Timothy Findley, au moment de Pilgrim, disait à Libération (18/01/2001) : « Le livre est comme un hôtel où l'on vient pour la première fois, et il y a des couloirs, avec des portes et vous savez que derrière certaines il y a des choses dangereuses. Mais, si vous voulez écrire, vous êtes obligé de les ouvrir toutes. »
(tiré d'un article de Claire Devarrieux, Libération, 24 juin 2002)