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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Première fois que je lis un Jane Austen dans sa langue originelle – et je dois dire que c'est nettement meilleur qu'en français ! Je n'avais jamais réalisé à quel point le français peut rendre un roman pompeux alors qu'il est tout sauf cela dans la langue de Shakespeare.

On voit bien, avec un de ces premiers romans de Jane Austen, qu'elle commençait seulement à créer sa patte. Il est moins complexe, mais tout aussi prenant que les ouvrages plus récents comme Orgueil et Préjugés.

C'est l'histoire d'une jeune femme, Catherine Morland, qui est loin d'être une héroïne mais qui se retrouve sur le chemin pour le devenir. Avant l'âge de 16 ans, elle n'a rien pour elle : si beauté, ni intelligence, ni tout ce qu'on attendait, à l'époque, d'une jeune femme. Soudain, elle se retrouve embarquée dans le mystérieux monde de Bath, entourée de gens qu'elle croit dignes de confiance, persuadée de complots qu'elle tire tout droit des romans de Mrs Radcliff. Il s'agit typiquement d'une histoire sur une jeune fille qui découvre le monde adulte et les différences qui existent entre le monde réel et le monde des romans.

J'ai toujours adoré le fond de cette histoire. Je n'avais jamais lu ce roman (pas même en français) mais j'étais tombée amoureuse du film qui en avait été fait. C'est grâce au film que, lorsque j'étais tombée sur ce roman dans un coin de la ressourcerie à côté de chez moi, je n'ai pas pu m'empêcher de le prendre avec moi. Eh bien, belle découverte. J'avais un peu peur, au début, de lire un roman en anglais (que je comprends parfaitement mais qui me fait un peu décrocher quand il s'agit de lire) et pourtant, cela sonne tellement mieux dans ma tête.

Ce que j'ai particulièrement apprécié dans ce roman, c'est la manière de Jane Austen de parler à ses lecteurs : les petits apartés du narrateur qui commente l'état d'esprit de Catherine et qui est loin d'être gentil avec elle d'ailleurs.

En bref, superbe ouvrage que je conseille aux grands comme aux plus jeunes !
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Northanger Abbey était le dernier roman de Jane Austen que je n'avais pas lu. J'ai déjà entendu dire certaines personnes que tous les Jane Austen se ressemblaient, et encore une fois ma lecture me prouve le contraire ! Oui, comme d'habitude, nous avons en personnage principal une jeune femme et une histoire d'amour avec en fond une critique de la société. Dans ses deux romans les plus connus, Raison et sentiments et Orgueil et préjugés, le roman est davantage axé sur les personnages principaux et la "romance", mais là, de nombreuses pages sont consacrées à la satire de la société et du roman gothique, genre très en vogue au moment où Jane Austen a écrit Northanger Abbey (c'est son troisième roman, après Raison et sentiments et Orgueil et préjugés), à la fin du XVIIIème siècle. L'auteure intervient également beaucoup plus dans ce roman-ci. Souvent elle met l'histoire de côté et nous livre son propre avis. C'était très intéressant, et souvent amusant, car elle taillait à coups de couteau bien aiguisé !

Petit résumé : Catherine Morland a 17 ans, et des rêves plein la tête. Elle veut changer d'air, voir autre chose que son petit monde, ses parents et frères et soeurs et leur maison à la campagne. Justement, elle est invitée par des voisins, Mr et Mrs Allen, à passer la saison à Bath avec eux. C'est là qu'elle fait la connaissance de Mr Tilney, un jeune homme charmant, et aussi d'Isabelle Thorpe et de sa famille.

Au début, Catherine est vraiment naïve. Mais son trait de caractère principal, c'est sa gentillesse. Elle veut toujours bien faire et est très aimable, et aimante aussi. Quand on lui rapporte que telle personne est agréable, elle est encline à croire ce qu'on lui dit sans condition. Puis le temps passe à Bath, et elle commence à voir les gens autour d'elle avec ses propres yeux, et c'est cette évolution qui est intéressante. Je regrette juste que le début ait été si long. le titre du roman est Northanger Abbey, mais elle n'y va qu'après deux cents pages. J'ai beaucoup apprécié l'héroïne en tout cas, qui se monte facilement la tête et qui en même temps ne voit pas l'évidence même. Les scènes purement satiriques du roman gothique étaient très drôles, surtout qu'on est bien dans la tête de Catherine, et on se figure bien les idées qu'elle se fait !

Quant aux autres personnages, je suis déçue qu'ils ne soient pas plus développés, notamment Mr Tilney (que j'aime beaucoup beaucoup), Miss Tilney, la famille Morland… le seul autre personnage vraiment développé était Isabelle, et je ne l'ai pas aimée du tout. Son frère, John Thorpe, est simplement insupportable, dès le début j'ai voulu le claquer, avec ses chevaux, ses chiens et ses attelages ! On s'en fout ! J'ai bien senti dès le début que le général Tilney était louche, mais je n'avais pas compris pourquoi (c'est moi qui suis naïve…). Il est également dommage que l'histoire serve avant tout la critique, car de ce fait la romance était peu abordée. Elle apporte une fin heureuse, mais il y a peu de péripéties et d'évènements intéressants, contrairement à Orgueil et préjugés, Raison et sentiments ou encore Emma. C'est ma critique principale : l'histoire aurait mérité plus de rebondissements et de développements. Néanmoins c'est toujours très agréable de se plonger dans un roman austenien, et c'était une très bonne lecture, surtout que Jane Austen a parfaitement réussi à tourner en dérision les romans gothiques, ce qui était surement son but premier ! Il faudrait que je lise Les Mystères d'Udolphe si fréquemment cité dans le livre quand même.
Lien : http://sans-grand-interet.co..
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Catherine Morland est fille de clergyman et a neuf frères et soeurs.
Elle est une petite personne qui présente un visage ennuyeux, « insipide », et n'a aucun goût pour les études ou les devoirs qui font la qualité d'une demoiselle de son époque.
A l'âge de quinze ans, son physique et son caractère s'améliorent. Elle s'est découverte aussi une passion qui la transporte entre des pages… elle lit des romans gothiques et aspire à être une de ces héroïnes.
Jeune fille en fleur, douce, charmante, curieuse de découvrir d'autres paysages, elle a l'opportunité, pour ses dix-sept ans, d'accompagner ses voisins Mr. et Mrs. Allen, à Bath, une ville thermale où il est bon de se montrer.

A Bath, il y a les boutiques, les thermes, les buvettes où toute la bonne société se croise, les réceptions et les bals ; peaux moites, odeurs de bougies, pieds écrasés, accrocs aux robes, bouclettes défrisées, effervescence frivole, rêves d'hyménées…

Petite provinciale candide, Catherine s'aperçoit que ce monde lui est inconnu. Il faudra qu'elle s'initie aux jeux des mondanités, tout un art ! Animation des sourcils pour susciter l'intérêt ou l'étonnement, moues séductrices ou naïves, mouvements de l'éventail, regard voilé, regard de biais… politesses et badinages, minauderies et préciosités… codes, us et coutumes, vernis de la société. le langage est orné comme un chapeau peut l'être avec ses dentelles, ses fioritures, et Mr. Tilney le fait remarquer, aussi léger qu'une mousseline de soie.

C'est dans un Pump-room qu'elle fait la connaissance de Mr. Tilney, un clergyman du Gloucestershire. Il l'aborde avec simplicité, politesse et toute la grâce des civilités. D'une manière assez soudaine, Catherine se sent proche de lui. Tout en restant dans la décence, il est taquin, cultivé, charmeur et a la faculté de parler chiffons, boutiques et autres plaisirs féminins. Si elle avait la possibilité de le revoir, elle serait plus que ravie.
Elle rencontre aussi Mrs. Thorpe, une ancienne camarade d'école de Mrs. Allen, et ses filles. L'aînée des deux se nomme Isabelle et Catherine trouve en cette jeune fille accomplie, plus âgée qu'elle de quatre ans, une amie de coeur. Toutes les deux se rejoignent dans des confidences, leurs espérances et les romans de Maria Edgeworth, Fanny Burney et Ann Radcliffe.

Catherine se plaît à Bath. Autour d'elle, gravitent des personnes qu'elle apprécie et la pesanteur qui l'habitait dans son presbytère n'est plus. Elle découvre qu'Isabelle a aussi un frère, John, qui est un ami à son frère aîné James. Ces deux jeunes gens arrivent à Bath, fringants, enjoués et entreprenants. Il y a aussi la soeur de Henry Tilney, Eleanor, une jeune fille adorable, mais mesurée dans son amitié et sans familiarité, puis son frère, le capitaine Frederick Tilney, un être fier et imposant qui n'a pas la douceur de son cadet.
Les journées et les nuits sont bien occupées entre les balades, les sollicitations, les bals et les chassés-croisés amoureux, mais le comble du plaisir se synthétise en une invitation à Northanger Abbey.

Avec la bienveillance de son père, le général Tilney, Henri demande à Catherine de les suivre dans leur maison familiale, une vieille abbaye de pierres, de lichen, de poussière et de courants d'air.
Catherine trouvera dans ces lieux toute la magie et les mystères qu'elle recherche dans ses livres et son imagination fertile brodera les trames de son histoire… pensez à des ombres, des bruits sourds, du souffle dans les tentures, des horloges qui égrainent les heures, la tempête qui exhale des râles, des jardins à l'abandon et une mort, celle « brève et soudaine » de l'épouse du général.

« - Vous vous faites une idée bien flatteuse de l'abbaye…
– Oh ! oui. N'est-ce pas un vieux monument très beau, exactement comme on en voit dans les livres ?
– Etes-vous prête à affronter toutes les horreurs que peut renfermer une demeure comme « celles qu'on voit dans les livres » ? Avez-vous un coeur intrépide ? Des nerfs prêts à supporter des panneaux et des tapisseries mobiles ? »

Après la superficialité toute festive de Bath, Catherine rentre dans un monde bien plus sombre que l'atmosphère d'une vieille demeure. Jalousie, hypocrisie, cupidité, sont des caractères, des sentiments, qui la confronteront à un monde bien plus réel.

Théâtre, illusions, tourments amoureux, parodies, dérisions et satires, Jane Austen a voulu traduire avec finesse, la vision d'une ville à la mode, Bath, et les histoires romanesques des livres gothiques.
J'ai beaucoup aimé ce livre, mais ce que j'ai apprécié le plus, c'est tout ce que dénonce l'auteur ; la frivolité, le décorum de Bath dans la première partie et le lugubre des vieilles pierres dans la seconde.
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Rien ne distingue Catherine Morland - en apparence - des autres jeunes filles de son âge. Partie à Bath avec un couple d'amis, elle fréquente les bals, parcourt la Pump Room, trouve une amie à qui parler ainsi qu'un jeune homme à qui plaire. Mais malgré la désinvolture d'un narrateur sarcastique, le lecteur prend vite conscience qu'il se trouve en présence d'une femme de coeur et de vertu, face à laquelle les autres personnages paraissent médiocres voire malhonnêtes.
Se jouant des codes du roman et de la façon dont il est considéré, Jane Austen, dans cet ouvrage plus encore que dans les autres, fait entendre sa voix d'auteur avec humour et pédagogie. Hypocrisie, cupidité, opportunisme sont ainsi dénoncés à travers les personnages de John et Isabella Thorpe, sans oublier le général Tilney. Mais le Bien triomphe toujours, les méchants sont confondus, et Miss Morland épouse le prince charmant touché de son intégrité malgré les réticences de son père, et le frère, James Morland, échappe à un mariage malheureux.
Un vrai régal, comme d'habitude !
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J'ai bien aimé ce livre! J'adore l'écriture de Jane Austen, et Catherine étonnée par ses qualités de coeur! A plusieurs moments on a envie de mettre des claques à certains personnages. C'est tellement drôle de voir qu'un simple téléphone aurait pu la sortir de pas mal de choses! Hâte de continuer ma découverte de l'auteure!
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L'abbaye de Northanger ou Northanger Abbey est probablement le roman de Jane Austen que je connais le moins puisque jusqu'à présent, je ne l'avais lu qu'une fois. Heureusement, une lecture commune avec Bianca m'a permis de le redécouvrir…

Catherine Morland, 17 ans, est enchantée lorsque les voisins de ses parents et amis, les Allen, lui proposent de les accompagner à Bath pour six semaines. C'est l'occasion pour cette jeune fille de bonne famille de quitter pour la première fois sa campagne et découvrir les charmes de cette ville balnéaire réputée pour ses eaux. C'est là que Catherine fera plusieurs rencontres qui la feront grandir : elle retrouvera son frère aîné James, elle tombera sous le charme d'Henry Tilney et donnera son amitié à Isabella Thorpe. Au terme de son séjour à Bath, elle sera invitée à l'abbaye de Northanger…

L'abbaye de Northanger est certainement le roman le plus léger de Jane Austen. Il m'a fait sourire et rire plus d'une fois. Ici, la romance tient une place bien plus secondaire que dans le reste de l'oeuvre de l'auteure. Personnellement, je vois plutôt Northanger Abbey comme un roman d'apprentissage.

J'ai adoré suivre Catherine et la voir évoluer, progresser, mûrir au cours de ce roman. Au début, elle est d'une naïveté assez touchante. Elle ne connait quasiment rien aux subtilités des relations sociales et semble aveugle à tout ce qui est implicite : ainsi, elle découvre l'attachement entre son frère et son amie Isabella quand ils se fiancent alors que le lecteur l'a compris depuis bien longtemps. Pour autant Catherine ne manque d'imagination : celle-ci, alimentée par ses lectures de romans gothiques tels ceux d'Ann Radcliff, ne manque de lui jouer certains tours.

Le reste des personnages forme une galerie variée : j'ai aimé la gaieté et l'humour d'Henry Tilney, j'ai été agacé par l'égoïsme d'Isabella Thorpe, j'ai été exaspéré par la moindre parole sortant de la bouche de John Thorpe et par son attitude, j'ai regretté que la douce et calme Eleonor Tilney ne soit pas plus mise en avant. Les différents personnages rencontrés provoque des émotions variés.

Ce que j'ai préféré dans L'abbaye de Northanger, c'est la plume de Jane Austen, toujours aussi mordante et teintée d'ironie. Et elle s'en donne à coeur joie dans ce roman en dépeignant la superficialité de Bath et en parodiant les romans gothiques si chères à son héroïne. J'ai simplement trouvé dommage que la fin soit si rapide…

C'est toujours un plaisir de lire Jane Austen et ma redécouverte de L'abbaye de Northanger n'a pas fait exception. J'aime toujours autant la plume de cette femme de lettres et ne me lasse pas relire ses six romans publiés.


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C'est toujours un grand plaisir de lire Jane Austen. Mais j'ajouterais une mention spéciale pour ce livre qui a un clair côté (auto-)parodique sur les romans, avec un petit côté enquête policière dans un cadre Moyen Âgeux, en plus d'une histoire d'amour toujours aussi touchante, une histoire comme Jane Austen en a le secret - et le talent. Bref un régal !
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C'est un vrai bonheur de découvrir ce roman de Jane Austen ! S'il y a toujours beaucoup d'humour dans ses écrits, celui-ci est surement le plus drôle. Austen force le trait de ses personnages qui frôlent tous la caricature : Catherine, amatrice de littérature gothique qui voit des mystères partout, le général Tilney, homme droit et imposant qui se révèle d'une grande cupidité, son fils, jeune homme bien sous tout rapport... C'est aussi encore une fois la découverte d'une partie de la société anglaise, celle qui part en villégiature à Bath, plus pour se montrer que pour apprécier les bienfaits de l'eau !
On trouve aussi un joli plaidoyer pour la lecture de roman qui ravira tous ceux qui comme Catherine peuvent passer une journée entière plongés dans les pages d'un bon livre, jusqu'à ne plus vraiment faire de distinction entre la fiction et la réalité.
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Un roman plutôt court comparé aux autres, on sent une forte critique de la société de la part de l'auteure, mais avec un certain humour et l'on espère de tout son coeur que la fin corresponde à nos espérances. Jane ne nous déçoit jamais en la matière. Nous suivons donc la jeune Catherine qui fait ses premiers vrais pas dans la "bonne société" à Bath et en découvre les travers par expérimentation. Ce qui est amusant, c'est de se rendre compte que, finalement, ce roman serait pleinement transposable à notre époque contemporaine, il suffirait de changer les "outils", mais les moeurs, les idées, les espoirs semblent être les mêmes. Un délicieux moment. Et dans cette version, il y a quelques illustrations d'époque. Il faudrait que je me procure le DVD à présent...
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Plusieurs années sans lire un seul Jane Austen, quelle erreur! Northanger Abbey dormait paisiblement dans ma pile à lire depuis trois ans. En l'en sortant, j'étais certaine qu'il me plairait beaucoup connaissant déjà l'histoire par l'adaptation de 2007. Je ne me suis pas trompée, ma lecture fut un régal. J'avais presque oublié à quel point le style de Jane Austen pouvait être incisif et mordant mais non dénué d'humour. Elle ne mâche pas ses mots et n'hésite pas à émettre son avis et à tourner en dérision bien des éléments de son époque. Jane Austen rend aussi un hommage à la littérature et plus particulièrement au roman ainsi qu'à l'imagination. Il s'agit d'une histoire presque en avance sur son temps mettant en scène une héroïne terriblement moderne.

Les personnages sont bien décrits et vivants. Certains sont plus caricaturés que d'autres. John Thorpe est tout simplement assommant à ne discuter que de chevaux sans arrêt. Il ne fait clairement pas le poids face à Henry Tilney, au caractère tempérer et réfléchi. Isabelle Thorpe est, quant à elle, assez pressante avec Catherine. Cette dernière va d'ailleurs apprendre à ses dépends que derrière les faux-semblants peut se dissimuler une vraie nature toute autre. Jane Austen nous introduit ici à Bath, haut lieu de villégiature pour toute la bonne société anglaise. Nous sommes introduits dans les rooms où les jeunes gens se rencontrent. Ce sont des lieux de distraction mais aussi de parade et de recherche de bons partis pour ses enfants.

Une héroïne attachante, une histoire moderne et une plume mordante, de quoi passer un très bon moment. J'ai également apprécié mon introduction dans les rooms de Bath du XIXe siècle. Je suis ravie d'avoir retrouvé Jane Austen et j'espère ne pas m'arrêter là car il me reste encore à lire Raisons et sentiments concernant les romans majeurs de l'auteur.
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