ActuSF/5
7 notes
Résumé :
10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d'imaginaire, pour explorer et expliquer les possibles du changement climatique. Inspiré par les rapports du GIEC, Nos Futurs donne à voir et à penser les innombrables facettes du lien entre le climat et nos sociétés : inégalités, biodiversité, urbanisme, santé, industrie... Un mélange original, éclairant et inspirant, et plus que jamais nécessaire : car ch... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Science et science-fiction sont souvent intimement mêlés, mais il est vraiment rare de réunir des auteurs scientifiques et des auteurs de science-fiction, voire même des auteurs qui appartiennent aux deux vocations comme c'est le cas ici.
C'est donc un ouvrage hybride très malin qui présente 10 histoires courtes précédées de 10 présentations scientifiques claires et accessibles, inspirés des grands thèmes des rapports du GIEC.
C'est qu'il nous faut IMAGINER. Imaginer le futur et imaginer des solutions. le tournant que nous vivons dans l'histoire de l'humanité n'est pas simplement historique, il est aussi profondément culturel, c'est la façon dont notre civilisation se pense qui doit changer.
Ce magnifique recueil répond à cet enjeu culturel, pleinement!
C'est donc un ouvrage hybride très malin qui présente 10 histoires courtes précédées de 10 présentations scientifiques claires et accessibles, inspirés des grands thèmes des rapports du GIEC.
C'est qu'il nous faut IMAGINER. Imaginer le futur et imaginer des solutions. le tournant que nous vivons dans l'histoire de l'humanité n'est pas simplement historique, il est aussi profondément culturel, c'est la façon dont notre civilisation se pense qui doit changer.
Ce magnifique recueil répond à cet enjeu culturel, pleinement!
Citations et extraits (1)
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Au total, la France exporte l'équivalent du prélèvement de 7km cube d'eau (dont environ 1.5 km cube juste pour les céréales), et importe des marchandises dont la production représente un prélèvement de 15km cube. Nous sommes donc indirectement responsables d'une ressource supplémentaire de 8 km cube. Nous pouvons donc alors poser deux questions. Compte tenu du stress hydrique chronique de notre pays - à l'instar de bien d'autres d'ailleurs - est il profitable de poursuivre et d'encourager la production et l'exportation de biens nécessitant une eau dont nous manquons en quantité et en qualité, aux prix de coûts externes (pollution, subventions aux aménagements...) élévés? Quand on sait que les biens agricoles importés proviennent majoritairement du pourtour méditerranéen, et de régions bien moins pourvues en eau que la nôtre, est-il juste d'y reporter la production des biens que nous souhaitons consommer?
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Chronique ActuSF de Sarah du samedi 19 décembre 2009 sur "Vampires de Londres", enregistrée à la Bibltiohèque de Montreuil par Marc Alotton.
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