Je résumerais ce second et dernier tome par un "tout ça pour ça ?". Parce que l'histoire va trop vite, beaucoup trop vite !
On est dans une chasse au trésor, dans des énigmes à résoudre, et notre Amaru les résous un peu trop vite, ce qui donne l'impression de suivre un Pékin Express au pays des Incas, tant le rythme est élevé, soutenu et qu'on peine à suivre le fil des résolutions.
Cette série aurait mérité plus de pages, ou plus d'albums, afin de ne pas donner l'impression que les auteurs devaient tout caser en 60 pages. Comme le dit l'expression "il est un peu court des pattes de devant" (et des pattes de derrière aussi).
Le seul bon point, c'est l'évolution, dans le bon sens, des dessins.
Un diptyque qui avait tout pour me plaire et qui, en résumé, fait un gros "pchiiitttttt"...
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Amaru est un enfant trouvé dans des langes richement brodés. Alors que le pays Inca est à feu et à sang par la conquête espagnole, Amaru se lance dans la quête de ses origines et de son destin.
Le voyage dans le pays inca en cette trouble et terrible époque des conquistadors aurait pu être intéressante mais malheureusement l'histoire ne prend pas. Les événements entre espagnols et incas sont évoqués mais jamais cela va venir s'entremêler à l'action principale qui tourne autour d'Amaru.
Je demande si la série n'a pas été raccourcie. Ce tome deux clôture l'histoire en enchaînant les découvertes sans aucun approfondissement. C'est presque une énumération d'étapes, un jeu de piste qui s'ouvre et se referme sans passion.
A noter tout de même que le changement graphique permet une nette amélioration visuelle.
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Dans le 168e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Bobigny, 1972 que l'on doit au scénario de Marie Bardiaux-Vaïente, au dessin de Carole Maurel et qui est édité chez Glénat. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Deux soeurs que l’on doit au scénario d’Isabelle Sivan, au dessin de Bruno Duhamel et qui est édité chez Grand angle
- La sortie de l’album Les dinosaures du paradis que l’on doit à l’auteur Mazan ainsi qu’aux éditions Futuropolis
- La sortie de l’album Vingt décembre, chroniques de l’abolition que l’on doit au scénario d’Appollo, au dessin de Téhem et que publient les éditions Dargaud
- La sortie du cinquième et dernier tome de Saint-Elme, un titre baptisé Les thermopyles que l’on doit au scénario de Serge Lehman, au dessin de Frederik Peeters et aux éditions Delcourt
- La sortie de l’album L’expert que l’on doit à l’autrice Jennifer Daniel ainsi qu’aux éditions Casterman
- La réédition dans une version collector de La bombe que l’on doit aux cénario conjoint de Didier Alcante et Laurent-Frédéric Bollée, au dessin de Denis Rodier et qui est publié chez Glénat dans la collection 1000 feuilles
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