Les romans d'
Alain Berenboom se suivent et se ressemblent, à mes yeux du moins.
On retrouve toujours cet humour qui me plaît tant dans ses chroniques du « Soir », mais qui est moins excitant dans ses romans, car il est le même de la première à la dernière page.
Ici encore l'auteur nous raconte une histoire bien belge, volontairement loufoque, centrée sur un agent immobilier amoureux du cinéma de papa : tous les chapitres font référence à un film bien précis.
Berenboom ne vise pas le Nobel de littérature, mais parvient à distraire de façon amusante, ce qui n'est pas à dédaigner en ces temps covidiens.