La Bourse a le format d'une nouvelle, et le goût d'une fable moraliste. Dans le second volume de la Comédie Humaine que je viens d'achever, elle fait un peu figure d'entremets. Il n'y est nullement question de la Bourse (de Paris ou d'ailleurs), comme je le croyais, mais d'une certaine bourse, qui va faire basculer la vie sentimentale d'un peintre talentueux en devenir. Cette nouvelle, cette "scène de la vie privée", m'a semblé sans prétention et ne laisse pas de souvenir indélébile, très loin des grandes compositions De Balzac, mais on y imagine très bien la vie d'artistes du temps de Delacroix, et elle est distrayante et assez réussie.
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Je continue ma lecture de la Comédie Humaine. Ce court roman n'est pas mon préféré. Cependant le lecteur est tout comme le peintre intrigué par les deux femmes qui l'ont secouru. Bonnes âmes qui vivent dans la pauvreté et essaient de sauver les apparences ou femmes qui s'adonnent au jeu et en vivent? le mystère persiste jusqu'aux dernières pages.
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