Le Miroir du Riséd est un miroir magique qui montre à celui qui l'observe son désir le plus fort. Une inscription peut être lue sur le miroir : « Riséd elrue ocnot edsi amega siv notsap ert nomen ej ». En lisant de droite à gauche et en ré-organisant les mots, on peut alors comprendre : « Je ne montre pas ton visage mais de ton cœur le désir »
Lyra est retenue prisonnière par sa mère, l'ambitieuse et cruelle Mme Coulter qui, pour mieux s'assurer de sa docilité, l'a plongée dans un sommeil artificiel. Will, le compagnon de Lyra, armé du poignard subtil, s'est lancé à sa recherche, escorté de deux anges, Balthamos et Baruch. Avec leur aide, il parviendra à délivrer son amie. À son réveil, Lyra lui annonce qu'une mission encore plus périlleuse, presque désespérée, les attend : ils doivent descendre dans le monde des morts…
Plus qu'un 'simple' tableau, puisqu'il change au cours du roman, le portrait est le miroir où se reflète l'âme de plus en plus corrompue du beau Dorian.
Sylvia Plath décrit un miroir sans pitié pour la femme qui s'y contemple.
"In me she has drowned a young girl, and in me an old woman / Rises toward her day after day, like a terrible fish".
Selon Stendhal, « Un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l’azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. »
Dans son poème The Lady of Shalott, le personnage possède un miroir qui lui permet de voir les gens de Camelot alors que, victime d'un sort, elle ne peut les voir directement.
La nouvelle 'The Trap' est basée sur un miroir
"It was on a certain Thursday morning in December that the whole thing began with that unaccountable motion I thought I saw in my antique Copenhagen mirror. Something, it seemed to me, stirred—something reflected in the glass, though I was alone in my quarters."