Excellent.
Il fait parti des très bons policiers que j'ai lus. le suspense est à chaque moment présent, surtout quand, comme moi, on se place du coté de la famille Berger. On aimerai bien aider Nicole à révéler ses angoisses auprès de son mari, mais on comprend que le contexte n'y est pas, et ne peut que subir toutes ses peurs.
Pas la peine de tenter un résumer, sans révéler une partie de l'intrigue. Il suffit de prendre le livre, de l'ouvrir, de le commencer, et on ne peut plus le lâcher.
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Nicole et son mari Daniel, se font agresser lors d'une sortie au cinéma. Daniel décide d'embaucher leur sauveur, Martin Lancoix, comme chauffeur et garde du corps. Après son arrivée chez eux, des accidents vont commencer à se produire, et Martin Lancoix va petit à petit apporter son autorité sur l'ensemble de la demeure. L'histoire est assez répétitive.
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Un couple habite une grande demeure. Monsieur étant souvent absent, il cherche quelqu'un pour surveiller la maison et protéger son épouse. le hasard le fait rencontrer un homme maître dans l'art des sports de combat. L'homme a un comportement étrange qui finit par semer la terreur et le doute dans l'esprit de madame...
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Je suis déçue de la fin, je m'attendais à autre chose, un peu plus d'explication, sur le après par exemple
Sinon, c'est un bon livre, se lit facilement
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Malgré tout, elle tentait de leur inculquer un minimum de principes moraux, mais c’était difficilement crédible dans une société où les repères positifs avaient tendance à disparaître, où l’on voyait des hommes politiques condamnés pour toutes sortes de malversations et où les religions ne savaient plus prêcher que la haine et l’intolérance… Comment expliquer à son fils qu’il devait se comporter en être sensible dans une société de brutes ? Par quels moyens en faire un être humain dans un monde qui se déshumanisait chaque jour un peu plus ?
Et que choisir entre assurer la survie de ses enfants en leur apprenant à devenir des brutes dans un monde de brutes, ou assurer celle de l’humanité en enseignant à ses enfants à se comporter comme des êtres civilisés dans un monde qui l’était de moins en moins, à demeurer, en quelque sorte, une poche de résistance d’une certaine façon de vivre où le respect d’autrui était une valeur inaliénable ?
Nicole voulait bien le croire. Les gouvernements changent, les méthodes restent. Et les opposants qui n’ont pas la sagesse de se ranger sous une bannière mais continuent de défendre leurs idées, même quand leurs amis sont arrivés aux commandes, comprennent vite que la fonction de gouvernant va de pair avec des œillères et une gomme pour effacer le souvenir des engagements passés.