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EAN : 9782246815181
320 pages
Grasset (03/10/2018)
3.43/5   14 notes
Résumé :
« Carlos apparaît, seul sous la lumière crue, immobile au bout du parloir. Corpulent, carré, il m’adresse un signe de la main auquel je réponds doucement pour me donner une contenance.
La mince porte de contreplaqué se referme sur nous. Une minuscule pièce, nos genoux se touchent. Les pupilles brunes. Les paupières lourdes. C'est un vieil homme. Où est le révolutionnaire au béret de Che Guevara ? Le terroriste irréductible ? »

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L'ennemi public numéro 1. Il y a plus de 30 ans.

Terroriste, il a fait trembler d'effroi la France. Depuis, Carlos est en prison.
Je débute ma lecture avec une certaine appréhension car comment comprendre un tel monstre ?

Mais heureusement là n'est pas le propos. Sophie Bonnet va s'attacher à raconter un homme et non un mythe. Démonter l'imaginaire collectif et rabaisser l'orgueil démesuré d'un homme diminué.

Elle va le voir au parloir une fois par mois. Et souvent, elle s'étonne de sa petitesse. de sa bêtise.

Une anecdote me frappe. Résume tout. Imbu de sa petite personne, il imagine un film, biopic de son existence, avec Alain Delon qui jouerait Carlos. Carlos est resté coincé il y a 30 ans et a fait de lui-même une image d'Epinal. Figée dans le temps.

Le titre du livre lui-même reprend une formule de Carlos qu'il utilise pour signer ses correspondances et souligne un certain ridicule lorsqu'on sait que le révolutionnaire est en prison depuis des années et des années…

Livre qui se lit très vite car captivant. L'auteur raconte ses entretiens avec le terroriste mais nous livre également des témoignages de victimes. Lumière sur ceux qui comptent ; qu'elle est allé chercher. Pour ne pas les laisser sombrer dans l'oubli.

On se met véritablement dans la peau de Sophie Bonnet. On ressent ces sentiments troubles face à ce monstre. A la fois récit sur un homme mais aussi chroniques de la vie en milieu carcéral. Sophie Bonnet entrevoit la prison, ses us et coutumes et les retranscrit fidèlement.

Je ne me souvenais que très peu des événements racontés ici. Et pourtant j'ai été emporté.





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Je remercie Sophie Bonnet et les Editions Grasset pour l'envoi de ce livre.

"Carlos ne fait plus courir grand monde. Aujourd'hui, qui peut encore citer ses faits d'armes ? La légende paraît moribonde. Dans la moitié du monde, on le connaît uniquement sous le surnom de Carlos le Chacal. Comme une extravagante créature hybride mi-homme mi-chien. Ici, le Chacal est loin et personne ne se préoccupe de ce titre étrange."

Carlos. Ce nom vous évoque-t-il quelque chose ? Pour ma part, je connais seulement son nom. le terroriste Carlos. Carlos le chacal. Mais je ne me rappelle plus les actes qu'il a commis. L'ai-je d'ailleurs déjà su ?

En 2013, Sophie Bonnet lit un article dans Le Figaro, avec une photo de Ramirez Sanchez, une tasse de moka à la main. Ses souvenirs sont flous, mais comme si c'était une évidence, elle dépose une demande de parloir. Pendant quatre ans, elle le rencontrera régulièrement à la prison de Poissy. Petit à petit, elle va apprendre à le connaître, cet homme aux multiples facettes.

"Au bout de quelques mois, j'ai eu le sentiment que je parviendrais à entrer dans la tête de cet homme. Ce fut peut-être naïf ou prétentieux de ma part, mais je suis revenue chaque mois. Des heures obscures et incertaines, durant lesquelles nous tournons et discutons sans fin. Je ne réfléchis pas, si je commençais, il est fort probable que je ne reviendrais plus. Ces après-midi se répètent, identiques. Je prends soin de l'appeler Ilich comme pour mettre l'horreur à distance. La vision floue de sa silhouette au loin lorsqu'il s'avance."

Carlos, qui n'a aucun regret. Carlos, qui pense qu'il a le droit à tous les égards. Carlos, qui commettait des attentats comme il aurait pris une commande au comptoir d'un fast-food. Carlos, qui pense être une célébrité que l'on doit chouchouter. Carlos, qui aime le luxe et les mets raffinés. Carlos le séducteur. Carlos l'orgueilleux. Carlos le looser aussi. Parce que derrière ses airs d'homme sûr de lui, Carlos a aussi rencontré de nombreux échecs. Carlos qui vit dans son utopie.

"Le rêve d'Ilich est simple : il est un héros, depuis toujours et pour toute éternité. Quiconque s'oppose à cette hallucination n'est qu'un traître et doit périr par le sang."

Visite après visite, mois après mois, année après année, Sophie Bonnet décortique le fonctionnement de cet homme qui cultive une personnalité originale. Séducteur et menaçant à la fois. Lunatique aussi. Obsessionnel. Raciste. Intolérant. Agaçant. Menteur. Il exerce une certaine emprise sur elle finalement.

"Tous ces morts qui ont permis que l'honneur d'Ilich reste sauf. Malheur à celui qui ose l'humilier.
L'avertissement vaut pour moi également."

Mais Carlos est aussi fascinant. Parce qu'il faut bien l'avouer. On lit ce livre avec une certaine fascination. On aimerait comprendre ce qui l'a poussé à tuer tous ces innocents, à organiser tous ces attentats.

Et Sophie Bonnet qui nous raconte sa perception de l'homme difficile à cerner. Cet homme dont elle ne sait plus quoi penser mais qu'elle continue de rencontrer semaine après semaine. Carlos, à qui elle rend des petits services, dont elle subit parfois des petites colères en attendant qu'il se calme et qu'il passe à autre chose. Et en même temps, on a l'impression qu'elle ne ressent pas grand chose, elle fait son travail objectif de journaliste.

"Je reste sidérée par son humanité dans ce qu'elle a de monstrueux et de touchant. Une humanité difforme. Je me surprends à être incapable de réaction."

Ses rencontres avec Carlos deviennent une habitude, mais à trop vouloir le comprendre, elle s'implique trop et cette relation en devient toxique. D'un coup de tête pour la demande de parloir à l'après procès, il s'est passé beaucoup de choses et rien à la fois. Ramirez Sanchez change de discours et de comportements à chaque entrevue. Malaise.

Un monstre ? Y-a-t-il une frontière entre l'humanité et les monstres ? Les monstres font-ils partie de l'humanité ? A force de côtoyer Carlos, Sophie Bonnet ne sait plus, elle ne distingue plus l'homme du monstre, le monstre de l'homme. Elle est décontenancée, jusqu'à ne plus rien ressentir face à un homme qui a tant de sang sur les mains.

"Je l'ai touché, embrassé. Je connais chaque pli de son visage. Elle en a des haut-le coeur. J'ai basculé de l'autre côté. du côté des monstres incapables d'humanité. J'avale la salive épaisse qui coule dans ma gorge. Je ne sais plus comment arrêter cette histoire."

Salutations révolutionnaires est une immersion passionnante et captivante dans la tête du terroriste Carlos. Sophie Bonnet analyse son fonctionnement particulier pour nous en livrer un récit inédit et improbable. Un livre à lire pour ne pas oublier ces attentats des années 70 et 80, pour se les remémorer, parce qu'avant Al-Qaïda et Daech, il y a eu Carlos.
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Je suis née en 1993, un an avant l'arrestation d'Ilich Ramírez Sánchez à Khartoum (Soudan). Je n'ai jamais entendu parler de Carlos le Chacal, mes terroristes à moi s'appellent Oussama Ben Laden, Mohammed Atta, Salah Abdeslam. Après nos 11 septembre et 13 novembre, les faits d'armes de Carlos peuvent paraître dérisoires. Pourtant, cet homme n'en a pas moins tué de sang froid plusieurs centaines de personnes innocentes, parfois pour le compte du Front populaire de Libération de la Palestine, parfois seulement en mercenaire pour se remplir les poches. Ilich Ramírez Sánchez était un terroriste opportuniste, à la recherche de la gloire et de la fortune – il est même devenu musulman par opportunité, histoire d'aller au paradis s'il lui arrivait des bricoles.

Salutations révolutionnaires est l'histoire d'une rencontre, celle de Sophie Bonnet, réalisatrice, avec le numéro d'écrou 11939, le détenu nommé Ilich Ramírez Sánchez. Pourquoi décide-t-elle un beau jour de faire une demande de parloir pour aller rendre visite à un terroriste ? Cette partie là de l'histoire reste floue, il s'agit surtout d'aller découvrir l'homme derrière l'assassin. Quelle n'est pas sa surprise lorsqu'elle rencontre Carlos, un monsieur ventripotent bien habillé, bien loin de se repentir ! Pendant quatre ans, elle va nouer une relation presque intime avec « tonton Ilich », gentil vieux monsieur égocentrique, excentrique et grandiloquent. Où est donc passé le terroriste qui a réussi à extirper 50 millions à l'Algérie pour épargner les otages de l'OPEP ? Tout le récit oscille entre les deux visages de ce Janus contemporain : d'un côté l'homme cultivé et cosmopolite, de l'autre le mercenaire sans foi ni loi.

A travers le récit de ces rencontres mensuelles au parloir, c'est un aperçu des prisons françaises que nous livre l'auteur – une incursion de l'autre côté du mur. Royaume des stéréotypes, le parloir est l'occasion pour les femmes d'aller rapporter leur linge à leurs « barbus » drogués et de se soumettre à leur libido malmenée. C'est un petit royaume où Carlos règne, entre la machine à café et le poste d'observation des matons, ses nouveaux amis. La Centrale de Poissy est un lieu de perdition sans pareille : la drogue est omniprésente, tous les détenus sont camés du matin au soir, rivés sur des jeux vidéos abrutissants. Aucune chance de réinsertion, aucune leçon assimilée – on s'interroge sur l'intérêt de ce système carcéral.
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Enorme coup de coeur pour un roman fort, pour un récit hors du commun , un roman qui parle de violence, de soumission , de déchéance, mais aussi de séduction malsaine. Un livre qui est aussi une plongée au coeur d'une centrale pénitentiaire, une immersion dans l'univers carcéral français, au sein de ses prisons où sont enfermés les détenus difficiles. Un roman documenté superbement écrit avec les mots justes, un style direct qui interpelle, une plume à la fois journalistique d'investigation sublimée par la fibre et la flamme de la romancière.
 Un huis clos étouffant entre Sophie Bonnet et Illich Ramirez Sanchez surnommé Carlos dit le Chacal qui purge une condamnation à perpétuité en France .
Un voyage initiatique dans la tête du terroriste. qui croit encore en son mythe et qui n'a pas conscience que le monde l'a oublié. Utopie d'un esprit narcissique , un voyage qui procure au lecteur une rafale d'émotions allant de la stupéfaction à l'horreur, en passant par la tension nerveuse, l'incrédulité
Pendant quatre ans la journaliste, écrivaine lui a rendu visite chaque week end , que cherchait elle , que voulait elle obtenir , son roman Salutations révolutionnaires nous dépeint ses heures de discussions, cette quête de l'homme qui se cache derrière l'assassin
Et cet homme qui lui fait face un samedi par mois durant quatre ans n'a rien à voir avec ce qu'elle s'imaginait, avec l'image qu'elle s'était forgée : c'est un homme vieux amer, plein de rancune, qui vit dans le passé et se gargarise de ses « opérations », de ses relations haut-placées, et surtout de ses conquêtes féminines, car les femmes disons son pouvoir de séduction sur elles tient une place prépondérante.
Un homme qui n'éprouve ni regret, ni remord, ni conscience .
Point de part d'humanité dans ce brûlant Iceberg sanguinaire qui ne regrette aucun des morts qu'il a provoqué et qui justifie tout par la cause marxiste et révolutionnaire. Une auteure prise au jeu de ses visites, mélange de haine et de fascination, une dépendance , une auto dépendance commune de 4 ans et un sevrage grâce à ce très bel ouvrage que je vous recommande !
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Il se nomme Ilich Ramírez Sánchez, plus connu sous le nom de Carlos ou le Chacal. Il a été pendant de nombreuses années l'ennemi public numéro un en France, auteur de plusieurs attentats et finalement incarcéré en 1994 après une longue cavale.

Ce récit nous restitue quatre ans de parloir entre Sophie Bonnet et le terroriste vénézuélien. Un samedi par mois, la journaliste se rend à la prison de Poissy où il purge sa peine. Elle tente de comprendre le personnage, le monstre sanguinaire, celui qui n'éprouve aucun remords.

Mais, le révolutionnaire n'est plus. Il a vieilli, pris du ventre, mange des gâteaux en cachette car il est diabétique. Au fil des visites, Sophie Bonnet nous dépeint l'individu. Un homme narcissique, manipulateur, séducteur, antisémite et cultivé, qui vit perpétuellement dans le passé. Carlos se réfugie derrière des monologues absurdes, les aveux se font rares et il demeure difficile à cerner malgré les nombreuses heures de parloir.

Un face-à-face qui met également en avant la relation qui va unir Sophie et le terroriste. La fascination, l'emprise troublante du tueur sur la journaliste, la volonté de comprendre.

Ce livre nous ouvre aussi les yeux sur le monde carcéral français d'aujourd'hui. À travers le regard aiguisé de l'auteure, on plonge dans un univers dominé par le sexe, la drogue, l'homophobie et la religion.

Sans concession, Sophie Bonnet nous retrace quatre ans de parloir avec le terroriste sanguinaire. Une enquête édifiante qui tente de mettre en lumière toute la complexité du personnage. Une confrontation à la fois captivante et glaçante.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Des flots de paroles insensées, d'erreurs et de souvenirs reconstitués se déversent, quarante-trois ans après les faits, comment pourrait-il en être autrement ? Seules la haine et la douleur paraissent réelles. Nous voulons comprendre, répètent les parties civiles, s'étonnant que Carlos ne montre aucune compassion, qu'il n'ait pas un mot pour eux, les victimes. Ils s'attardent comme si cela allait leur rendre leurs jambes broyées, leurs yeux transpercés, leurs nuits blanches, leur père mort, leur mâchoire fracturée. Ils restent là, immobiles, raides, transpercés de fatigue, avec leurs yeux ronds exorbités de le voir enfin. Lui, se tait. Leur faiblesse le rassérène. Il se contente de regarder le plafond. Fixant les lettres "RF" de République française dans les arabesques compliquées des moulures de plâtre.
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Carlos, l'Animal, la Terreur. A Poissy, on ne se gêne jamais pour m'interpeller. Vous venez voir la Bête ? Vous êtes de sa famille ? Il appartient un peu à tout le monde. On l'a vu aux informations. On a parlé de lui au journal ! Les morts ne sont plus là pour venir se plaindre alors on l'écoute se vanter de ses exploits, adossé aux murs mangés par la crasse. On lui tend les bras. Pourtant, à l'extérieur, Carlos ne fait plus courir grand monde. Aujourd'hui, qui peut encore citer ses faits d'armes ? La légende paraît moribonde. Dans la moitié du monde, on le connaît uniquement sous le surnom de Carlos le Chacal. Comme une extravagante créature hybride mi-homme mi-chien. Ici, le Chacal est loin et personne ne se préoccupe de ce titre étrange.
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Toute la sainte journée, Ilich cherche donc des pédés et des Juifs sionistes. Malgré vingt-cinq ans de détention, cette obsession quotidienne demeure intacte. Comme perpétuellement assiégé par la présence possible de ses ennemis, il poursuit cette traque stérile. En prison, les homosexuels ont la prudence élémentaires de se cacher et la probabilité de croiser un Juif sioniste est quasi nulle, mais qu'à cela ne tienne. Il garde l'oeil ouvert. Son rêve est simple ; en trouver un et le démasque. Certains enfants ont des amis invisibles ; Ilich, lui, a des ennemis invisibles. Ils ne sont nulle part, mais lui donnent une raison de se lever le matin. Des compagnons de haine, une cohorte de cibles potentielles.
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La mince porte de contreplaqué se referme sur nous. Une minuscule pièce, nos genoux sont forcés de se toucher. Les pupilles brunes. Les paupières lourdes. Je ne parviens pas à détourner les yeux de son visage et de son ventre. C'est un vieil homme. Où est le révolutionnaire au béret de Che Guevara ? Désormais, la bête est grasse et fatiguée. Un terroriste au ventre mou.
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Il est pourtant resté ce petit garçon au double visage qui veut faire plaisir à son père, révolutionnaire en robe de chambre. Cet enfant-là n'a jamais disparu. Quoi qu'il fasse, il poursuit sa route sous la protection parentale. La révolution devenue un songe creux pour aventurier sans cervelle.
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