L'orthodoxie est l'une des trois grande familles qui reforment le christianisme. La moins importante en nombre - 200 millions de fidèles aujourd'hui -, elle se considère toutefois comme la plus ancienne.
Jésus ne rejetait rien de la tradition biblique et allait en pèlerinage à Jérusalem pour la Paque comme un juif pieux, mais manifestait vis-à-vis des observances de la Loi une grande liberté, ce qui n'était pas du goût de tout le monde. Sans doute voulait-il reformer le judaïsme de l'intérieur et il ne songeait pas à fonder une religion nouvelle. Sur l'ordre du procurateur romain Ponce Pilate, il meurt finalement du châtiment de ceux qui troublent l'ordre public, la crucifixion. Pilate semble avoir agi sous la pression des grands prêtres de Jérusalem, dont les motivations étaient probablement plus politiques que religieuses : les remous provoques dans le peuple par les enseignements de Jésus risquaient d'attirer des représailles des Romains contre le Temple et le peuple juif.
Le vide est le rien. Tout commence par la diminution des préjugés, des désirs, des intentions. Il faut renoncer au savoir qui conduit a croire que l'on sait, aux connaissances qui empêchent souvent de remonter à la source de la vie, de faire retour à soi et à la Voie. Il convient de faire le vide, mais cela ne signifie pas n'être rien. Cela favorise le développement de la force de vie et conduit là où celle-ci s'accomplit. Le vide n'est pas un manque. Par lui, on est enraciné au plus profond de soi, à condition de se débarrasser continuellement du superficiel et de l'inutile. Refuser le vide, c'est perdre toute capacité d'adaptation au réel, toute souplesse.
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Devient chrétien celui qui - se convertit -, c'est à-dire qui -se tourne vers- le Christ en le reconnaissant comme Seigneur et Sauveur. Cela implique un changement moral, l'engagement, scellé par le baptême, de vivre selon ses préceptes. Le baptême chrétien ne symbolise pas seulement la purification morale. Il signifie l'adoption du croyant comme fils de Dieu, frère de Jésus, et marque son entrée dans la communauté des croyants. Il fait passer l'homme spirituelle à la vie, comme le dit une très antique hymne pascale : - Éveille-toi, ô toi qui dors, relève toi d'entre les morts, et le Christ t'illuminera -
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, et en Jésus Christ, son Fils Unique, notre Seigneur, qui a été conçu du Saint-Esprit, est né de la vierge Marie, a souffert sous ponce Pilate, a été crucifié, est mort, a été enseveli, est descendu aux enfers, le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu, d'où il viendra juger les vivants et les morts. Je crois au Saint -Esprit, à la sainte Église catholique - = universelle - , à la communion des saints, à la rémission des péchés, à la résurrection de la chair, à la vie éternelle.
Pour que le débat démocratique puisse avoir lieu, le désembuage idéologique semble devoir passer par une clarification sémantique. Dans un contexte de résurgence de l'antisémitisme et alors qu'il est question de pénaliser l'antisionisme, nous recevons Alain Dieckhoff, directeur du CERI-Sciences Po, et Esther Benbassa, sénatrice EELV.
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