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EAN : 9782268099286
164 pages
Les Editions du Rocher (11/04/2018)
3.43/5   15 notes
Résumé :
10 mars, 11h43. Mélanie Aubant, comédienne prometteuse de 28 ans, meurt brutalement, écrasée par la chute d'un projecteur, en plein tournage du prochain long métrage dont elle est la tête d'affiche. Une heure plus tard, la nouvelle de sa disparition tragique est relayée par toutes les chaînes d'information. Un retentissement qui sème le trouble dans la campagne de Ghislain Dupuis, pressenti pour remporter l'élection à la mairie de Paris dix jours plus tard
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Tout commence sur un plateau de cinéma avec un projecteur de 1000 kilos qui vient tuer net une jeune actrice, espoir du cinéma français.

Les rédactions s'affolent, la toile s'enflamme et les médias y vont de plus belle, dans un Paris qui prépare les futures élections municipales.

On rentre dans les coulisses de la presse française et des partis politiques et c'est ce qui m'a le plus intéressé dans cet ouvrage, entre thriller et politique. Dés les premières lignes, j'ai accroché à cette folle cavalcade du pouvoir.

On suit en parallèle une journaliste fort sympathique, un candidat aux dents longues à la Mairie de Paris et la maman éplorée de la fameuse actrice …

Les personnages sont bien plantés et la journaliste qui jongle entre vie professionnelle et emploi du temps de maman surchargée m'a touché. Une nana de notre époque dans un milieu difficile et parfois macho sur les bords !

Ce livre a filé entre mes doigts jusqu'à la fin, sans fausse note ni ennui.

Il faut avouer qu'il est relativement court et du coup, pas le temps de s'ennuyer une seule seconde ! On suit tout ce joli monde avec plaisir, même si on se doute un peu comment tout cela va se terminer ! J'ai effectivement très rapidement deviné la fin !

Si vous voulez voir où la course au pouvoir peut mener, plonger dans cette course aux élections sans temps mort pour un très bon moment de lecture !
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A 28 ans, Mélanie Aubant est une jeune comédienne au talent prometteur. La série télévisée, Mes amis, mes amours, mes 20 ans, l'a propulsée sur la place publique et de nombreux projets cinématographiques lui sont proposés. C'est d'ailleurs sur un plateau de cinéma qu'elle se trouve en ce mercredi 10 mars. Mais à 11h43, la sidération et le silence règnent dans le studio. Un énorme projecteur vient de s'écraser sur la jeune femme. Elle n'en réchappera pas... Aussitôt, les réseaux sociaux et les médias sont alertés. le magazine En Avant charge Pascaline Elbert de rédiger un article pour l'édition du vendredi, ainsi qu'un dossier complet pour l'édition de la semaine suivante. Cette mort tragique parvient même à occulter les deux candidats en lice pour la mairie de Paris. Antonin Coustand et Ghislain Dupuis assistent donc, impuissants, à la relégation au second plan de leurs derniers jours de campagne. Afin de donner corps à sa nécrologie, Pascaline prend contact avec Suzanne, la mère de Mélanie. Très vite, une relation de confiance se tisse entre les deux femmes. Et lorsque Suzanne découvre un disque dur dans l'armoire de sa fille défunte, l'enquête prend une tout autre ampleur et risque fort de changer la donne du prochain scrutin...

Claire Bauchart est diplomée de Sciences Po et journaliste pour la presse féminine. Sa parfaite connaissance de ces deux mondes lui a permis d'écrire un roman dans lequel se mêlent différents points de vue, trop souvent fantasmés car méconnus. Les chapitres s'enchaînent au rythme des jours et des heures qui s'égrènent. le lecteur est pris dans l'engrenage infernal d'une maison de presse et d'une équipe de campagne électorale. Et qui de mieux que Claire Bauchart pour nous offrir un roman politico-médiatique dynamique, au suspens haletant?

Cependant, il serait plus que réducteur de cantonner Ambitions assassines à un simple polar politique, tant il soulève des thèmes sociétaux profonds et complexes.

Le personnage de Pascaline en est l'exemple flagrant. Epouse et mère de famille d'une petite fille, elle est sans cesse tiraillée entre sa vie personnelle et professionnelle. Lorsque sa fille est malade, c'est elle que la crèche appelle. Lorsqu'il faut nommer un journaliste à la tête du service politique, c'est un homme qui lui sera préféré, et pour cause:

"Difficile de faire correspondre l'emploi du temps d'un chef de service avec les horaires de crèche, lui avaient alors exposé, pleins de compassion, Baptiste du Charrier et les directeurs adjoints de la rédaction, Romaric et Gaspard, afin d'expliquer pourquoi ils avaient choisi de jeter leur dévolu sur Adrien Molans, pourtant moins expérimenté, moins efficace, mais adepte des horaires élastiques injustifiés."

Nous retrouvons donc Pascaline jugée parfaite pour la rubrique Tendances et compagnie, elle qui avait eu la responsabilité de suivre pendant plusieurs années le parti socialiste... Mais voilà, la journaliste évolue dans un monde de requins où le sexisme règne en maître. On apprendra même que sa fiche de paie indique un écart de 800€ (en moins, est-il utile de le préciser?!) par rapport à celle de son collègue... Même Gabriel, son mari, ne lui offre pas tout le soutien dont elle rêve. Et pour cause, leur couple a battu de l'aile plusieurs mois auparavant en raison des risques encourus par sa femme. Gabriel souhaite juste une vie plus stable et désormais, la rancoeur et la hargne remplacent les mots doux.

"La colère de son mari s'apaiserait, s'était-elle persuadée, et les menaces n'étaient jamais que des menaces [...]. Ce que la journaliste sous-estimait, c'était le degré de soulagement de son mari lorsque Adrien Molans fut nommé au poste qu'elle briguait. Gabriel s'était senti libéré. Comme si on lui octroyait enfin cette vie de couple tranquille dont il avait rêvé. [...] Gabriel avait apprécié que Pascaline fût plus présente, au côté de Lucie, mais également du sien."

Mais pour une femme de la trampe de Pascaline, ayant le goût de l'investigation vissé au corps, est-il possible de faire un choix? Choisir sa profession au détriment de sa famille? Choisir sa famille au détriment de sa profession? Et d'ailleurs, à bien y réfléchir, pourquoi une femme devrait-elle faire un choix? Demande-t-on aux hommes d'avoir le même sens du sacrifice?

A l'instar de Pascaline, Ghislain Dupuis est un personnage haut en couleur. Il est le candidat favori pour la mairie de Paris. Cet homme, marié et père de famille, est ambitieux, voire même vaniteux tant il peut se montrer despotique avec les membres de son équipe. Rien n'y personne ne semble pouvoir se mettre en travers de son chemin. Grâce à lui, le lecteur s'immisce dans les coulisses des campagnes électorales, avec leurs secrets -plus ou moins avouables-, leur rythme effréné, leur boulimie médiatique, leur stress allant crescendo jusqu'à l'estocade finale de l'annonce du vainqueur. Mais avec Antonin Coustand, le second candidat, c'est par un tout autre prisme que nous entrapercevons la politique. Rien de tapageur, bien au contraire. On assiste plutôt à des rendez-vous nocturnes avec la presse, des informations glissées discrètement et sous couvert d'anonymat, des échanges de messages sybillins pour, soit-disant, faire éclater la vérité... Mais la frontière semble bien ténue entre recherche de la vérité et recherche de diffamation ou d'invalidation de campagne.

Comme vous l'aurez compris, Ambitions assassines est un roman noir, un polar politique mais également sociologique. Il y dépeint l'univers des médias (où la mort tragique d'une jeune comédienne n'a de valeur qu'en fonction des ventes des magazines), de la politique. Il met également en exergue ce sentiment intense de culpabilité que toute femme active et mère de famille connait. Oserais-je dire qu'Ambitions assassines est aussi un roman féministe? Par certains côtés, il l'est tant il dénonce le sexisme et le machisme dans certaines catégories socio-professionnelles. On prend plaisir à voir Pascaline rabrouer ses collègues au sourire ironique, on admire sa force et son caractère jusqu'au-boutiste. Claire Bauchart nous offre ici un roman complet, au style incisif et sans complaisance que je vous recommande fortement.

Je tiens particulièrement à remercier le service de presse des éditions du Rocher pour leur envoi à titre gracieux ainsi que Claire Bauchart avec qui les échanges virtuels ont été sympathiques et chaleureux.
Lien : https://mespetitescritiquesl..
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Tout commence le mercredi 10 mars. Il est 11h43 lorsqu'un projecteur de cinéma tombe brutalement sur la jeune comédienne Mélanie Aubant. En une fraction de seconde, une vie s'arrête et d'autres basculent. le plateau de l'espace Jean Villeroy des Studios de Paname est évidemment sous le choc. Que ce soit le réalisateur du film dans lequel tournait Mélanie, Julien Bouval, son assistant Gauthier Duremberg, ou encore Rosa, la régisseuse, aucun ne réalise ni ne comprend ce qui a pu se passer. Seul le jeune stagiaire de la costumière ne perd pas le nord et envoie un tweet pour relater l'accident…Triste réalité. Les réseaux sociaux et la presse s'en mêlent. La chasse aux scoops peut commencer; la machine infernale est lancée.

Au même moment, au sein de la rédaction de l'hebdomadaire « En Avant », le chef du service politique Adrien Molans et ses journalistes regrettent surtout que cet accident puisse faire de l'ombre aux deux principaux candidats des municipales parisiennes: Guislain Dupuis et Antonin Coustand, élection qui aura lieu dix jours plus tard. le directeur de la rédaction, Baptiste du Charrier, demande à Pascaline Elbert, qui s'occupe de la nouvelle rubrique « Tendances et air du temps », de rédiger une nécrologie de la jeune comédienne. Mais cette nécrologie en apparence anodine va relever des secrets que certains auraient préféré garder enfuis…

Bienvenue dans l'univers impitoyable de la politique! Cette incursion de dix jours dans les coulisses d'une campagne électorale m'a totalement conquise. J'ai aimé la construction du récit semblable à un compte à rebours; j'ai eu l'impression d'être au coeur de l'évènement, de faire partie de cette équipe de politiques et de journalistes. La mort de Mélanie Aubant, adulée des ados pour avoir tenu un rôle récurrent dans une série du service public, fait chavirer tout un univers. A travers le décès de cette jeune actrice, Claire Bauchart met en évidence la fine frontière qui existe entre deux milieux perméables: la presse et la politique. Dénonciations, indics, tout est bon pour avoir LA bonne info. Entre les candidats qui cherchent à faire tomber par n'importe quel moyen leurs adversaires et les journaux qui se délectent de ces machinations, la course au pouvoir balaye tout sur son passage. Mais qui gagnera à ce petit jeu?

Au milieu de tout cela, une femme, Pascaline Elbert. Consciencieuse, brillante, Pascaline était journaliste politique avant d'être reléguée (mise au placard) à la nouvelle (et superficielle) rubrique « Tendances ». Ecartée à cause d'un manque de qualifications? Ou d'une remise en cause de ses compétences? Pas du tout! Pascaline n'a qu'un seul défaut: celui d'être une femme et de surcroit une mère! Eh oui, dans l'esprit très étriqué du directeur de la rédaction, Baptiste du Charrier, une jeune mère ne peut pas à la fois avoir des enfants et travailler correctement!! Ainsi, alors que Pascaline était nettement plus qualifiée, le poste de chef du service politique lui est passé sous le nez, au profit d'Adrien Molans, qui a l'avantage d'être de sexe masculin…

J'ai beaucoup aimé ce personnage féminin. Pascaline est une héroïne du quotidien. Maladroite, elle se laisse marcher sur les pieds, et en même temps, dévorée par sa passion pour son métier, elle est capable de braver les interdits et de se mettre en danger pour que la vérité éclate. Pascaline reflète parfaitement les femmes d'aujourd'hui, en perpétuel combat. L'auteure, à travers ce personnage, dénonce avec agilité la place des femmes et le manque de considération qui subsiste toujours…

Je conseille?

Ce roman se lit très vite et très bien. Avec son écriture aiguisée, Claire Bauchart dévoile les dessous d'une campagne politique et montre jusqu'à quel point l'homme est capable de tous les stratagèmes inimaginables pour assouvir une ambitions dévorante. J'ai passé un très bon moment. Unique regret; que le récit soit trop court. J'étais tellement plongée dans ce roman que quelques pages supplémentaires ne m'auraient pas dérangée. Bien au contraire! Petite consolation, l'auteure m'a annoncé que son prochain roman était en cours d'écriture (et qu'il serait aussi plus long!). Affaire à suivre ;))

Lien : https://ladybookss.wordpress..
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Ambitions Assassines est bien plus qu'un roman noir ou un polar politique. A travers l'enquête menée par la journaliste Pacaline Elbert sur le décès accidentel d'une jeune comédienne, c'est un portrait social au vitriol qui se dessine. L'intrigue et les rebondissements sont convenus, mais la lecture est intéressante et prenante. Elle nous entraîne dans les coulisses d'une campagne électorale dans laquelle tous les coups sont permis alors qu'une image lisse et policée est offerte au public. L'auteure Claire Bauchart, elle-même journaliste, décrit savamment cet univers lié aux médias où l'utilisation des uns et des autres est redoutable.

Mais surtout, ce sont tous éléments parallèles à l'intrigue qui interpellent et constituent pour moi, le véritable intérêt de ce roman. En effet, l'auteure dresse un tableau social juste et pertinent. Elle évoque la course au scoop entretenu par un voyeurisme de plus en plus présent, les carrières éphémères, la quête du pouvoir, les relations au travail et la place des femmes, la difficile conciliation de la vie active et de la vie personnelle, le sexisme.

Un roman complet, sombre et incisif.


Lien : http://aufildeslivresblogetc..
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Contrairement à ce que pourrait laisser supposer la première de couverture avec ce sublime talon aiguille rouge sang et le sous-titre, le sujet est bien une élection politique et non une élection de miss ou autre concours de beauté. Ce roman se lit vite, seulement 160 pages et je l'aurais lu d'une traite si je ne lisais pas plusieurs livres en même temps et si les vacances n'étaient pas terminées... J'ai tout de suite accrochée au personnage de Pascaline, journaliste et maman d'une petite fille, qui a du mal à jongler entre son travail prenant, son enfant et un mari pas très compréhensif, lui-même très pris par son job. Elle fait de son mieux, comme beaucoup de femmes, pour essayer de tout gérer. Elle doit aussi faire face à la rivalité au sein de sa rédaction, la direction du service politique, considéré comme le plus "prestigieux" lui échappe au profit d'un collègue masculin qui lui n'a pas à quitter son boulot pour aller chercher son enfant à la crèche car il est malade ! Bien que j'ai dès le départ deviné le déroulé et la fin possible du roman, j'ai pris un réel plaisir à avancer avec Pascaline dans sa quête de découvrir la vérité. Coulisses d'une campagne politique, adultère, manipulation et fraude électorale sont les ingrédients de ce roman qui m'a fait passer un très bon moment. le style est fluide, dynamique. Ce qu'il manque ? Plus de suspens, plus de détails, des personnages plus creusés, une intrigue plus étoffée qui emmèneraient le lecteur sur de fausses pistes.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Difficile de faire correspondre l'emploi du temps d'un chef de service avec les horaires de crèche, lui avaient alors exposé, pleins de compassion, Baptiste du Charrier et les directeurs adjoints de la rédaction, Romaric et Gaspard, afin d'expliquer pourquoi ils avaient choisi de jeter leur dévolu sur Adrien Molans, pourtant moins expérimenté, moins efficace, mais adepte des horaires élastiques injustifiés.
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Le pouvoir attirait, son homme séduisait donc. Comment lutter ? Elle seule était l’élue de son cœur, celle qui avait sa place sur les photos. Un rôle dont elle s’accommodait fort bien.
Ne connaissant pas grand-chose aux dossiers politiques, elle se contentait de décharger Ghislain de toute la logistique familiale, lui permettant, de fait, de ne plus s’occuper, ou presque, de leurs jumelles, tout en assurant à ses côtés de multiples rôles de représentation. Un aspect qui lui plaisait particulièrement. Accompagner le futur maire de Paris à des cocktails, spectacles ou autres événements était devenu, au fil des dernières semaines, un rêve éveillé auquel son esprit pouvait s’abandonner des heures durant.
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Se mettre à ce point en danger juste pour récolter des informations relevait, à leurs yeux, de l’ineptie la plus totale. Ils ne comprenaient pas qu’obtenir des révélations avant tout le monde, faire trépasser ses concurrents à coups d’exclusivités constituaient les principaux moteurs du reporter, que ce dernier aurait vendu père et mère, ou transformé son frère en meurtrier, pour faire le buzz et susciter la jalousie extrême de ses homologues des autres journaux le temps d’une semaine, d’une journée, d’une heure. Il avait cela dans le sang. Il s’était toujours juré de devenir le journaliste le plus incontournable de Paris, celui que l’on attendrait sur tous les coups, toutes les affaires…
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Mercredi 10 mars
11h43
Sidération. Ce terme peinerait à bien définir dans quel état se trouvait Julien Bouval. Rivé sur l’œil de sa caméra, il venait de voir, impuissant, pétrifié, son actrice fétiche disparaître sous le lourd projecteur B12, le plus gros du plateau de cinéma. La pauvre n'avait pas même pu faire entendre son hurlement de douleur, tant le bruit qu'avait produit l'énorme masse sombre en s'effondrant avait étouffé toute autre vibration sonore, tandis qu'il avait plongé l'équipe entière du film dans un état d'absolue hébétude.
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"Ce dernier (Gabriel) n'avait par ailleurs pas manqué de lui rappeler qu'après sa journée éreintante de la veille, au cours de laquelle il avait dû se charger seul l'anniversaire de leur fille, un peu de répit était la moindre des compensations. [...] Heureusement, lui avait tout de même rétorqué la journaliste, qu'elle n'usait pas des mêmes arguments chaque fois qu'elle s'occupait de Lucie, sinon la fillette se retrouverait livrée à elle-même plus de vingt-neuf jours par mois"
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Vidéo de Claire Bauchart
Journaliste pour le magazine ELLE, anciennement pour Les Échos ou encore l'Opinion, Claire Bauchart a également pu réaliser des documentaires sur des sujets de société forts et engagés (violence conjugales, éducation des enfants, prison...)
Découvrez sa vision feel good et ses conseils pour passer une journée exceptionnelle, qui passent bien évidemment par par l'écriture, quelle qu'elle soit !
Pour découvrir son dernier ouvrage, le crépuscule du Paon, c'est par ici : http://bit.ly/38YqX0r
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