Xavier Müller

J'attendais tellement ce dernier tome... J'en attendais beaucoup ! Et j'ai été comblée.



Il faut dire que le premier tome, que j'ai lu à la sortie, avait été un coup de cœur absolu.

Et puis est arrivé le 2ème tome. J'avoue que j'étais dans une telle attente qu'il m'a déçue. Je ne saurais dire exactement pourquoi mais il ne m'a pas emportée dans l'intrigue. Je retrouvais pourtant des personnages plaisants.



Alors quand j'ai su qu'un dernier tome sortait, c'était impossible pour moi de passer à côté. Je ne pouvais pas rester sur un sentiment d'inachevé.



Ce dernier hiver donc, m'a offert tout ce que j'en attendais.

L'auteur a poussé l'intrigue à un point que vous n'oseriez jamais imaginer. Même dans vos pires cauchemars. Et pourtant, tout ça pourrait être tellement vrai que ça en donne froid dans le dos.

Tout l'aspect scientifique est non seulement à la portée de chacun, mais purement ahurissant. Complètement fou !

La bannière nous vend un roman vertigineux. C'est au-delà de ça !!



J'ai été littéralement absorbée. Tout est minutieux, le travail de recherches est pointilleux, l'écriture soignée.



En un mot "WOW", ça tabasse.

Ce dernier tome est simplement époustouflant !

Pour l’ultime opus de sa trilogie régressive Xavier Müller repousse encore les limites de la régression et, une fois de plus, parvient à rendre crédible un scénario hautement improbable. Beaucoup de données scientifiques (vérifiées et vérifiables) viennent s’intégrer à l’intrigue sans jamais assommer le lecteur de théories à rallonge, soporifiques à souhait.



Les lecteurs des précédents opus retrouveront avec plaisir des personnages déjà croisés, tels que Lucas Carvalho, Anna Meunier ou encore Wuan. D’autres, comme Alice, la fille d’Anna, seront appelés à jouer un rôle plus actif dans le déroulé de l’intrigue. Enfin le lecteur découvrira aussi de nouveaux acteurs qui auront un impact direct sur le récit, certains ayant des intentions pas forcément des plus louables.



Une fois de plus Xavier Müller ne se contente pas de nous servir du réchauffé, il renouvelle son intrigue et apporte une dimension supplémentaire à son roman avec des nouveaux défis et enjeux pour ses héros et l’humanité.



Il y aurait beaucoup à dire sur cette troisième régression tant elle est audacieuse, mais je préfère ne rien divulguer qui puisse gâcher le plaisir de la découverte des futurs lecteurs et lectrices. Sachez simplement que les surprises et autres retournements de situation seront légion au fil des chapitres.



Pour faire simple, je dirai que Xavier Müller nous offre un final en apothéose.
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🧐 J'avais adoré le premier tome que j'avais trouvé très original (d'autant plus que la pandemie de Covid n'existait pas encore) et j'ai beaucoup aimé ce second tome également même si il y a pas mal de longueur sur la seconde partie du roman qui m'ont un peu déçue.



🌺 Les personnages ont évolué puisqu'on les retrouve 7 ans après le début de la crise et ils sont plus profonds que dans le premier tome.



🌻La relation entre Erectus et Sapiens est assez manichéenne, il y a les pro-Erectus qui veulent les protéger et les aider et les anti-erectus pour qui l'extermination est la solution. Une dichotomie assez simpliste mais qui peut faire le job...



🌸Comme dit au début, j'ai trouvé quelques longueurs et beaucoup de digressions qui m'ont donné un sentiment d'inachevé assez frustrant.

Beaucoup de questions sont encore en suspend.



🌹Malgré tout, ça reste une lecture agréable et si je puis dire dans l'air du temps ! Et même s'il ne s'agit pas d'un page turner autant que le premier tome, c'est quand même un roman très sympa à lire.

la première partie est vraiment fascinante, très bien vulgarisée et on apprend beaucoup beaucoup de choses. le livret explicatif était nécessaire aussi.

La seconde partie m’a lassée d’une façon très subjective mais j’ai trouvé l’auteur très orienté je ne connais pas les avis de tout le monde et je ne connais pas suffisamment le sujet pour me faire ma propre opinion, j’aurais aimé avoir quelque chose de plus neutre.

Dans les deux épisodes « Erectus », l’auteur avait parfaitement mis en scène le phénomène de régression et en avait fait une épopée passionnante. Il me semblait que tout avait été dit et j’étais un peu sceptique sur l’arrivée d’un nouvel opus. C’était sans compter sur l’imagination sans limite de Xavier Müller !



Le lecteur n’est pas en terrain inconnu puisqu’il retrouve l’ensemble des personnages. Je pense qu’il est d’ailleurs intéressant d’avoir lu les premiers tomes sous peine de passer à côté des subtilités.



Alors que les évènements tragiques passés semblent apaisés, de nouvelles manifestations biologiques s’abattent sur la planète. Le monde est en danger. La solution à cette épidémie passe par une découverte scientifique qui emmène le récit vers de nouveaux horizons. Les scènes se déplacent dans le temps et dans l’espace. On voyage à Rome, à New York, au Moyen Age, à la Renaissance. A l’image des péripéties, la chronologie est chamboulée. Ces allers-retours donnent un rythme soutenu à la lecture et l’action ne ralentit jamais. On tourne donc les pages avec frénésie, emporté dans ce chaos déroutant. Le suspense monte crescendo pendant que la catastrophe s’amplifie et que les ennemis se multiplient.



Comme dans les précédents tomes, l’auteur dirige sa narration de main de maître, mélangeant fictions et réalités scientifiques avec doigté. Il continue en parallèle de développer ses protagonistes, auxquels on s’était attaché. Il réussit à insuffler un nouvel élan à sa dernière partie. Le scénario passe dans une autre dimension afin de terminer la trilogie en apothéose.



Dans ces trois volumes palpitants, Xavier Müller modifie le cours de l’Histoire, chamboule l’évolution et nos repères par la même occasion. Je ne saurais donc trop vous conseiller de partir à l’assaut de cette grande série d’aventure et de science-fiction, qui saura vous divertir et vous faire réfléchir.
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"Erectus : le dernier hiver" est le dernier tome d'une trilogie de science-fiction de Xavier Muller dont le dénouement est vraiment magistral. Je précise que ce roman fantastique peut être lu séparément sans aucun problème car même si je n'ai pas encore lu les deux tomes précédents, cela n'a aucunement gêné ma compréhension de l'intrigue.



Après avoir fait face au virus Kruger transformant une partie de l'humanité en Erectus, la paléontologue Anna Meunier doit affronter un nouveau phénomène de super régression lié à la chute de météorites mettant l'humanité en hibernation. Mais, à son réveil, l'Homme moderne est transformé, non pas en Erectus, mais en un être pré-humain plus sauvage et plus violent appelé Ardipithecus. Seule solution : remonter le temps jusqu'au Moyen-Age pour retrouver un enfant de dix ans porteur d'un ADN hors-norme repéré par l'équipe de scientifiques. Mais, la télé-transportation de cet enfant mutant ne sera pas sans conséquences...



L'intrigue de ce roman m'a un peu fait penser à la nouvelle fantastique intitulée "un Coup de Tonnerre" de Ray Bradbury lorsque d'imprudents chasseurs de dinosaures changent malencontreusement le futur pour avoir tué un papillon dans le passé... Mais ici, c'est l'enlèvement de cet enfant au don exceptionnel qui changera à jamais le futur de l'humanité.



La structure narrative est organisée en trois parties dont le rythme va crescendo jusqu'au twist final surprenant. Le style fluide et la plume addictive de l'auteur rendent la lecture très agréable. Les personnages sont attachants, surtout celui d'Anne qui est une héroine courageuse prête à tout pour sauver sa fille, Alice.



Je recommande ce roman d'anticipation à celles et ceux qui ont aimé "La Planète des Singes" ou "Jurassic Park" et je remercie @xo_editions de m'avoir permis de découvrir ce roman original que j'ai beaucoup apprécié.

J'ai lu Erectus à sa sortie et j'avais beaucoup aimé. La fin n'était pas celle que j'avais imaginée… mais elle laissait la possibilité d'une suite ! Bingo ! D'ailleurs j'ai vu que le Tome 3 vient de sortir. Youpi ! J'adore l'idée d'une pandémie qui changerait la face du monde. Même si on sort d'en prendre, on est nombreux à aimer les catastrophes tant que ça reste dans les romans.



Ouvrir ce livre, c'est se faire avaler par l'histoire. C'est captivant, intrigant et instructif. J'avais redécouvert avec le premier tome qu'à la préhistoire les animaux, à l'instar des humains, ressemblaient vraiment à autre chose que ce qu'ils sont actuellement. Ce roman incite à aller sur internet chercher les animaux en question pour voir, tel le Gomphotherium, ancêtre de l'éléphant ou le Miohippus, ancêtre du cheval. J'ai adoré cette séance de SVT à la sauce préhistorique. C'est une visite du passé dans le présent et c'est passionnant !



Il y a dans cette histoire des "profiteurs de guerre", ceux dont la cupidité et la mégalomanie annihilent le bon sens et qui font feu de tout bois pour s'enrichir, jouant ainsi les apprentis sorciers avec le monde. C'est une course contre la folie des hommes qui se joue là.



Beaucoup de personnages aux fortes personnalités, généreuses ou retorses, de l'écologie, des problèmes de société, de la cupidité, de la bêtise humaine, du complotisme, de l'intolérance et de l'égoïsme en partie liés à la peur de l'inconnu, de nombreux deuils sans morts, juste des proches transformés en Erectus. Ce roman imagine une vision folle de ce que l'humain peut provoquer de pire par manque de discernement et ainsi engendrer un effet papillon monstrueux qui submerge la planète d'une violence phénoménale. Les humains se métamorphosent, la nature aussi, le virus est partout. de nombreux rebondissements auxquels je ne m'attendais pas, des événements inattendus sur tous les continents, beaucoup de suspense et une vision acérée de ce que l'âme humaine peut produire de pire font de ce roman un véritable page turner que j'aurais aimé pouvoir lire d'une traite en oubliant tout le reste, tant j'avais envie de poursuivre mon immersion dans cet univers.



J'ai traversé ce roman envoûtant, débordant d'angoisses et de moments bouleversants avec avidité. J'ai adoré et j'espère que le Père Noël pensera à m'apporter le tome 3 , sinon je serai moi-même ma propre Mère Noël.
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Après les 2 vagues successives de régression ayant touché les espèces vivantes de la Terre, une nouvelle menace va poindre, une super-régression s'étant mise en place incluant la planète elle-même...

Ce dernier tome flirte avec la science-fiction, explorant les principes du Multi-Univers et des espaces temporelles parallèles, tout en conservant des analyses bien ancrées dans la réalité...

Ici s'achève la trilogie Erectus dont j'ai beaucoup aimé le 1er tome tant par l'originalité de l'histoire que par la thématique choisie. le 2è tome m'a un peu moins plu mais j'ai été emportée dans cette histoire fascinante où préhistoire, génétique se mêlent à grands traits. Ici, on est plus proche de la porte des étoiles et le lecteur est littéralement emmené dans le moins plausible et plus dans la science -fiction. ce qui m'a plu et m'a fait dévoré ce 3è tome comme les deux précédents. En résumé, c'est un succès commercial et littéraire où, à mon avis, le premier tome est très réussi et aurait pu se suffire à lui-même.

▪️Un troisième opus digne d’un final !

La régression à son apogée.. et l’auteur n’a pas ménagé ses efforts !

Alors oui de la pure fiction, rien n’est vraisemblable surtout sur un laps de temps si court, et si l’auteur use aussi de facilités, voici une intrigue qui se dévore et qui peut porter à reflexion…

J’ai apprécié le côté très cinématographique, l’intrigue rondement menée sans temps mort et le côté scientifique très poussé et bien souvent impensable ..



📚Et si le passé, le présent et le futur n'étaient qu'illusion ?



Vous êtes là, deux amoureux à admirer l'extraordinaire météorite qui illumine le ciel, lançant autour d'elle des pépites dorées. Puis la personne que vous aimez, tout à coup, s'endort. Et quand elle se réveille, elle n'est plus la même. Elle vous considère comme son ennemi. Pire : comme sa proie!



Paris, Rome, New York, Tahiti... le cataclysme foudroie la planète, inversant le temps, remontant aux origines, effaçant l'évolution. C'est la superrégression. Un cauchemar. Et le spectre du dernier hiver pour l'humanité.



Seul espoir : un ADN hors norme repéré par une équipe de scientifiques. Petit problème : il se trouve dans le corps d'un enfant de dix ans né au XIVe siècle...

📚



En lisant cette quatrième de couverture il est clair que les faits pour notre plus grand plaisir s’enchaînent.

Une lecture qui se veut rapide tant le récit est addictif ..

Les chapitres courts ainsi que l’urgence de l’intrigue donnent un rythme effréné..

Comme un bon film d’action on s’installe et on savoure. Un livre qu’on engloutit tant on veut avoir le mot de la fin.

Si l’extravagant n’est pas votre tasse de thé passez votre chemin.

Pour ceux qui par contre ont apprécié les deux premiers opus vous serez comblés.

Enfin pour ceux qui veulent découvrir cette série il est préférable de lire les deux premiers tomes.▪️




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Je viens de terminer le troisième opus de la trilogie #erectus de Xavier Muller avec "Le dernier hiver" et que dire à part : MAGISTRAL ? rien si ce n'est que c'est un coup de coeur ♥



L'auteur a réussi le pari audacieux de mêler une histoire autour même de l'Histoire avec un grand H, entremelant la physique quantique, la théologie, la science et l'amour. Il a carrément fabriqué un Nouveau monde et tout cela d'une manière cohérente et crédible.



Une trilogie qui vous mène sur des chemins improbables dans un récit fantastique.



Ce dernier tome conclut la trilogie d'une façon transcendante et étonnante. A lire absolument
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« Le dernier hiver » vient clore avec maestria cette trilogie attachante et haletante de Xavier Müller, « Erectus ». Si vous n’avez pas encore découvert cette trilogie, je vous recommande chaudement de vous lancer dans l’aventure. C’est fou, décoiffant et addictif ! Et ce qui ne gâche rien, très bien écrit et basé souvent sur des faits scientifiques. L’auteur est lui-même un scientifique. Après les deux premiers tomes, on pensait être allés au bout de la folie avec ces régressions de l’Humain en Erectus. Un retour dans le passé de deux millions d’années. Les Humains après avoir parqué les Erectus dans une prison à ciel ouvert en Afrique se pensaient enfin tranquilles après ces deux pandémies terribles. Et bien non ! Xavier Müller nous emmène encore plus loin avec une superrégression. Cette inversion du temps au contact de mystérieuses météorites ramène l’Humanité encore plus profondément dans le passé que les Erectus. Une étrange hibernation s’empare de nombreux humains qui les transforme peu à peu en singe, l’Ardipithecus ramidus, le « singe qui marche », Ardi pour les intimes. Cet Ardi est beaucoup plus loin dans l’évolution que l’Erectus et beaucoup plus agressif ! Il menace la planète entière. En plus, ces météorites semblent capables de créer des passages temporels. L’Histoire de l’Humanité est remise en cause. Lucas, Anna, Gordon et d’autres se battent une nouvelle fois pour tenter de sauver l’Humanité. Y arriveront-ils et à quel prix ? A vous de le découvrir en lisant « Le dernier hiver ». Vous l’avez compris, j’ai adoré même si parfois il faut accepter de suivre l’auteur dans son « délire ». Personnellement, je l’ai suivi avec grand plaisir pour un excellent moment de lecture. Gros coup de cœur ! Un peu triste tout de même que ce soit fini. J’ai aimé suivre tous ces personnages attachants, courageux et aventureux. J’ai hâte de découvrir les nouvelles aventures que va nous concocter Xavier Müller.
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En découvrant qu'un 3è tome Erectus était sorti et étant très tentée, j'ai repris de zéro L'armée de Darwin que j'avais abandonné. Bien m'en a pris et même si je n'ai pas autant aimé que le 1er, je me suis laissée happée dans cette aventure horrifique, tragique et désespérée. L'ombre de la pandémie du coronavirus plane, nous entraîne dans un imaginaire où folie et complotisme forment un duo tonitruant, déroutant et inquiétant mais ce n'est que de la fiction.

Retour vers le Passé II



On se retrouve sept ans, après le déferlement du virus qui transforme toute l'humanité en Erectus.



Les erectus, que l'on croyait stériles, se reproduisent dans les réserves (la fin du premier tome nous avait amené sur cette anomalie !)



Chaque jour, des dizaines d'entre eux sont assassinés. d'autres disparaissent…



Qui se cache derrière ces opérations meurtrières ?



Pendant que nous retrouvons au Kenya, Anna Meunier, la chercheuse française, qui tente de protéger Yann, son compagnon transformé en Erectus. Pour elle, ces hommes préhistoriques sont nos ancêtres, pas des bêtes sauvages…



Une organisation secrète est à l'origine d'une nouvelle vague de contaminations par le biais des insectes.

Un nouveau virus, le Ganesh, infecte des millions d'humains : il est plus virulent car outre qu'il fait régresser les hommes, il rend les nouveaux erectus plus vifs et plus belliqueux et développent chez eux des capacités qui les transforment en surhommes.



Elle capture des Erectus afin de récupérer leurs facultés extraordinaires (la force, la télépathie....)



Son objectif : fabriquer une nouvelle espèce humaine, aux pouvoirs décuplés, qui contrôlerait la planète et la protégerait.



Si j'ai adoré le premier tome (dans mes chouchous de l'année 2022), ce nouvel opus se révèle un peu plus "fouillis" (on passe d'équipe en équipe, on est perdu dans le temps et l'espace...), ponctué de descriptions des visions des erectus trop importantes dans le récit à mon goût...



J'ai trouvé cette histoire longue et moins entrainante que le premier tome... J'ai abandonné ma lecture, puis je l'ai prise à deux fois !



C'est un livre sur l'écoterrorisme, sur l'évolution.



Je n'ai pas trop adhéré aux capacités de télépathie des Erectus et cela a gêné ma lecture.



Beaucoup de leçons sur l'intérêt d'une terre saine à protéger. Moins d'aventures et de sciences.



Un roman moins captivant que le premier tome.

Les cygnes noirs



J’attendais l’ultime volet de la trilogie Erectus avec impatience et je remercie très chaleureusement NetGalley et les Editions XO de me l’avoir adressé !

L’humanité courre à sa perte : après le virus Kruger qui a transformé une partie de la population en « Erectus », puis son terrifiant variant « Ganesh » (voir « l’Armée de Darwin »), un danger encore plus redoutable menace la planète. Des météorites bombardent le globe : outre les dévastations qu’elles causent, les humains à proximité sombrent dans une sorte de coma, une hibernation en quelque sorte au cours de laquelle ils se transforment en ardipithèques, une espèce au croisement des primates et des homnidés, ancêtres des australopithèques… Le stade ultime de la régression… Et pour ne rien arranger, il semblerait que le temps lui-même se soit littéralement inversé ! Pour comprendre, il faut tenter l’impossible : chercher dans l’ADN des Cygnes Noirs, remonter dans le temps, et peut-être éviter l’apocalypse.

On retrouve évidemment tous les personnages rencontrés dans les deux premiers tomes : Anna, Wuan, Lauryn, Lucas, Alice etc… D’autres aussi font leur apparition et tous auront un rôle essentiel à jouer dans cette course contre la montre.

Le rythme est effréné, l’auteur a cent idées à la seconde et du coup, c’est vrai, on a un peu la tête qui tourne par moment !

Véritable page turner, science ou science-fiction, ce roman clôture parfaitement la série et m’a fait passer un excellent moment.

Xavier Muller a une imagination incroyable et en même temps dans la postface de ce roman il le dit lui-même « Hormis quelques exagérations ponctuelles, tous les aspects génétiques de la saga Erectus sont réels. » Voilà ce qui donne à réfléchir n’est-ce pas ?

#Erectus #NetGalleyFrance



https://www.radiofrance.fr/franceculture/l-incroyable-decouverte-homo-luzonensis-une-nouvelle-espece-humaine-5656055

Si vous avez suivi les deux premiers romans et le bouleversement engendré par la régression, attendez-vous à perdre définitivement la tête. Car la régression peut aller encore plus loin, devenir encore plus incontrôlable !



Le moins que l’on puisse dire, c’est que Xavier Müller ose. Et il n’est pas commun de voir un tel livre de genre poussé par un grand éditeur généraliste.



L’idée du premier tome était déjà folle, poussée dans ses retranchements par un excellent deuxième opus. Mais quels qualificatifs trouver alors pour ce roman qui clôture la trilogie ?



Cette fois-ci, ce ne sont pas que les gènes qui perdent pied, mais le temps lui-même qui compte à rebours. Tout commence par un long sommeil dont certains ne se réveillent pas…



La suite est à découvrir, tant les surprises s’accumulent de page en page, tant le scénario (très visuel) prend nombre de virages étourdissants, remettant en cause les lois de la physique. Quand tout est déréglé, il ne reste plus qu’à se laisser porter par la vague qui submerge toutes nos croyances, tous nos acquis.



Toujours plus loin, toujours plus fort, semble être le credo de l’écrivain. Pour un vrai moment de fun, survitaminé, et qui donne le tournis. Car la pandémie de régression ne se déroule plus seulement dans le présent…



L’auteur a des idées à la pelle, une imagination débordante, couplées à un vrai travail de recherches – n’oublions pas qu’il est journaliste scientifique et titulaire d’un doctorat en physique.



Même si le roman a parfois le défaut de ses qualités, à partir un peu dans tous les sens avec cet univers foisonnant, le résultat est prenant pour qui sait avoir l’esprit ouvert. Même si certaines très bonnes idées auraient mérité davantage de développement, ce rythme effréné coupe littéralement le souffle.



Il serait criminel d’en raconter davantage, tant l’effet de surprise est l’élément moteur de ce thriller d’anticipation atypique. Mais sachez que derrière le divertissement assumé, l’intrigue est aussi l’occasion d’un enrichissement constant et matière à réflexions.



Xavier Müller s’en est donné à cœur joie dans ce dernier opus, son plaisir jubilatoire à aller toujours plus loin est communicatif. Une fois son idée folle inoculée dans votre esprit, plus aucune barrière ne peut l’arrêter.



Erectus, Le dernier hiver est un roman contaminé par le plus puissant des virus, celui de l’imagination, pour le plaisir des lecteurs sensibles aux expériences de lecture hors norme, hors des codes et même hors du temps !
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J’avais adoré le premier tome de cette saga. Je me suis relancée dans la suite et retrouvée très vite replonger dedans. Ce virus ERECTUS a été freiné. Certes les Erectus peuvent se reproduire mais il n’y a pas de nouvelle contamination. Mais la population générale se sent menacée par la différence de l’homo erectus et par la potentielle recrudescence du virus

La suite de ma chronique :
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Juste après avoir fini le tome un j'ai enchaîné sur le tome deux, quelle chance. Comme pour la covid, des variations font resurgir le virus en force, suite logique. Toujours très bien rythmée, l'histoire est aussi prenante que le premier volet. je conseille vivement les 2.

Dans le précédent tome, une pandémie avait failli détruire l'humanité. Issu des manipulations hasardeuses d'un laboratoire, le virus Kruger avait fait régresser les espèces de plusieurs millions d'années.

Dans ce second tome, l'écologie et l'avenir de la planète occupent une place majeure. Et les Erectus s'avèrent plus écologistes que les Sapiens.

Mon avis sur cet ouvrage est mitigé. J'ai trouvé la scène de bataille finale largement sous-exploitée et insuffisamment épique alors qu'il y avait le potentiel. Je pense que le premier tome se suffit à lui-même et je dois avouer que je suis restée sur ma faim.

Rendez-vous au 3ème tome ? Pas sûr.

A la fin d'Erectus, les personnes atteintes du virus Kruger et qui s'étaient transformées en d'anciennes versions d'humains avaient été parquées dans des réserves, en compagnie des versions préhistoriques de la faune et de la flore. 



L'épidémie semblait contenue, d'autant plus que les Kruger semblaient stériles ... 



Mais dans un laboratoire secret, un savant fou souhaite redonner à la terre une pureté originelle, supprimer une partie du mal fait par l'humanité 



Et voilà Kruger 2 ! 



Une nouvelle contagion, des effets différenciés et le monde tremble de nouveau 



Un roman passionnant qui complète bien le précédent et qui s'achève sur une possibilité de troisième tome ! 



Xavier Muller m'a régalée d'une écriture quasi cinématographique, d'effets a la Jurassic Park,​​​​​​​ avec la pointe de tendresse et d'amitié qui lie les personnages ... Et les lecteurs ! 



A suivre, peut être ! 
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