Indispensable ! Une référence spirituelle absolue certaine !
« Comment obtient-on la Connaissance ? Comment la libération surviendra-t-elle ? Et l'équanimité face aux passions, comment s'obtient-elle ? »
Voici, en toute franchise, un texte ultime, éminemment spirituel, qui dépasse toute religion, oserais-je dire.
Tout le monde devrait lire cet opuscule magistralement traduit, et surtout, magistralement clair.
Tout humain s'intéressant au spirituel, à la religion, doit lire l'Astâvakra Gîtâ.
Si vous ne devez lire qu'un livre cet été – qui plus est si peu épais – je vous recommande très fortement de lire ce chef-d'oeuvre.
OK, il existe déjà plusieurs traductions – et je ne les ai pas lu, j'en ai seulement connaissance. Lisez-les et comparez ! Bref !
La Gîtâ d'Astâvakra est un « chant de Vérité » en 20 chapitres, que ce dernier offre en enseignement au roi Janaka.
Il me serait difficile et prétentieux de vous exposer un commentaire de ce texte éminemment clair.
Aussi je vais reprendre le traducteur, Jean Bouchard-D'Orval, qui lui aussi, dans sa courte introduction, dit ceci à son sujet, et le dit bien mieux que moi :
« L'Inde nous a légué des milliers de textes d'une haute spiritualité. L'immense intérêt de l'Astâvakra Gîtâ, c'est qu'il est d'une telle immédiateté et d'une telle clarté que l'Occidental moderne peut le saisir sans les longues introductions et les nombreux commentaires des textes sacrés indiens.
Cet antique dialogue entre le sage Astâvakra et le roi Janaka expose la possibilité pour l'être humain de se libérer totalement et définitivement de toute forme d'asservissement, de peur, de doute et de souffrance.
(…) L'enfermement est imaginaire. Notre manière de vivre individuelle et collective (ce qu'on a convenu d'appeler une civilisation) est fondée sur un malentendu, elle repose sur des bases fallacieuses. Tant que ce malentendu n'est même pas reconnu, la vie des êtres humains n'est que la répétition de la même agitation, des mêmes calculs, des mêmes espoirs, des mêmes déceptions, de la même restriction douloureuse. C'est ce malentendu fondamental que le dialogue avec Astâvakra expose et dénoue.«
Ce seul livre semble se suffire à lui-même. Après lui ? le déluge. Lisez-le, vous serez transformé. Voici l'un de mes nouveaux livres de chevet.
Indispensable. Indépassable ? Une référence absolue certaine !
Zuihô.
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