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En ouvrant ce livre, je me dirigeais un peu vers l'inconnu parce que je n'avais jamais lu le conte original des frères Grimm. Et vous savez quoi ? J'ai passé un bon moment. Ça se lit facilement et le fait que je l'ai lu d'une traite reflète bien à quel point il m'a plu. L'une des choses que j'ai le plus appréciée c'est la douceur et la poésie qui émane de cette histoire.

J'ai beaucoup aimé Sirona, c'est une jeune fille forte qui sait ce qu'elle veut. Elle est loyale, sensible, et possède beaucoup de force et de courage.
Eloane est une jeune fille naïve, on peut dire qu'elle est un peu trop idéaliste, comme une jeune fille de 15 ans peut l'être. À un moment j'ai eu envie de lui donner des baffes mais j'ai par la suite compris que ce qui s'était passé n'était pas de sa faute.
L'ours et le pianiste m'ont paru semblables au début, le premier avec une personnalité douce cachée sous cette apparence sauvage, j'avais l'impression d'entendre sa plainte au loin. le second, bien que méprisable, me faisait presque pitié d'être victime de cette malédiction.

Grâce aux descriptions, les décors se dessinaient aisément dans mon esprit, tout comme le physique des différents personnages. Il y a juste une chose qui m'a un peu troublée, c'est le fait que je n'ai pas réussi à déterminer l'époque dans laquelle se déroulait le récit.
Bien que l'on sache qu'il y a anguille sous roche dès le début, il y a des évènements qui arrivent sans crier gare et je n'arrivais pas à deviner comment tout cela allait se terminer.
Tout ça pour dire que ce fut une lecture des plus agréables, et je suis heureuse de terminer l'année avec une histoire comme celle-ci. 😊

Pour terminer, j'aimerais dire que, comme la plupart du temps, j'ai été d'abord attirée par la couverture. Pour moi, c'est ce genre d'illustrations qui me donne envie d'acheter le livre avant même de lire son résumé (avouez, on est tous un peu comme ça ). Elle a été réalisée par @mina.m.illustration Je vous invite vivement à aller jeter un oeil sur son compte, ses dessins sont de toute beauté. 🤩
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J'ai lu Ronces Blanches et Roses Rouges, écrit par Laetitia Arnould et publié par Magic Mirror, et c'est une belle réécriture de conte !

On ne sait pas trop dans quelle époque l'histoire se situe, mais ce flou n'est pas dérangeant, ça permet de mieux ressentir l'amnésie des deux soeurs. D'ailleurs, j'ai préféré Sirona à Eloane pour son côté plus terre-à-terre et moins romantique.

Concernant les autres personnages, j'ai été intriguée par cet ours qui erre dans la forêt et l'étrange pianiste qui vit dans un château enchanté où la musique règne et ensorcelle. La plume de l'auteure a aussi le don d'emporter le lecteur dans de belles tournures de phrases et une intrigue intéressante.

Pour conclure, une histoire pleine de magie, j'ai beaucoup aimé imaginer ces roses rouges et ces ronces blanches. Et la couverture dessinée par Mina M. est superbe, comme toutes ses créations. 😃
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Bonjour les proseurs !

Ce titre fait parti des, à peu près, 80 livres pré-sélectionnés pour le #PLIB2018.
Je vous avouerai, que si il ne faisait pas parti de cette liste, je ne l'aurai pas lu.
Pourquoi ? Tout simplement que je ne suis pas spécialement fan de contes, revisités ou pas.
Je n'ai d'ailleurs pas lu mes classiques.

Mais si j'avais su que 2 Mélie allaient influencer cette article je ne l'ai jamais cru.
Tout d'abord vous pouvez retrouver l'article de Mélissa de Prosecafé >>ici
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Je suis complètement passé à côté de l'histoire. Je suis une grande fan des ré-écriture des contes mais là dès le début je me suis ennuyée… La plume de l'auteure n'a pas su m'embarquer avec elle. Je suis restée perplexe entre le prélude, l'histoire et le postlude. J'ai trouvé qu'à certain moment, c'était un peu brouillon, un peu rapide et qu'il manquait des infos… Je me suis sentie perdue, il manquait des informations pour bien faire les liens entre toutes les manigances, vengeances etc…
Les personnages m'ont laissé de marbre et les seules sentiments que j'ai eu à leurs égares, était négatif… Beaucoup d'agacement envers eux… J'ai trouvé le personnage principal complètement naïve et stupide … Sa soeur pareil. J'ai vraiment pas du tout accroché avec les personnages. Petit bonus que j'ai beaucoup apprécié pour le coup, le conte original à la fin du livre.
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Je me suis procurée il y a quelques mois le premier livre de la toute jeune maison d'éditions Magic Mirror, créée il y a un peu plus d'un an, et dont la ligne éditoriale s'appuie sur la matière merveilleuse, la réécriture des contes de fées. Ce premier roman est inspiré du conte Blanche-Neige et Rose-Rouge des frères Grimm, et s'intitule Ronces Blanches et Roses Rouges. L'auteure, Laetitia Arnould, invite le lecteur à se plonger dans un roman au genre agréablement régressif et merveilleux.

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Sirona et Eloane vivent dans une petite maison de chaume sous la tutelle de Mme Whitecombe, qui s'occupe d'elles depuis leur enfance. Les deux soeurs, désormais adolescentes, se sont résignées à leur vie solitaire et reculée. Pourtant, des questions restent : pourquoi n'ont-elles aucun souvenir de leur enfance ? Qui sont leurs parents ? Pourquoi Mme Whitecombe n'aime-t-elle pas les questions ? Un jour, un étranger frappe à la porte, et tout bascule. Voilà que leur tutrice promet Sirona en mariage à cet inconnu, et petit à petit, le masque de gentillesse et de douce féerie de leur vie se craquelle. Sirona finit par s'enfuir, déterminée à affronter les ours et la forêt, mais se fait la promesse de revenir chercher sa soeur. D'une nature pragmatique, Sirona ne croit pas à la magie, pourtant, elle va bien devoir s'y faire, car la magie, elle, ne l'a pas oubliée...

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Ronces Blanches et Roses Rouges est un livre a priori prometteur : une très belle couverture réalisée par l'artiste Mina M., et un résumé alléchant, reprenant les codes du conte merveilleux.
Cependant, les 227 pages de ce roman sont inégales. La plume de l'auteure, qui se veut poétique, comporte de nombreuses maladresses stylistiques : expressions un peu trop naïves, pléonasmes divers, ponctuation qui manque de rigueur (les virgules, bon sang !), etc ; tout cela aurait pu être amélioré avec un bon travail de correction. Ajoutons une intrigue mal ficelée par des retournements de situations auxquels on a du mal à croire ou qui manquent de caractère logique et une gestion des récits présents/passés qui laisse perplexe. Enfin, les dialogues sont peu convaincants : les différences de discours - tantôt soutenu, tantôt familier - se ressentent et devraient être corrigées.

Il faut tout de même noter les points forts de ce récit : je l'ai lu d'une traite, ce qui montre une certaine aisance de l'auteure quant à la narration. le caractère merveilleux est bien présent et subtilement mis en scène, et les personnages plutôt bien plantés. J'aurais aimé qu'ils soient encore davantage développés, mais après tout, il s'agit d'un conte. L'auteure a également fait un travail de réécriture intéressant : ainsi on retrouve tout au long de son récit des éléments importants comme les deux soeurs, l'ours, la chaumière, le nain, et la magie, qui font partie du conte originel, tout en étant amenés différemment.

Je n'ai pas trouvé la lecture désagréable, mais avec un bon travail de réécriture, d'équilibrage des temps du récit et un style affiné, Ronces Blanches et Roses Rouges serait passé du stade du "roman d'amateur" à "roman d'écrivain". Je souhaite tout de même saluer le travail de la toute jeune maison d'éditions, qui a eu du flair avec cette ligne éditoriale spécialisée et enchanteresse. J'espère que les prochains romans se démarqueront en bien.
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Ce conte se savoure, se lit petit à petit. Il n'est pas de ces livres que l'on dévore en une nuit, mais de ceux que l'on aime faire durer, d'autant que la plume est empreinte d'onirisme.

Lire ma chronique :
http://www.limaginarium.fr/ronces-blanches-et-roses-rouges.html
Lien : http://www.limaginarium.fr/r..
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Avec Ronces Blanches et Roses Rouges, l'auteure immerge le lecteur dans un univers de conte tel qu'on pouvait en lire, enfant, assis sur les genoux de nos parents.
La magie est à chaque page et nous transporte dans un récit où vengeance rime avec mélodies enchanteresses et passé oublié.

Dans ce conte, on suit deux sœurs, Blanche et Rose, filles d'un illusionniste qui croit que son jour de gloire vient d'arriver. Et tandis qu'il se rend sur son lieu de spectacle, la ville subit un tremblement de terre qui bouleverse son existence ainsi que celle de ses filles. Les deux sœurs sont kidnappées par une marâtre qui les séquestre dans une maison perdue au fond des bois.
Ayant perdue la mémoire, les deux fillettes grandissent dans cet univers étrange où chaque sortie est un défi contre la nature et surtout contre l'ours qui semble les traquer. Leur quotidien oscille entre corvées et ennui jusqu'au jour où la marâtre décide qu'il est grand temps que Blanche se marie...
Atterrée par cette décision qui l'oblige à quitter sa sœur et la maison, Blanche s'enfuit... Mais en pensant échapper à son destin, la jeune femme ne fait que s'enfoncer davantage dans un plan machiavélique fomenté contre elle depuis longtemps. Un plan qui met en scène un Pianiste aux mélodies envoutantes...

Si l'histoire se concentre essentiellement sur Blanche, cette jeune fille courageuse et sage, qui ne cesse de vouloir protéger sa sœur envers et contre tout, le lecteur croise également la route d'un geôlier aussi froid que charmant mais aussi celle d'un ours plutôt protecteur, d'une petite sœur pétillante en proie aux sautes d'humeur, d'un nain énigmatique et d'une marâtre manipulatrice.

J'ai adoré le personnage de Blanche ainsi que celui du Pianiste. J'ai aimé leurs duels ainsi que leurs rapprochements, l'univers dans lequel leur affrontement s'exerce... J'ai aimé aussi la revisite, ses codes et les références multiples aux histoires traditionnelles qui font notre culture commune : Boucle d'Or, le Petit Chaperon Rouge, Hansel et Gretel, la Petite Sirène, la Reine des Neiges, Blanche-Neige, la Belle aux Bois Dormants...
J'aurais cependant voulu que la marâtre et le nain soient davantage mis en lumière et que la seconde partie du récit soit mieux développée pour que le suspense et la tension puissent pleinement prendre leur envol.

Du point de vue du style, j'ai globalement apprécié la plume de l'auteure qui, là encore, s'est mise au diapason du genre littéraire qu'elle voulait créer : un conte traditionnel. J'ai toutefois regretté, par moment, certaines lourdeurs dans les tournures de phrase.

Malgré ces quelques bémols, l'aventure Ronces Blanches et Roses Rouges vaut vraiment le coup d'être tentée car la magie est là, sous nos yeux, au fil des pages, et elle opère pour nous faire revivre des sensations oubliées, des sensations de petite fille émerveillée qui n'attend que le dénouement de l'histoire pour reprendre son souffle.
Amateur(e)s de Grimm ou d'Andersen, ce roman est pour vous.
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Magnifique, magique, superbe. Ce roman est une réussite et est tout bonnement addictif. Je l'ai lu en une journée et je le recommande vraiment!
Lien : https://padawantiff.wordpres..
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Je remercie infiniment Magic Mirror de l'envoi de Ronces Blanches et Roses Rouges, dont la sublime couverture de Mina M Illustration – telle une invitation au rêve et à la plongée dans un univers fascinant et diabolique – réhausse à la fois la qualité de l'objet-livre, la magie et la profondeur du texte.
Les contes n'ont pas fini de nous surprendre. Si certains adultes acariâtres peuvent les qualifier de passés de mode, de poussiéreux, de bons pour les enfants, ils véhiculent un propos universel et sont porteurs d'une énergie fondamentale, profondément vivifiante. En veut pour preuve leur durée dans le temps, « malgré » leur forme brève. Laetitia Arnould, en répondant au premier Appel à Textes de Magic Mirror, s'est emparée de ce matériau littéraire à la richesse incroyable – plus précisément du conte des frères Grimm intitulé Blanche-Neige et Rose-Rouge – en nous livrant un roman étonnant dans lequel jalousie, vengeance, manipulation, musique et amour se mêlent, le tout savamment orchestré par sa plume enchanteresse…
Si Les yeux sont le miroir de l'âme – comme l'affirme le père de Blanche et Rose, les mots de Laetitia Arnould sont le révélateur d'un inconscient et d'un imaginaire collectifs qu'elle s'emploie à sculpter de façon personnelle et touchante, variant les styles avec une grande dextérité. On y retrouve, bien sûr, des figures et des thèmes du conte originel – dont on peut lire une version à la fin du roman (une belle surprise que nous fait Magic Mirror), mais l'auteure procède à des ajouts, des détournements, des mises en abymes (que je vous laisse découvrir…) qui concourent à une dimension dramatique et un suspense hors pairs. Des phrases courtes et percutantes aux pararagraphes poétiques et détaillés, narration, descriptions et dialogues s'organisent en un ensemble à la fois mosaïque et harmonieux, rendant la lecture très agréable. La forme romanesque du conte, qui correspond à la ligne éditoriale de Magic Mirror Éditions, permet cela et prend ici tout son sens. Contrairement aux formes brèves, la plume de l'auteure s'est amusée en effet à délier, à épaissir les traits de caractères ou les sentiments, à faire s'entrechoquer ou se caresser les objets, les personnages, les espaces, à accélérer ou ralentir le temps, à faire durer le plaisir ou le déplaisir des situations – comme autant de variations sur un même thème. de jolies trouvailles parsèment le roman, comme la Nuit des Toujours, les Pluies des-Sans Pourquoi et l'atrium mouvant aux instrument magiques…
L'image d'Épinal qui semble se dessiner sous nos yeux dans les premières lignes du roman – une famille heureuse, quelques clichés bien choisis – est vite balayée par l'ondulation de la terre qui engloutit la Cité. Cette onde de choc se propage et se prolonge tout au long du roman. À chaque lecture (oui, je l'ai lu trois fois…), j'ai eu une sensation de vertige, tant certains passages me rappelaient d'autres histoires, d'autres quêtes initiatiques, d'autres univers poétiques et oniriques que j'apprécie particulièrement. J'ai eu l'impression de me retrouver tour à tour (pour n'en citer que quelques-uns) dans "La Belle et La Bête" (les scènes du château), "À la croisée des mondes de Philipp Pullman" (la relation entre Sirona et l'ours), "La Passe-miroir" de Christelle Dabos (le mariage forcé, le transfert des pouvoirs, les illusions) ou encore "L'Odyssée" (le chant des sirènes, Pénélope).
Les descriptions, toutes plus belles les unes que les autres, arrivent toujours à point nommé, mettant nos sens à rude épreuve. Elles rythment le récit et prennent part – pleinement – à la construction de l'identité et à la quête des protagonistes. Les éléments, les objets, les espaces, la musique sont dotés d'une vie propre, se mettent en mouvement, faisant écho à la malveillance de l'intimidante marâtre, à l'incompréhension grandissante de Sirona, aux relations complices ou diaboliques qui se nouent entre les protagonistes. La tempête, les flocons de neige, les ronces et les roses, la chaumière, les flammes de l'âtre, la forêt, le château, tous participent à leur manière aux épreuves. Adjuvants ou opposants, ils agissent avec autant de conviction et de force que les personnages eux-mêmes et acquièrent un nouveau statut. Certains passages (beaucoup même…) sont magistraux !
Le traitement des personnages et de leurs relations est époustouflant. Tous les protagonistes apparaissent en effet dans toute la dualité et la fragilité dont ils sont porteurs, sans pour autant nous révéler l'intégralité de leurs secrets. Reliés par des fils ténus, si l'un d'eux faiblit, on imagine très vite que c'est tout un mécanisme – alors même que nous ne connaissons pas encore les tenants et les aboutissants de l'intrigue – qui s'écroule. L'identification et l'attachement aux personnages fonctionnent à merveille. On vit pleinement, le temps du roman, avec les deux soeurs, que l'on suit depuis leur enfance jusqu'à l'âge adulte. Leur évolution est palpable (les ellipses temporelles aidant), les différences se creusent, mais leur merveilleuse complicité résiste au temps qui se joue d'elles et aux multiples épreuves. On voudrait pouvoir détester Madame Whitecombe, le nain, le pianiste, ou même le valet du château – complice, semble-t-il, d'une vaste et infernale machination, mais on passe, sans même s'en rendre compte, par une mutitude de sentiments contradictoires. Et l'on en perd ses repères. le jeu en vaut largement la chandelle, comme on dit, et certaines questions restent ouvertes.
"Ronces Blanches et Roses Rouges" nous fait voyager au-delà des traditionnelles frontières génériques. Selon les points de vue, le merveilleux s'inscrit naturellement dans la « normalité » ou non. Fantastique et merveilleux sont donc à l'honneur et cohabitent naturellement. Je l'interprète, pour ma part, comme un écho aux divergences des deux soeurs en ce qui concerne la croyance en la magie. La filiation gothique, également, est perceptible dans l'esthétique des espaces et l'atmosphère mystérieuse qui s'en dégage. Des lieux isolés, une forêt quasi impénétrable, participent de la mise en scène de topoï caractéristiques du genre : la mort et le motif du double, qui se manifestent sous des formes multiples et inattendues, interrogeant au passage la notion d'identité et notre rapport à l'étrange, tout en mettant au jour nos peurs ancestrales. Cette oscillation entre les genres cristallise le trouble et l'inconfort qui font hésiter les protagonistes et le lecteur entre répulsion et fascination.
L'architecture du récit est parfaite. Deux grandes parties, des chapitres aux titres énigmatiques, un prélude, un interlude et un postlude composent le roman. Chaque chapitre comporte une introduction qui prend la forme d'une pensée – belle matière à réfléchir. Un vrai bonheur !
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