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Citations sur Parti tôt, pris mon chien (64)

Il y a toujours quelqu'un qui pose des questions, dit Barry. C'est parce qu'il n'y a jamais assez de réponses à fournir.
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Les riches avaient toujours commandité des portraits d'eux-mêmes, les pauvres traversaient l'histoire invisibles.
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Les parcs avaient toujours été des endroits où les pauvres qui passaient six longues journées dans des usines venaient respirer. Tous ces petits gosses, esclaves des machines, avec leurs minuscules poumons sans défense remplis de fibres de laine mouillée.
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Chacun avait à l'intérieur de soi un tueur qui n'attendait que l'occasion de se manifester, certains étaient plus patients que d'autres.
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Avant c'étaient les pauvres qui étaient maigres et les riches qui étaient gros, maintenant, c'était le contraire, apparemment.
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Il y eut très vite une bronca : les gens protestaient véhémentement contre le comportement de l'homme, un grondement confus de paroles indignées : "une pauvre créature innocente - attaque-toi à aussi gros que toi - fais gaffe, mon vieux". Les gens sortirent leur portable et commencèrent à prendre l'homme en photo. Il sortit son iPhone. Il avait longtemps résisté aux tentations de la Pomme, mais avait fini par succomber. C'était une petite merveille. Il avait déjà huit ans quand ses parents avaient acheté une télé d'occasion qui donnait l'impression d'émettre de la planète Mars, avant ça ils n'avaient que la radio pour se distraire et s'informer. Au cours de son demi-siècle d'existence - une nanoseconde sur la pendule de la fin du monde - il avait été témoin des avancées technologiques les plus incroyables. Il avait commencé avec une vieille TSF dans un coin du salon et à présent il tenait dans sa main un téléphone sur lequel il pouvait faire semblant de jeter un morceau de papier froissé dans une poubelle. Le monde avait attendu longtemps pour en arriver là.
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« Elle savait ça uniquement parce qu’elle était sortie quelques semaines avec un boudhiste. C’était une chiffe molle de Wrexham qui dirigeait une librairie de livres d’occasion. Elle espérait l’illumination et avait récolté une mononucléose infectieuse. Ca l’avait dégoûtée de la spiritualité à vie. » (p. 127)
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La gamine avait ses priorités. A la boutique de l’hôtel, Tracy lui acheta un nouveau costume de fée-la tenue verte de Clochette. La baguette magique assortie était surmontée d'un papillon. La moitié des gosses de l'hôtel étaient déguisés, des dizaines de fées et de Peter Pan, de temps à autre un pirate. On ne pouvait pas parcourir un couloir sans tomber sur un adulte prétendant être Dingo ou Mary Poppins. C'était surréaliste et vaguement alarmant. La gamine trouvait ça parfaitement normal.
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Tant pis pour la tenue correcte de Harry Reynolds, on aurait dit deux SDF mais c'était sans importance, personne ne s'intéresse aux SDF.
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Il se coucherait sur la glace avec une bouteille du même millésime que lui et sombrerait dans le grand sommeil. Il espérait que le réchauffement de la planète ne saboterait pas son projet.
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