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3,35

sur 681 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Très intéressante réflexion sur le bilan de la vie d'un sexagénaire par lui-même. Il retrouve à l'âge de la retraite Veronica, sa petite amie fantasque du temps de leurs 18/20 ans. Celle-ci , toujours aussi bizarre que 40 ans plus tôt, ne cesse de lui répéter qu'il ne pige rien, n'a jamais rien pigé et ne pigera jamais rien !
On découvre à la fin un homme déficient mental d'une petite quarantaine d'années qui ressemble comme deux gouttes d'eau à l'ami étudiant que Veronica avait finalement épousé et qui porte le même prénom.
Et bien, moi non plus, je n'ai rien pigé de la fin de l'histoire !
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Un livre que j'ai voulu lire, car il devait aborder les thèmes du temps qui passe, du poids du passé, de la vieillesse, de la vie en général.... chose que j'ai peu trouvée. du moins, que j'aurais voulu beaucoup plus creusé.

Mon avis est donc très très mitigé pour ce livre (le premier que je lis de Julian Barnes), qui a reçu de nombreuses critiques élogieuses (ont-ils lu le même livre que moi ??!!!) et que je n'ai peut-être pas compris (la fin reste pour moi un brouillard : soit je l'ai compris et je fus peu surpris soit je ne l'ai pas compris et la faute en revient à l'auteur et à moi-même). Je vais arrêter avec les parenthèses, mais c'est ce que vous retrouverez dans ce livre, donc préparez-vous. ;)

J'avais l'impression, avant de le lire, que ce livre était une sorte de polar tout en apportant une réflexion philosophique sur le temps et ses blessures. En le terminant, j'ai encore plus de mal à le situer.

Le suicide est omniprésent, la douleur aussi ainsi que l'oubli, puis les souvenirs qui reviennent.

Il y a des phrases qui font réfléchir et rappellent des choses vécues. J'ai aimé les lire, mais voilà tout.

La première partie est intéressante, car elle pose le cadre de l'histoire. La seconde partie...est particulièrement introspective : Tony (le personnage principal de l'histoire. AHHHH désolé je recommence) se pose des questions, à des remords, de l'amertume et s'amène à se remémorer son passé, du moins ce qu'il pense avoir vécu. En faisant ça, il se fait du mal, mais Tony, retraité n'a finalement que ça à faire. du mois, il ne veut faire que ça.
De là viennent les questions intéressantes du roman, qui sont de savoir si nos souvenirs sont vraiment les nôtres et si nous avons vraiment vécu les événements comme on le dit, comme on le pense ? Aussi, l'auteur nous rappelle que nos perceptions de la réalité sont très différentes, les unes des autres : que cette même réalité et perçue, vue et vécue différemment selon notre histoire et notre environnement. Il aborde des observations intéressantes, mais peu enrichies. Il reste sur la face visible de l'iceberg sans aller véritablement creuser. J'en reste sur ma faim concernant ce livre, et sur cette fin ! Pourtant j'en ai lu des romans introspectifs qui apportaient une véritable critique et des observations sur notre monde, et ils m'ont plu. Là ce ne fut pas le cas.

Tony semble perdu. Tony est perdu. Finalement, Tony n'a pas fait les bons choix et eu les bonnes réactions au moment voulu. Mais là encore, nos actions et sentiments découlent d'un temps et d'un contexte, et ces derniers sont amenés à changer, du moins ils peuvent être amenés à évoluer, chemin faisant. C'est toute l'histoire de ce livre.

Un roman mélancolique très vite lu (peu de pages et pourtant ce fut long) et, je pense, qui sera vite oublié (mise à part cette fin qui m'a semblait sortir de nulle part). ((Encore des parenthèses...)).

Enfin, cet avis n'est que le mien, mais est aussi celui d'un lecteur. Donc, ne soyez pas déçu ou au contraire agréablement surprit lorsque vous refermerez ce livre ;) Chacun ses goûts :)



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un avis mitigé, lourd et vide à la fois...au moins jel'ai terminé et la fin est intéressante, plus que tout le reste. l'auteur se perd un peu dans les détails et descriptions, c'est dommage . J'ai plus eu l'impression de remplissage, l'histoire est assez "bateau" , limite indigeste. Vite lu, vite oublié, pour moi.
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Ce roman, « Une fille qui danse » de Julian BARNES, c'est l'histoire de Tony qui n'arrête pas de se raconter des histoires sur son histoire… Sexagénaire, il a maintenant tout le temps de s'interroger sur la lointaine relation amoureuse (l'a-t-elle vraiment été) vécue avec cette fille qui, une fois, a dansé en sa présence.
Et tout le livre de tourner sur la question fondamentale de savoir si les souvenirs sont une réalité remémorée ou une invention du présent qui se recompose un passé. Plus on vieillit, plus les souvenirs sont lents à revenir…il faut donc au héros plus de 100 pages pour accoucher d'une entrée à peu près consistance dans cette histoire. Il en faudra encore autant pour déboucher sur une information de la plus haute importance … qui change tout !
Sauf que, quand il n'y a rien, pas ou si peu d'histoire, changer tout revient à rester à peu près au même point ! Ce roman fait la part belle à ce que peut penser un esprit raisonnant à propos de ce qu'il pense que les autres pensent qu'il pense et qui, sans retenue, se met aussi à penser à leurs places… Vous me suivez ?

Alors vous êtes prêts à lire ce livre. Vous ne comprenez pas grand-chose ? Ne vous tracassez pas, vous voilà déjà très près du héros à qui la fille qui danse répète plusieurs fois dans le livre (et il est d'accord !) qu'il ne pige rien, n'a jamais rien pigé et ne pigera jamais rien !
Alors, si le coeur vous en dit, bonne lecture… Pour ma part, j'ai déjà presqu'oublié l'histoire. Peut-être que je la recomposerai dans ma tête d'ici quelques années… Allez savoir !

Note: Cette lecture, je l'ai choisie pour rencontrer le défi littéraire 2020 lancé par Madame lit . Ce mois de février, elle propose de lire un roman ayant obtenu le Prix Booker. « The sens of the Ending », devenu « Une fille qui danse » (après traduction en français), de l'auteur Julian Barnes, l'a obtenu en 2011. J'ai lu, sans être emballé… Comme quoi, je peux ne pas être en phase avec le jury de ce prestigieux prix littéraire, cuvée 2011. Il reste que ce prix a été décerné à de grands noms (William Golding-1980 , Salman Rushdie-1981, Kazuo Ishiguro-1989 ou encore Margaret Atwood-2000 et 2019). Cette dernière, il faut que je la découvre!!!! Elle est dans ma pile.

Merci à Madame lit pour ce challenge.
Lien : https://frconstant.com/2020/..
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Bof...
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Déception pour ce roman que j'ai découvert en version audio.
Je n'ai pas aimé les personnages ni le style de l'auteur, en revanche, j'ai trouvé la base de l'histoire intéressante.
Mon billet est disponible sur mon blog Les lectures de Lily (www.les lecturesdelily.com) ou en suivant ce lien : http://www.leslecturesdelily.com/2018/09/une-fille-qui-danse-ecrit-par-julian.html
Lien : http://www.leslecturesdelily..
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Quelle deception , je ne me suis pas passionnée pour cette histoire.
Pourtant , les critiques, le sujet ,le mot du libraire.....tout était présent .
Tony ne m'a pas touché , il m'a parfois même agacé, et comme pour aimer une histoire , un roman il faut en aimer les personnages .....


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Un roman sur les états d'âme d'un homme de 60 ans et un regard sur sa jeunesse. le passé vient le rejoindre lorsqu'il reçoit un héritage. Il veut comprendre et il ne comprend qu'à la toute fin. Et nous aussi. Comme a dit un lecteur il faut quasiment aller voir sur internet pour être sûr d'avoir bien compris. Un peu lent, pas de rebondissement sauf une fin surprenante. Pas certaine de vouloir lire autre chose de cet auteur.
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Un roman qui m'a véritablement laissée sur ma faim. Dommage.
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Tony a connu Véronica durant ses années d'étude, il n'est jamais arrivé à la comprendre, leur relation est bizarre, elle se donne à lui lorsqu'ils ont rompu. Tony apprend que Véronica sort avec son ami Adrian. Il leur envoie une lettre assassine où ils ne leur souhaitent aucun bonheur. Des mois plus tard il apprend qu'Adrian s'est suicidé. La vie continue, Tony la mène calmement, tranquillement, même son divorce se passe bien. La retraite suit le même chemin jusqu'au jour où il reçoit une lettre d'un notaire lui apprenant qu'il a hérité d'une petite somme et d'un journal de la part de la mère de Véronica. Il est surpris et souhaite récupérer le journal, c'est celui d'Adrian. Véronica ne lui envoie qu'une feuille, elle a brûlé le reste. Tony souhaite la rencontrer, elle n'a pas changé, toujours aussi froide et agressive. Les souvenirs de Tony remontent et il cherche à savoir ce que contenait le journal.
Livre moyen qui n'a pas su me captiver malgré un résumé alléchant.
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