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EAN : 9782081248618
363 pages
Flammarion (12/02/2014)
2.5/5   7 notes
Résumé :
Brillante éditrice dotée d'un solide tempérament romanesque, Victoire, trente-cinq ans, n'a pas encore trouvé le grand amour... jusqu'à ce que trois hommes traversent sa vie.
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
L'histoire :
Victoire a 35 ans, elle est éditrice et plus ou moins célibataire et se retrouve face à un dilemme cornélien : elle a le choix entre 3 mecs et ne sait pas lequel épouser.

Dur dur… D'ailleurs, les lectrices célibataires de 35 ans pourront parfaitement s'identifier à la belle Victoire et retrouveront à la lecture de ce roman le principal de leur problème quotidien : comment choisir entre un footballeur célèbre, un écrivain célèbre et un mannequin célèbre (et sublime) ? (#vousêtesérieux?)

Mon avis :
En règle générale, quand je mets plus d'une semaine à lire un livre qui fait moins de 1500 pages, c'est mauvais signe. Je ne vais pas être gentille, mais franchement, j'ai détesté. Pendant 3 semaines, j'ai traîné ce bouquin avec moi, lui et moi on se regardait dans le blanc des yeux, on s'évitait, on s'ignorait, bref, on ne s'aimait pas.

Pourtant, j'avais flashé sur la couverture, elle est tellement jolie, la couverture avec tous ces crayons de couleurs… J'attendais de la légèreté, de l'humour, quelque chose en rapport avec le titre, finalement.

J'ai eu tort.

J'ai eu droit à une comédie romantique, sans romance et sans blagues pour Normaliens trois fois agrégés en philosophie option physique quantique.

Je vais être honnête avec vous, après trois semaines et un niveau d'efforts digne d'une médaille olympique, j'ai abandonné à la page 155. L'histoire est passable, l'héroïne est potable. Les mecs ? Nazes, même Samantha Jones dans sa pire période nymphomane n'aurait pas envie de coucher avec eux, mais surtout, le style est ATROCE.

Je vais parler d'Hemingway, ça me donnera l'air intelligent : Hemingway a dit un jour qu'un vrai écrivain évitait les adjectifs et les adverbes, parce que quand on sait écrire, on doit être capable de faire passer les émotions sans eux. Dans Comédie Romantique d'André Bessy, il y a plus d'adverbes que de pigeons dans Paris, si on s'amusait à les supprimer, il resterait trois paragraphes sur 363 pages et en plus, C'EST TOUJOURS LES MÊMES.

J'aurais pu recopier le livre, mais je me contenterai d'un extrait pour expliquer :

Bas de la page 153 :

"tu peux te remettre à l'ouvrage, lui indiqua-t-il en posant une main amicale sur son épaule (ce dernier hocha mécaniquement la tête). Tu ne veux rien ? "Ce dernier hocha mécaniquement mais lourdement la tête".

Bon ok, on hoche deux fois la tête mécaniquement qui plus est lourdement et à deux lignes d'écart, mais passons, je tourne la page :

Haut de la page 154 – SOIT AU PARAGRAPHE SUIVANT!!

"Subissant le contrecoup de cette verbeuse déferlante, le modèle de énième assistant hocha mécaniquement mais lourdement la tête. Dans le couloir qui le menait à une fontaine d'eau minérale, Louis eut honte de s'être épanché de la sorte, estimant la diatribe disproportionnée et, en fin de compte, ennuyeuse."

Accessoirement, je ne l'ai pas recopié, parce que c'est long et que je n'ai pas l'intention d'y passer la nuit, mais moins d'une page avant, on a déjà le mot "diatribe", elle n'est pas disproportionnée et ennuyeuse celle-ci, mais c'est une diatribe tout de même.

Perso, je lis ça, je réagis en quatre temps :

D'abord je relis, parce que j'ai rien compris, car non seulement c'est lourdingue, mais en plus c'est incompréhensible.

Ensuite, je hoche mécaniquement et lourdement la tête

Et puis je re-hoche mécaniquement et lourdement la tête, puisqu'apparemment faut le faire deux ou trois fois.

Je vais lire autre chose, parce que j'ai autre chose à faire de mes journées.

Conclusion : quand dans un livre, des personnages hochent mécaniquement et lourdement la tête trois fois de suite dans le même paragraphe, soit ils sont affectés d'un grave trouble obsessionnel du comportement, soit on se fout mécaniquement et lourdement de nous.

Et ce n'est qu'un exemple, l'ensemble du texte est tout aussi mal écrit et obscur.

Remarquez que ce n'est pas tant à l'écrivain que je reproche ces erreurs, on sait bien que quand on écrit un livre, on est tellement mécaniquement et lourdement plongé dedans qu'on n'a plus le recul suffisant pour relire, en revanche, à quoi ça sert d'avoir un éditeur comme Flammarion, si personne ne relit les livres avant de les imprimer ?

Quand on veut écrire une histoire légère on adopte un style léger, sinon on a un problème d'adéquation entre le fond et la forme et comme dirait l'autre (et par "l'autre", j'entends ce brave Boileau) : "Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement" et Comédie Romantique est loin de s'énoncer clairement, je vous laisse en déduire ce que vous voulez.

Bref, désolée, à ne pas lire.

Lien : http://sissidebeauregard.com..
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Aux quelques avis que j'ai pu détecter concernant ce roman, j'en tire la conclusion que Comédie romantique plaît ou ne plaît pas du tout. Il n'y a aucune juste mesure dans la considération finale du lecteur, tant l'oeuvre est atypique : soit ça passe, soit ça casse. Pour ma part, j'ai totalement adhéré à l'histoire, à l'originalité d'écriture, aux personnages extravagants, à l'ambiguïté qui plane dans l'atmosphère globale.

La couverture, toute en beauté, en couleur, symétrie et amour laisse présager une histoire romantique, sorte de romance à la cucul où les personnages sont niais et infâmes. Il n'en est rien ! Reprenant les grandes lignes d'un roman à la chick-lit (sans pour autant plonger entièrement dans une histoire féminine à l'eau de rose, aux tribulations impromptues), André Bessy écrit avec grâce les déboires amoureux de sa singulière protagoniste, Victoire Meursot.

La première chose que l'on remarque, avant même le réel commencement du récit, c'est la magnificence de la plume, son extrême maniement de la langue française, qui fait honneur à la littérature contemporaine. La maîtrise d'un large vocabulaire ne gène en rien l'avancée de la lecture, bien au contraire, il s'en dégage une simplicité et un naturel incroyable : son talent bonifie le récit et fait en sorte de rendre une histoire simplette un chef-d'oeuvre stylistique unique. Seul petit bémol : la rédaction semblait prendre beaucoup plus de place que l'histoire en elle-même. Je me laissais happer par les tournures de phrases majestueuses de l'auteur sans toutefois ressentir d'intérêt particulier pour ce qu'il contait. de même, les nombreuses références culturelles alimentent grandement le récit et prouvent une nouvelle fois l'intellect de l'auteur.

Le récit en lui-même est excellent. Si vous cherchez de l'originalité, vous êtes bien tombés !

On a souvent l'occasion de croiser des amours triangulaires, comme dans la célèbre saga d'Hunger Games de Suzanne Collins ou dans le livre jeunesse La légion de la colombe noire de Kami Garcia, or ici, André Bessy nous concocte un quatuor amoureux, tout en finesse, en allégresse, suspense et spécificité. Notre protagoniste, fort de son caractère, de son ample personnalité, se retrouve perdue entre plusieurs hommes, et doit décider lequel lui conviendrait le mieux. Chose qui peut choquer, elle passe du temps avec chacun d'entre eux, pour en quelque sorte les "tester" et voir lequel lui conviendrait le mieux.

Dans Comédie romantique, tous les personnages sont différents - pour ne pas dire aux antipodes les uns des autres. Victoire, l'éditrice au caractère fort, au libertinage et à l'ouverture d'esprit ; Guillaume Bérenger, le mari malheureux au grand coeur ; Louis, le Don juan mystérieux à la beauté ahurissante et Stéphane Constantini, le footballeur au coeur mielleux. Seul point commun qui les rapproche : les livres. Rien n'aurait pu prédestiner ces quatre univers différents à se rencontrer, et pourtant... la magie du roman fonctionne. Les personnages bouleversent les stéréotypes et cassent les genres qui leurs était prédestinés.

D'aucun trouveront cette histoire niaise, je l'ai trouvé forte en sensibilité, en réalisme et touchante à souhait. le tiraillement que ressent Victoire se fait ressentir, le choix est ardu et le suspense maintenu jusqu'aux dernières lignes. Un roman haut en couleur (comme le fait remarquer la photo sur la couverture), bourré de rebondissements abrupts, et agrémenté ici et là de quelques touches d'humour agréables à lire.

Un roman original, des histoires d'amour peu communes, qui vous feront passer un très bon moment de lecture.
Lien : http://addictbooks.skyrock.c..
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Je tenais à remercier sincèrement les éditions Flammarion pour ce service presse, mon tout premier au passage, et donc de m'avoir permise de lire ce roman. Dès lors que j'ai vu la couverture très mignonne et lu le résumé très tentant, je n'avais qu'une envie : découvrir l'histoire de Victoire.

Victoire Meursot, jeune éditrice de 35 ans, dont la vie sentimentale n'est pas terrible. Jusqu'au jour où son coeur va chavirer entre trois hommes de monde totalement différent. Et la question posée dans le résumé, qu'on finit nous aussi par ce poser, c'est bien celle-ci : va-t-elle réussir à choisir celui qui lui correspondra le mieux ou est-ce-que c'est le destin qui décidera pour elle ?

Eh bien pendant une bonne partie du roman, c'est bien ce qui se passe. Puis, on passe d'un chapitre à un autre et hop, la voilà en couple avec l'un des trois prétendants. Pourquoi lui et pas un autre ? Telle est la question que je me suis demandé à ce moment-là. Bien sûr, nous n'aurons pas vraiment d'explications sur ce choix...

Les personnages sont très différents les uns des autres ; ils ne viennent pas du même milieu et travail dans des univers différents. J'ai trouvé qu'ils étaient, finalement, peu crédibles car ils regorgent de clichés... ils sont trop parfaits et ont une trop belle vie. Ce manque de crédibilité fait en sorte qu'on ait du mal à s'attacher à eux. de plus, j'ai trouvé qu'on en apprenait pas suffisamment sur certains d'entre eux, en refermant le livre je me posais quelques questions qui resteront sans réponses.

L'histoire est bien mais sans plus. Les pages défilent toutes seules, malgré quelques problèmes d'incompréhensions, on poursuit la lecture sans difficultés. Pour être honnête avec vous quand je lis un livre, je ressens quelque chose, le livre en question me procure de l'émotion. Mais pour ce roman je n'ai absolument rien ressenti : que ce soit l'histoire en elle-même ou les personnages, tout simplement. C'est bien une première pour moi !

Il y a tout de même quelques rebondissements sympathiques qui font tenir en haleine le lecteur mais rien d'extraordinaire non plus. Vu le déroulement de l'histoire, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, surtout concernant la fin. Et je dois avouer que j'ai plutôt été surprise de celle-ci, qui vous vous en douterez, était inattendue. Durant notre lecture, on se pose quelques questions sur certains agissements des personnages. J'ai été ravie d'avoir toutes les réponses de celles-ci en fin de roman.

Pour conclure, j'ai passé un bon moment de lecture mais sans plus. Ça a été une lecture agréable qui fait passer le temps. Comme je vous l'ai dit un peu plus haut dans ma chronique, je n'ai rien ressenti durant celle-ci, ce qui est rare. Je pensais vraiment que ce sentiment changerait au fur et à mesure que j'avancerais... eh bien non, en refermant mon livre, je me sens satisfaite de la fin, mais je me retrouve en ne ressentant pas grand-chose. Pour ce qui est de l'auteur, j'ai trouvé que parfois il se perdait dans sa propre histoire alors bien entendu, nous aussi on s'y perd un peu. Je ne sais pas si c'est qu'une impression mais en tout cas, c'est ce que j'ai éprouvée durant certains passages.
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devra-t-elle laisser le sort décider pour elle-même ?

Je dois avouer que j'écris cet article un peu en traînant les pieds.. Car je n'ai pas du tout adhéré à ce roman, du tout du tout. C'est assez rare mais ça arrive et je regrette que ce soit sur un roman qui avait pourtant tout pour me plaire.

Victoire Meursot est une brillante éditrice. Alors que c'est plutôt le calme plat de ce côté-là, sa vie sentimentale prend un nouvel essor grâce à l'arrivée de trois hommes séduisants entre lesquels son coeur balance. Arrivera-t-elle à trouver celui qui lui convient le mieux?

Le résumé pourrait vous faire penser à une bonne vieille romance classique mais il n'en est rien. C'est beaucoup plus. Et même un peu trop, à vrai dire. Mon principal reproche à son encontre est que j'ai eu le sentiment que l'auteur voulait en faire trop. J'ai ressenti un gros sentiment de lourdeur dès les premières pages à cause du style trop alambiqué, à un tel point que je me suis rapidement ennuyée. On a droit à plusieurs point de vue mais sans réel changement de ton ce qui m'a empêchée de me mettre dans la peau des personnages.

Justement, les personnages.. J'ai trouvé que c'était un concentré de clichés et d'exagération. Ils sont tous trop parfaits et le pire c'est qu'ils le savent. Ils débordent de confiance en eux, de prétention. Ils sont tous magnifiquement beaux, magnifiquement intelligents et tous réussissent de façon incroyable leur vie professionnelle. Et quand ce n'est pas le cas, ils sont juste très riches. Ça manquait de crédibilité mais surtout ça ne les a rendus que totalement antipathiques. Je n'en ai pas trouvé un seul attachant ou ne fut-ce que sympathique. Ce qui est assez difficile à surmonter dans un roman..

Je pense qu'il s'agit d'une incompatibilité entre moi et le style général. J'ai besoin de défauts, de légèreté alors que ce roman déborde d'une volonté d'excellence. C'est dommage mais je ne doute pas qu'il saura trouver son lectorat.
Lien : http://mamantitou.blogspot.b..
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Là nous frôlons la chick lit, avec Victoire, éditrice trentenaire en quête du grand amour (sans cracher sur des relations concrètes et menées tambour battant) et sentant son horloge biologique s'accélérer. Contrairement je suppose à la majorité des femmes, elle a du choix (et du bon): Guillaume Béranger, romancier dans son écurie, Louis Karkoël, mannequin à ses heures (donc sûrement bien regardable) et Stéphane Constantini, footballeur au PSG (noooooooon? si!).
Alors, qui va la conquérir? Suspense plutôt bien mené.

L'histoire ma foi, si on aime - et c'est mon cas- un peu de légèreté dans ses choix de lecture, n'est pas plus mal trouvée que bien d'autres. Les dialogues sont de type ping pong, badinage assez spirituel.

Mais cependant j'ai terminé en diagonale, pas fichue de m'intéresser à ces gens, au hasard, Stéphane et Victoire dans le chalet en Suisse, ou Victoire et les compagnes de footballeurs, Louis et son ego, etc...

D'ordinaire je ne suis pas regardante, mais là:
page 19 : "Cette dernière [Laure] ramena à elle ses jambes interminables"
page 21 : Laure, encore elle, possède une "chevelure interminable"

L'écriture manque de fluidité:
"Après une série de zigzags où elle évita avec soin de se faire alpaguer, elle atteignit son but et se planta bien en face du jeune homme dont le regard interrogateur alla du visage de sa voisine à celui de l'intruse. Ce dernier, qui n'avait pas d'autre choix que d'entamer la conversation, tergiversa un peu avant de trouver ses mots."
Je n'ai rien contre les imparfaits du subjonctif, et là j'étais comblée, mais évidemment je tique en lisant "combien de fois j'ai pu affirmer" au lieu de, pour être en phase avec le reste, ai-je pu.

Pour m'achever, il y a aussi une sombre histoire de maraboutage qui m'a laissée ... les yeux ronds!

Conclusion : du léger, je veux bien, mais du pétillant moins sirupeux.
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
On C’est à cause de préjugés comme les vôtres que j’ai effectué un séjour prolongé en hôpital psychiatrique et que j’ai failli me suicider à plusieurs reprises. Qu’est-ce que vous croyez ? Que l’habit fait le moine ? Votre façon de voir les choses est criminelle. Je ne sais pas du tout ce que vous éditez et je m’en contrefiche. Mais j’espère pour vous que vos auteurs n’ont pas droit à des remarques aussi débiles. « On ne vous a jamais dit vous n’aviez pas du tout le physique de l’emploi », conclut-il en la parodiant à l’excès. Il se détourna aussitôt et, avant de se murer dans un complet silence, il extirpa de la poche avant de son jean un pilulier, l’ouvrit et s’empara d’un médicament qu’il porta à sa bouche d’un geste épileptique.À choisir, Victoire Meursot eût préféré recevoir un coup de poing en pleine figure plutôt que d’entendre ces propos empreints d’agressivité. S’il y avait une chose qui, par-dessus tout, la mettait mal à l’aise, c’était bien la violence verbale. Quelle qu’elle soit. En général, elle ne supportait pas les disputes, les prises de position radicales ou sectaires, les jugements à l’emporte-pièce, tous ces emballements requérant l’utilisation d’un vocabulaire à l’implacable et anguleuse dureté. Elle surfait d’instinct sur les lames de l’entregent et de la conciliation et se raidissait sur-le-champ dès qu’un mot était prononcé plus haut que l’autre.Ainsi, elle effectua le reste du trajet recroquevillée dans le cachemire de son pull de marque et n’osa pas bouger.
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Elle butina de l’un à l’autre et paraissait assez satisfaite de l’effet qu’elle produisait. On cherchait à se l’accaparer et c’était une jouissance pour elle que d’en avoir conscience à chaque étape. Une sensation d’euphorie la traversa, elle en avait déjà oublié Guillaume, et cet excédent de bien-être perdura jusqu’à ce que ses yeux croisassent furtivement la silhouette longiligne d’un jeune homme.Son physique ambigu, le physique qu’elle préférait par-dessus tout chez les hommes, l’avait saisie en plein élan folâtre et elle redoubla de grâce dans l’espoir d’attirer l’attention de cet ange de la nuit.
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Lorsqu'on aime vraiment, on n'a besoin que d'un minimum de posture. Du coup, on vit plutôt relâché et l'on se contente de petits mots simples, voire simplets, qui n'ont aucun objectif de déstabilisation.
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Chez moi, le bien-être se compte en milliers de calories. Si j'étais tout le temps heureuse, je pèserais plus d'une tonne.
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Les romanciers étaient aussi, à leur manière, des poètes et c'est en cela qu'ils étaient et seront à jamais supérieurs. Ils transcrivaient les sensations, comme personne.
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