Jean-Louis Blanc
EAN : 9782332729057
Edilivre-Aparis (22/05/2014)
/5
2 notes
Edilivre-Aparis (22/05/2014)
Résumé :
Depuis toujours, la nuit excite notre imaginaire. Tantôt mystère, tantôt frissons, tantôt austère, tantôt passion, tantôt galère, tantôt émotions, jamais elle ne nous laisse indifférent. Aussi, quand au crépuscule les ombres s'allongent inexorablement et que les ténèbres envahissent peu à peu l'espace, nos sens déraisonnent et nos sensations s'envolent en d'interminables et parfois redoutables tourbillons nocturnes.
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Plus que de simples poèmes, ce recueil offre au lecteur de véritables historiettes aux scenarii affûtés et aux chutes inattendues.
Fort en émotion, voici sans nul doute un exutoire à un esprit torturé suite à une blessure de la vie.
A lire avec appréhension, en pesant chacun des mots…
Fort en émotion, voici sans nul doute un exutoire à un esprit torturé suite à une blessure de la vie.
A lire avec appréhension, en pesant chacun des mots…
Des textes où chaque mot est choisi, chaque vers est incisif et chaque strophe est cinglante.
Des bribes d'une vie tortueuse, sans nul doute...
Des bribes d'une vie tortueuse, sans nul doute...
Citations et extraits (2)
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Extrait de « Confession nocturne » du recueil « A l’ombre de mes nuits… » :
« Si je lui murmurais tous mes songes obscurs
Le drap à l’usure souillé de curure
Le temps qui se fige les peurs qu’elle m’inflige
Saurait-elle écouter puis me prendre en pitié
Mais je reste muet bâillonné muselé
Si je lui écrivais les mots qui me viennent
Les phrases qui traînent mes maux à la peine
Idées toutes noires pour lit de cauchemars
Saurait-elle acquiescer et se faire pardonner
Mais mon encre a séché les écrits ont fané »
« Si je lui murmurais tous mes songes obscurs
Le drap à l’usure souillé de curure
Le temps qui se fige les peurs qu’elle m’inflige
Saurait-elle écouter puis me prendre en pitié
Mais je reste muet bâillonné muselé
Si je lui écrivais les mots qui me viennent
Les phrases qui traînent mes maux à la peine
Idées toutes noires pour lit de cauchemars
Saurait-elle acquiescer et se faire pardonner
Mais mon encre a séché les écrits ont fané »
Extrait de « Pardon mademoiselle » du recueil « A l’ombre de mes nuits… » :
« La nuit était le bal
La balle passa si près
Le pré était humide
Humide sang rosé »
« La nuit était le bal
La balle passa si près
Le pré était humide
Humide sang rosé »
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