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EAN : 9782266322980
384 pages
Pocket (19/05/2022)
3.51/5   338 notes
Résumé :
Le bonheur c’est comme la pâtisserie, rien ne sert d’avoir les ingrédients si on n’a pas la recette…
A quarante-quatre ans, le Chef français Pierre Boulanger a tout pour être heureux. Il possède le plus grand empire de pâtisseries surgelées des Etats-Unis, il est l’ami des stars, les plus belles femmes du monde croquent à pleines dents dans ses fameux croissants, et il a épousé une brillante avocate reconnue par le gratin new-yorkais qui lui a donné un adorab... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (93) Voir plus Ajouter une critique
3,51

sur 338 notes
Une couverture qui fait sourire, des personnages sympathiques, une histoire simple et efficace. Les chapitres sont courts, l'écriture est fluide. Tout est la pour passer un agréable moment de lecture. Malgré un début au ralenti et une fin attendue. J'ai apprécié ce livre.
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Pour faire baisser ma PAL papier, je me suis décidée à lire : le sourire contagieux des croissants au beurre de Camille Andrea.
Le bonheur c'est comme la pâtisserie, rien ne sert d'avoir les ingrédients si on n'a pas la recette…
A quarante-quatre ans, le Chef français Pierre Boulanger a tout pour être heureux. Il possède le plus grand empire de pâtisseries surgelées des États-Unis, il est l'ami des stars, les plus belles femmes du monde croquent à pleines dents dans ses fameux croissants, et il a épousé une brillante avocate reconnue par le gratin new-yorkais qui lui a donné un adorable petit garçon. Jusqu'au jour où un vendeur ambulant lui propose un gobelet de café à un million de dollars.
Un million de dollars, pas pour un simple café, bien sûr.
Un million de dollars pour le meilleur café du monde, le café qui va changer sa vie…
Le sourire contagieux des croissants au beurre est un roman que je me suis offert à sa sortie. Je n'achète pas tant de romans grand format que ça mais celui-ci m'intriguait alors je n'ai pas résisté.
Nous avons un homme (Pierre Boulanger, nom prédestiné pour ce boulanger) qui, à 44 ans, a tout pour être heureux. Il a un métier qui le passionne, de l'argent, une femme qu'il aime, un petit garçon. Et pourtant, la routine est là, qui fait assombrir ses journées pourtant bien remplies.
Un jour, il fait une drôle de rencontre qui va changer son quotidien.. celle d'un vieil homme, vendeur ambulant de café. Rien de bien surprenant, n'est ce pas ? Mis à part que cet homme lui demande.. un million de dollars pour le meilleur café du monde, le café qui va changer sa vie…
Notre boulanger va t-il se l'offrir ? En quoi un simple café peut changer une vie ?
Ce roman est un mélange de feel-good et de développement personnel, ce qui est somme toute assez sympathique. Je ne suis pas une grande fan de ce genre toutefois je l'ai lu quasiment d'une traite et avec plaisir. Une fois commencé, j'avais envie de savoir comment cette aventure allait bien pouvoir se terminer. Même si au final je n'ai pas été étonnée plus que ça par le dénouement.
La plume est agréable, les personnages plus ou moins sympathiques suivant les moments (ce qui est voulu ;)
J'ai apprécié de voyager en restant au fond de mon canapé.
Ce n'est pas un grand roman mais je conseille le sourire contagieux des croissants au beurre car il change les idées, m'a distrait et c'est ce que je lui demandais :)
Ma note : quatre étoiles.
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J'ai eu un coup de foudre pour la couverture de ce roman, quand je l'ai vue pour la première fois en librairie ! Elle n'est pas particulièrement belle, et je ne suis pourtant pas particulièrement fan de croissants (d'ailleurs, tant qu'à faire cliché, je ne suis même pas française ! et le croissant n'a pas la même « valeur symbolique » en Belgique…), pour tout dire je préfère les pains au chocolat (ou chocolatines pour ne pas faire débat), mais c'est vrai que ce croissant a l'air réellement souriant et dès lors comme lumineux. Avec en plus le titre, il est très attirant, vraiment… Et puis, de toute façon, par définition les coups de foudre ne s'expliquent pas !
Là-dessus, j'ai quand même vérifié son prix en Kindle plutôt qu'en broché : sans surprise, en format électronique il est plus de 3 fois et demie moins cher. Ainsi, sans avoir encore regardé le 4e de couverture jusqu'à présent, j'ai fait une chose que je n'avais jamais faite auparavant, et m'abstiendrai sans doute de faire à l'avenir : alors que j'étais toujours en librairie, au lieu de photographier ce livre « pour mémoire » comme je fais généralement et décider ensuite tranquillement de l'achat ou pas à la maison, je l'ai [i]aussitôt[/i] acheté… en format ebook !
Évidemment, depuis lors il est resté dans ma bibliothèque-PAL interminable, plus ou moins oublié ; il fallait un challenge en particulier pour que je le ressorte tout à coup. Et c'est seulement là que j'ai – enfin ! – regardé le synopsis, et commencé à déchanter…

C'est que, bien loin de la littérature contemporaine telle qu'annoncée sur les divers sites de vente (ou dans ma librairie : il se trouvait dans ce rayon-là), ce livre est surtout un ouvrage de développement personnel aromatisé au feel-good, sous couvert d'un roman narrant les aventures d'un boulanger français, nommé bien à-propos Pierre Boulanger, devenu un richissime industriel, patron dans le domaine du croissant surgelé. Il achète usine sur usine, ne peut plus s'arrêter, amasse de plus en plus de fric, fortune croissant (sans mauvais jeu de mots) à mesure que s'approfondit sa déshumanisation. Une rencontre fortuite avec un vieux sage vendeur de hot-dogs va changer sa vie…

On entre ainsi typiquement dans une histoire de cheminement intérieur, que ce vieux sage va servir à notre Boulanger à coups de maximes et autres théorèmes, syndromes et citations – c'est du vu, vu, vu et revu dans le genre, que ce soit dans la littérature ou au cinéma. La seule originalité (et encore), c'est que c'est concentré en une seule histoire plus ou moins crédible, que le personnage principal ne paraît jamais aussi antipathique qu'il pourrait l'être et que le vieux sage tout à fait improbable finit par devenir sympathique. Il y a en outre des touches d'humour çà et là, qui m'ont parfois fait réellement sourire malgré l'ennui sous-jacent, et clairement l'auteur assume les côtés ultra-cliché de son récit, il y a des allusions-clin d'oeil à ce sujet, assez subtiles toutefois, ici ou là.

Il n'en reste pas moins que c'est typiquement le genre de livre qui ne m'attire pas du tout normalement, et qui m'insupporte très vite si je le lis ou, au mieux, que je trouve très vite ennuyeux au possible. Celui-ci n'a pas dérogé à la règle, et seule l'intrigue centrale (à la recherche du meilleur café du monde) donne envie de tourner les pages, mais franchement sans précipitation ni réel enthousiasme ; c'est plutôt une espèce de curiosité : mais qu'est-ce qu'il va bien pouvoir inventer pour nous convaincre ? Vous pourrez me dire : peut-être ai-je ce sentiment plutôt négatif, parce que je n'ai pas besoin d'un tel livre à ce moment précis de ma vie, et qu'il y a peut-être l'une ou l'autre chose à en retirer quand même ? Mouais… Pourtant, dans des moments moins heureux de mes « quelques » années (presque un demi-siècle quand même), je n'ai jamais ressenti le besoin de lire ce genre d'ouvrage, et si l'une ou l'autre âme bien-intentionnée m'en mettait alors un entre les mains, ça m'a toujours très vite agacée. Ce n'est pas une littérature que j'affectionne, voilà tout, et ce récit à l'allure pourtant sympathique ne m'a pas réconciliée avec le genre.

Et puis bon, soyons sérieux : c'est facile de prêcher que l'essentiel est ailleurs que dans l'argent, quand on a de l'argent à ne savoir qu'en faire et qu'il reste juste à se « recentrer » tranquille, puisque par ailleurs on peut vivre de ses rentes pour le restant de ses jours, ce que l'auteur souligne à plusieurs reprises. Oh ! on a aussi l'exemple du vendeur de hot-dogs, pauvre comme job et édenté (détail sur lequel on insiste beaucoup), mais qui se dit parfaitement heureux… sauf qu'il n'est pas convaincant un seul instant ! il n'est qu'un vieux sage (je sais, je me répète) que le lecteur considère comme tel, c'est-à-dire un peu illuminé, déconnecté de la réalité ; le vrai « héros » est l'industriel, pour qui les choses sont bien différentes, et qui peut se permettre d'être enfin « libre », puisqu'il a de toute façon déjà tout !
Attention : ne croyez pas non plus que je serais jalouse de cet homme et que j'écris ce qui précède par dépit. Oh que non ! Si – comme tout le monde au fond – j'aimerais avoir de l'argent à ne plus savoir qu'en faire, je reste aussi trop bien consciente que ce n'est jamais qu'un rêve flou qu'on sait aussi improbable que gagner au Lotto (oui oui, deux t en Belgique ;) . Et, dans tous les cas, même si ce type de « réussite sociale » reste ce qui nous est tellement souvent présenté comme une voie royale pour arriver à cette richesse rêvée, eh bien tant pis : je n'envie en aucune façon la vie d'un chef d'entreprise détaché des réalités au point de ne jamais emmener son enfant unique à la crèche, de ne même pas connaître le nom de sa secrétaire, et de ne plus savoir sourire alors que c'est la marque de fabrique de ses croissants… Sérieusement, quels que soient nos rêves de richesse.s, qui a vraiment envie de devenir un robot vaguement humain à faire du fric ?...

Quoi qu'il en soit, et malgré la sympathie qu'il finit par susciter, le personnage principal n'est pas représentatif du lecteur lambda, et ne m'a touchée à aucun moment. Certes oui, ce livre a le mérite de rappeler l'essentiel : l'argent ne fait pas le bonheur (du moins à partir d'un certain niveau de richesse), l'essentiel est ailleurs, à savoir dans un « vrai » bonheur qui est propre à chacun, et auquel on peut accéder lorsqu'on prend la peine de se retrouver soi-même et qu'on prend du temps pour ceux qu'on aime. En un mot : ce livre nous invite à nous recentrer, et propose même une pseudo-solution pour aider à sauver le monde.
Mais justement : le bonheur est propre à chacun, et clairement, non seulement le cheminement de ce héros de pacotille (hum, pardon, je voulais dire : le héros de ce pseudo-roman) ne m'a pas touchée un seul instant, mais je pense être capable – grâce à l'amour de mes proches notamment – de trouver le bonheur, ou ce qui y ressemble mais qui me convient (même si un vieux sage venait tout à coup me prétendre le contraire), sans avoir besoin de lire ce livre qui m'a plus ennuyée qu'autre chose, malgré quelques qualités narratives.
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Autant le dire tout de suite, ce n'est pas LE roman du siècle, mais quel bon moment j'ai passé avec lui ! Il faut dire qu'il tombait bien : entre soucis persos divers, pandémie et fou_ furieux le doigt sur le bouton nucléaire, il y a de quoi devenir neurasthénique voire un brin terrifié.

Et arrive ce Pierre Boulanger, expatrié à New-York, la cinquantaine repue et fort satisfaite de son cursus qui fabrique des croissants en forme de sourire et a bâti sa fortune sur ce sympathique symbole français.

Oui mais.

Kate, sa femme, et lui ne partagent plus rien ou presque, il voit à peine son fils de quatre ans, dédiant à des employés tout ce que fait un homme dit « normal », et qui en tire satisfaction et plaisir malgré les obligations. Chauffeur, nounou, employée de maison, secrétaires, assistants. En fait, il vit par procuration.

Alors, quand au pied de la tour de trente étages où siège son bureau, il découvre un vieux latino, avec son chariot, ses hot-dogs et son unique dent (Ah ! ça change du sourire des croissants! et des Américains chics!), il ne peut qu'être intrigué, interloqué par le toupet de ce dernier qui lui offre un café absolument divin, moyennant un million de dollars !

Vous imaginez la combinaison café divin-croissant souriant du super cuistot ? Fortune ++++ !

Oui mais. Il lui faudra aller chercher lui-même les caféiers s'il veut les acheter afin de les exploiter.
Et voici notre homme d'affaires parti vers le Machu-Pichu. Pas pour les trésors incas, juste pour des caféiers divins.

Il y a beaucoup de drôlerie dans ce texte, une plume vive et rêveuse aussi, sur fond de réflexion fondamentale : il est où le bonheur, il est où ?

Ce n'est pas un livre de développement personnel qui se prend au sérieux et veut à tout prix nous apprendre la vie, juste un petit moment de plaisir sans complexe autour d'un bon café et d'un croissant, à nous dire que, finalement, la suite de l'histoire nous appartient, que ce qui reste à vivre est plus précieux que ce qui est déjà envolé. En clair : arrête de geindre, à toi de jouer !

Une petite touche de fantaisie supplémentaire : il paraît que personne ne sait qui est l'auteur, pas même son éditeur. Ce serait quelqu'un de connu (comme si nous ne l'étions pas tous, connus, au moins de quelques-uns!). Quand même, il fait bien des virements sur son compte, l'éditeur ?
Bon, c'est un détail.

A lire pour sortir de la morosité ambiante.
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Il m'en aura fallu du temps, cette année, pour avoir enfin un coup de coeur et c'est avec ce roman qui donne le sourire de la couverture aux remerciements.
Encore une fois, choisi pour sa couverture puis son titre, sans lire la quatrième de couverture ! Coup de bol, cette fois ! OUF.

Derrière ce Feel Good Book, se cache aussi un livre de développement personnel mais pas de ces romans avec des conseils à suivre. Plus une vie racontée avec les signes que l'on peut voir ou que l'on veut voir à certains moments propices de nos vies.

L'histoire d'un boulanger Français, Pierre, parti aux Etats-Unis et qui va fabriquer par accident le croissant qui sourit. Il va développer son affaire, devenir multimillionnaire, épouser une Américaine, avoir un enfant, et côtoyer les plus grandes stars dont sa grande amie, Madonna.
Un jour, il rencontre un vendeur de hot dog et café, qui va changer sa vie. Il va lui proposer un café contre un millions de dollars.
Je vous laisse découvrir la suite.

Les chapitres sont courts et l'écriture fluide.
Les personnages sympathiques et drôles donnent envie de savoir quels choix seront faits.

J'ai passé un très bon moment de lecture.
Surprise par les remerciements, avec le suspense qui reste quant à la véritable identité de l'auteur(e). Et cette histoire qui, parait-il, n'est pas complètement imaginée mais vécue !
Tout comme Mei, j'aimerai avoir des lentilles aux verres arc-en-ciel.

Plus que jamais, partout sur la planète, et comme il est dit dans le roman : "Le bonheur ce n'est pas quand on ne manque de rien mais quand rien ne nous manque. En réalité, se contenter de ce que l'on a".
Cueillir les petits bonheurs qui nous entourent, dans le rire d'un enfant, le bonjour échangé avec un voisin, ou pourquoi pas, le sourire d'un croissant !
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Citations et extraits (43) Voir plus Ajouter une citation
Voilà cinq minutes que tout le monde se regarde sans rien dire. M. Taikoda et ses deux associés ont le regard rivé sur le vieux.
Ils sont en train de se demander pourquoi l’homme qui leur a vendu un hot-dog vendredi dernier sur le trottoir se trouve devant eux, dans cette salle de réunion, pieds nus. Pensant que c’est là un signe de courtoisie à leur égard, les trois Japonais se lèvent et se déchaussent. Puis ils enlèvent leurs chaussettes. Allan les regarde, bouche bée. Bientôt tout le monde est pieds nus sauf lui. Il se sent comme un baigneur en maillot de bain qui traverserait une plage nudiste. Gêné, il imite les autres.
Le vieillard est assis dans le fauteuil présidentiel. Étant donné son grand âge, les Nippons en déduisent qu’il est bien le patron de l’entreprise, qu’il n’assiste qu’aux entretiens vraiment très importants, et que le jeune qu’ils avaient vu lors de la dernière réunion n’était qu’un substitut. M. Tikadao se frotte les mains. C’est bon signe. Si le P-DG s’est déplacé en personne, c’est que leur proposition l’intéresse. Mais pourquoi vend-il des hot-dogs dans la rue ? Cette question taraude l’homme d’affaires. Il pose la question à son associé (Japonais numéro 1).
— Certains grands entrepreneurs ne veulent pas perdre le contact avec la rue et leurs clients, lui répond-il. Si les Américains le font, nous devrions le faire !
— Bien, dès notre retour, je mettrai à ta disposition un chariot de sushis dans le centre de Tokyo.
L’idée n’a pas l’air de ravir Japonais numéro 1, qui perd son regard dans les bulles de son verre d’eau gazeuse.
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Quand on m'a offert ce roman, je me suis doutée, au vu du titre et de la couverture, que ça n'allait pas être de la grande littérature. Qu'à cela ne tienne, ce roman pouvait tout de même être divertissant et permettre de passer un bon moment....qu'elle déception !!! J'ai cru que je n'arriverai jamais à le finir tellement la lecture était pénible. C'est niais, complètement cliché, tous les personnages sont carricaturaux, les dialogues sonnent faux...alors c'est peut-être sensé être drôle? Je ne sais pas, je n'ai jamais ri... c'est peut-être sensé être du second degré ? Je n'en suis pas sûre et même si c'est le cas, ce roman n'apporte rien qu'une LONGUE série de "conseils de vie" extrêmement niais. Bref, un très mauvais moment de lecture... jusqu'à la dernière ligne...d'une très grand prétention!!
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Avant de te dire que quelque chose n’est pas possible, continue-t-il, demande-toi ce qui l’est. Ne pense pas d’abord aux obstacles. S’il y a un éléphant sur la route, sors de la route et contourne-le. Ou grimpe-lui dessus. Ne reste pas des heures à attendre qu’il bouge. Agis ! Imagine ta vie comme un grand appartement dans lequel tu viens à peine d’emménager, rempli de cartons. Chaque carton symbolise un problème, un obstacle. Tu peux t’asseoir sur une chaise et pleurer, mais cela ne rangera pas les cartons, ou tu peux retrousser tes manches et affronter chaque carton un par un afin de dégager ta vie.
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J'ai été au départ attirée par cette jolie couverture rose gourmande...mais dès les premières pages, j'ai vite déchanté : loufoque, incongru, désordonné....voici mon ressenti en démarrant ce livre! Qu'est-ce que c'est que ça ? Ou l'auteur veut-il nous amener? Un boulanger doué, reconnu...qui fréquente et tutoie Madonna...et se retrouve face à un vendeur ambulant lui vantant son café comme "le café du bonheur"....avec ça si vous ne trouvez pas ce livre "étrange ".
J'ai pourtant tenter d'avancer me disant que ça va évoluer...mais non passé 40 pages pas beaucoup plus d'avancées...bien dommage et bien déçue !
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Quand on m'a offert ce roman, je me suis doutée, au vu du titre et de la couverture, que ça n'allait pas être de la grande littérature. Qu'à cela ne tienne, ce roman pouvait tout de même être divertissant et permettre de passer un bon moment....quelle déception !!! J'ai cru que je n'arriverai jamais à le finir tellement la lecture était pénible. C'est niais, complètement cliché, tous les personnages sont carricaturaux, les dialogues sonnent faux...alors c'est peut-être sensé être drôle? Je ne sais pas, je n'ai jamais ri... c'est peut-être sensé être du second degré ? Je n'en suis pas sûre et même si c'est le cas, ce roman n'apporte rien qu'une LONGUE série de "conseils de vie" extrêmement niais. Bref, un très mauvais moment de lecture... jusqu'à la dernière ligne...d'une très grand prétention!!
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