Xavier Müller

Ici s'achève la trilogie Erectus dont j'ai beaucoup aimé le 1er tome tant par l'originalité de l'histoire que par la thématique choisie. le 2è tome m'a un peu moins plu mais j'ai été emportée dans cette histoire fascinante où préhistoire, génétique se mêlent à grands traits. Ici, on est plus proche de la porte des étoiles et le lecteur est littéralement emmené dans le moins plausible et plus dans la science -fiction. ce qui m'a plu et m'a fait dévoré ce 3è tome comme les deux précédents. En résumé, c'est un succès commercial et littéraire où, à mon avis, le premier tome est très réussi et aurait pu se suffire à lui-même.

Salut les Babelionautes

Avec ce deuxième tome Xavier Müller fait très fort dans le genre Science-Fiction Apocalyptique.

Sept ans se sont écoulés et l'Humanité a survécu, mais pas sans problèmes.

Les erectus, que l'on croyait stériles, se reproduisent dans les réserves, et les mouvements pro ou contre eux se multiplient.

Au Kenya, Anna Meunier a renoncé a sa carrière d'anthropologue pour se concentrer sur sa fille dont le père Yann, devenu est devenu un Erectus et se fait appeler Wuan.

On peut dire que l'auteur a mis les bouchées doubles dans ce récit ou il n'y a aucun temps mort, l'action est omniprésente,

Anna Meunier va être de tous les combats pour éviter un génocide, aider en cela par les mêmes qui l'ont aider dans le premier tome.

Mais une autre catastrophe se profile à l'horizon avec un savant fou qui veut changer le destin de l'Homo-sapiens en créant un autre virus plus virulent que le Kruger.

Vraiment prenant ce roman d'Anticipation et en regardant une vidéo de Xavier Müller j'apprend qu'au final se sera une trilogie, j'espère qu'elle sortira très vite pour connaitre le mot de la fin

Après deux lectures un peu difficiles, je me suis régalée avec ce troisième tome de la série Erectus, que j'ai dévoré d'une traite. 



On y retrouve les héros des deux précédents opus aux prises avec une nouvelle mutation qui fait régresser les espèces non seulement bien plus en amont dans l'évolution mais bien plus vite. 



Cela couplé avec une pluie de petites météorites qui outre le fait qu'elles tuent des milliers de personnes, permettent de voyager dans le temps au sein d'un univers parallèle qui provoque certains changements dans la culture humaine ... 



Je n'en dirai pas davantage pour ne pas dévoiler les ressorts de l'intrigue et les délires de l'imagination de  l'auteur qui clôturent cette série d'une belle façon. 



Xavier Muller m'a régalée d'une écriture très vive et quasi cinématographique, d'effets spéciaux dignes du cinéma hollywoodien, avec la pointe de tendresse et d'amitié qui lie les personnages ... Et les lecteurs !



Je suis ravie d'avoir découvert cet auteur au travers de cette série instructive et divertissante 



J'attends avec impatience ses prochaines productions.
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Pour l’ultime opus de sa trilogie régressive Xavier Müller repousse encore les limites de la régression et, une fois de plus, parvient à rendre crédible un scénario hautement improbable. Beaucoup de données scientifiques (vérifiées et vérifiables) viennent s’intégrer à l’intrigue sans jamais assommer le lecteur de théories à rallonge, soporifiques à souhait.



Les lecteurs des précédents opus retrouveront avec plaisir des personnages déjà croisés, tels que Lucas Carvalho, Anna Meunier ou encore Wuan. D’autres, comme Alice, la fille d’Anna, seront appelés à jouer un rôle plus actif dans le déroulé de l’intrigue. Enfin le lecteur découvrira aussi de nouveaux acteurs qui auront un impact direct sur le récit, certains ayant des intentions pas forcément des plus louables.



Une fois de plus Xavier Müller ne se contente pas de nous servir du réchauffé, il renouvelle son intrigue et apporte une dimension supplémentaire à son roman avec des nouveaux défis et enjeux pour ses héros et l’humanité.



Il y aurait beaucoup à dire sur cette troisième régression tant elle est audacieuse, mais je préfère ne rien divulguer qui puisse gâcher le plaisir de la découverte des futurs lecteurs et lectrices. Sachez simplement que les surprises et autres retournements de situation seront légion au fil des chapitres.



Pour faire simple, je dirai que Xavier Müller nous offre un final en apothéose.
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A la fin d'Erectus, les personnes atteintes du virus Kruger et qui s'étaient transformées en d'anciennes versions d'humains avaient été parquées dans des réserves, en compagnie des versions préhistoriques de la faune et de la flore. 



L'épidémie semblait contenue, d'autant plus que les Kruger semblaient stériles ... 



Mais dans un laboratoire secret, un savant fou souhaite redonner à la terre une pureté originelle, supprimer une partie du mal fait par l'humanité 



Et voilà Kruger 2 ! 



Une nouvelle contagion, des effets différenciés et le monde tremble de nouveau 



Un roman passionnant qui complète bien le précédent et qui s'achève sur une possibilité de troisième tome ! 



Xavier Muller m'a régalée d'une écriture quasi cinématographique, d'effets a la Jurassic Park,​​​​​​​ avec la pointe de tendresse et d'amitié qui lie les personnages ... Et les lecteurs ! 



A suivre, peut être ! 
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Il y a un peu plus d'un an, j'avais lu Erectus que j'avais adoré et j'ai été ravie d'apprendre qu'une suite sortait en février dernier.

Malheureusement je n'ai pas aimé ce deuxième tome... J'ai trouvé le début difficile à suivre car il y a de nombreux personnages que l'on suit à des endroits différents !

J'étais contente pendant ma lecture d'avoir encore le premier tome en tête car ça m'a bien aidé.



J'ai aimé retrouver les personnages auxquels je m'étais attachée dans Erectus et savoir ce qu'ils étaient devenus sept ans après.



J'ai trouvé ce tome compliqué à suivre au niveau des explications scientifiques, chose que je n'avais pas du tout ressenti dans le précédent !



Le fait de ne pas l'avoir aimé vient peut-être aussi de la période car cette histoire parle de virus, de deuxième vague, de couvre-feu...et même si ça n'a rien à voir avec ce que l'on vit actuellement, ça a pu jouer sur mon ressenti !

J'aurais peut-être dû le garder pour plus tard afin d'éventuellement plus l'apprécier !

Des figurines qui prennent vie, un couple mort piétiné par des chevaux, un monstrueux catcheur qui se volatilise... Il n’en faut pas plus à Emile, Zacharie, Anatole et Marie pour se retrouver plongés au coeur d’une effroyable enquête. Ils devront affronter un écrivain doté d’étranges pouvoirs, une créature à trois bras, des objets doués de vie, ou encore une armée de squelettes sanguinaires ! Malgré leur talent, les quatre détectives feront-ils le poids face à ces puissances maléfiques ?

J'avais littéralement englouti le premier roman, n'imaginant pas qu'il y aurait une suite (et probablement une autre suite encore). Le premier m'avait attrapé par son originalité d'histoire et le rythme soutenu et crescendo.

Pour celui-ci, étonnée de voir une suite mais incapable de passer à côté, j'ai été moins emballé. On retrouve certains personnages du premier et de nouveaux intéressants. Mais, autant le premier, même si c'est une histoire SF qui reste du domaine du "et alors, pourquoi pas", autant là je trouve que c'est tirer par les cheveux. Et quand j'ai du mal à y croire, j'ai dû mal à adhérer. Sinon on retrouve une lecture détente avec du rythme mais qui part un peu dans tous les sens.

Je me connais, je lirai probablement le troisième mais ... Il va falloir trouver un truc pour sauver tout ça...

Le second volet de cette saga "d'anticipation" nous entraîne dans une succession d'événements et de rebondissements propices à tenir le lecteur en haleine.

Nous retrouvons les différents protagonistes rencontrés dans le premier tome. L'intrigue bien évidemment a évolué : la cohabitation entre les sapiens et les erectus est compliquée, ces derniers étant parqués dans des réserves sur différents continents. Un "méchant" va profiter de cette situation pour développer un nouveau virus et semer la panique, attisant la haine entre les sapiens et les erectus.

L'histoire est bien ficelée. Je me suis sentie "happée" par l'intrigue mais l'attrait de la nouveauté s'est émoussé et certains éléments m'ont gênée (le rôle peu nuancé d'Owen Firth, la télépathie...).

Xavier Muller aborde des thématiques particulièrement d'actualité (je pense à la modification de l'ADN, au réchauffement climatique) qui projettent le lecteur dans un futur possible et peu réjouissant.

Malgré les réserves énoncées ci-dessus, cela reste un bon livre, parfait pour les vacances !

J’avais adoré « Erectus » de Xavier Müller qui avait été une vraie découverte et un grand coup de cœur. L’histoire était forte, déconcertante et pleine de suspense. Quand j’avais terminé ma lecture je ne m’attendais absolument pas à une suite. Quand j’ai su que venait un tome 2, cela a été une agréable surprise et j’ai attendu avec impatience le moment de le découvrir ! Chose faite. Alors que vous dire à l’arrivée ? Plaisir de retrouver certains personnages auxquels je m’étais attachée dans « Erectus », plaisir de retrouver une ambiance apocalyptique pleine de suspense, plaisir de retrouver les sapiens confrontés à leurs « ancêtres », les erectus ou les préhistoriques, plaisir de continuer une réflexion sur l’humanité… Le récit se situe sept ans après la fin de la pandémie du virus Kruger qui transformait non seulement les humains en hommes préhistoriques, mais aussi les animaux et la flore. Des antiviraux ont été trouvés et la pandémie a été contenue, les erectus enfermés dans d’immenses réserves (une en Afrique, une en Inde et une en Amérique latine). Un règlement strict, aucun lien entre les sapiens et les erectus pour éviter la contagion. Contrairement à ce que l’on pensait, les erectus ne sont pas stériles et se reproduisent. Anna, paléontologue, qui avait été en première ligne dans le combat de la pandémie et dont le mari Yann a été transformé en préhistorique, Wuan, est la directrice de la réserve d’Afrique où se trouve son ex-compagnon. Alice la fille qu’elle a eu avec Yann juste avant sa transformation, possède d’étranges pouvoirs. Anna contrairement à de nombreux sapiens ne voit pas les erectus comme des animaux mais comme des êtres humains doués d’intelligence et d’humanité, nos ancêtres. Des disparitions et des meurtres de préhistoriques se multiplient dans les réserves. Apparaît alors une mystérieuse armée de Darwin avec à sa tête un scientifique à la vision assez folle de l’humanité. Il compte répandre un nouveau virus, le Kurger 2, à la viralité beaucoup plus rapide qui transforme les sapiens soit en erectus soit en surhomme, nommé Ganesh, d’une intelligence incroyable et d’une force physique supérieure à la moyenne. La panique s’empare une nouvelle fois de l’humanité. Les villes sont envahies par une végétation qui échappe à tout contrôle et les erectus quittent leurs réserves sous le commandement des Ganesh. Le récit est addictif et bien mené. Et il est clair qu’il y aura une suite. J’ai beaucoup aimé mais j’ai été un peu moins sous le charme que lors du premier tome. Sans doute que la nouveauté a toujours un attrait supérieur. De plus j’ai trouvé quelques incohérences dans ce deuxième tome inexistants à mon avis dans « Erectus ». Petit bémol car franchement, l’armée de Darwin vous emportera et ne vous laissera pas un instant de répit. Très bonne lecture que je vous recommande. Il est évident qu’il faut avoir lu « Erectus » avant « L’armée de Darwin ».
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c'est un livre intéressant , qui parle de la métérologie

Le premier tome m’avait embarqué par son sujet loufoque : un virus faisant régresser toute le faune et la flore planétaire si on est contaminé. J’étais curieuse de savoir ce que l’auteur allait raconter dans cette suite. J’ai bien aimé l’histoire, mais sans plus. Les questions centrales de ce livre « Doit-on considérer les erectus comme nos semblables ? Sont-ils des animaux ? » sont pertinentes et nous interroge sur la considération que la société a actuellement vis-à-vis de la biodiversité.

J'ai trouvé que ce tome-ci était à la hauteur ! Xavier Müller donne un nouvel élan à son histoire. La crédibilité et le socle de l'intrigue demeure intacte.

Sur ce tome-ci, j'ai juste tiqué sur le comportement d'un personnage secondaire et le volte-face opéré dans la manière dont il est traité, un twist un peu facile, mais cela répond à une certaine injonction du page turner, me semble-t-il.

Davantage dans l'action, moins dans la réflexion peut-être, "Le dernier hiver" est tout aussi génial.

Étonnamment, l'une des choses que j'ai préféré dans cette trilogie, c'est l'aspect scientifique du roman qui nourrit le côté science-fictif.

On se retrouve aujourd’hui en direct d’une terrible déception. J’avais tellement aimé le premier tome de la saga de Xavier Müller, Erectus, que je me suis dépêchée de me procurer le second et de m’y plonger, non sans me demander, quand même, ce que l’auteur allait pouvoir inventer après ça. Mon intuition n’était pas très éloignée de la vérité : difficile de faire mieux, et même aussi bien, sans tomber dans la surenchère assez peu crédible.



L’armée de Darwin nous ramène auprès d’Anna quelques années après la fin d’Erectus. Elle s’est installée au Kenya avec sa fille (et celle de Yann) de sept ans, une enfant qu’on nous présente comme précoce, et qui se comporte en effet comme une ado du double de son âge. Toutes deux semblent heureuses, elles ont trouvé un équilibre, jusqu’au jour où un nouveau virus se répand. Un virus fabriqué par l’Homme, cette fois, qui a tous les symptômes du Kruger mais en plus virulent et qui transforme dix pour cent des infectés en surhomme aux pouvoirs surnaturels appelés Ganesh.



Je suis un peu passée à côté, et ce pour plusieurs raisons. La première est une question de crédibilité. Nos ancêtres Homo Erectus auraient été doués de télépathie et capable d’enrtrer en transe comme des shamans et d’avoir des visions ? Je ne suis pas paléontologue, loin de là, mais j’avoue que la couleuvre a eu du mal à passer. Sans parler des capacités des Ganesh : sans trop entrer dans les détails pour ne pas vous spoiler, seulement trois d’entre eux réussissent à prendre le contrôle mental de tous les erectus à travers le monde ! Vous avez dit too much ?



La seconde raison, c’est que l’intrigue s’attache un peu trop souvent à des personnages dont on n’a pas grand-chose à faire, tout simplement parce qu’on ne les connaît pas et qu’ils ne font que passer. Durant ces passages, j’avoue m’être un peu ennuyée. Par exemple, Anna disparaît pendant une partie du récit. J’aurais préféré lire ce qu’il lui arrivait plutôt que découvrir de nouveaux personnages très secondaires et amenés à disparaître aussi vite qu’ils étaient apparus. J’avais un peu l’impression que l’auteur faisait du remplissage pour éviter certains sujets, à des fins de maintien du suspens peut-être.



Ajoutez à cela un dénouement un peu trop brutal, et vous prendrez la pleine mesure de ma déception. Au final, le premier tome se suffisait à lui-même et peut-être que Xavier Müller aurait dû se contenter de celui-là et passer à tout autre chose. Je ne suis pas sûre d’avoir très envie de terminer la trilogie, en tout cas pas tout de suite. Je crains que Le dernier hiver ne soit encore plus tiré par les cheveux. Est-ce que certains d’entre vous l’ont lu ?
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Et voilà, j’ai dévoré le 3ème tome.

Cette trilogie est totalement bluffante, et addictive.



Mes chroniques précédentes ont montré mon enthousiasme pour Erectus #erectus #larmeededarwin

On est dans l’anticipation, une très belle anticipation, bien faite et tellement forte qu’on est immergé totalement dans ce monde qui se transforme de manière si impressionnante.



Ce 3ème tome est tout aussi fort et prenant. J’ai vécu un moment de totale folie durant ma lecture.

Un contre la montre futuriste. Je l’ai trouvé beaucoup plus dans la « science-fiction » que les précédents, mais avec un tel déluge d’idées, et de moments fous que ce n’est que du bonheur sur papier.



Accrochez-vous, il va falloir suivre, car on change régulièrement de pays, d’époques, de héros… Vous n’allez pas être au bout de vos surprises… De découvertes, en rebondissements, d’espoirs en déceptions, la tension monte…et vous retenez votre souffle.

Une fois encore, le scénario est brillant, incroyable, tellement documenté scientifiquement qu’on se prend à penser que cela pourrait réellement arriver (😱). L’imagination de l’auteur est sans fin et tellement impressionnante.

Je ne peux que vous recommander de porter rapidement vos yeux vers les pages de ces romans 😉

🧐 J'avais adoré le premier tome que j'avais trouvé très original (d'autant plus que la pandemie de Covid n'existait pas encore) et j'ai beaucoup aimé ce second tome également même si il y a pas mal de longueur sur la seconde partie du roman qui m'ont un peu déçue.



🌺 Les personnages ont évolué puisqu'on les retrouve 7 ans après le début de la crise et ils sont plus profonds que dans le premier tome.



🌻La relation entre Erectus et Sapiens est assez manichéenne, il y a les pro-Erectus qui veulent les protéger et les aider et les anti-erectus pour qui l'extermination est la solution. Une dichotomie assez simpliste mais qui peut faire le job...



🌸Comme dit au début, j'ai trouvé quelques longueurs et beaucoup de digressions qui m'ont donné un sentiment d'inachevé assez frustrant.

Beaucoup de questions sont encore en suspend.



🌹Malgré tout, ça reste une lecture agréable et si je puis dire dans l'air du temps ! Et même s'il ne s'agit pas d'un page turner autant que le premier tome, c'est quand même un roman très sympa à lire.

Les cygnes noirs



J’attendais l’ultime volet de la trilogie Erectus avec impatience et je remercie très chaleureusement NetGalley et les Editions XO de me l’avoir adressé !

L’humanité courre à sa perte : après le virus Kruger qui a transformé une partie de la population en « Erectus », puis son terrifiant variant « Ganesh » (voir « l’Armée de Darwin »), un danger encore plus redoutable menace la planète. Des météorites bombardent le globe : outre les dévastations qu’elles causent, les humains à proximité sombrent dans une sorte de coma, une hibernation en quelque sorte au cours de laquelle ils se transforment en ardipithèques, une espèce au croisement des primates et des homnidés, ancêtres des australopithèques… Le stade ultime de la régression… Et pour ne rien arranger, il semblerait que le temps lui-même se soit littéralement inversé ! Pour comprendre, il faut tenter l’impossible : chercher dans l’ADN des Cygnes Noirs, remonter dans le temps, et peut-être éviter l’apocalypse.

On retrouve évidemment tous les personnages rencontrés dans les deux premiers tomes : Anna, Wuan, Lauryn, Lucas, Alice etc… D’autres aussi font leur apparition et tous auront un rôle essentiel à jouer dans cette course contre la montre.

Le rythme est effréné, l’auteur a cent idées à la seconde et du coup, c’est vrai, on a un peu la tête qui tourne par moment !

Véritable page turner, science ou science-fiction, ce roman clôture parfaitement la série et m’a fait passer un excellent moment.

Xavier Muller a une imagination incroyable et en même temps dans la postface de ce roman il le dit lui-même « Hormis quelques exagérations ponctuelles, tous les aspects génétiques de la saga Erectus sont réels. » Voilà ce qui donne à réfléchir n’est-ce pas ?

#Erectus #NetGalleyFrance



https://www.radiofrance.fr/franceculture/l-incroyable-decouverte-homo-luzonensis-une-nouvelle-espece-humaine-5656055

Passionnant ! est le premier mot qui me vient à l'esprit en refermant cette suite de "Erectus" que j'attendais impatiemment.



J'étais très contente de retrouver les personnages -notamment Anne Meunier- qui étaient dans le premier opus.



Même si je me suis quelquefois perdue dans les notions scientifiques, j'ai apprécié le rythme soutenu et l'écriture de XAVIER MULLER.



Ce sera avec beaucoup de plaisir que je lirais le tome 3.

Mouais, bof... autant j’avais bien aimé le premier tome que j’avais trouvé original, autant, là, j’ai eu du mal à le lire et à avancer... On ne peut pas dire qu’il y ait énormément de rebondissements, ça avance tranquillement sans qu’on soit pressé de tourner les pages et d’aller plus loin...

Avec Erectus Xavier Müller avait réussi à rendre crédible (sinon plausible) une histoire de virus totalement improbable… à une époque (pas si lointaine que ça) où le genre humain n’avait pas à se soucier d’un virus dont le nom semble tout droit sorti d’une brasserie mexicaine.



Après un premier tome totalement maîtrisé, Xavier Müller se devait de tenir le niveau tout en proposant une intrigue 100% originale… pas question de se contenter d’une resucée d’Erectus au vilain parfum de déjà-vu. Et l’auteur évite l’écueil de la facilité en nous plaçant sept ans après la pandémie Kruger, sapiens et erectus cohabitent en un fragile équilibre qui ne satisfait pleinement personne.



Chez les sapiens le débat entre pro et anti erectus fait rage alors que la communauté scientifique s’échine à gérer les conséquences de la pandémie. C’est de cette gestion de crise qu’il sera essentiellement question dans les premiers chapitres du roman. Alors certes ça ne démarre pas sur les chapeaux de roues mais ça permet de planter le décor et de nous ancrer dans le monde d’après Kruger.



Qui aurait pu prévoir que les cartes allaient être redistribuées par une nouvelle pandémie ? Provoquée cette fois en parfaite connaissance de cause par un scientifique en mal de reconnaissance qui rêve d’une humanité 2.0. Humanité dont il serait à la fois le berger et le gourou.



Quand notre professeur foldingue met son plan machiavélique et ravageur en branle, le rythme du récit change du tout au tout. L’auteur nous balade tambour battant au gré de son intrigue et de ses multiples évolutions ; c’est à peine s’il nous laisse le temps de reprendre notre souffle entre les chapitres. On veut savoir, on doit savoir !



La première vague viendra du ciel puisque c’est un moustique, l’aedes aegypti (que l’on connait bien en Nouvelle-Calédonie), qui servira de vecteur de contamination et de propagation. Un nouveau défi pour la communauté scientifique : comment éradiquer le moustique sans nuire à l’équilibre de l’écosystème tout entier ?

Même si le Ganesh est encore plus dévastateur (et plus improbable) que le Kruger, Xavier Müller arrive à rendre son intrigue crédible en plus d’être hautement addictive.



Il faut dire aussi que l’auteur ne laisse rien au hasard, surtout pas ses personnages à qui il apporte un soin particulier. C’est avec plaisir que j’ai retrouvé ceux déjà croisés dans Erectus, un contentement renforcé par la place accordée aux erectus (particulièrement au clan de la pierre-levée) et leur rôle dans le déroulé de l’intrigue de ce second opus. Tout comme j’ai eu plaisir à rencontrer de nouveaux personnages, à commencer par Lauryn Gordon et Alice (la fille d’Anna).



Alors this is the end ou doit-on attendre (espérer ?) un retour des erectus, sapiens et ganesh dans un troisième tome ? Très franchement il y aurait matière à une suite, paradoxalement je serai tenté de dire qu’une suite ne s’impose pas. En tout état de cause le seul à détenir la réponse à cette question est l’auteur.


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