Critiques de Veronica Roth (2655)
Ce livre est un coup de cœur !
Dans un monde futur , après une énième guerre, on décide de diviser la population en 5 factions :les Audacieux, les Altruistes,les Fraternels,les Érudits et les Sincères. Ces 5 factions doivent pouvoir ,avec leur qualité propre ,maintenir la paix ensemble .
Tris ,qui a grandi dans la faction Altruiste ,doit ,comme tous les jeunes de 16 ans ,passer un test d'aptitudes pour savoir quel faction rejoindre puis faire son choix.
Or Tris ne correspond à aucune faction ,elle est une Divergente mais va tout de même choisir de rejoindre les Audacieux . Commence alors pour elle ,une longue et dangereuse initiation pour devenir membre officielle de cette faction .....
J'ai adoré découvrir ce monde divisé en 5 factions ,ces codes ,ces lieux et surtout ces personnages . Tris est vraiment la fille que l'on voudrait être ,elle ose tout et ne se laisse pas abattre par les difficultés . Son instructeur Quatre ,est aussi un personnage mystérieux assez fascinant .
Bref si vous aimez les dystopies ,laissez-vous tenter par Divergent. pour ma part je me jette sur la suite !
Dans un monde futur , après une énième guerre, on décide de diviser la population en 5 factions :les Audacieux, les Altruistes,les Fraternels,les Érudits et les Sincères. Ces 5 factions doivent pouvoir ,avec leur qualité propre ,maintenir la paix ensemble .
Tris ,qui a grandi dans la faction Altruiste ,doit ,comme tous les jeunes de 16 ans ,passer un test d'aptitudes pour savoir quel faction rejoindre puis faire son choix.
Or Tris ne correspond à aucune faction ,elle est une Divergente mais va tout de même choisir de rejoindre les Audacieux . Commence alors pour elle ,une longue et dangereuse initiation pour devenir membre officielle de cette faction .....
J'ai adoré découvrir ce monde divisé en 5 factions ,ces codes ,ces lieux et surtout ces personnages . Tris est vraiment la fille que l'on voudrait être ,elle ose tout et ne se laisse pas abattre par les difficultés . Son instructeur Quatre ,est aussi un personnage mystérieux assez fascinant .
Bref si vous aimez les dystopies ,laissez-vous tenter par Divergent. pour ma part je me jette sur la suite !
Dire que j'attendais ce second tome impatiemment est un euphémisme puisque le premier tome avait été un véritable coup de cœur et que j'avais qu'une hâte : qu'Insurgent sorte enfin ! C'est chose faite maintenant, et je n'ai pas tardé à me jeter dessus !
Ce second tome reprend directement après la fin du tome 1, rien n'a changé depuis les évènements dramatiques du premier tome, on les retrouve là où on les avaient laissé et on entre donc dans le vif du sujet sans qu'aucun 'rappel' ne soit écrit, ce qui fait que les premières pages ont été laborieuses parce que, mise à part Tris et Four, je ne me rappelais pas avec précision qui étaient les personnes avec eux. J'ai donc décidé de relire quelques passages de Divergent pour me rafraîchir la mémoire.. et je me suis retrouvée à relire entièrement le livre tellement il m'avait manqué xD. Une fois terminé, je me suis remise dans le second tome et tout allait bien mieux !
Ce tome est bourré de rebondissements, de surprises. Je me suis souvent demandé ce qu'il allait advenir d'eux après le premier tome, ce qu'ils allaient décider de faire, ou ils allaient aller, et franchement je ne pensais pas qu'il se passerait tant de choses, en si peu de temps.
L'atmosphère est étrange. Tout le monde, toutes les factions sont secoués par ce qu'il s'est passé, et même si certaines ne sont pas directement concernées, leurs dirigeants se doivent de prendre eux aussi des décisions pour le bien de tous mais surtout des leurs. Ce qui ajoute encore une couche à ce sentiment oppressant, cette impression que tout peut - et va - de nouveau partir en vrille.
On en découvre bien plus sur les différentes factions, leurs membres, mais on en apprend aussi davantage sur les sans-factions. Il y a également des secrets, des tractations politiques, des agissements et des manipulations qui ont lieu entre certaines personnes, certaines factions.. En fait il n'y a quasiment pas de moments de répits, et on en bave autant que nos héros. Ce n'est vraiment pas simple pour eux, ils sont tiraillés de toutes parts. Ça se complique très souvent, rien ne se passe comme c'était prévu, ce qui augmente cette sensation que rien n'est maîtrisé et que le pire peut arriver à tout instant.
C'est assez éprouvant à lire, surtout quand ça ne se passe pas comme on le voudrait, ou qu'un personnage ne fait pas ce que l'on attendait de lui. Mise à part ça, c'est tout bonnement excellent à lire. Cette suite est géniale et tout pleins d'évènements nous rendent complètement accro, si ce n'était pas déjà le cas avant !
Comme dans le premier tome, les personnages, Tris et Four en tête, sont excellents. C'est un énorme plaisir de les retrouver (surtout Four ok j'avoue !!). En ce qui concerne Tris, je dois dire qu'elle m'a autant impressionnée qu'elle m'a énervée par moment. Ce n'est pas facile pour elle après tout ce qu'elle a vécu dans le premier tome, tout ce qu'elle a dû faire de plein gré ou non, tout ce qu'elle a perdu.. Elle est toujours aussi forte, aussi courageuse, mais elle doit maintenant faire face aux répercussions de ses actes. Elle souffre aussi bien physiquement qu'intérieurement mais elle tient bon la plupart du temps. Néanmoins je n'ai pas toujours compris ses décisions et agissements, surtout après avoir tant perdu.. parfois elle semble tellement bornée qu'on se demande si elle ne le fait pas exprès juste pour nous énerver !
Du côté de Four, que dire mise à part qu'il est encore mieux que dans le tome précédent ? Coup de cœur confirmé en ce qui me concerne. J'ai adoré en découvrir plus sur lui, sur son passé, sa famille, découvrir encore quelques secrets qu'il gardait cachés, et j'ai détesté quand il en bavait ! Ce type est génial, la perfection incarnée, il m'impressionne tout le temps et mon petit cœur adore sa façon d'être avec Tris !
Leur relation à tous deux est plus mature, plus profonde qu'avant, plus belle tout simplement, mais elle est aussi plus tendue et chaotique avec tout ce qu'il se passe, tout ce qui n'a pas été dit ou dit trop tard, et qui, au final, leur porte préjudice à un moment ou un autre. Ils sont tellement beaux ensemble que je n'ai cessé de m'inquiéter pour eux. Veronica Roth sait comment nous faire plaisir et nous faire rager c'est certain !
Les autres personnages sont trop nombreux pour que je m'arrête dessus, mais ça a été génial d'en découvrir certains plus en détails, d'en savoir plus sur eux, d'être parfois surpris, déçus voire choqués par ce que l'on apprend..
La fin est affreuse ! Coupée au milieu d'un évènement important, sans qu'on puisse parfaitement comprendre, nous laissant apercevoir le chemin que va prendre le prochain tome.. Grrr c'est vraiment pas gentil de nous faire ce coup là. C'est frustrant comme pas possible !
Je veux la suite, je veux comprendre, je veux tout savoir et surtout je veux retrouver mes chouchous sans avoir à attendre si longtemps (Veronica Roth a indiqué sur son blog que le 3ème et dernier tome était prévu pour l'automne 2013 Arghhh !). J'aime trop cette saga, ça me rend dingue !! Vivement la sortie en VF pour que j'ai ma dose :P
Lien : http://cho0kette.blogspot.fr..
Ce second tome reprend directement après la fin du tome 1, rien n'a changé depuis les évènements dramatiques du premier tome, on les retrouve là où on les avaient laissé et on entre donc dans le vif du sujet sans qu'aucun 'rappel' ne soit écrit, ce qui fait que les premières pages ont été laborieuses parce que, mise à part Tris et Four, je ne me rappelais pas avec précision qui étaient les personnes avec eux. J'ai donc décidé de relire quelques passages de Divergent pour me rafraîchir la mémoire.. et je me suis retrouvée à relire entièrement le livre tellement il m'avait manqué xD. Une fois terminé, je me suis remise dans le second tome et tout allait bien mieux !
Ce tome est bourré de rebondissements, de surprises. Je me suis souvent demandé ce qu'il allait advenir d'eux après le premier tome, ce qu'ils allaient décider de faire, ou ils allaient aller, et franchement je ne pensais pas qu'il se passerait tant de choses, en si peu de temps.
L'atmosphère est étrange. Tout le monde, toutes les factions sont secoués par ce qu'il s'est passé, et même si certaines ne sont pas directement concernées, leurs dirigeants se doivent de prendre eux aussi des décisions pour le bien de tous mais surtout des leurs. Ce qui ajoute encore une couche à ce sentiment oppressant, cette impression que tout peut - et va - de nouveau partir en vrille.
On en découvre bien plus sur les différentes factions, leurs membres, mais on en apprend aussi davantage sur les sans-factions. Il y a également des secrets, des tractations politiques, des agissements et des manipulations qui ont lieu entre certaines personnes, certaines factions.. En fait il n'y a quasiment pas de moments de répits, et on en bave autant que nos héros. Ce n'est vraiment pas simple pour eux, ils sont tiraillés de toutes parts. Ça se complique très souvent, rien ne se passe comme c'était prévu, ce qui augmente cette sensation que rien n'est maîtrisé et que le pire peut arriver à tout instant.
C'est assez éprouvant à lire, surtout quand ça ne se passe pas comme on le voudrait, ou qu'un personnage ne fait pas ce que l'on attendait de lui. Mise à part ça, c'est tout bonnement excellent à lire. Cette suite est géniale et tout pleins d'évènements nous rendent complètement accro, si ce n'était pas déjà le cas avant !
Comme dans le premier tome, les personnages, Tris et Four en tête, sont excellents. C'est un énorme plaisir de les retrouver (surtout Four ok j'avoue !!). En ce qui concerne Tris, je dois dire qu'elle m'a autant impressionnée qu'elle m'a énervée par moment. Ce n'est pas facile pour elle après tout ce qu'elle a vécu dans le premier tome, tout ce qu'elle a dû faire de plein gré ou non, tout ce qu'elle a perdu.. Elle est toujours aussi forte, aussi courageuse, mais elle doit maintenant faire face aux répercussions de ses actes. Elle souffre aussi bien physiquement qu'intérieurement mais elle tient bon la plupart du temps. Néanmoins je n'ai pas toujours compris ses décisions et agissements, surtout après avoir tant perdu.. parfois elle semble tellement bornée qu'on se demande si elle ne le fait pas exprès juste pour nous énerver !
Du côté de Four, que dire mise à part qu'il est encore mieux que dans le tome précédent ? Coup de cœur confirmé en ce qui me concerne. J'ai adoré en découvrir plus sur lui, sur son passé, sa famille, découvrir encore quelques secrets qu'il gardait cachés, et j'ai détesté quand il en bavait ! Ce type est génial, la perfection incarnée, il m'impressionne tout le temps et mon petit cœur adore sa façon d'être avec Tris !
Leur relation à tous deux est plus mature, plus profonde qu'avant, plus belle tout simplement, mais elle est aussi plus tendue et chaotique avec tout ce qu'il se passe, tout ce qui n'a pas été dit ou dit trop tard, et qui, au final, leur porte préjudice à un moment ou un autre. Ils sont tellement beaux ensemble que je n'ai cessé de m'inquiéter pour eux. Veronica Roth sait comment nous faire plaisir et nous faire rager c'est certain !
Les autres personnages sont trop nombreux pour que je m'arrête dessus, mais ça a été génial d'en découvrir certains plus en détails, d'en savoir plus sur eux, d'être parfois surpris, déçus voire choqués par ce que l'on apprend..
La fin est affreuse ! Coupée au milieu d'un évènement important, sans qu'on puisse parfaitement comprendre, nous laissant apercevoir le chemin que va prendre le prochain tome.. Grrr c'est vraiment pas gentil de nous faire ce coup là. C'est frustrant comme pas possible !
Je veux la suite, je veux comprendre, je veux tout savoir et surtout je veux retrouver mes chouchous sans avoir à attendre si longtemps (Veronica Roth a indiqué sur son blog que le 3ème et dernier tome était prévu pour l'automne 2013 Arghhh !). J'aime trop cette saga, ça me rend dingue !! Vivement la sortie en VF pour que j'ai ma dose :P
Lien : http://cho0kette.blogspot.fr..
Comme je ne suis pas une lectrice de l'immédiateté, j'ai beaucoup traîné avant de me plonger dans la trilogie Divergente. Et finalement, c'est aussi bien, parce que cela me permet d'enchaîner les tomes sans avoir à subir le supplice de l'attente entre leur publication.
Eh oui, que voulez-vous, je me suis prise au jeu de cet univers créé par Veronica Roth. Certains lui ont reproché son manque d'originalité par rapport à Hunger Games. Peut-être... Mais cela fonctionne, cela fonctionne même très bien.
Reprenons donc les fondations de ce roman : Tris est une jeune fille de 16 ans en quête de son identité. Elle doit choisir dans quelle faction elle passera le reste de sa vie, et donc indirectement, quelle est la faction qui correspond le mieux à ce qu'elle est. Difficile quand on ne sait pas précisément qui on est. Impossible quand on se rend compte que loin d'être un être ordinaire, on est différent selon les critères de la société. Elle choisit les Audacieux, ces êtres libres en apparence, mais bientôt -l'être humain étant ce qu'il est, maintenant ou dans un futur hypothétique- les conflits éclatent, et l'heure des choix arrive.
Chez les Audacieux, sa route croise celle de Quatre, son instructeur... Je vais encore passer pour une midinette, mais c'est bien évidemment le héros idéal. Même si, tout comme Tris d'ailleurs, son physique ne frôle pas la perfection, sa ligne de conduite, sa conception de la vie, en font un être presque parfait, qui vole même la vedette parfois à notre héroïne.
Si on ajoute des personnages secondaires bien présents, une action menée tambours battants, nous avons là les points forts de ce tome 1.
Le bémol, et malheureusement pas des moindres, touche l'écriture. Je n'ai pas adhéré à ce récit au présent, censé donner du mouvement au récit, mais qui, pour moi, a eu l'effet inverse. Entendons-nous bien, je ne me suis pas ennuyée, loin de là, je me suis même déjà plongée dans le tome 2. Le récit se déroule à un rythme soutenu, frénétique même à certains moments, mais l'écriture aurait gagné à être davantage travaillée. Elle m'a semblé trop simpliste parfois en comparaison avec la complexité de l'histoire.
Mais finalement ce n'est peut-être pas si mal car en l'état actuel, j'ai déjà du mal à ne pas laisser cet univers envahir ma tête. Qu'en aurait-il été si je n'avais pas eu ces quelques réserves ?
Lien : http://lelivrevie.blogspot.f..
Eh oui, que voulez-vous, je me suis prise au jeu de cet univers créé par Veronica Roth. Certains lui ont reproché son manque d'originalité par rapport à Hunger Games. Peut-être... Mais cela fonctionne, cela fonctionne même très bien.
Reprenons donc les fondations de ce roman : Tris est une jeune fille de 16 ans en quête de son identité. Elle doit choisir dans quelle faction elle passera le reste de sa vie, et donc indirectement, quelle est la faction qui correspond le mieux à ce qu'elle est. Difficile quand on ne sait pas précisément qui on est. Impossible quand on se rend compte que loin d'être un être ordinaire, on est différent selon les critères de la société. Elle choisit les Audacieux, ces êtres libres en apparence, mais bientôt -l'être humain étant ce qu'il est, maintenant ou dans un futur hypothétique- les conflits éclatent, et l'heure des choix arrive.
Chez les Audacieux, sa route croise celle de Quatre, son instructeur... Je vais encore passer pour une midinette, mais c'est bien évidemment le héros idéal. Même si, tout comme Tris d'ailleurs, son physique ne frôle pas la perfection, sa ligne de conduite, sa conception de la vie, en font un être presque parfait, qui vole même la vedette parfois à notre héroïne.
Si on ajoute des personnages secondaires bien présents, une action menée tambours battants, nous avons là les points forts de ce tome 1.
Le bémol, et malheureusement pas des moindres, touche l'écriture. Je n'ai pas adhéré à ce récit au présent, censé donner du mouvement au récit, mais qui, pour moi, a eu l'effet inverse. Entendons-nous bien, je ne me suis pas ennuyée, loin de là, je me suis même déjà plongée dans le tome 2. Le récit se déroule à un rythme soutenu, frénétique même à certains moments, mais l'écriture aurait gagné à être davantage travaillée. Elle m'a semblé trop simpliste parfois en comparaison avec la complexité de l'histoire.
Mais finalement ce n'est peut-être pas si mal car en l'état actuel, j'ai déjà du mal à ne pas laisser cet univers envahir ma tête. Qu'en aurait-il été si je n'avais pas eu ces quelques réserves ?
Lien : http://lelivrevie.blogspot.f..
Avant de commencer à lire ma chronique, j'aimerai mettre en avant deux petites choses. La première est que je savais comment le roman se terminait. Difficile à l'époque de sa sortie de passer à côté du petit tollé concernant la fin de la saga et comme je ne résiste pas aux spoils... Mais franchement, en débutant ma lecture, et malgré mon avis mitigé sur le second tome, je partais avec un état d'esprit assez serein me disant même que j'allais aimer cette conclusion. J'avais le bon état d'esprit... le reste n'a pas suivi...
Après la révélation d'Edith Prior, les différentes communautés de Chicago se voient une nouvelle fois en péril. La stabilité n'est plus de mise et la guerre civile est proche. C'est donc dans un monde encore plus instable que nous plongeons, et nos héros sont bien décidés à faire en sorte que cela ne se produise pas. Mais est-ce que leur solution est la bonne ? Et que vont-ils découvrir en dehors de leur enceinte ? Est-ce que ce nouveau monde, synonyme de seconde chance et de réponses sera à la hauteur des espérances du groupe qui s'échappe de Chicago ? Entre troubles, questionnement, remise en question et vérité, ce tome alterne assez bien avec un peu d'action, de réflexion et de conclusion. Mais voilà, cela ne suffit pas du tout à en faire une bonne fin. Il manque d'originalité, les personnages régressent, et certains choix sont assez étranges à mon goût.
Parlons déjà de la trame principale qui traite de la génétique. Cette réflexion et l'explication derrière l'existence de Chicago sont potentiellement les parties les plus intéressantes de Allégeance. L'eugénisme est un sujet qui a déjà été traité, mais ici j'ai trouvé l'approche un peu différente. Deux points ressortent. Le premier est celui qui, selon certaines études, tend à prouver que nous avons des prédispositions à un certain comportement. la logique voudrait qu'on "éradique" des comportements violents et nocifs pour faire de ces personnes des êtres plus aptes à la vie en société. Une logique qui a ses failles. Les comportements "négatifs" sont une composante globale et en les effaçant, on risque d'effacer des comportements "positifs". L'autre chose est que selon moi, tout n'est pas écrit dans notre code génétique. L'environnement dans lequel on vit, nos relations, nos interactions sont aussi déterminantes pour façonner une personnalité. Veronica Roth aborde cela de manière assez facile et compréhensible malgré la complexité de la chose. Elle nous fait réfléchir, bien que son point de vue est clairement défini dans le roman. Une société, à trop vouloir se contrôler, perd son contrôle. Notre passé est aussi important que notre présent et notre futur. L'élite n'est pas meilleure que le reste de la population. Il y a même un notion de racisme eugénique qui nous ancre un peu plus dans notre société actuelle.
Avec toutes ces explications, les Divergents sont enfin expliqués, tout comme la création de ce Chicago avec des factions. Mais voilà, en entrant dans le "nouveau" monde, celui du Bureau, j'ai eu l'impression de retourner à Chicago. Mêmes problèmes, mêmes schémas. Alors oui, en un sens, cela prouve que les scientifiques menant l'expérience ne sont pas mieux que leurs cobayes qu'ils voient comme des inférieurs, mais cela s'arrête là. En tant que lecteur, personnellement, j'ai assisté à une répétition des tomes un et deux. Nous obtenons beaucoup de réponses, cela va s'en dire, et elles sont crédibles mais j'aurais voulu plus et quelque chose de différents.
Côté personnages... Si je vous dis que Cristina, Uriah, Cara et même Peter et Caleb sont ceux qui sortent du lot... Ce n'est pas très bon signe. Car oui, les personnages secondaires évoluent alors que nos deux héros régressent. Que la Tris et le Tobias du premier tome me manquent. J'ai eu l'impression de voir deux adolescents en permanence, alors que je m'étais fait une image plus adulte et mature d'eux. Tris est constamment en colère. C'est épuisant, et quelque fois cela lui donne l'image d'une enfant capricieuse. Ses actes héroïques se transforment en actes irréfléchis, trop spontanés, plein de haine. Oui, elle a souffert, mais nous avons en face de nous quelqu'un qui se place au-dessus des autres sans le vouloir. Elle devient ce qu'est le Bureau en quelque sorte. Tobias, lui, n'est plus le roc que j'ai découvert. Il a lui aussi souffert, mais depuis le tome deux, c'est un autre homme que nous voyons : trop émotif, irréfléchi, se sentant menacé... Au lieu de nous montrer un homme fragile et plein de doutes, c'est un enfant apeuré que nous suivons. Et c'est frustrant au possible quand on a connu un tel potentiel au début de la saga.
Autre point frustrant : l'alternance des chapitres entre Tris et Tobias. Je comprends le choix, mais il a été trop perturbant durant la lecture. J'avais parfois du mal à me situer et à savoir qui parlait. Oui, cela permet d'avoir une vue d'ensemble de l'histoire, mais construit de façon plus distinctif, cela aurait été un plus.
Nous arrivons au moment fatidique : la fin et le sacrifice d'un personnage. Je l'ai trouvé bancal pour tout vous dire. Tout se passe de façon trop précipité, et je suis certaine qu'il y avait une autre alternative à cela. Cette impression de tout ça pour ça, ne me quitte pas. Je pense que l'auteur aurait pu aller dans ce sens, sans avoir autant de critiques, si ce sacrifice avait été différent dans le traitement. Je n'ai pas versé de larmes, et pas seulement parce je savais ce qui allait arriver. Je n'avais plus d'attachement envers ce personnage.
Reste que l'épilogue et la fin sont tout de même sympathiques (après l'événement du sacrifice). J'ai aimé ce qu'il se passe après "l'affrontement" et aussi de voir ce que les personnages survivants étaient advenus. Il y a comme un regain d'espoir en l'humanité, une vision moins noire et plus apaisée. La saga se termine d'ailleurs de façon sereine. Un bon point malgré le fait que je pense sincèrement que l'auteur est passée à côté de quelque chose. Il y avait un tel potentiel et je suis attristée de voir qu'il n'a pas été exploité.
Après la révélation d'Edith Prior, les différentes communautés de Chicago se voient une nouvelle fois en péril. La stabilité n'est plus de mise et la guerre civile est proche. C'est donc dans un monde encore plus instable que nous plongeons, et nos héros sont bien décidés à faire en sorte que cela ne se produise pas. Mais est-ce que leur solution est la bonne ? Et que vont-ils découvrir en dehors de leur enceinte ? Est-ce que ce nouveau monde, synonyme de seconde chance et de réponses sera à la hauteur des espérances du groupe qui s'échappe de Chicago ? Entre troubles, questionnement, remise en question et vérité, ce tome alterne assez bien avec un peu d'action, de réflexion et de conclusion. Mais voilà, cela ne suffit pas du tout à en faire une bonne fin. Il manque d'originalité, les personnages régressent, et certains choix sont assez étranges à mon goût.
Parlons déjà de la trame principale qui traite de la génétique. Cette réflexion et l'explication derrière l'existence de Chicago sont potentiellement les parties les plus intéressantes de Allégeance. L'eugénisme est un sujet qui a déjà été traité, mais ici j'ai trouvé l'approche un peu différente. Deux points ressortent. Le premier est celui qui, selon certaines études, tend à prouver que nous avons des prédispositions à un certain comportement. la logique voudrait qu'on "éradique" des comportements violents et nocifs pour faire de ces personnes des êtres plus aptes à la vie en société. Une logique qui a ses failles. Les comportements "négatifs" sont une composante globale et en les effaçant, on risque d'effacer des comportements "positifs". L'autre chose est que selon moi, tout n'est pas écrit dans notre code génétique. L'environnement dans lequel on vit, nos relations, nos interactions sont aussi déterminantes pour façonner une personnalité. Veronica Roth aborde cela de manière assez facile et compréhensible malgré la complexité de la chose. Elle nous fait réfléchir, bien que son point de vue est clairement défini dans le roman. Une société, à trop vouloir se contrôler, perd son contrôle. Notre passé est aussi important que notre présent et notre futur. L'élite n'est pas meilleure que le reste de la population. Il y a même un notion de racisme eugénique qui nous ancre un peu plus dans notre société actuelle.
Avec toutes ces explications, les Divergents sont enfin expliqués, tout comme la création de ce Chicago avec des factions. Mais voilà, en entrant dans le "nouveau" monde, celui du Bureau, j'ai eu l'impression de retourner à Chicago. Mêmes problèmes, mêmes schémas. Alors oui, en un sens, cela prouve que les scientifiques menant l'expérience ne sont pas mieux que leurs cobayes qu'ils voient comme des inférieurs, mais cela s'arrête là. En tant que lecteur, personnellement, j'ai assisté à une répétition des tomes un et deux. Nous obtenons beaucoup de réponses, cela va s'en dire, et elles sont crédibles mais j'aurais voulu plus et quelque chose de différents.
Côté personnages... Si je vous dis que Cristina, Uriah, Cara et même Peter et Caleb sont ceux qui sortent du lot... Ce n'est pas très bon signe. Car oui, les personnages secondaires évoluent alors que nos deux héros régressent. Que la Tris et le Tobias du premier tome me manquent. J'ai eu l'impression de voir deux adolescents en permanence, alors que je m'étais fait une image plus adulte et mature d'eux. Tris est constamment en colère. C'est épuisant, et quelque fois cela lui donne l'image d'une enfant capricieuse. Ses actes héroïques se transforment en actes irréfléchis, trop spontanés, plein de haine. Oui, elle a souffert, mais nous avons en face de nous quelqu'un qui se place au-dessus des autres sans le vouloir. Elle devient ce qu'est le Bureau en quelque sorte. Tobias, lui, n'est plus le roc que j'ai découvert. Il a lui aussi souffert, mais depuis le tome deux, c'est un autre homme que nous voyons : trop émotif, irréfléchi, se sentant menacé... Au lieu de nous montrer un homme fragile et plein de doutes, c'est un enfant apeuré que nous suivons. Et c'est frustrant au possible quand on a connu un tel potentiel au début de la saga.
Autre point frustrant : l'alternance des chapitres entre Tris et Tobias. Je comprends le choix, mais il a été trop perturbant durant la lecture. J'avais parfois du mal à me situer et à savoir qui parlait. Oui, cela permet d'avoir une vue d'ensemble de l'histoire, mais construit de façon plus distinctif, cela aurait été un plus.
Nous arrivons au moment fatidique : la fin et le sacrifice d'un personnage. Je l'ai trouvé bancal pour tout vous dire. Tout se passe de façon trop précipité, et je suis certaine qu'il y avait une autre alternative à cela. Cette impression de tout ça pour ça, ne me quitte pas. Je pense que l'auteur aurait pu aller dans ce sens, sans avoir autant de critiques, si ce sacrifice avait été différent dans le traitement. Je n'ai pas versé de larmes, et pas seulement parce je savais ce qui allait arriver. Je n'avais plus d'attachement envers ce personnage.
Reste que l'épilogue et la fin sont tout de même sympathiques (après l'événement du sacrifice). J'ai aimé ce qu'il se passe après "l'affrontement" et aussi de voir ce que les personnages survivants étaient advenus. Il y a comme un regain d'espoir en l'humanité, une vision moins noire et plus apaisée. La saga se termine d'ailleurs de façon sereine. Un bon point malgré le fait que je pense sincèrement que l'auteur est passée à côté de quelque chose. Il y avait un tel potentiel et je suis attristée de voir qu'il n'a pas été exploité.
J'étais très impatiente de découvrir « Marquer les ombres ». Je n'ai pas lu la saga « Divergente » mais j'ai vu les films. Beaucoup de gens autour de moi ont lu et apprécié cette série mais beaucoup d'autres ont aussi abandonné au tome 2. J'étais très intriguée de la sortie du nouveau Veronica Roth ! Gros plan marketing (sortie mondiale), très belle couverture, mais aussi avis très mitigés sur les réseaux sociaux… j'avais hâte de me faire mon propre avis… et, personnellement, j'ai été conquise !
J'ai beaucoup aimé l'univers riche et novateur. Avec ce système solaire de neuf planètes reliées par le ruban-flux on est vraiment dans de la science-fiction (ce qui est plutôt rare en ado/young adult). J'ai vraiment apprécié m'évader dans de la SF car cela fait un petit moment que je n'en avais pas lu, et j'affectionne pourtant beaucoup ce genre. Veronica Roth a créé un univers complexe qui se démarque, que ce soit au niveau de la société, des particularités de chaque monde, des pouvoirs, du vocabulaire ou encore des personnages.
Dans son histoire, le flux est une caractéristique omniprésente. C'est une sorte d'énergie qui plane dans tout le cosmos et qui est présente en chacun et chaque chose. J'ai trouvé que c'était une création très originale. Chez les humains, ce flux provoque des dons/pouvoirs, et là aussi j'ai retrouvé une vraie originalité car l'auteure ne s'est pas contenté des pouvoirs basiques que l'on connaît tous (ex : télékinésie, lévitation, télépathie). Il y a des gens qui peuvent échanger leurs souvenirs contre les vôtres, d'autres qui ne ressentent aucune douleur, certains peuvent vous apaiser, d'autres annuler la manifestation de votre don ou encore vous faire souffrir ou vous tuer d'un seul contact. Sur ce dernier pouvoir évoqué, on peut faire sans aucun souci un lien de ressemblance avec la sérié « Insaisissable » de Tahereh Mafi ou bien avec « L'héritière » de Melinda Salisbury. Bien sûr, les pouvoirs des protagonistes de ce livre ne sont pas tous méconnus. Certains personnages contrôlent l'électricité et d'autres voient l'avenir. Mais je trouve tout de même que l'autre n'est pas tombé dans la facilité. Avec les oracles par exemple, leurs visions ne sont pas simples à décrypter. Ils voient plusieurs futurs et ne savent pas lequel va se réaliser, cela dépend de plein de paramètres différents.
Au niveau des personnages, même si la romance est un peu cliché et qu'elle est évidente comme une météorite de 3km, elle m'a plu. L'histoire de Cyra et Akos m'a fait songé à Kestrel et Arin dans « The curse » de Marie Rutkoski (ce qui n'est pas pour me déplaire).
Ils m'ont beaucoup touché tous les deux et j'ai apprécié ne pas avoir de triangle amoureux.
J'ai aimé leurs failles et leurs interrogations respectives. Cyra souffre en permanence, son don est en réalité une malédiction. C'est un point que j'ai également apprécié dans « Marquer les ombres », même si tous les personnages ont des pouvoirs, on n'a pas affaire à une bande de super-héros ultra balèzes. Leurs pouvoirs sont loin d'être tous une bénédiction, ils sont parfois/souvent un fléau. Akos, quant à lui, m'a ému également. J'ai beaucoup apprécié sa sensibilité, il est rare de voir intervenir un protagoniste masculin qui n'est pas bourré de testostérone mais d'émotions.
Là encore, malgré la romance sans surprise, j'ai trouvé que Veronica Roth ne tombait pas dans la facilité au niveau des personnalités de ses personnages. Pas manichéens, ils ont tous leurs faiblesses et il n'est pas aisé de cerner la psychologie de chacun, surtout celle de Ryzek… ! Barge sadique ? Émotif en grande souffrance ? Schizophrène ? Sûrement un peu tout à la fois…
Même si je ressors conquise de ma lecture, « Marquer les ombres » n'est malheureusement pas sans défaut. J'ai rencontré quelques coquilles, problèmes de nom et problèmes de temps.
Certaines descriptions de l'auteure sont précises alors que pour d'autres j'ai eu l'impression qu'elle utilisait un raccourci comme si elle-même n'avait pas les réponses. Notamment dans la description du ruban-flux, par moment cela reste un peu flou je trouve… j'aurai aimé que ce soit davantage développé. Ou encore pour l'évasion de je-ne-dirai-pas-qui, cela reste un peu brouillon et énigmatique. Ou pour l'écorchage de je-ne-dirai-pas-qui-non-plus, ce n'était pas totalement explicite dans un premier temps. Tout ces points ne sont pas très clairs, et c'est dommage. C'est ce qui m'a fait enlever une étoile.
Même si je relève quelques défauts, j'ai tout de même passé un très bon moment en compagnie de « Marquer les ombres ». Je salue grandement l'imagination de l'univers et sa complexité. J'espère une suite prometteuse et haletante et tout aussi captivante. En ce qui me concerne, je serai au rendez-vous pour le tome 2.
J'ai beaucoup aimé l'univers riche et novateur. Avec ce système solaire de neuf planètes reliées par le ruban-flux on est vraiment dans de la science-fiction (ce qui est plutôt rare en ado/young adult). J'ai vraiment apprécié m'évader dans de la SF car cela fait un petit moment que je n'en avais pas lu, et j'affectionne pourtant beaucoup ce genre. Veronica Roth a créé un univers complexe qui se démarque, que ce soit au niveau de la société, des particularités de chaque monde, des pouvoirs, du vocabulaire ou encore des personnages.
Dans son histoire, le flux est une caractéristique omniprésente. C'est une sorte d'énergie qui plane dans tout le cosmos et qui est présente en chacun et chaque chose. J'ai trouvé que c'était une création très originale. Chez les humains, ce flux provoque des dons/pouvoirs, et là aussi j'ai retrouvé une vraie originalité car l'auteure ne s'est pas contenté des pouvoirs basiques que l'on connaît tous (ex : télékinésie, lévitation, télépathie). Il y a des gens qui peuvent échanger leurs souvenirs contre les vôtres, d'autres qui ne ressentent aucune douleur, certains peuvent vous apaiser, d'autres annuler la manifestation de votre don ou encore vous faire souffrir ou vous tuer d'un seul contact. Sur ce dernier pouvoir évoqué, on peut faire sans aucun souci un lien de ressemblance avec la sérié « Insaisissable » de Tahereh Mafi ou bien avec « L'héritière » de Melinda Salisbury. Bien sûr, les pouvoirs des protagonistes de ce livre ne sont pas tous méconnus. Certains personnages contrôlent l'électricité et d'autres voient l'avenir. Mais je trouve tout de même que l'autre n'est pas tombé dans la facilité. Avec les oracles par exemple, leurs visions ne sont pas simples à décrypter. Ils voient plusieurs futurs et ne savent pas lequel va se réaliser, cela dépend de plein de paramètres différents.
Au niveau des personnages, même si la romance est un peu cliché et qu'elle est évidente comme une météorite de 3km, elle m'a plu. L'histoire de Cyra et Akos m'a fait songé à Kestrel et Arin dans « The curse » de Marie Rutkoski (ce qui n'est pas pour me déplaire).
Ils m'ont beaucoup touché tous les deux et j'ai apprécié ne pas avoir de triangle amoureux.
J'ai aimé leurs failles et leurs interrogations respectives. Cyra souffre en permanence, son don est en réalité une malédiction. C'est un point que j'ai également apprécié dans « Marquer les ombres », même si tous les personnages ont des pouvoirs, on n'a pas affaire à une bande de super-héros ultra balèzes. Leurs pouvoirs sont loin d'être tous une bénédiction, ils sont parfois/souvent un fléau. Akos, quant à lui, m'a ému également. J'ai beaucoup apprécié sa sensibilité, il est rare de voir intervenir un protagoniste masculin qui n'est pas bourré de testostérone mais d'émotions.
Là encore, malgré la romance sans surprise, j'ai trouvé que Veronica Roth ne tombait pas dans la facilité au niveau des personnalités de ses personnages. Pas manichéens, ils ont tous leurs faiblesses et il n'est pas aisé de cerner la psychologie de chacun, surtout celle de Ryzek… ! Barge sadique ? Émotif en grande souffrance ? Schizophrène ? Sûrement un peu tout à la fois…
Même si je ressors conquise de ma lecture, « Marquer les ombres » n'est malheureusement pas sans défaut. J'ai rencontré quelques coquilles, problèmes de nom et problèmes de temps.
Certaines descriptions de l'auteure sont précises alors que pour d'autres j'ai eu l'impression qu'elle utilisait un raccourci comme si elle-même n'avait pas les réponses. Notamment dans la description du ruban-flux, par moment cela reste un peu flou je trouve… j'aurai aimé que ce soit davantage développé. Ou encore pour l'évasion de je-ne-dirai-pas-qui, cela reste un peu brouillon et énigmatique. Ou pour l'écorchage de je-ne-dirai-pas-qui-non-plus, ce n'était pas totalement explicite dans un premier temps. Tout ces points ne sont pas très clairs, et c'est dommage. C'est ce qui m'a fait enlever une étoile.
Même si je relève quelques défauts, j'ai tout de même passé un très bon moment en compagnie de « Marquer les ombres ». Je salue grandement l'imagination de l'univers et sa complexité. J'espère une suite prometteuse et haletante et tout aussi captivante. En ce qui me concerne, je serai au rendez-vous pour le tome 2.
Challenge plumes féminines 2022 – n°35
Après plusieurs univers polars, j’avais besoin de changement. Je connais déjà l’histoire par les films que j’adore, je ne voulais pas encore les lire de peur de ne pas aimer. Ça m’est déjà arrivé avec d’autres romans où qu’un seul tome avait été adapté sur la totalité de la série. J’espère que ça ne sera pas le cas avec cet audio de 11h.
Grâce à ce roman, je retrouve la lectrice de Gremlins. Je confirme que c’est bien sa voix qui donne un genre enfantin à l’ensemble. Par contre, elle a toujours le problème de répétition quand elle se trompe. Ça n’aurait pas pu être effacé au montage des séquences ? En tout cas, le premier film semble très proche du roman car à la lecture du second, je visualisais très bien les différentes scènes et je trouve que les différents acteurs ont été bien choisis par rapport aux descriptions de l’auteure. Dès qu’on entre dans le vif du sujet, j’ai eu beaucoup de mal à lâcher le roman pour faire autre chose. Du coup, je l’ai dévoré en quelques jours. Tris est altruiste et lors de son examen de passage, découvre qu’elle est Divergente mais qu’elle ne doit en parler à personne. Elle décide donc de changer de faction car elle ne se sent pas à sa place dans celle de ses parents. Elle devient donc Audacieuse. Son initiation est compliquée mais elle y découvre des amis chers, comme Christina, et un amoureux. J’ai adoré écouter la version de l’auteure pour leur approche amoureuse et leur grande complicité. J’avais l’impression de voir les acteurs dans les différents faits et gestes des personnages du livre. Je n’ai donc eu aucun mal à m’immerger dans ce monde dont on ne sait finalement que peu de choses dans et hors de l’enceinte de la ville. Il me tardait d’en savoir plus malgré le peu d’informations dévoilées par l’auteure, on en sait plus au fur et à mesure des différentes aventures de Tris et des rebondissements de l’histoire. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on n’a vraiment pas le temps de s’ennuyer en compagnie de Tris. Étant divergente, elle réfléchit différemment et elle ne sait pas rester sagement dans son coin à se morfondre. Il faut qu’elle s’active et quelques fois au péril de sa vie, comme le lui reproche Tobias plus d’une fois.
Comme vous l’aurez compris, ce roman est un gros coup de cœur pour moi. Je ne suis peut-être pas objective car j’adore déjà les films mais le style de l’auteure est vraiment très accessible et vivant. Ça n’a pas été le cas d’autres films que j’ai adoré sans arriver à finir le roman d’origine. Si vous êtes amateurs de dystopie, je vous conseille donc très fortement de découvrir ce premier tome très vivant et rempli d’actions en compagnie d’une jeune fille très courageuse. Pour ma part, je vais dévorer la suite.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Après plusieurs univers polars, j’avais besoin de changement. Je connais déjà l’histoire par les films que j’adore, je ne voulais pas encore les lire de peur de ne pas aimer. Ça m’est déjà arrivé avec d’autres romans où qu’un seul tome avait été adapté sur la totalité de la série. J’espère que ça ne sera pas le cas avec cet audio de 11h.
Grâce à ce roman, je retrouve la lectrice de Gremlins. Je confirme que c’est bien sa voix qui donne un genre enfantin à l’ensemble. Par contre, elle a toujours le problème de répétition quand elle se trompe. Ça n’aurait pas pu être effacé au montage des séquences ? En tout cas, le premier film semble très proche du roman car à la lecture du second, je visualisais très bien les différentes scènes et je trouve que les différents acteurs ont été bien choisis par rapport aux descriptions de l’auteure. Dès qu’on entre dans le vif du sujet, j’ai eu beaucoup de mal à lâcher le roman pour faire autre chose. Du coup, je l’ai dévoré en quelques jours. Tris est altruiste et lors de son examen de passage, découvre qu’elle est Divergente mais qu’elle ne doit en parler à personne. Elle décide donc de changer de faction car elle ne se sent pas à sa place dans celle de ses parents. Elle devient donc Audacieuse. Son initiation est compliquée mais elle y découvre des amis chers, comme Christina, et un amoureux. J’ai adoré écouter la version de l’auteure pour leur approche amoureuse et leur grande complicité. J’avais l’impression de voir les acteurs dans les différents faits et gestes des personnages du livre. Je n’ai donc eu aucun mal à m’immerger dans ce monde dont on ne sait finalement que peu de choses dans et hors de l’enceinte de la ville. Il me tardait d’en savoir plus malgré le peu d’informations dévoilées par l’auteure, on en sait plus au fur et à mesure des différentes aventures de Tris et des rebondissements de l’histoire. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on n’a vraiment pas le temps de s’ennuyer en compagnie de Tris. Étant divergente, elle réfléchit différemment et elle ne sait pas rester sagement dans son coin à se morfondre. Il faut qu’elle s’active et quelques fois au péril de sa vie, comme le lui reproche Tobias plus d’une fois.
Comme vous l’aurez compris, ce roman est un gros coup de cœur pour moi. Je ne suis peut-être pas objective car j’adore déjà les films mais le style de l’auteure est vraiment très accessible et vivant. Ça n’a pas été le cas d’autres films que j’ai adoré sans arriver à finir le roman d’origine. Si vous êtes amateurs de dystopie, je vous conseille donc très fortement de découvrir ce premier tome très vivant et rempli d’actions en compagnie d’une jeune fille très courageuse. Pour ma part, je vais dévorer la suite.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Ce roman est un coup de cœur pour moi qui ne suis pas adepte de la littérature fantastique (sauf Harry Potter), mais ceci mérite bien une grosse remise en question à présent !
J'en suis venue à lire ce roman à la suite de la découverte du film avec les jeunes de la maison. Le film m'a en effet vraiment accrochée.
J'ai juste acheté le tome 1 parce que, comme c'est une auteure américaine et que je ne lis pas aisément dans la langage de Shakespeare, je n'avais d'autre choix de me contenter d'une traduction. Je dois dire que mes appréhensions sont vite tombées : pas de coquille flagrante dans cette traduction et donc une attention intacte portée à l'intrigue.
J'aime beaucoup l'histoire créée par cette très jeune auteure (22 ans lors de l'écriture de ce premier opus). L'idée de la création de cinq factions, correspondant à cinq types de personnalités reprenant toutes les caractéristiques d'une qualité (avec une période d'initiation) dans le but de lutter contre les défaut humains responsables des guerres, m'a fortement séduite d'emblée. Le roman vient ici compléter ce qui m'a, sans doute, échappé dans le film.
Malgré le fait que j'avais vu le film et connaissait l'issue, cette lecture a été totalement addictive.
C'est une lecture à mettre entre toutes les mains, que je ne peux que recommander !
Voyant que je terminerais vite ce premier volume, je me suis précipitée à la bibliothèque pour avoir les volumes suivants... Je vous laisse donc pour poursuivre cette belle découverte !
"Divergente raconté par Quatre !"
Après avoir fini les 3 premiers tomes, je me devais de lire celui-ci. Je l’ai donc lu ou plutôt dévoré !
C’est tres intéressant et on apprendre beaucoup de chose sur la vie de Quatre ; on découvre ce qu’il fesait dans le dos de Tris. J’ai bien aimé ! Je comprends par contre, pourquoi Veronica Roth dit au début qu’elle etait sur une impasse dans le récit ; Quatre ne correspond pas comme héros. Comme dans le 3eme tome, Quatre est plutôt décevant mais largement moins que dans le 3eme tome.
J’ai par contre été déçu que l’on balance directement la partie "fin" de l'initiation sans les voir s’entraîner au combat. J’ai aussi été très très déçu que l’on ne voit pas la rencontre de Quatre et de Tris après le saut dans l’histoire. On ne voit même pas la scène où l’on présente aux novices et ça, ça m’a vraiment beaucoup déçu. C’est tres dommage car c’était la scène que j’attendais depuis le début...
J’ai quand même bien aimé ce livre et en particulier le fait que l’on soit un peu dans la peau de Tobias au début pour voir sa vie d’avant (c’est là que l’on découvre que sa vie était complètement Altruiste, rien d’Audacieux. Il n’a pris ce choix que par peur pour partir loin de son père. Avant que Tris arrive, je voyais Tobias comme un enfant, après qu’il y ai Tris, il a changé et est devenu un "presqu’adulte". Le fait que Tris et Tobias ne traîne pas ensemble m’a surpris. Je pensais qu’il sortait ensemble dans le 1er tome... ou peut-être que Veronica Roth n’a pas mis ces scènes...
J’ai adoré et ça m’avais fait rire, le moment où Marlène se met une brioche sur la tête et défie Uriah de tirer dessus sans la tuer ; et bien, Zeke, Tobias et Shauna le découvre en allant dans la salle de tire mais surtout, c’est que l’on a le moment ou Marlène la mange ! C’était très drôle, surtout si vous avez lu le 1er tome !
J’ai bien aimé ce livre et je vous le recommande fortement si vous avez lu le 1, 2, et le 3 tomets car quelques explications sont apportées et c’est donc très intéressant d’être dans la peau de Tobias Altruiste et de Tobias Audacieux, Instructeur et Petit-Ami de Tris !
Bonne lecture !
P.S.: c’est ma 100eme critique ! 🥳
Lien : https://www.babelio.com/aute..
Après avoir fini les 3 premiers tomes, je me devais de lire celui-ci. Je l’ai donc lu ou plutôt dévoré !
C’est tres intéressant et on apprendre beaucoup de chose sur la vie de Quatre ; on découvre ce qu’il fesait dans le dos de Tris. J’ai bien aimé ! Je comprends par contre, pourquoi Veronica Roth dit au début qu’elle etait sur une impasse dans le récit ; Quatre ne correspond pas comme héros. Comme dans le 3eme tome, Quatre est plutôt décevant mais largement moins que dans le 3eme tome.
J’ai par contre été déçu que l’on balance directement la partie "fin" de l'initiation sans les voir s’entraîner au combat. J’ai aussi été très très déçu que l’on ne voit pas la rencontre de Quatre et de Tris après le saut dans l’histoire. On ne voit même pas la scène où l’on présente aux novices et ça, ça m’a vraiment beaucoup déçu. C’est tres dommage car c’était la scène que j’attendais depuis le début...
J’ai quand même bien aimé ce livre et en particulier le fait que l’on soit un peu dans la peau de Tobias au début pour voir sa vie d’avant (c’est là que l’on découvre que sa vie était complètement Altruiste, rien d’Audacieux. Il n’a pris ce choix que par peur pour partir loin de son père. Avant que Tris arrive, je voyais Tobias comme un enfant, après qu’il y ai Tris, il a changé et est devenu un "presqu’adulte". Le fait que Tris et Tobias ne traîne pas ensemble m’a surpris. Je pensais qu’il sortait ensemble dans le 1er tome... ou peut-être que Veronica Roth n’a pas mis ces scènes...
J’ai adoré et ça m’avais fait rire, le moment où Marlène se met une brioche sur la tête et défie Uriah de tirer dessus sans la tuer ; et bien, Zeke, Tobias et Shauna le découvre en allant dans la salle de tire mais surtout, c’est que l’on a le moment ou Marlène la mange ! C’était très drôle, surtout si vous avez lu le 1er tome !
J’ai bien aimé ce livre et je vous le recommande fortement si vous avez lu le 1, 2, et le 3 tomets car quelques explications sont apportées et c’est donc très intéressant d’être dans la peau de Tobias Altruiste et de Tobias Audacieux, Instructeur et Petit-Ami de Tris !
Bonne lecture !
P.S.: c’est ma 100eme critique ! 🥳
Lien : https://www.babelio.com/aute..
Aujourd'hui, je prend la décision solennelle de faire une vraie critique construite et organisée de ce livre plutôt que de balancer en vrac tout ce qui me vient à l'esprit.
Premièrement, l'univers dans lequel se déroule l'histoire est à l'image de l'univers dystopique type (qu'on retrouve dans Promise, Hunger Games et j'en passe) : une société divisée en caste, des individus noyés dans une communauté, des populations contrôlées, et au milieu de ça quelques "rebelles".
En réalité, le système des castes n’apparaît pas comme une aberration au début, mais il le devient lorsque on apprend le devenir des sans-faction et les principe de l'initiation à suivre pour devenir, au choix, un Audacieux, un Sincère, Un Erudit ou un Altruiste.
L'univers est complexe mais l'auteur réussit à ne pas se perdre dans des descriptions fastidieuse et distille avec talent les informations nécessaires au fur et à mesure de l'histoire.
Cette dernière est racontée à travers les yeux de Béatrice, alias Tris. A la base Altruiste, elle ne s'est jamais sentie à sa place dans sa caste et son test d'aptitude révèle qu'elle correspond à plusieurs factions en même temps. Elle est Divergente, et donc en danger de mort. Une héroïne hors du commun donc, puisque malgré ses apparences vulnérable et ses pulsions Altruistes, elle est d'une force de caractère et d'une combativité remarquable et affronte tous les dangers sans se soucier de la peur. Elle est pourtant loin d'être parfaite : la culpabilité la ronge, ses erreurs de jugements lui coûtent cher et sa gentillesse, des lors qu'elle rejoint les Audacieux, disparaît peu à peu sous une dure couche de froideur.
Les notions de peur, de courage, de lâcheté, sont au centre de ce livre. Soumis à des tests violents, brutaux, parfois humiliants, les novices sont de plus soumis à la pression de la compétition et notre héroïne ne pourra pas toujours compter sur le soutien de ses camarades ou instructeurs déments. Cela contribue à mettre en place une ambiance de peur, d'autant que l'auteur n'hésite pas à faire mourir ou disparaître ses personnages dans des conditions plutôt atroces, si bien que la survie de Tris touche au miracle. Une ambiance oppressante donc, de suspicion et de dangers sans cesse défiés, tandis qu'au dehors, une autre faction prépare subtilement la guerre, à coup de contrôle cérébral et de simulation.
Ne nous y trompons pas, ce monde a bel et bien été perverti, pourtant quelque chose reste des idées d’antan et de l'origine des factions, quelque chose que Tris ressent. Les relations entre les personnages en sont, bien amenés et parfaitement cohérentes, comme je les aime. Amis ou ennemis, les réactions des personnages secondaires, si elles ne sont pas toujours celles qu'on attend ou qu'on espère, correspondent toujours au caractère donné. Un tour de force en particulier pour Tris, à la fois forte et vulnérable, altruiste et audacieuse, dure, violente et attachante. Et amoureuse, car elle reste une jeune fille de 17 ans.
En conclusion, un livre que je recommande mais peut-être pas aux âmes sensibles car certains passages sont sanglants.
Premièrement, l'univers dans lequel se déroule l'histoire est à l'image de l'univers dystopique type (qu'on retrouve dans Promise, Hunger Games et j'en passe) : une société divisée en caste, des individus noyés dans une communauté, des populations contrôlées, et au milieu de ça quelques "rebelles".
En réalité, le système des castes n’apparaît pas comme une aberration au début, mais il le devient lorsque on apprend le devenir des sans-faction et les principe de l'initiation à suivre pour devenir, au choix, un Audacieux, un Sincère, Un Erudit ou un Altruiste.
L'univers est complexe mais l'auteur réussit à ne pas se perdre dans des descriptions fastidieuse et distille avec talent les informations nécessaires au fur et à mesure de l'histoire.
Cette dernière est racontée à travers les yeux de Béatrice, alias Tris. A la base Altruiste, elle ne s'est jamais sentie à sa place dans sa caste et son test d'aptitude révèle qu'elle correspond à plusieurs factions en même temps. Elle est Divergente, et donc en danger de mort. Une héroïne hors du commun donc, puisque malgré ses apparences vulnérable et ses pulsions Altruistes, elle est d'une force de caractère et d'une combativité remarquable et affronte tous les dangers sans se soucier de la peur. Elle est pourtant loin d'être parfaite : la culpabilité la ronge, ses erreurs de jugements lui coûtent cher et sa gentillesse, des lors qu'elle rejoint les Audacieux, disparaît peu à peu sous une dure couche de froideur.
Les notions de peur, de courage, de lâcheté, sont au centre de ce livre. Soumis à des tests violents, brutaux, parfois humiliants, les novices sont de plus soumis à la pression de la compétition et notre héroïne ne pourra pas toujours compter sur le soutien de ses camarades ou instructeurs déments. Cela contribue à mettre en place une ambiance de peur, d'autant que l'auteur n'hésite pas à faire mourir ou disparaître ses personnages dans des conditions plutôt atroces, si bien que la survie de Tris touche au miracle. Une ambiance oppressante donc, de suspicion et de dangers sans cesse défiés, tandis qu'au dehors, une autre faction prépare subtilement la guerre, à coup de contrôle cérébral et de simulation.
Ne nous y trompons pas, ce monde a bel et bien été perverti, pourtant quelque chose reste des idées d’antan et de l'origine des factions, quelque chose que Tris ressent. Les relations entre les personnages en sont, bien amenés et parfaitement cohérentes, comme je les aime. Amis ou ennemis, les réactions des personnages secondaires, si elles ne sont pas toujours celles qu'on attend ou qu'on espère, correspondent toujours au caractère donné. Un tour de force en particulier pour Tris, à la fois forte et vulnérable, altruiste et audacieuse, dure, violente et attachante. Et amoureuse, car elle reste une jeune fille de 17 ans.
En conclusion, un livre que je recommande mais peut-être pas aux âmes sensibles car certains passages sont sanglants.
Aussitôt après avoir terminé ma relecture du premier tome de Divergente que je me suis attaquée au deuxième !!
J'ai relu ce second volet avec plaisir, l'histoire est toujours prenante et j'aime toujours autant le personnage de Tris. C'est drôle comment chaque évènement m'est revenu petit à petit ^^' A la fois je m'en souvenais et je ne m'en souvenais pas... C'est difficilement descriptible, n'empêche que ce cliffhanger de fin est assez ouf aha !! Veronica Roth a parfaitement su nous donner envie de savoir la suite et je sais que je vais commencer ma relecture du troisième tome dès ce soir !
Je comprends tellement Tris quand elle dit qu'elle a marre de se battre pour continuer de vivre... Même si elle change d'avis par la suite, je me suis vraiment identifiée aux phrases décrivant ce qu'elle ressent... je me demande si c'est une bonne chose, mais quelque part, je trouve que ce personnage est réellement un exemple ! C'est une héroïne admirable, forte, courageuse, avec des défauts mais cela fait son réalisme, et je reste très attachée à elle ! Elle a un moment où elle en marre de tout, elle est rongée par la culpabilité vis-à-vis de Will, où elle n'a juste plus envie de se battre pour sa survie... mais elle arrive à rebondir et à aller de l'avant, et je l'admire pour cela car tout le monde n'y arrive pas !
Malgré tout je reste sur ma déception comme avec le premier tome : ce sentiment de ne pas adorer autant que la première fois que j'avais lu Divergente. J'ai passé un bon moment sans avoir envie de le dévorer comme j'ai pu ressentir cela pour Hunger Games ou d'autres sagas comme La Guerre des Clans...
Je ne nie pas que j'en suis un peu déçue, j'ai enlevé une demie-étoile mais je reste bien généreuse à noter le livre 4,5/5 malgré tout ^^ :)
J'ai relu ce second volet avec plaisir, l'histoire est toujours prenante et j'aime toujours autant le personnage de Tris. C'est drôle comment chaque évènement m'est revenu petit à petit ^^' A la fois je m'en souvenais et je ne m'en souvenais pas... C'est difficilement descriptible, n'empêche que ce cliffhanger de fin est assez ouf aha !! Veronica Roth a parfaitement su nous donner envie de savoir la suite et je sais que je vais commencer ma relecture du troisième tome dès ce soir !
Je comprends tellement Tris quand elle dit qu'elle a marre de se battre pour continuer de vivre... Même si elle change d'avis par la suite, je me suis vraiment identifiée aux phrases décrivant ce qu'elle ressent... je me demande si c'est une bonne chose, mais quelque part, je trouve que ce personnage est réellement un exemple ! C'est une héroïne admirable, forte, courageuse, avec des défauts mais cela fait son réalisme, et je reste très attachée à elle ! Elle a un moment où elle en marre de tout, elle est rongée par la culpabilité vis-à-vis de Will, où elle n'a juste plus envie de se battre pour sa survie... mais elle arrive à rebondir et à aller de l'avant, et je l'admire pour cela car tout le monde n'y arrive pas !
Malgré tout je reste sur ma déception comme avec le premier tome : ce sentiment de ne pas adorer autant que la première fois que j'avais lu Divergente. J'ai passé un bon moment sans avoir envie de le dévorer comme j'ai pu ressentir cela pour Hunger Games ou d'autres sagas comme La Guerre des Clans...
Je ne nie pas que j'en suis un peu déçue, j'ai enlevé une demie-étoile mais je reste bien généreuse à noter le livre 4,5/5 malgré tout ^^ :)
Science-fiction légère pour public au cœur jeune : une adolescente rebelle raconte ce qu’elle vit dans une société post-apocalyptique où les habitants sont regroupés en factions spécialisées.
À seize ans, il est temps de faire un choix, de décider où aller, mais ce n’est pas facile. Se pourrait-il qu’on soit attiré par plus d’une faction ?
Les ambivalences de l’héroïne touchent sûrement des émotions profondes chez beaucoup d’ados : ne pas se sentir tout à fait à sa place dans les carcans sociaux, vouloir être intégré dans une bande, mais avoir du mal à renoncer aux amis des autres groupes. Dans nos sociétés, c’est aussi l’âge de faire des choix scolaires et professionnels qui engagent l’avenir, opter pour gagner sa vie comme comptable plutôt que de faire de la littérature, étudier le génie ou quitter l’école pour travailler dans la boutique familiale. Sans oublier peut-être de tomber amoureux pour la première fois…
Devant ces choix, la jeune Béatrice opte pour la liberté des Audacieux, un groupe où le courage et la liberté sont des valeurs dominantes. Personnellement, je n’ai beaucoup apprécié ni leur côté « Jackass » qui affronte des dangers mortels sans raison, ni les « combats extrêmes » où tous les coups sont permis. J’ai cependant souri lorsque leurs prouesses m’ont rappelé l’ivresse des sensations fortes que j’ai vécues d’un saut en parachute.
Un texte facile et agréable à lire, prônant de belles valeurs de loyauté et de courage, avec des personnages principaux plus doués que possible, mais humains et attachants. Il s’agit de littérature jeunesse, pas du tout la même catégorie qu’un Hypérion, un Dune ou une Horde du contrevent.
Sûre de passer un bon moment et de ne pas en récolter de maux de tête, je continue sans hésiter vers le tome 2.
À seize ans, il est temps de faire un choix, de décider où aller, mais ce n’est pas facile. Se pourrait-il qu’on soit attiré par plus d’une faction ?
Les ambivalences de l’héroïne touchent sûrement des émotions profondes chez beaucoup d’ados : ne pas se sentir tout à fait à sa place dans les carcans sociaux, vouloir être intégré dans une bande, mais avoir du mal à renoncer aux amis des autres groupes. Dans nos sociétés, c’est aussi l’âge de faire des choix scolaires et professionnels qui engagent l’avenir, opter pour gagner sa vie comme comptable plutôt que de faire de la littérature, étudier le génie ou quitter l’école pour travailler dans la boutique familiale. Sans oublier peut-être de tomber amoureux pour la première fois…
Devant ces choix, la jeune Béatrice opte pour la liberté des Audacieux, un groupe où le courage et la liberté sont des valeurs dominantes. Personnellement, je n’ai beaucoup apprécié ni leur côté « Jackass » qui affronte des dangers mortels sans raison, ni les « combats extrêmes » où tous les coups sont permis. J’ai cependant souri lorsque leurs prouesses m’ont rappelé l’ivresse des sensations fortes que j’ai vécues d’un saut en parachute.
Un texte facile et agréable à lire, prônant de belles valeurs de loyauté et de courage, avec des personnages principaux plus doués que possible, mais humains et attachants. Il s’agit de littérature jeunesse, pas du tout la même catégorie qu’un Hypérion, un Dune ou une Horde du contrevent.
Sûre de passer un bon moment et de ne pas en récolter de maux de tête, je continue sans hésiter vers le tome 2.
Un livre dévoré, lu à la vitesse du TGV, dont on tourne les pages sans plus s'arrêter est-il un livre qu'on a forcément adoré ?
Disons que c'est comme un gros Magnum à l'amande qu'on se dépêche de finir parce qu'on a peur qu'il fonde mais surtout parce que grignoter le chocolat qui croustille, ça c'est divin ! Une fois la glace terminée, on se dit : "Mouii... c'était pas si extraordinaire que ça..Faut s'avaler une grosse quantité de crème glacée plutôt passable au niveau goût juste pour le plaisir du chocolat qui craque.." On se dit alors que c'est le dernier qu'on mange... Hmmm mon œil ! On y retourne quand même ! Avec un sentiment de honte, je vous l'avoue. Quoi ??!! Tu t'empiffres de cet énorme dessert bourré de sucre, de matières grasses et de produits chimiques alors que tu n'as même pas faim ? Ô vilaine gourmandise...
Oui c'est tout à fait l'effet que me fait ce genre de livres.
J'ai dévoré le tout un peu honteuse de prendre plaisir à lire ce roman pour adolescente, à l'écriture simpliste et fade.
Bah.. ce n' est certes pas de la littérature de haute volée, ce n'est pas non plus une histoire qui vaut son pesant d'or.. et puis qu'importe ?
Comme dirait Alfred de Musset...
Ma fille l'a dévoré avant moi, m'en a fait plein d'éloges. Je n'ai pas l'habitude de lire ce genre de romans qu'on appelle dystopie mais la curiosité l'a emporté.
Et je comprends bien maintenant pourquoi elle l'a adoré.
Ce roman écrit par une américaine de vingt-deux ans reprend toutes les ficelles étudiées pour faire pâmer les adolescentes..Une héroïne pas spécialement jolie mais courageuse et différente des autres, un beau mec pas spécialement gentil -mais dieu ce qu'il est beau, fort et intelligent-, une famille attachante mais qu'on renie parce qu'à cet âge-là un peu de rébellion ça aide à grandir, un milieu hostile, une bonne dose d'amitié, une jolie romance qui fait naître les "papillons dans le ventre" (comme je l'ai lu dans de nombreuses critiques) et puis pour enrober le tout de la violence. Souvent gratuite..
Voilà.. l'auteure s'est laissée mener par ses propres divagations, ses propres rêves, ses propres sensations d'adolescente...qui ressemblent évidemment à bien des jeunes filles de son âge d'où l'engouement pour ce livre ! On ne peut pas lui en vouloir !
Disons que c'est comme un gros Magnum à l'amande qu'on se dépêche de finir parce qu'on a peur qu'il fonde mais surtout parce que grignoter le chocolat qui croustille, ça c'est divin ! Une fois la glace terminée, on se dit : "Mouii... c'était pas si extraordinaire que ça..Faut s'avaler une grosse quantité de crème glacée plutôt passable au niveau goût juste pour le plaisir du chocolat qui craque.." On se dit alors que c'est le dernier qu'on mange... Hmmm mon œil ! On y retourne quand même ! Avec un sentiment de honte, je vous l'avoue. Quoi ??!! Tu t'empiffres de cet énorme dessert bourré de sucre, de matières grasses et de produits chimiques alors que tu n'as même pas faim ? Ô vilaine gourmandise...
Oui c'est tout à fait l'effet que me fait ce genre de livres.
J'ai dévoré le tout un peu honteuse de prendre plaisir à lire ce roman pour adolescente, à l'écriture simpliste et fade.
Bah.. ce n' est certes pas de la littérature de haute volée, ce n'est pas non plus une histoire qui vaut son pesant d'or.. et puis qu'importe ?
Comme dirait Alfred de Musset...
Ma fille l'a dévoré avant moi, m'en a fait plein d'éloges. Je n'ai pas l'habitude de lire ce genre de romans qu'on appelle dystopie mais la curiosité l'a emporté.
Et je comprends bien maintenant pourquoi elle l'a adoré.
Ce roman écrit par une américaine de vingt-deux ans reprend toutes les ficelles étudiées pour faire pâmer les adolescentes..Une héroïne pas spécialement jolie mais courageuse et différente des autres, un beau mec pas spécialement gentil -mais dieu ce qu'il est beau, fort et intelligent-, une famille attachante mais qu'on renie parce qu'à cet âge-là un peu de rébellion ça aide à grandir, un milieu hostile, une bonne dose d'amitié, une jolie romance qui fait naître les "papillons dans le ventre" (comme je l'ai lu dans de nombreuses critiques) et puis pour enrober le tout de la violence. Souvent gratuite..
Voilà.. l'auteure s'est laissée mener par ses propres divagations, ses propres rêves, ses propres sensations d'adolescente...qui ressemblent évidemment à bien des jeunes filles de son âge d'où l'engouement pour ce livre ! On ne peut pas lui en vouloir !
Ce dernier tome m'a BOULEVERSÉE. Je l'ai adoré, mais en même temps, il m'a anéantie. Je pense que je ne me remettrai pas de ce livre de sitôt. Une chose est sûre : cet univers et les personnages vont me manquer.
D'abord, je dois avouer que j'ai eu un peu de mal à me replonger dans l'histoire : j'avais lu le deuxième tome il y a de cela un an et demi. Par contre, j'ai consulté quelques sites qui révélaient l'intrigue d'Insurgés, ce qui m'a aidée. Ainsi, les 60 premières pages passées, j'étais lancée. D'autant plus que l'histoire est totalement différente ; le monde l'est aussi.
Je m'ennuyais de cet univers, de cette dystopie si originale avec le monde des factions, de la divergence, etc. Dans ce dernier opus, tout cela prend son sens. On découvre ce que veut réellement dire être divergent, ce que cela implique et ainsi de suite. On comprend aussi pourquoi les factions ont vu le jour, à quoi elles servent... Ce tome est bourré de révélations. J'étais contente de découvrir tous les aspects de cette dystopie, rien n'a été laissé de côté. On peut vraiment dire que c'était complet.
Je ne peux pas parler de ce tome sans parler de Tobias (ou encore Quatre, si vous préférez). Ce personnage est certainement l'un de mes préférés de tous les livres que j'ai lus. Rarement je m'étais autant attachée à un jeune homme fictif... Je suis dingue de lui ! Il est fort et doux à la fois, attentionné, parfait. D'avoir son point de vue, sa narration, m'a conquise. J'ai adoré être dans ses pensées et voir les choses à sa façon. Sa relation avec Tris connaît des hauts et des bas, mais au final, leur relation est plus forte que tout. Ce couple est l'un des plus beaux et des plus attachants à mes yeux. Tris, quant à elle, est tellement courageuse. Elle n'a peur de rien, est prête à tout... Je l'adore. Ces personnages m'ont marquée pour toujours.
L'histoire de ce dernier tome est totalement différente. En effet, les protagonistes (Tris, Tobias, Christina, Peter, Uriah et d'autres) ont décidé de quitter la ville qu'ils ont toujours connue pour se rendre de l'autre côté de la Clôture : au Bureau génétique. C'est là que les révélations fusent, qu'on se rend compte que rien n'est acquis, que rien n'est comme on le pensait. Les factions n'ont plus la même importance, etc. Des mensonges sont éclaircis et je peux dire que j'ai ressenti de la rage. Je ne me suis pas vraiment attachée aux nouveaux personnages, sinon peut-être à Matthew. Quant à David et Nita... je leur voue une haine sans borne.
Du côté de la ville, il y a aussi beaucoup d'action et j'ai aimé l'issue des choses. En effet, nous savons comment les choses finissent par se passer (qu'en est-il des factions, des dirigeants, ainsi de suite) et j'ai aimé cela, je ne suis pas restée sur ma faim.
Mon avis sur la fin :
Pour conclure, j'ai adoré ce dernier tome. Il était touchant, explosif, bourré de révélations tant attendues. Il y avait des moments drôles, frustrants, surprenants, tristes... Il était complet. Je vais assurément y repenser à l'avenir, car cette saga m'a marquée. C'est une série incontournable en dystopie, selon moi. Les personnages sont attachants, l'intrigue est présente, j'ai vécu toute la gamme d'émotions possibles... Je ne peux que vous recommander cette saga. Ce dernier tome est déchirant, mais il faut le lire, pour enfin tout comprendre et être émerveillé.
D'abord, je dois avouer que j'ai eu un peu de mal à me replonger dans l'histoire : j'avais lu le deuxième tome il y a de cela un an et demi. Par contre, j'ai consulté quelques sites qui révélaient l'intrigue d'Insurgés, ce qui m'a aidée. Ainsi, les 60 premières pages passées, j'étais lancée. D'autant plus que l'histoire est totalement différente ; le monde l'est aussi.
Je m'ennuyais de cet univers, de cette dystopie si originale avec le monde des factions, de la divergence, etc. Dans ce dernier opus, tout cela prend son sens. On découvre ce que veut réellement dire être divergent, ce que cela implique et ainsi de suite. On comprend aussi pourquoi les factions ont vu le jour, à quoi elles servent... Ce tome est bourré de révélations. J'étais contente de découvrir tous les aspects de cette dystopie, rien n'a été laissé de côté. On peut vraiment dire que c'était complet.
Je ne peux pas parler de ce tome sans parler de Tobias (ou encore Quatre, si vous préférez). Ce personnage est certainement l'un de mes préférés de tous les livres que j'ai lus. Rarement je m'étais autant attachée à un jeune homme fictif... Je suis dingue de lui ! Il est fort et doux à la fois, attentionné, parfait. D'avoir son point de vue, sa narration, m'a conquise. J'ai adoré être dans ses pensées et voir les choses à sa façon. Sa relation avec Tris connaît des hauts et des bas, mais au final, leur relation est plus forte que tout. Ce couple est l'un des plus beaux et des plus attachants à mes yeux. Tris, quant à elle, est tellement courageuse. Elle n'a peur de rien, est prête à tout... Je l'adore. Ces personnages m'ont marquée pour toujours.
L'histoire de ce dernier tome est totalement différente. En effet, les protagonistes (Tris, Tobias, Christina, Peter, Uriah et d'autres) ont décidé de quitter la ville qu'ils ont toujours connue pour se rendre de l'autre côté de la Clôture : au Bureau génétique. C'est là que les révélations fusent, qu'on se rend compte que rien n'est acquis, que rien n'est comme on le pensait. Les factions n'ont plus la même importance, etc. Des mensonges sont éclaircis et je peux dire que j'ai ressenti de la rage. Je ne me suis pas vraiment attachée aux nouveaux personnages, sinon peut-être à Matthew. Quant à David et Nita... je leur voue une haine sans borne.
Du côté de la ville, il y a aussi beaucoup d'action et j'ai aimé l'issue des choses. En effet, nous savons comment les choses finissent par se passer (qu'en est-il des factions, des dirigeants, ainsi de suite) et j'ai aimé cela, je ne suis pas restée sur ma faim.
Mon avis sur la fin :
Pour conclure, j'ai adoré ce dernier tome. Il était touchant, explosif, bourré de révélations tant attendues. Il y avait des moments drôles, frustrants, surprenants, tristes... Il était complet. Je vais assurément y repenser à l'avenir, car cette saga m'a marquée. C'est une série incontournable en dystopie, selon moi. Les personnages sont attachants, l'intrigue est présente, j'ai vécu toute la gamme d'émotions possibles... Je ne peux que vous recommander cette saga. Ce dernier tome est déchirant, mais il faut le lire, pour enfin tout comprendre et être émerveillé.
Béatrice a grandi dans un futur post-apocalyptique où les gens vivent parqués derrière des barrières sans que cela leur paraisse étrange et où ils sont répartis, dès leurs seize ans, dans des factions en fonction de leurs aptitudes. Il en existe cinq : les Altruistes, qui se consacrent aux autres, les Fraternels, qui rejettent tout conflit, les Sincères, qui ne savent pas mentir, les Erudits, qui sont poussés par leur soif de connaissances et les Audacieux, qui protègent la population. Selon la faction à laquelle il appartient, chacun est conditionné à penser d’une certaine façon et à jouer un rôle bien déterminé dans la société.
Mais pour Béatrice, née chez les Altruiste, rien n’est aussi simple. Son test d’aptitudes révèle chez elle une capacité à se fondre dans plusieurs catégories. Elle est ce que l’on appelle une Divergente et en cela, elle représente un danger, un élément incontrôlable dans cette société bien organisée… Pour cacher cette différence et pour gagner en liberté, Béatrice va choisir d’intégrer la faction des Audacieux. Rebaptisée Tris, la jeune femme va devoir prouver sa valeur si elle veut survivre dans cette fratrie qui place le courage et les faits de bravoure au-dessus de tout. Mais son statut de Divergente, qu’elle doit s’efforcer de dissimuler, pourrait bien lui être d’une aide précieuse dans la réussite de son examen passage dans son nouveau clan et dans la découverte d’un sombre complot…
« Divergente » est le premier tome d’une trilogie imaginée par Véronica Roth. Cette série pour adolescents se situe dans la même veine que « Hunger games » et l’on retrouve de nombreux points communs aux deux histoires. Si le sujet n’est donc pas particulièrement original il n’en demeure pas moins attractif et prenant ! Difficile de résister au charisme de ce petit bout de femme qu’est Tris. Elle possède toutes les qualités d’une héroïne d’aujourd’hui : bravoure, sang-froid, intelligence, droiture et un soupçon de vulnérabilité qui la rend vraiment attachante. Par ailleurs, son histoire d’amour naissant avec Tobias est un atout majeur dans cette série plutôt riche en action et devrait plaire aux plus romantiques !
L’histoire, quant à elle, ne révèle pas tout son potentiel avec ce premier volume. Elle décrit ici le système de sélection des factions, leur organisation, ce qui les différencie et les oppose les unes aux autres dans leur individualité, mais qui les unit dans leur ensemble. Les sans-factions en revanche, sont un sujet tabou et représentent la déchéance extrême pour tout individu. L’auteur laisse planer un certain mystère autour de ces êtres rejetés par la société et de ce qu’il y a de l’autre côté du mur et beaucoup de questions restent sans réponses dans ce tome... Difficile donc de résister à l’envie de se jeter sur la suite !
Sachez tout de même qu’en pénétrant chez les Audacieux, vous serez confrontés aux peurs les plus intimes et témoins des pires actes de brutalité et de bassesse… Suspens, tension, manipulation et violence sont donc au rendez-vous dans cette série survitaminée, souvent cruelle et implacable, mais qui n’oublie pas de ménager quelques moments de tendresse et d’amour. Une histoire prenante, au rythme enlevé, difficile à lâcher une fois commencée ! Bref, un bon moment de lecture quand on a besoin de se changer les idées!
Je tiens à remercier vivement Babelio et les éditions Nathan pour ce partenariat Masse Critique !
Mais pour Béatrice, née chez les Altruiste, rien n’est aussi simple. Son test d’aptitudes révèle chez elle une capacité à se fondre dans plusieurs catégories. Elle est ce que l’on appelle une Divergente et en cela, elle représente un danger, un élément incontrôlable dans cette société bien organisée… Pour cacher cette différence et pour gagner en liberté, Béatrice va choisir d’intégrer la faction des Audacieux. Rebaptisée Tris, la jeune femme va devoir prouver sa valeur si elle veut survivre dans cette fratrie qui place le courage et les faits de bravoure au-dessus de tout. Mais son statut de Divergente, qu’elle doit s’efforcer de dissimuler, pourrait bien lui être d’une aide précieuse dans la réussite de son examen passage dans son nouveau clan et dans la découverte d’un sombre complot…
« Divergente » est le premier tome d’une trilogie imaginée par Véronica Roth. Cette série pour adolescents se situe dans la même veine que « Hunger games » et l’on retrouve de nombreux points communs aux deux histoires. Si le sujet n’est donc pas particulièrement original il n’en demeure pas moins attractif et prenant ! Difficile de résister au charisme de ce petit bout de femme qu’est Tris. Elle possède toutes les qualités d’une héroïne d’aujourd’hui : bravoure, sang-froid, intelligence, droiture et un soupçon de vulnérabilité qui la rend vraiment attachante. Par ailleurs, son histoire d’amour naissant avec Tobias est un atout majeur dans cette série plutôt riche en action et devrait plaire aux plus romantiques !
L’histoire, quant à elle, ne révèle pas tout son potentiel avec ce premier volume. Elle décrit ici le système de sélection des factions, leur organisation, ce qui les différencie et les oppose les unes aux autres dans leur individualité, mais qui les unit dans leur ensemble. Les sans-factions en revanche, sont un sujet tabou et représentent la déchéance extrême pour tout individu. L’auteur laisse planer un certain mystère autour de ces êtres rejetés par la société et de ce qu’il y a de l’autre côté du mur et beaucoup de questions restent sans réponses dans ce tome... Difficile donc de résister à l’envie de se jeter sur la suite !
Sachez tout de même qu’en pénétrant chez les Audacieux, vous serez confrontés aux peurs les plus intimes et témoins des pires actes de brutalité et de bassesse… Suspens, tension, manipulation et violence sont donc au rendez-vous dans cette série survitaminée, souvent cruelle et implacable, mais qui n’oublie pas de ménager quelques moments de tendresse et d’amour. Une histoire prenante, au rythme enlevé, difficile à lâcher une fois commencée ! Bref, un bon moment de lecture quand on a besoin de se changer les idées!
Je tiens à remercier vivement Babelio et les éditions Nathan pour ce partenariat Masse Critique !
Tome 2 de cette série en parfaite émulation avec ce que proposait Hunger Games. Le tome 1 en était si proche, qu'on avait du mal à ne pas y voir un copié / collé, à certains moments.
Quid du tome 2 ? Le ton et l'ambiance sont toujours en droite ligne des romans du genre, même si on s'éloigne un peu de l'intrigue très cadrée du premier épisode.
Un bien ? Oui et non...
Oui, l'intrigue est assez dynamique dans sa deuxième partie, la mayonnaise montant au fur et à mesure et c'est bourré d'action.
Non, parce qu'objectivement il ne se passe rien de véritablement transcendant. Ca se lit tout seul, mais l'univers proposé est parfois un peu fade et l'écriture assez pauvre.
Il faut laisser à l'auteur le mérite de savoir donner une vie à ses personnages et une bonne partie du bouquin se résume à l'interaction entre eux.
Au final, un épisode divertissant, marketé de tel sorte qu'il réjouira le coeur de cible des jeunes adultes, qui y trouveront les ingrédients qu'ils attendent.
En tant que vieux croulant, je regrette à mon niveau un manque de surprise et une absence de prise de risque. Un tel sujet mériterait d'être développé plus profondément.
Quid du tome 2 ? Le ton et l'ambiance sont toujours en droite ligne des romans du genre, même si on s'éloigne un peu de l'intrigue très cadrée du premier épisode.
Un bien ? Oui et non...
Oui, l'intrigue est assez dynamique dans sa deuxième partie, la mayonnaise montant au fur et à mesure et c'est bourré d'action.
Non, parce qu'objectivement il ne se passe rien de véritablement transcendant. Ca se lit tout seul, mais l'univers proposé est parfois un peu fade et l'écriture assez pauvre.
Il faut laisser à l'auteur le mérite de savoir donner une vie à ses personnages et une bonne partie du bouquin se résume à l'interaction entre eux.
Au final, un épisode divertissant, marketé de tel sorte qu'il réjouira le coeur de cible des jeunes adultes, qui y trouveront les ingrédients qu'ils attendent.
En tant que vieux croulant, je regrette à mon niveau un manque de surprise et une absence de prise de risque. Un tel sujet mériterait d'être développé plus profondément.
J'ai déjà évoqué je crois les aspects obsessionnels de mon caractère. Encore une fois, ils se vérifient. Le tome deux est déjà derrière moi, et suis en train de suivre un entraînement psychologique intensif pour attaquer le trois.
Que dire de ce tome qui n'ait déjà été dit ?
Que c'est une suite très logique et bien menée dans l'évolution des personnages. Tris et son courage -ou son désespoir- en sont le fil conducteur. Elle n'a que 16 ans, et doit grandir vite, bien trop vite pour elle.
Que Quatre est toujours Quatre. Sacré personnage qui dispute l’héroïsme à Tris.
Et que les autres, beaucoup plus développés que dans le tome 1, doivent apprendre, à leurs dépens parfois, que tout n'est ni blanc, ni noir.
L'intrigue est cohérente, et osée. La trame est claire. La langue reste fidèle au tome 1, mais cela m'a moins dérangée, happée par l'histoire que j'étais...
Parce que derrière ces mots simplistes pour parler de ce tome, se cache un volcan en éruption d'émotions. J'ai beaucoup souffert, j'ai beaucoup aimé dans ce tome. Et j'ai peur, parce que je sais que la fin sera telle que je la vois se dessiner à l'horizon. Il ne peut en être autrement. Et il va me falloir du courage pour affronter le tome 3...
Lien : http://lelivrevie.blogspot.f..
Que dire de ce tome qui n'ait déjà été dit ?
Que c'est une suite très logique et bien menée dans l'évolution des personnages. Tris et son courage -ou son désespoir- en sont le fil conducteur. Elle n'a que 16 ans, et doit grandir vite, bien trop vite pour elle.
Que Quatre est toujours Quatre. Sacré personnage qui dispute l’héroïsme à Tris.
Et que les autres, beaucoup plus développés que dans le tome 1, doivent apprendre, à leurs dépens parfois, que tout n'est ni blanc, ni noir.
L'intrigue est cohérente, et osée. La trame est claire. La langue reste fidèle au tome 1, mais cela m'a moins dérangée, happée par l'histoire que j'étais...
Parce que derrière ces mots simplistes pour parler de ce tome, se cache un volcan en éruption d'émotions. J'ai beaucoup souffert, j'ai beaucoup aimé dans ce tome. Et j'ai peur, parce que je sais que la fin sera telle que je la vois se dessiner à l'horizon. Il ne peut en être autrement. Et il va me falloir du courage pour affronter le tome 3...
Lien : http://lelivrevie.blogspot.f..
Si je continue avec la même lectrice, elle n’a pour le moment mis en ligne qu’un audio de 6h40 pour ce tome. Il manque donc la seconde partie sachant que je commence à bien apprécier son jeu d’acteur/lecteur, que d’autres ne font pas forcément. Du coup, je suis toujours à fond dans cet univers et il me tarde juste d’y retourner. C’est dommage que l’auteure n’est pas fait plus de romans pour cette série…
L’auteure a un peu changé son style dans ce tome en incluant Quatre dans la narration. Elle alterne ainsi entre Tris et Quatre en des chapitres assez courts nous permettant de découvrir le point de vue de Tobias suivant certaines situations. C’est étrange au début mais ça nous permet de mieux le connaître, il n’est pas aussi dur qu’il y paraît. Je ne me souviens que de quelques scènes éparses du 3ème film et la lecture de ce tome ne m’aide pas à m’en souvenir plus. Et pour cause… Le film n’est plus aussi proche du roman que pour le premier et en lisant des commentaires, je m’aperçois qu’il est tronqué… Un 4ème film aurait dû sortir pour le vrai final… En tout cas, j’ai été très surprise de la fin donnée et j’ai pleuré comme une madeleine pendant un bon moment. Je dois être trop fleur bleue ou trop sensible en ce moment… J’ai eu dû mal à aller au bout du roman même si je voulais savoir comment il se finissait. Dommage quand même que la série ne soit pas plus longue, je serai bien restée en leur compagnie plus longtemps. Malgré tout, un 4ème livre existe avec Tobias en narrateur et je vais le lire pour rester un peu plus en sa compagnie et ne pas quitter cet univers trop brutalement. De toute façon, à la moitié du tome 2, j’avais déjà prévu de me revoir les films… Chose curieuse, le tome 3 semble plus court que les précédents alors qu’il s’y passe toujours autant d’évènements et de rebondissements où Tris arrive à grandir malgré des évènements très traumatisants. Les films ayant quasiment 10 ans, je pense que le 4ème ne verra jamais le jour si tant est qu’il ait été filmé à la même époque… Malgré tout, de nombreuses révélations sont à la clé de ce tome concernant l’extérieur de la ville et les évènements qui ont précédé la mise en quarantaine de Chicago. Même si les explications sont longues, je ne me suis jamais ennuyée et j’en redemandais. La preuve, il a été lu en 3 jours lui aussi…
Comme vous l’aurez compris, ce dernier tome a également été un gros coup de cœur malgré la fin triste. Pendant une semaine et demie, je me suis complètement immergée dans cet univers et quasi coupée du nôtre. J’en avais peut-être besoin pour aller mieux, je ne sais, l’avenir me le dira… Si vous êtes amateurs des films et/ou de dystopies, je vous conseille donc très fortement de découvrir la trilogie papier pour tous les évènements non cités et pour la vraie alchimie entre Tris et Tobias. Pour ma part, je vais de ce pas écouter le livre consacré à Quatre et à son histoire avant Tris.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
L’auteure a un peu changé son style dans ce tome en incluant Quatre dans la narration. Elle alterne ainsi entre Tris et Quatre en des chapitres assez courts nous permettant de découvrir le point de vue de Tobias suivant certaines situations. C’est étrange au début mais ça nous permet de mieux le connaître, il n’est pas aussi dur qu’il y paraît. Je ne me souviens que de quelques scènes éparses du 3ème film et la lecture de ce tome ne m’aide pas à m’en souvenir plus. Et pour cause… Le film n’est plus aussi proche du roman que pour le premier et en lisant des commentaires, je m’aperçois qu’il est tronqué… Un 4ème film aurait dû sortir pour le vrai final… En tout cas, j’ai été très surprise de la fin donnée et j’ai pleuré comme une madeleine pendant un bon moment. Je dois être trop fleur bleue ou trop sensible en ce moment… J’ai eu dû mal à aller au bout du roman même si je voulais savoir comment il se finissait. Dommage quand même que la série ne soit pas plus longue, je serai bien restée en leur compagnie plus longtemps. Malgré tout, un 4ème livre existe avec Tobias en narrateur et je vais le lire pour rester un peu plus en sa compagnie et ne pas quitter cet univers trop brutalement. De toute façon, à la moitié du tome 2, j’avais déjà prévu de me revoir les films… Chose curieuse, le tome 3 semble plus court que les précédents alors qu’il s’y passe toujours autant d’évènements et de rebondissements où Tris arrive à grandir malgré des évènements très traumatisants. Les films ayant quasiment 10 ans, je pense que le 4ème ne verra jamais le jour si tant est qu’il ait été filmé à la même époque… Malgré tout, de nombreuses révélations sont à la clé de ce tome concernant l’extérieur de la ville et les évènements qui ont précédé la mise en quarantaine de Chicago. Même si les explications sont longues, je ne me suis jamais ennuyée et j’en redemandais. La preuve, il a été lu en 3 jours lui aussi…
Comme vous l’aurez compris, ce dernier tome a également été un gros coup de cœur malgré la fin triste. Pendant une semaine et demie, je me suis complètement immergée dans cet univers et quasi coupée du nôtre. J’en avais peut-être besoin pour aller mieux, je ne sais, l’avenir me le dira… Si vous êtes amateurs des films et/ou de dystopies, je vous conseille donc très fortement de découvrir la trilogie papier pour tous les évènements non cités et pour la vraie alchimie entre Tris et Tobias. Pour ma part, je vais de ce pas écouter le livre consacré à Quatre et à son histoire avant Tris.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Challenge plumes féminines 2022 – n°38
J’ai tellement adoré l’écoute du tome 1 que je n’ai pu m’empêcher d’en continuer l’écoute en suivant. Les films semblent vraiment très proches des livres, seuls quelques détails changent et j’adore toujours autant la relation et l’interaction entre Quatre et Tris. Pour ce tome, il s’agit de 2 audios pour un total de 12h20 d’écoute.
Et j’ai bien fait de continuer l’écoute de suite car l’histoire reprend aussitôt, il n’y a pas de temps mort. J’étais tellement dans l’univers de ce roman que je l’ai fini en 3 jours. Il se passe toujours autant d’évènements et de rebondissements en tous genres qu’on n’a pas vraiment le temps de s’ennuyer. Je voulais toujours en savoir plus car contrairement au premier tome, j’ai tendance à me mélanger les faits entre les 2 autres films. Je me souvenais de quelques détails mais d’autres m’étaient complètement inconnus, à croire que certains personnages ont été effacés des films. Le couple Tris-Quatre évolue avec lenteur et est semé d’embûches, comme dans toutes les relations réelles, mais j’ai eu malgré tout de la peine pour Tris dans les moments de doutes et de déceptions. En tout cas, en leur compagnie, je n’ai pas vu le temps passé et j’avais même dû mal à me détacher d’eux pour faire autre chose…
Comme vous l’aurez compris, mon gros coup de cœur se confirme avec ce second tome et je me demande bien pourquoi je n’avais pas sauté le pas plutôt… Peut-être par peur d’être déçue par le style de l’auteure, j’ai déjà eu le cas avec d’autres séries à succès dont j’avais adoré l’adaptation ciné. L’usage du « je » et du style très vivant et imagé y sont sans doute pour quelque chose. Je vais de ce pas en écouter la suite et dès que possible, j’achèterais cette série en version papier pour pouvoir m’y replonger à loisir.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
J’ai tellement adoré l’écoute du tome 1 que je n’ai pu m’empêcher d’en continuer l’écoute en suivant. Les films semblent vraiment très proches des livres, seuls quelques détails changent et j’adore toujours autant la relation et l’interaction entre Quatre et Tris. Pour ce tome, il s’agit de 2 audios pour un total de 12h20 d’écoute.
Et j’ai bien fait de continuer l’écoute de suite car l’histoire reprend aussitôt, il n’y a pas de temps mort. J’étais tellement dans l’univers de ce roman que je l’ai fini en 3 jours. Il se passe toujours autant d’évènements et de rebondissements en tous genres qu’on n’a pas vraiment le temps de s’ennuyer. Je voulais toujours en savoir plus car contrairement au premier tome, j’ai tendance à me mélanger les faits entre les 2 autres films. Je me souvenais de quelques détails mais d’autres m’étaient complètement inconnus, à croire que certains personnages ont été effacés des films. Le couple Tris-Quatre évolue avec lenteur et est semé d’embûches, comme dans toutes les relations réelles, mais j’ai eu malgré tout de la peine pour Tris dans les moments de doutes et de déceptions. En tout cas, en leur compagnie, je n’ai pas vu le temps passé et j’avais même dû mal à me détacher d’eux pour faire autre chose…
Comme vous l’aurez compris, mon gros coup de cœur se confirme avec ce second tome et je me demande bien pourquoi je n’avais pas sauté le pas plutôt… Peut-être par peur d’être déçue par le style de l’auteure, j’ai déjà eu le cas avec d’autres séries à succès dont j’avais adoré l’adaptation ciné. L’usage du « je » et du style très vivant et imagé y sont sans doute pour quelque chose. Je vais de ce pas en écouter la suite et dès que possible, j’achèterais cette série en version papier pour pouvoir m’y replonger à loisir.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
J'ai enfin démarré cette série dystopique que j'ai vu passer maintes et maintes fois ici et ailleurs. Et j'ai beaucoup aimé !
Le principe fondateur des "factions" n'est pas sans rappeler la notion de district découverte dans Hunger Games mais ce n'est pas trop gênant. On entre assez vite dans l'histoire aux côtés de Béatrice, qui deviendra Tris, et le rythme ne s'essouffle pas, jusqu'à la fin qui nous pousse à vouloir ouvrir le tome 2 sans tarder.
On est dans la littérature pour ados, mais j'avoue avoir un petit faible pour les dystopies destinées à ce genre de public et celle-ci fait bien le job. La nature même de la qualité de divergent, qui semble être un des ressorts du suspens de ce premier tome est assez claire dès le départ pour un lecteur averti. Donc, pas de tension de ce côté-là pour moi mais je voulais quand même savoir comment tout cela allait se goupiller et donc, j'ai avalé les presque 500 pages en deux jours. La petite romance qui démarre n'était pas pour me déplaire non plus parce que si j'ai bien aimé le personnage de Tris, Quatre m'a bien accrochée aussi.
A voir maintenant dans le prochain tome comment l'autrice va déployer son idée en s'écartant, je l'espère, de son illustre prédécesseur dont elle s'est sans doute largement inspirée tout de même.
Le principe fondateur des "factions" n'est pas sans rappeler la notion de district découverte dans Hunger Games mais ce n'est pas trop gênant. On entre assez vite dans l'histoire aux côtés de Béatrice, qui deviendra Tris, et le rythme ne s'essouffle pas, jusqu'à la fin qui nous pousse à vouloir ouvrir le tome 2 sans tarder.
On est dans la littérature pour ados, mais j'avoue avoir un petit faible pour les dystopies destinées à ce genre de public et celle-ci fait bien le job. La nature même de la qualité de divergent, qui semble être un des ressorts du suspens de ce premier tome est assez claire dès le départ pour un lecteur averti. Donc, pas de tension de ce côté-là pour moi mais je voulais quand même savoir comment tout cela allait se goupiller et donc, j'ai avalé les presque 500 pages en deux jours. La petite romance qui démarre n'était pas pour me déplaire non plus parce que si j'ai bien aimé le personnage de Tris, Quatre m'a bien accrochée aussi.
A voir maintenant dans le prochain tome comment l'autrice va déployer son idée en s'écartant, je l'espère, de son illustre prédécesseur dont elle s'est sans doute largement inspirée tout de même.
Ce dernier tome est très différent des 2 autres, on a un narrateur alterné donc différents point de vue, beaucoup de blablas et nettement moins d'action et on perd une bonne partie des personnages centraux. On découvre beaucoup de choses sur la ville des factions et le monde qui l'entoure, sur la mère de Tris et sur les divergents-non divergents, toutes les explications génétiques sont assez intéressantes et l'idée est assez bonne et originale.
Je reste pas totalement convaincue mais un bon moment de lecture quand même.
Je reste pas totalement convaincue mais un bon moment de lecture quand même.
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