Dans le prolongement de son roman "le Cousin" (1) elle nous convie avec "l'Appel de l'île" (2) à réfléchir, à sa manière, sur l'écartèlement récurrent de bien des auteurs corses depuis Marie Susini, un bras arraché par la Patrie corse et l'autre dépecé par ce que l'on nomme désormais pompeusement "le continent".
Conçu sous la forme d'un journal intime, s'étalant sur un été, le roman nous fait voyager de Gennevilliers à Speloncato ou Pioggiola, sur fon... >Voir plus