Thierry Crouzet

Ce livre est pour moi un thriller-vérité. Une histoire très habilement racontée, à laquelle j'ai adhéré dès le début. Aucun temps mort malgré une partie scientifique impérative pour comprendre le rôle des antibiotiques, ces médicaments que chacun est amené à absorber lorsqu'il est porteur de virus. Je ne travaille pas du tout dans le milieu scientifique donc je connais assez peu de choses mais ce livre extrêmement bien documenté, révèle de nombreuses informations. Ces antibiotiques, que l'on ingère parfois trop vite avant qu'un vrai diagnostique ne soit posé, et à de nombreuses reprise au moindre mal ne sont pas sans conséquences sur notre organisme, les bactéries deviennent de plus en plus résistantes et ne sont plus éliminées totalement de notre corps. Notre alimentation à également une grande importance, pour se garder en bonne santé, pour eviter le plus possible d'avoir recours à ces traitements. Ces antibiotiques résistants ne sont pas à prendre à la légère, c'est un sujet abordé très sérieusement par l'Organisation Mondiale de la santé. Il faut penser à l'avenir, être sauvé aujourd'hui c'est bien mais il faut que cela perdure demain.



Je vous conseille très sérieusement de lire "résistants" qui n'est pas un livre médical rébarbatif et incompréhensible, grâce à l'auteur qui a aussi habilement ajouté, thriller, histoire d'amour au sein d'un sujet intéressant et qui doit être connu de tous.
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Plutôt que de nous livrer un essai assez rébarbatif sur le sujet, Thierry Crouzet a choisi pour rendre son propos accessible à un plus large public en donnant à son récit la forme d’un thriller palpitant. Véritable roman d’anticipation, Résistants nous emmène dans un futur très porche où nos antibiotiques ne sont d’aucun secours pour lutter contre des superbactéries résistantes.

Rien à redire sur l’aspect scientifique et didactique de ce roman, il est très bien documenté et regorge de références aussi intéressantes qu’ instructives sur l’histoire des antibiotiques.

En revanche l'intrigue prend par moment des allures de mauvais film d’action aux ficelles un peu grosses, ce qui décrédibilise un peu le roman, dommage.
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Un très bon livre pour ceux qui veulent mieux comprendre l'origine et l'impact des réseaux sociaux. Une mine d'or d'info scientifique et culturel

Original pour le style et nouvelles tellement vite lues.

C’est un texte court au rythme rapide, évoluant dans un futur proche tourmenté et violent. Paris à feu et à sang vit un remake de la Commune. Les Riches sont pourchassés et lynchés. Le réseau d’évacuation des déchets de la ville a failli être parfait, il pouvait résister aux éco-terroristes, une partie de la Seine est envahie par une mangrove mutante, les journalistes sont équipés de caméras TriD, les véhicules sont compostables, mais, fait gravissime pour la liberté d’expression, à cette époque les photocopieuses 3D sont interdites. Oui, c’est politique, utopique ou dystopique ou les deux, drôle, prenant et riche… d’idées !

C’est un régal de lire les nouvelles péripéties de l’héroïne Extase. Amusant, ce prénom, il avait servi déjà dans « La quatrième théorie », un thriller captivant du même auteur, mais pour un personnage secondaire.

Extase va tenter de sauver son père, le génial académicien activiste Noam, d’un attentat certain, ou d’un lynchage, qu'il a bien mérité ! Ce serait sans compter sur le génie dudit bonhomme. Sacré malin ! Flux, auto-organisation, super-organisme, transhumanisme, revenu de vie, fablabs, pas mal de thèmes discutés sur le blog de Thierry Crouzet sont abordés et joyeusement interprétés (http://blog.tcrouzet.com/).

Il me semble que le passage sur la traversée de foule par Extase est un hommage aux premières lignes de « Transparences » d’Ayerdhal. C’est superbe.

L’interdiction des photocopieuses 3D est tout simplement géniale. C'est presque une prémonition quand on voit tous les contrôles de l’expression que nous subissons en France, de l’Hadopi au massacre du statut d’auto-entrepreneur, en passant par le prix unique des livres numériques et la nouvelle loi sur l'anti-terrorisme.

La fin est amusante, en cohérence avec le discours de Noam qui, reprenant les idées de Crouzet, est l’armature du texte. La toute dernière phrase est un bijou.

L'expérience de l'auteur est hors normes et elle permet de se remettre en question sur nos usages.

L'ouvrage est également une profonde remise en cause de nos pratiques de lecture (avec les outils numériques) mais aussi sur des sujets plus globalisés comme l'école et la politique. On y trouve tout ce qu'il faut pour passer un bon moment et l'écriture est très fluide sans perdre en qualité. A reccomander.

J'ai acheté ce livre quasiment tout de suite après sa sortie tellement il m'a interpellée !

Addict des réseaux sociaux et du web, je me retrouvais dans la présentation du livre et j'étais curieuse de voir comment Thierry Crouzet avait vécu cette déconnexion !



J'ai trouvé la lecture sympa, facile à parcourir, des anecdotes marrantes et j'ai souvent souri en me reconnaissant dans ses descriptions.

Après cette lecture on relativise un peu plus, on laisse un peu tomber le téléphone lors des déplacements et on se demande avant d'aller surfer sur le web si on ne serait pas mieux à profiter du soleil dehors...

Pas encore totalement prête à couper, surtout que je n'ai pas du tout le même cadre de vie que l'auteur !!!

Et puis dans mon métier j'utilise le net tous les jours donc... un peu moins mais pas pas du tout !



Une lecture que je conseille néanmoins si le sujet vous parle :D

Fable enlevée, ironique, un style souple et ferme, rapide – histoire d'Extase, l'inclassable, aux grands pouvoirs, histoire de son père, Noam, académicien, adepte de toutes les utopies ou doctrines généreuses, en temps ancien, immergé dans le réseau, le flux, histoire de la tentative d'Extase pour le sauver, au coeur de la révolution, de la ville pleine d'ordures et de bandes, un monde où virtuel et réel s'interpénètrent, interagissent, un monde où Vortex le système de communication est omniprésent, un monde révolté contre la toute puissance des riches, nouveaux esclavagistes (notre monde poussé à l'extrême de ses logiques) où Noam veut intervenir, histoire de son discours devant l'Académie, ou de celui qui le remplace. Descriptions des lieux et des gens savoureuses, aventures, déstabilisation par le mélange des deux univers. Se marient l'agrément de la lecture et l'efficacité de la critique (et tant pis si l'utopie me laisse un peu dubitative)

Une imposture bien dans son temps, celui de l'homo numericus. Thierry Crouzet n'a pas débranché, il a juste prolongé dans un livre le petit feuilleton quotidien qu'il devait faire de lui-même dans son blog. Pas la peine d'en rajouter sur le "désarroi" de ce rentier digital, ça a déjà été fait. Toutes les pages suintent le narcissisme hypertrophié et Il serait amusant de calculer le ratio du nombre de "Je", "J'" par rapport au nombre total de signes, le résultat ne doit pas être bien loin de un. Deux étoiles pour les références jetées ici ou là et pour l'un de ses seuls mérites, celui de se lire vite; c'est déjà bien généreux.

One Minute - Le musée des réplicants

Thierry Crouzet

PVH éditions



Quatrième et dernier tome. Tant de réflexions sur ce qui fait de nous des humains, sur ce que nous faisons des IA et des machines, de nos perceptions qui nous différencient tant ou si peu... L'empathie, la créativité et l'éthique nous sont-elles réservées ? Si oui, pourquoi n'arrivons pas à créer un monde meilleur?



Une intelligence auto évolutive le constate mais n'a pas la capacité de façonner cela, même si elle peut nous prévenir, tel un lanceur d'alerte spatio-temporelle. Faut-il interpréter autrement les signaux de la vie biologique, tant que numérique ?



Je recommande plus que chaudement ces livres, conceptuels par le chapitrage et l'approche de la grande trame de la vie liée à celle de la connectivité absolue, ainsi que par les centaines de points de vue des nombreux protagonistes tout comme celui des personnages annexes, unique dans leur humanité ordinaire.

One Minute t.3 la controverse Omega

Thierry Crouzet

PVH éditions



Le procès d'une IA qui a tué qui ne peut aboutir pour cause de black-out. Des billes dans la stratosphère seraient tombées sur Terre il y a des millions d'années grâce à une forme de vie extraterrestre. Le code révélé par Sara Cash serait d'origine terrienne et non Zarmienne. Une étude scientifique serait à l'origine des modifications subies par certains humains. Qu'est-ce que le black-out annonce ? La fin du monde, le début d'un nouveau?



Pour les hypos, un âge nouveau arrive. Un monde où tous seront interconnectés entre eux, la nature et toute chose vivante dans une harmonie parfaite et entièrement biologique. Que faire alors de nos technologies, de notre quête de l'éternité au travers du prolongement de la vie?



Thierry Crouzet continue en lanceur d'alerte de l'abandon de la conscience par l'humain et de la bêtise de l'égocentrisme technologique et matériel de notre époque.

One Minute t.2

Le manifeste hypo

Thierry Crouzet

PVH éditions



La plongée dans la trame se prolonge dans ce second tome. La distinction entre hypos, soit les déconnectés et analystes les connectés. Le manifeste hypos est un recueil anonyme écrit par tous les hypos qui le désirent.



L'auteur nous plonge dans un récit qui m'a fait énormément réfléchir sur l'importance de l'informatique au sens large, l'utilité des réseaux sociaux, notre connexion permanente via smartphone, montre connectée et autres. On est devenu dépendant de la facilité et du confort que nous offrent les technologies. Certains d'entre nous résistent à différents niveaux, une infime minorité complètement. Si l'on se coupe de tout cela on devient anarchiste 2.0.



Encore une fois les débats sur la conscience, l'intelligence artificielle, notre rapport à nous-mêmes, à la nature et au grand tout est savamment amené via des personnages intrigants et intéressants. Faut-il sauver la trame, sevrer les gens de la grande et omnipotente connexion ou se laisser guider par elle comme des moutons? Pour moi la réponse est simplement la réflexion sur le sujet. Rester lucide et connecter au vrai, à 'ces forces qui traversent l'univers' comme l'écrit l'auteur.

Thierry Crouzet

One Minute t.1 - La communion des analystes

PVH éditions



Un livre particulier à plusieurs niveaux. Une centaine de chapitres de deux pages. Tout se joue lors d'une unique minute partout sur la planète. Théorie du complot ? Message extraterrestre ? Canular planétaire ? Virus informatique? Conscience évoluée? Étape suivante de l'évolution cérébrale d'une frange de la population mondiale?



C'est au travers du quotidien de quidams tout autour du monde que l'on découvre, par soi-même, ce qui se cache derrière le dernier message de l'Intubeuse la plus célèbre de l'histoire, Sara Cash, qu'un signal provenant de l'espace lointain est parvenu à nous.



Les mises en situations sont géniales, les sujets abordés sont nombreux et intéressants, parfois drôles, parfois amers, aucun ne laisse de marbre. Commencé hier soir et terminé à l'instant. Heureusement qu'il y en a quatre.

Dès les premières pages, j’ai senti que j’allais me régaler. De la soft SF comme je l’affectionne, une vision des extraterrestres réaliste comme je la conçois et un peu d’anticipation technologique pas si farfelue.

La forme du roman est extrêmement originale, chaque chapitre se tient dans la même minute. C’est innovant, on se demande comment l’intrigue va pouvoir avancer, mais ça fonctionne. Carrément bluffant.

Même si je dois avouer que j’ai craint un moment de me lasser de ces courtes nouvelles intriquées. Mais j’ai tenu bon, tout en n’en lisant que quelques-unes à la fois et, finalement, avec un véritable plaisir comme quand on savoure chaque jour un bon thé vert. Car dans chacune de ces tranches de vie, toutes admirablement écrites, se révèle petit à petit la trame de l’histoire. Une trame pleine de suspense et d’espoir.

La très bonne surprise de l’été.
Lien : https://www.pascific.fr/2023..

On va s'essayer à la micro critique :



Enchanté par l'idée.

Déçu par la forme.

Frustré par le contenu.



... Bon en fait c'est pas si facile.

Néanmoins, j'ai plus eu l'impression d'avoir eu des petits fours par auteurs (sans oublier la présentation de son livre avant histoire de faire un petit coup de comm). Rien de bien rassasiant, ni même appétissant par moment.

J'ai du mal à commencer cette critique, car ce livre m'a un peu déroutée et je ne sais pas trop si j'ai aimé ou pas.



Je vais commencer par le livre en tant que tel: un petit format, original, la couverture vert pomme et argenté. J'ai trouvé ça très joli, il se prend bien en main, j'ai aimé le papier utilisé.

Les chapitres sont assez conceptuels: ils tiennent en un recto verso, sont très courts. Original là encore, ça m'a plu, j'ai même pensé que c'était pratique pour arrêter sa lecture à un endroit.



Et autre point original: tous les chapitres se passent à la même minute, à divers endroits du monde. Là j'étais très très curieuse, même emballée par l'idée, je n'avais encore jamais lu un livre comme cela.

En même temps c'est aussi cela qui a commencé à me perdre... Je m'explique: chaque chapitre expliquant le déroulé de cette fameuse minute, une minute cruciale pour le monde entier tel qu'il existe, est en fait relaté du point de vue de personnes différentes.

Parfois on a des informations qui se recoupent sur un lieu ou des personnes évoquées, mais il m'a été très compliqué de faire un vrai lien entre toutes.

J'ai compris certains liens, d'autres m'échappaient totalement.

Des termes scientifiques utilisés m'ont aussi un peu perdue, et je n'ai pas réussi à bien comprendre finalement où l'histoire allait en venir.

Et en fait comme depuis la 1ère page jusqu’à la dernière, il n'y aura eu que 60 secondes d'écoulées, j'ai l'impression que je ne suis pas vraiment plus avancée que cela.

J'ai bien aimé le concept des jeunes gens, les "analystes" qui auraient un lien spécial entre eux.

Le personnage de l'Intubeuse Sara Cash est très énigmatique, presque irréelle, pourquoi pas extra-terrestre ou que sais-je encore, m'a interpellée, j'aimerai en savoir plus sur elle, mais je suis comme les personnes qui en parlent, je n'ai aucune info sur Sara.

En fait je ressors un peu frustrée, je ne sais pas trop résumer ce livre, j'ai été perturbée. Peut-être qu'avec la suite ça serait un peu plus clair pour moi. Pour l'instant je suis un peu dubitative.



Merci à Masse Critique de Babelio et à PVH Editions pour l'envoi de ce livre, et cette découverte.

Dans ce roman nous retrouvons de courts chapitres qui donnent un rythme à l’histoire. Ils permettent d’en lire par ci par là, lorsqu’on n’a pas trop le temps de lire et qu’on est du genre à aimer terminer un chapitre avant de refermer notre livre, ce qui personnellement est mon cas. Nous découvrons une multitude de personnages, un peu partout dans le monde et toujours à la même minute. Ces personnages sont plus ou moins liés et peuvent nous aider à avancer au fur et à mesure dans l’intrigue en chopant des bouts d’indice dans plusieurs chapitres. On a qu’une envie c’est de réussir à trouver toutes les pièces du puzzle, qui sont émiettées un peu partout dans le roman, afin de le reconstruire en entier et d’avoir les réponses. Le fait qu’il est beaucoup de personnages peut par contre un peu nous perdre mais nous pouvons retrouver parfaitement le fil de l’histoire, en particulier avec des noms récurrents qui sont évoqués. La fin nous laisse sur notre faim.

L’homme qui ne comprenait pas les femmes de Thierry Crouzet m'a été offert. J'ai donc décidé de plonger dans les frasques de la vie d'un autre qui a mon âge, sans attentes particulières.

Quand un quinqua fidèle décide de tromper sa femme Lou, pour vivre de nouvelles expériences afin d’écrire enfin son best-seller, ça en devient cocasse, avec une belle conclusion. Voilà un joli roman d’amour à déguster entre deux rendez-vous... mais qui s'oublie aussi très vite.

Didier Pittet alias «docteur main propre» publie son journal quotidien des 6 premiers mois de l'an 1 de l'ère Covid. Epidémiologiste, il est à l'origine de la diffusion du gel hydroalcoolique dans le monde.



Ce livre tient tout sont intérêt du recul que l'on peut avoir quelques 6 mois après sa publication. Ainsi on constate son erreur sur la stratégie de la Suède qualifié je cite de : suicidaire...



Pour Didier Pittet la lutte contre les virus se base essentiellement sur le lavage des mains sa régularité et sa bonne exécution puis les gestes barrières mais il est très septique sur le port du masque en population général non malade pour ne pas dire hostile à se dogme devenu quasiment religion d'état en France. 



Il est aussi confinementolâtre pour lui cette méthode marche, mais il n'a pas un mot (dans le livre pas dans les médias) sur les conséquences collatéral se contentant de privilégier la santé sur l'économie, comme si le financement de la santé tombait du ciel. Il n'oublie pas de se retrancher derrière le serment d'Hippocrate tel un sésame pour ne pas avoir à se justifier. Chez Didier Pittet tout semble devoir être mondial : sa vie de globe trotter, ses enfants éparpillés au quatre coins du monde, une vrai ode à la mondialisation, ce qui est assez cocasse pour quelqu'un qui veut enfermer tout le monde.



Concernant la polémique sur l'hydroxychloroquine, il à testé et ça ne marche pas. Sauf qu'il précise qu'il à testé sur des patients en réanimations alors que selon le protocole Raoult il faut l'administrer le plus tôt possible.

Mais d'après lui si le traitement ne marche pas à un stade avancé de la maladie il n'y à aucune raison qu'il marche plus tôt.



Fil rouge de l'ouvrage, ce sont les piques contre Donald Trump. Il ne l'aime pas et entend bien le faire savoir pas plus qu'il n'aime le «méchant» Jair Bolsonaro car vous l'aurez compris, c'est un humaniste et comme tout humaniste qui se respect sa priorité... c'est l'Afrique ! Qui ne lui a pourtant rien demandé mais qu'il souhaite prioriser en cas de découverte d'un vaccin.

la société Pfizer elle aussi aime l'Afrique et n'a pas hésité par le passé à priorisé aussi quelques enfants Nigérians pour des essais sur un antibiotique entraînant la mort de certains d'entre eux.



En résumé, je dirait qu'il s'agit d'un ouvrage au titre relativement mensonger car il n'apporte pas grand chose aux lectures sur les mesures à prendre individuellement pour lutter contre une épidémie. Certes il insiste encore sur le lavage des mains, c'est très bien, mais quid du renforcement des défenses immunitaires ? Et les produits désinfectant ? Lesquels utiliser ? et autres questions auquel nous n'aurons pas de réponses. En faite il s'agit encore d'un ponte de la médecine imbu de sa personne, adorant s'écouter parler et raconter sa vie faite d'altruismes, de renoncements. Une vie plus belle et plus intense que la votre.

Cette crise en cours du Covid à mis sur le devant de la scène moult personnalités analogues entrainant un certains courroux de la population bien légitime envers ses apothicaires et autres marchants de la peur.   

A partir des notes de son père et d’une ample documentation, l’auteur compose un récit saisissant et restitue un peu d’humanité aux vies minuscules lâchées dans un ­conflit qui les dépasse et dont la violence les hante pour ­toujours.
Lien : https://www.lemonde.fr/criti..