Tristan Roulot

Une série série drôle et avec une pointe gore.



Dans cette série nous suivons les périples plutôt désastreux d'un peuple de goblin.

Les goblins ces petits bonhommes vert avec de grandes oreilles et un cerveau quasi inexistant.Bête et méchant mais il leur arrive tellement de calamité qu'ils en deviennent attachant.



Une bande dessiné à mettre dans des mains averties ( à partir de 10 ans )

Le point fort de cette album est sans conteste le traitement psychologique des personnages qui permet une immersion immédiate dans le récit.
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Encore une fois je suis totalement conquis par l'humour intelligent et le dessin énergique qui sont totalement indissociables et fonctionnent ici en parfaite symbiose pour notre plus grand plaisir. Rire garanti.
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Cet album Goblin’s est donc, comme toujours, une réussite.
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Tout d'abord, je souhaite remercier Babelio et son édition Masse Critique ainsi que l'éditeur Le Lombard de m'avoir proposé la lecture de cette BD.

La finance, l'économie, sont des sujets qui me passionnent. Dans mes choix de BD j'ai donc logiquement sélectionné les titres traitant de ces sujets.

Je m'attendais donc à deux possibilités : soit une BD ludique dans la veine d'Economix ou de de Logicomix, soit une BD essentiellement romancée sans aspect ludique. C'est à la lecture de ce premier tome de la seconde possibilité qu'il sagit.

Nous y rencontrons Franck Carvie, jeune français vivant à Hong King où il occupe un poste de vendeur d'assurances. Mais Franck n'est pas le meilleur vendeur de la ville... il est même loin de l'être. Il est pourtant persuadé qu'il est fait pour gérer l'argent des gens, il faut juste qu'on lui donne sa chance. Et la chance lui sourit : pris sous l'aile d'un riche investisseur, il devient trader et apprend toutes les ficèles du métier.

Cette BD ne m'a pas passionnée. J'ai trouvé le graphisme classique, sans intérêt particulier, et l'histoire convenue. La BD surfe clairement sur la thématique très à la mode des spéculateurs, de leur vie de débauche, de la quantité d'argent indécente qu'ils brassent. Je ne dis pas que la BD est exagérée, je pense que ce n'est pas le cas, elle est certainement réaliste. Mais cette BD ne m'a vraiment pas faite voyager ou passionnée. Par ailleurs la grossièreté des dialogues m'a mise très mal à l'aise.

Bref, je n'achèterai pas les tomes suivants...
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Une intrigue naturellement froide et tendue qui nous rappelle ces thrillers financiers américains. Pas d'action, pas de dynamique particulière, il s'agit ici juste d'une histoire de trader, tenu par le bout du nez par un vieux briscard qui cache malgré tout quelques cartes dans sa manche, au cas ou...
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Cet ouvrage est un vrai rayon de soleil mettant en scène un village déjanté de Goblin’s !
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Une clôture de diptyque très réussie qui vient, sans équivoque, trouver sa place sur le même piédestal que d'autres aventures du même genre telles Long John Silver, Hannibal Meriadec, Barracuda, Le diable des sept mers…
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Le récit, entre réalisme historique et libertés fictionnelles, est fort bien mené mais n’offre que peu d’originalité. Des épisodes de Largo Winch, ou d’I.R.S se sont déjà aventurés dans ces contrées avec plus de brio. Il reste une plongée stimulante dans un contexte de l’histoire du 20è siècle peu connu et un rappel que de nos jours, la Birmanie a de nouveau tourné le dos au reste du monde, que la junte y règne sans partage. Ça n’est pas suffisant pour se faire remarquer dans le flot annuel des publications.
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Tristan Roulot a écrit un scénario qui rattrape la grande histoire, la rattache à celle de la Birmanie actuelle donc à Aung San Suu Kyi le tout dessiné par un Christophe Simon qui a parfaitement su rendre le ton [...]. Un documentaire qui remet les pendules à l’heure 70 ans après.
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De facture classique, avec un dessin solide, très bien mené, l’album se lit très agréablement, tout en étant très formateur quant à la politique et l’histoire internationales.
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Bonne conclusion pour une bonne série, "La saison des spores" a tous les atouts pour contenter les lecteurs, qui auraient dès lors bien tort de bouder leur plaisir.
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Une bonne leçon d’histoire qui contextualise, sur la base de documents d’archives, l’impact de la Seconde Guerre mondiale dans la chute des grandes puissances coloniales européennes en Asie du Sud-Est, sur fond du "Grand Jeu"de Guerre froide.
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Avec ce troisième tome, la compréhension de l'univers fait un sacré bond !



Minerva est au centre de l'histoire - et de la couverture.

Dans le prolongement direct du volume précédent, nous allons profiter de la présence du Renifleur dans ses basques pour écouter son histoire, qu'elle lui raconte.

Pourquoi tant de haine envers le Convoyeur ?

Que cherche-t-elle ? Ou qui ?



Ça bastonne et ça traque, ça se planque et ça attaque.

Chaque personnage suit une voie bien précise et le croisement de celles-ci provoquera indéniablement des étincelles.



La bataille ne fait que commencer.

Le retour du Convoyeur pour la suite de ses aventures.

Dans ses pattes, le Renifleur, étrange personnage croisé précédemment.

Dans son sillon, une mystérieuse femme qui semble le traquer.



L'action est toujours au programme de ce tome, qui prend un tour inattendu via le regard du Renifleur.

Les rebondissements et révélations s'enchaînent dans ce volume où la noirceur du Convoyeur se confirme.



Dessin toujours impeccable.



Direction la suite sans hésiter !

J'attendais impatiemment ce troisième tome, après les spectaculaires révélations du précédent opus. Je reste scotchée par l'histoire, et surtout l'évolution de celle-ci. Je me garderai bien d'en parler, pour ne pas spoiler les lecteurs !

C'est donc un scénario admirable qui fait la force du Convoyeur, mais aussi un dessin qui nourrit l'histoire. L'univers construit autour de la Rouille est très beau, et si cette apocalypse passe désormais au second plan, il faut avouer que le contexte reste intéressant ! Cette fois on en apprend plus sur Minerva, et sur sa tragique histoire. La résolution de son objectif est peut-être un poil rapide, mais enfin ça fonctionne diablement bien. J'ignore combien de tomes sont prévus pour cette histoire, quoiqu'il en soit, j'ai hâte de découvrir la suite !

Ce troisième tome du Convoyeur est une excellente surprise qui donne envie de découvrir la suite.
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Vitaminé, bien conçu, agréablement dessiné, Les enfants de la pierre est un album d'ouverture prometteur qui plaira aux lectorat jeunesse et pourra éventuellement séduire leurs parents. Vivement la suite de La forêt du temps !
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C’est un ouvrage intelligent au rythme enlevé qui invite vraiment à une relecture, tant il fourmille de détails qui deviennent signifiants au fur et à mesure de l’intrigue. [...] Le scénariste Tristan Roulot réussit avec brio à construire une fresque à partir des mythes fondateurs de l’humanité.
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Les dessins de Mateo Guerrero sont magnifiques, et sa façon de dessiner les personnages et les paysages nous fait rentrer immédiatement dans cet univers très spécial, que l’on retrouve dès la première de couverture qui nous pose déjà les bases et l’ambiance de cette histoire !
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