous n'oublions jamais ce qu'il s'est passé jadis. Ce livre c'est aussi un hommage aux victimes et aux

survivants de cette terrible guerre.
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Le sel de nos larmes

Coup de cœur ! Un roman historique exceptionnel ! Une performance majestueuse ! Une rencontre avec une plume fabuleuse !

Alors vous pensez connaitre l’histoire de la Seconde Guerre Mondiale, et bien Ruta Sepetys va vous dévoiler une vérité, un fait divers monstrueux et les dessous de la guerre entre Hitler et Staline. Pour donner aux jeunes adolescents d’apprendre l’histoire, elle a la brillante idée de faire parler 4 voix : Florian, Joana, Emilia et Alfred. Des jeunes qui parleront de leur patrie, de leur vision de la guerre, de leur peur et surtout de leur calvaire et leur espoir qui se trouve être une bateau nommé Wilthelm Gustloff.

Vous avez pleuré pour l’histoire du Titanic, et bien dans Le sel de nos larmes vous allez être meurtri et écœuré par la monstruosité de l’homme.

Ryta Sepetis a fait des grandes recherches pour nous offrir cette histoire vraie en nous rajoutant un peu de fiction car bien entendu nos quatre personnages n’existent pas. Mais on y croit du début jusqu’à la fin. Quand j’ai acheté ce roman je ne m’attendais pas à ce récit surprenant. Je savais juste que l’auteur était plébiscité par les jeunes et que pour son premier roman elle avait eu une médaille par l’académie. Raconter des faits historiques surtout une période éprouvantes pour l’Europe par des voix d’enfants est instructif autant pour un adulte qu’un enfant.

Car dans son roman historique, j’ai appris des choses que j’ignorais complétement. La guerre Staline Hitler pour gagner des terres. Nos quatre personnages sont allemands, prussien, polonais et lituanien et entre eux va naitre une magnifique histoire d’amitié, d’entre aide et d’amour. Nous verrons aussi une image de la jeunesse hitlérienne et leur enrôlement dans cette guerre. Pour ceux qui ont peur de se perdre avec cette guerre de territoire, Ruta Sepetis a une plume simple et fluide. Elle est facile à lire et destiné à tout public.

Franchement j’ai été sensibilisé par ces quatre personnages (même Alfred qui m’a fait de la peine au final). Emilia est celle qui m’a le plus émue et j’en ai eu les larmes aux yeux. Impossible de lâcher ce roman jusqu’à la dernière ligne et merci à l’auteure de nous avoir expliqué comment elle a construit son roman historique.

Ruta Sepetis est une auteure que je vais suivre et je vais foncer sur son premier roman Ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre qu’il parait est exceptionnel. Je conseille aussi au lecteur de lire sa biographie pour comprendre son choix d’écrire ce genre de roman. Elle sait de quoi elle parle.

Donc vous l’aurais compris, un immense coup de cœur !! Une pépite d’or et c’est bien dommage qu’on nous apprend pas l’histoire de cette manière-là car c’est bien plus ludique.

Pour je n’arrive pas à trouver des mots aussi forts pour démontrer mon admiration à ce chef d’œuvre !! WHAOUHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

Le récit de Lina, jeune lituanienne de 15 ans, qui du jour au lendemain se retrouve déportée en Sibérie avec toute sa famille. Après un voyage épouvantable dans des conditions inhumaines, les déportés débarquent au fin fond de la Sibérie dans un camp de travail soviétique. Livrés à eux-mêmes, brutalisés, Lina et sa famille n'ont plus que l'espoir de retrouver leur liberté pour survivre.



Un très beau roman, émouvant, qui aborde la période du stalinisme, de la persécution par la police secrète soviétique, et des goulags. On oublie trop souvent les nombreuses victimes déportées en Sibérie par la volonté d'un dictateur communiste.
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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

Tout d'abord, dans le livre de Ruta Sepetys, on est absorbé par l'histoire. J'ai adoré ce livre car le roman était captivant avec l'histoire tragique de la Russie. Les nombreux dialogues du livre permettent à l'action d'avancer tout en apportant des informations sur les sentiments et les agissements des personnages. Grâce aux quelques mots en russe, l'histoire est plus vivante. Mais la fin de l'histoire arrive trop vite et on attend une suite. Tellement que j'ai adoré ce livre j'ai voulu voter pour lui.
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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

Voilà trois jours que j’essaye d’écrire cette chronique. Pas que je n’ai pas aimé cette lecture, au contraire coup de coeur pour ce livre bouleversant!



Même si ce roman est une fiction, il est inspiré d'événements réels. De faits peu connus du grand public je pense. Si la déportation effectuée par l’Allemagne nazie m’est familière, la déportation des peuples lettons, lituaniens et estoniens m’était totalement inconnue avant cette lecture. Et j’ai découvert à ma grande horreur que la Russie n’a rien à envier à l’Allemagne. Déportations politiques, traitements inhumains,... Bref, un roman qui ne prête pas à rire. Pour tout vous dire, j’ai beaucoup pleuré au cours de ma lecture, et ce dès le début.



C’est un roman bouleversant, qui vous prend aux tripes et qui vous émeut. Mais c’est aussi un roman qui montre le courage de tout un peuple face à l’oppresseur. Ils ont résisté à leur manière, sans jamais perdre leur identité et leur dignité. Alors que leur calvaire a duré des années.



C’est un roman que je vous recommande sans hésitez. Il est à lire. Ruta Sepetys nous livre ici une histoire magnifique. C’est un bel hommage à ce peuple dont elle est originaire.



Le style est fluide. Les pages défilent malgré le thème.



Très grand coup de coeur!!


Lien : http://mondedemara.canalblog..
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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

14 juin 1941, Lituanie.







Lina, 15 ans, a devant elle un avenir prometteur grâce à ses talents de dessinatrice, quand elle, sa mère et son frère Jonas sont arrêtés par la police secrète sovietique ( NKVD) et déportés dans des wagons à bestiaux surchargés , sans nourriture, sans intimité, sans hygiène . Son père, doyen de l'université est quant à lui dans un autre train, vers une autre destination. Au moment de se séparer celui-ci tente de redonner confiance à Lina en lui disant" avec tes dessins tu peux m'aider à te retrouver je saurai que c'est toi" ".



"Au départ du train il y a un prêtre et " tandis que notre train commençait à s'éloigner, (il) l'aspergea en faisant le signe de croix. Il administrait les derniers sacrements".







Ils sont tout d'abord déportés vers l'Altaï après 6 horribles semaines de voyage :"On nous assigna une hutte miteuse, tout au long de l'exploitation (avec) deux ou trois gamelles crasseuses, une paillasse posée le long du mur (et) en guise de fenêtres deux minuscules carreaux faits de morceaux de verre maintenus par du mastic. (...) Nous nous trouvions dans un kolkhoze une ferme agricole collective et j'étais vouée à cultiver des betteraves". Des jours de privation, d'humiliation, sans nouvelles de son père avant d'être à nouveau déportés vers le Pôle Nord où la survie va encore être plus dure.







C'est un roman bouleversant et on n'en ressort pas indemne. Comment en effet ne pas être bouleversée par ce qui arrive aux personnages du roman , qui même s'il est fictif s'appuit énormément sur l'Histoire et l'histoire personnelle de l'auteur . Comment ne pas être émue par Lina, qui, grâce à ses dessins, et à l'instar de Munch qu'elle admire, lui permet de pousser ses propres cris... de haine, de rage, de peur, d'espoir, d'amour, d'humanité.







La couverture est magnifique et les cartes au début du roman nous livrent l'étendue de l'enfer de Lina en terme de distances mais aussi de temps.



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Hôtel Castellana

Pas particulièrement emballée par "Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre" (dont j'avais trouvé les personnages assez caricaturaux), je n'aurai pas forcément lu "Hôtel Castellana" si on ne me l'avait pas offert.

Heureusement, nous sommes ici plus proche de "Big Easy" : l'atmosphère est très bien rendue, les personnages sont plus nuancés... Si ce n'est pas le roman du siècle la lecture est agréable.



Alors oui, il y a des situations attendues,

Mais dans l'ensemble j'ai apprécié le contexte historique recherché, le rôle de la photographie et certains personnages qui sortent des sentiers battus (Fuga, Puri...).
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Big Easy

Josie vit à la Nouvelle-Orléans où elle a été élevée dans une maison close, entourée et aimée à l'exception de sa mère dont toute la vie est régie par la cupidité, et malgré l'absence de père. Une situation plutôt difficile à assumer face au regard des autres mais qui lui a permis de forger son caractère. A 17 ans, indépendante, elle vit au-dessus d'une librairie dans laquelle elle travaille avec son meilleur ami et dans laquelle un jour va entrer un homme qu'elle pense être son père.



Un roman qui se lit bien et une histoire agréable malgré quelques clichés et des révélations que l'on sent venir de loin. On ressent beaucoup le côté jeunesse du roman et je regrette un peu que le côté historique soit quasi-absent d'autant plus que "roman historique" fait partie des mots-clés associés et que pas mal de critiques semblent avoir ressenti l'ambiance de l'époque, ce n'est pas mon cas.

Il n'en reste pas moins un bon roman, facile à lire et que j'ai apprécié, mais que j'ai déjà presque oublié.
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Hôtel Castellana

Madrid, 1957. Sous le joug de Franco, la Guarda civil sème la terreur sur la population madrilène. Le pays est divisé, les républicains assassinés et un grand nombre d'espagnols vivent dans des conditions misérables, conséquences dramatiques de la dictature franquiste qui s'est installée à la fin de la guerre civile.



Néanmoins, quelques touristes américains parviennent à fouler le sol de la péninsule ibérique. Daniel, un jeune texan, est de ceux-là et il séjourne dans le luxueux hôtel Castellana. Accompagné de ses parents qui sont là pour affaires, le jeune homme tente de capturer avec son appareil photo les multiples facettes de la ville. Mais, c'est grâce à la belle Ana, une employée de l’hôtel dont les parents ont été victimes de la dictature, et à son frère Rafael que Daniel va découvrir l'autre visage de Madrid. Une réalité où il est préférable de se taire si l'on veut rester en vie.



J'ai gardé un souvenir très marquant du précédent roman de Ruta Sepetys, Le sel de nos larmes qui conte avec talent une tragédie maritime méconnue de l'Histoire de la Seconde Guerre Mondiale.



Avec ce nouveau roman, la romancière fait de nouveau la part belle à l'Histoire avec une toile de fond passionnante. On découvre au centre de l'intrigue le scandale lié aux milliers de nourrissons enlevés à leurs parents dès la naissance. 



Comme nous l'explique Ruta Sepetys à la fin de l'ouvrage, ce livre est le fruit d'un long travail de documentation et dès les premières pages, j'ai été transportée avec brio dans cette période sombre de l'Espagne où la répression est violente.



La plume est belle, extrêmement addictive. L'alternance des points de vue et les extraits de documents d'archives qui s'intercalent à l'histoire de Daniel et Ana donnent du dynamisme à l'ensemble qui ne souffre d'aucune longueur en dépit de sa taille imposante.



Un magnifique et poignant roman jeunesse qui entremêle de manière très efficace romance et fiction historique. Une lecture palpitante, bouleversante qui m'a captivée jusqu'à la dernière page et une auteure jeunesse qui figure désormais au rang de mes favorites. 
Lien : https://mesechappeeslivresqu..
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Big Easy

Bien qu'un peu déçue par rapport au "sel de nos larmes" du même auteur j'ai aimé ce roman à la fois polar et romanesque qui nous raconte l'histoire d 'une jeune fille dans le milieu de la prostituution aux Etats-Unis dans les années 50 .

On y retrouve la classique mère maquerelle , les bons voyous , une sociéte bien spéciale .

Comment résisté à l'argent facile et continuer son petit bonhomme de chemin dans le droit chemin avec ces multiples tentations ?

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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

Un très bon roman sur la lettonie et sur les conditions de vies des expatriés (enfants adultes personnes agées)

Les personnages ne peuvent pas laisser indifférents

Un petit plus la description des paysages glaciaux.

Je vais lire le sel de nos larmes assez rapidement



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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

Juin 1941. Lina, jeune lituanienne de quinze ans, est arrêté avec sa famille par la police soviétique. Au terme d'un long périple en train, ils sont déportés dans un camp en Sibérie et connaissent l'horreur...

C'est un roman bouleversant, émouvant et captivant, et qui passionne à tous les âges (bien qu'il soit estampillé "jeunesse").
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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

voici un livre passionnant, une partie de l'Histoire, durant la seconde guerre mondiale que nous ne connaissons pas ! Dans les livres d'Histoire à l'école, on ne nous parle pas de ces horreurs côté russe.



Un livre passionnant, bien écrit, on suit l'histoire comme dans un film ! Très émouvant, très dur aussi !



On s'attache très facilement aux personnages.



Un très bon moment de lecture
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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

Magnifique premier livre de Ruta Sepetys, que j'ai lu après Le sel de nos larmes (un de ses autres livres.)



Ce roman se passe lors de la 2nde guerre mondiale où une famille lituanienne se fait déporter dans le fin fond de la Russie de l'époque et de la Sibérie. Lina, l'héroïne est la narratrice et raconte sa déportation, du voyage en train de 6 semaines à un camp en Sibérie, en passant par la vie dans un kolkhoze. Lina, une véritable artiste, essaye d'y survivre avec sa mère et son frère, malgré les nombreuses épreuves, la faim, et le froid. le dessin permettra à la jeune fille d'essayer de garder un espoir pour retrouver son père.



Ce roman, c'est déjà une boule d'humanité : tous essayent de s'entraider, avec pour certains une générosité et un altruisme sans faille (la mère de Lina) et de survivre ensemble bien tant que mal. C'est aussi un roman qui est vrai, c'est-à-dire qui est réaliste, où on raconte une histoire sans en faire trop. Tout est fait pour qu'on ne tombe jamais dans le mélo, et dans la pitié, et cela est assez appréciable. C'est un livre qui, enfin, permet de donner une voix aux personnes qui ont été déportés, et cela est important pour se souvenir d'eux.



Néanmoins, j'ai un tout petit reproche concernant la fin du livre. En effet, je la trouve pas assez finie, et je trouve cela dommage.
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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

Mon résumé :



Je ne vous cache pas que lorsque j’ai lu le résumé de ce livre lorsqu’il m’a été suggéré par l’équipe de la Kube, je redoutais vraiment le moment ou j’allais commencer la lecture. Les romans historique et ayant trait à des événements de l’histoire notamment de la période 1914 – 1945 n’est pas spécialement ma tasse de thé. Mon avis a totalement changé quand j’ai refermé le roman il y a une heure. ( à préciser que je l’avais ouvert vendredi à la pause déjeuner, à mon travail).



Le 14 juin 1941 n’est pas une date parmi d’autres de la Seconde Guerre mondiale comme nous avons l’habitude de l’évoquer. Alors qu’Hitler est effectivement en guerre contre les Alliés sur le front occidental, un autre événement d’envergure se déroule à l’Est. Staline, dictateur sanguinaire de la Russie, débute son projet d’extermination massive de tous les antisoviétiques. Voilà le thème central du roman. Staline à missionné certaines personnes afin de constituer une liste « d’antisovietiques » tant par leur origines que par leur classe sociale. Ces personnes sont enlevées pour être déportées vers des des camps de travaux forcés ou pire….exterminées.



Lina est une jeune Lituanienne douée en dessin et qui s’apprête à intégrer une prestigieuse école d’art à Vilnius, la capitale. Elle vient de Kaunas, au Nord et c’est donc une perspective particulièrement excitante pour la jeune fille. Sauf que le sort en a décidé autrement et qu’une nuit de juin 1941, elle est déportée ainsi que sa famille en Sibérie



Ruta Sepetys, en plus de nous offrir un récit historique et authentique, a su créer des personnages attachants : Lina, Andrius, Nikolaï… on tremble pour eux, espérant plus que tout leur survie. On s’attache même au père de l’héroïne, présent à travers les souvenirs de celle-ci. Ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre est donc une vraie réussite, un de ces romans dont le souvenir continue de vous hanter, même une fois la dernière page tournée.







Mon avis :



Si tout comme moi les romans historiques vous rebutent, vous serez tenté de faire l’impasse sur ce roman, mais ce serais un sacrilège. Comment ne pas s’attendrir pour cette famille qui va devoir subir la mentalité et aussi la brutalité du NKVD, le KGB russe à la sauce lituanienne. Ayant lu le livre en 48 heures, c’est dire si il a de quoi perturber, au point de ne pas pouvoir le lâcher avant la dernière page.



Je ne peux que remercier chaleureusement la libraire ayant choisi le livre, mais également l’équipe de la Kube.
Lien : https://lecturedesam.wordpre..
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Le sel de nos larmes

Je voulais depuis longtemps découvrir l'univers de Ruta Sepetys, Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre est dans ma Wish-List depuis très longtemps, mais c'est avec Le Sel de nos armes que je vais enfin connaissance avec cette romancière renommée !



Le Sel de nos larmes est -à mes yeux- un roman incontournable et très important même s'il n'est pas un coup de cœur. Pourquoi ? Parce que Ruta Sepetys apporte à son lecteur un véritable savoir historique et parce qu'il y a un vrai devoir de transmission aux jeunes générations qui est effectué. Je trouve cela essentiel et j'ai vraiment apprécié ce livre car je ne connaissais absolument pas cette catastrophe maritime alors que j'avais lu de nombreux ouvrages sur cette guerre.



La construction du livre est un des gros points forts de ce roman (au-delà du gros travail documentaire) : on suit quatre personnages, très différents et qui permettent de suivre le récit sous des angles divergents. Il y a Joana, la courageuse infirmière Lituanienne qui force le respect par son charisme et son opiniâtreté; Emilia, la jeune Polonaise qui est de plus en plus surprenante au fil des pages; Florian l'Allemand spécialiste en art qui cache un précieux paquetage et enfin Alfred, un nazi couard imbus de son petit pouvoir. Ma préférence va à Florian et Joana qui forment un duo de choc très attendrissant !



L'histoire est donc passionnante mais aussi terrible, on vit la route jusqu'au navire, l'embarquement et aussi le naufrage. Le lecteur ne sera pas épargné et jusqu'au bout vous vous demanderez qui survivra et même si un seul des personnages va survivre. J'ai donc beaucoup aimé ce livre, le coup de cœur n'a pas été là car je m'attendais à une fin qui me prenne aux tripes comme Revanche ou Nous les menteurs mais cela n'a pas été le cas. Cela reste un roman très émouvant !



En définitive, une lecture incontournable et essentielle !


Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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