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La Courée tome 2 sur 3
EAN : 9782266110259
320 pages
Pocket (12/12/2000)
4.24/5   118 notes
Résumé :
En 1900, Louise est une enfant insouciante et joyeuse. Confiante, elle regarde le siècle nouveau s'avancer à grand pas. On le voudrait "riche de promesse et d'espoir", mais les conditions de travail des ouvriers sont toujours difficiles...
En 1912, Louise s'éprend de Mathieu, un bel instituteur qui l'emmène vivre près de Tourcoing. Benoît nait en 1914, un peu avant l'été. toute à son amour, Louise n'a guère prêté attention aux événements qui ébranlent le mond... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Marie-Paul Armand relate parfaitement les différentes époques des guerres 14/18 et 39/45.
J'ai été très touché par cette lecture qui nous fait revivre l'époque dure qu'on vécu les cheminots.
Vivement un prochain roman.
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Après la monde ouvrier du premier tome, on découvre le monde de la guerre de 14 dans le nord, avec ces envahisseurs qui affament la ville, le cloaque des tranchées, les familles déportées et séparées... On ne soupçonne pas que la population civile avait vécu un tel enfer.
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Très beau roman qui nous fait vivre des moments très sensibles qui se passent dans la région du Nord et qui relate la vie de familles qui ont souffert pendant l'occupation allemande dans les années 1900 et 1914.
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Louise une mère courage et ce jusqu'à la fin. La 1ère GM lui prend l amour de sa vie mais elle se bat pour son enfant et continue à vivre.
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Le 2 eme tome d une superbe serie , a lire absolument pour les fans de marie Paul Armand
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Des chiens dressés spécialement pour les besoins de la guerre. Il y en a plusieurs sortes. Les chiens de liaison, qui portent les messages et qui passent avec rapidité n'importe où. Les chiens-guetteurs, qui montent la garde à côté de la sentinelle ; ils savent qu'ils ne doivent pas aboyer et ils la préviennent en mordillant le bas de son pantalon dès qu'ils décèlent le moindre bruit, que leur oreille entend mieux et plus vite. Et aussi les chiens porteurs, destinés au transport des pansements. Tous sont très utiles, mais eux aussi, parfois, sont victimes des obus. De pauvres victimes innocentes.
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Malgré les absents, l'existence reprenait. Le souvenir de la guerre serait long à s'estomper. Tout le monde était d'accord pour dire qu'elle devait rester la dernière, « la der des der », comme l'appelaient les poilus qui avaient eu la chance de revenir. Entre eux, ils se groupaient, avaient décidé de former une « Société des poilus », pour eux d'abord, pour les quatre ans de leur vie qu'ils avaient donnés, et aussi pour leurs compagnons tués au combat.
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La seule chose qui le console un peu, c'est que son fils lui apportera sa revanche. Il a fait la guerre de 1870, et il a toujours ressenti comme une injure personnelle la défaite, et la perte de l'Alsace et de la Lorraine. Il est fier, au fond, de penser que grâce à son fils, et à tous ceux qui comme lui sont partis, la France pourra reprendre ses deux provinces.
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Si on tuait autant de Boches que de poux, la guerre serait finie depuis longtemps ! C'est comme pour les rats. Ils viennent grignoter notre nourriture, qu'il faut accrocher à des fils de fer. Au début, nous placions nos provisions sur des planches assez élevées, mais ils parvenaient quand même à les atteindre. Il faut croire que ce sont de véritables acrobates ! Et ils n'ont pas peur. Ils viennent sur nous, la nuit, et bien souvent je suis réveillé par leurs pattes qui courent sur mon visage.
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Les études m'ennuyaient, les tables de multiplication me faisaient peur, et le calcul mental était ma bête noire. Quant à l'histoire, je mélangeais toutes les dates sans en retenir aucune, et les règles de grammaire étaient si difficiles que je ne savais pas les appliquer. Heureusement, mes notes plutôt médiocres, y compris la note de conduite, laissaient mon père indifférent.
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