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EAN : 978B08KTY2ZY7
200 pages
La Découverte (15/10/2020)
3/5   5 notes
Résumé :
Depuis le début de la crise mondiale de la covid-19, les questionnements sur l’avenir des capitalismes se sont multipliés. Et nombre de voix se sont élevées pour que les « jours d’après » ne soient plus jamais comme « ceux d’avant ». Dans le court terme, les pronostics étaient confrontés à une incertitude radicale, invitant à la prudence : il faudra du temps pour démêler l’écheveau des responsabilités et construire d’éventuelles alternatives.

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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Je viens tout juste de terminé cet essai qui parle de la covid-19 publié en 2020 et pourtant deux ans plus tard, la pandémie n'est pas prêt de se terminée. D'après l'auteur non seulement les pays d'Europe ainsi que les Amériques n'étaient pas prêt pour la covid-19 seul l'Asie grâce à leur expérience passé. Pourtant, si vous avez vu la série The Hot Zone les américains auraient pu être près mais vu l'incompétence de leur leader il l'on minimiser. Depuis deux ans, ils ont accumulés plus d'un million de morts et 82 million d'infesté sur une population de 334.5 millions d'habitants soit le 1/4. Nous aussi, au Canada, même plus au Québec, notre système de santé à faillit sauté, malgré six vagues le gouvernement tâtonne toujours et joue le pro-actif après coup. Surtout on apprend qu'il y a quinze pandémies entre 1347 et 2020 et nous avons rien appris depuis car selon les exemples montrés dans ce livre. Notre économie malgré la mondialisation reste très près des Chinois qui nous fabrique la plupart de tout nos produits et si eux veulent avoir zéro de patient de covid-19 cela va apporter un délai de fabrication. de transport, hausse des prix, etc... Elle a aussi apporté une manque de main d'oeuvre partout dans tout les domaines. Et comment dirait Robert Boyer, les gouvernements passe par l'économie, nous au Québec nous avions les chiffreux dit François Legault et Christian Dubé. Qui regardaient les infirmières et les docteurs comme des numéros et comme durant la Deuxième Guerre mondiale lorsque Hitler perdait la guerre ils imaginaient des moyens farfelues pour enrayer le problème en créant d'autres problèmes. En ce moment, nombre de gouvernement sont en mode électon et laisse la covid-19 de côté comme si elle va arrêté du jour au lendemain comme en 1920. Il reste encore plusieurs facteurs qui vont la maintenir tant qu'on aura pas un vaccin plus puissant car celui de 2021 qui était supposé durée un an, même avec la troisième dose, il ne dure que trois mois car les mutations du virus le contourne. Et que la plupart de la population mondiale ne sera pas entièrement ou presqu'entièrement vacciné cette pandémie ne sera pas terminée.
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Gouvernements, citoyens, entreprises et financiers, tous scrutent les statistiques de diffusion de la covid-19 avant toute décision, ce qui est une nouveauté par rapport aux précédentes décennies, rythmées par les hauts et les bas des Bourses. Ils se tournent donc vers les spécialistes des pandémies, qui eux-mêmes puisent dans la longue histoire de leur succession. Peut-on tirer quelques enseignements généraux de leur impact sur l’économie ? Si la chute de l’activité économique apparaît souvent sans précédent quant à sa brutalité et son ampleur, est-il légitime de faire l’hypothèse qu’il en est de même pour la covid-19, de sorte que le passé informerait le futur de cette pandémie ? Mais si celle-ci est par définition mondiale, elle est loin de suivre un cours identique dans toutes les sociétés et il est important de comprendre pourquoi. En fait, en dépit de la remarquable réactivité des chercheurs à l’échelle internationale, une grande incertitude pèse sur le devenir de la pandémie. Ainsi s’expliquent les tâtonnements et les essais et erreurs de la plupart des décideurs : tout comme les grandes crises financières, les pandémies se suivent mais ne se ressemblent pas.
Il se peut que les progrès de la médecine aient un temps éliminé l’angoisse d’un retour des épidémies supposées frapper les populations des pays lointains et pauvres. Mais le sida avait été un premier avertissement que renouvelle le coronavirus.
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Ainsi en 1346 à Gênes les commerçants se rebellent contre le maintien par les responsables politiques des mesures de santé publiques qui ruinent les affaires. Soit une configuration typique de la situation observée en mai 2020 dans ceux des pays qui lèvent progressivement les mesures de confinement, mais pas assez rapidement au gré des entreprises.
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Depuis le XIV siècle, pas moins de quinze grandes pandémies se sont succédé (Jordà, Singh, Taylor, 2020). Elles s'échelonnent de la grande peste qui frappe l'Europe en 1347 à 1352 et qui cause 75 millions de morts, à la grippe espagnol qui dure de 1918 à 1920 et fait 100 millions de victimes. Il est remarquable que leur durée varie beaucoup : près de vingt-deux années pour la deuxième pandémie de choléra qui frappe l'Asie et l'Europe en 1829 et 185, mais seulement une année pour le H1N1 en 2009.
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Il faut aussi mentionner pour, les États-Unis, la coexistence d'amples déficits publics avec ceux jamais comblés de la balance commerciale, car compensés par l'afflux de capitaux étrangers attirés par le rendement des placements dans le système financier américain.
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Le coronavirus a fait ressortir avec brutalité une évidence trop longtemps oubliée: les sociétés opèrent grâce à la synchronisation temporelle de toutes les activités.
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Video de Robert Boyer (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Robert Boyer
On se rappelle qu'au début de la crise sanitaire, les prévisions économies pour l'après-crise étaient toutes plus apocalyptiques les unes que les autres : chômage de masse et magasins vides étaient annoncés de toute part. Près de deux ans après le début de la crise, si nous ne vivons pas pour autant un boom économique, il semble néanmoins que la situation n'est pas aussi grave que prévu.
C'est l'occasion de s'interroger sur la difficulté qu'il y a à prédire les prises et leurs conséquences, et du même coup, sur l'utilité de la discipline économique. Cette dernière se présente volontiers comme la plus scientifique et mathématique des sciences sociales, et pourtant, elle semble avoir bien peiné face à la crise sanitaire. A quelles conditions peut-elle alors prétendre traiter plus justement les périodes de crise comme celle que nous connaissons ?
Ce sont les questions que nous abordons avec Robert Boyer, économiste, directeur d'études à l'EHESS et membre du conseil scientifique à l'Institut des Amériques (CNRS), auteur de Une discipline sans réflexivité peut-elle être une science ? Épistémologie de l'économie (Editions de la Sorbonne, 2021) et de Les Capitalismes à l'épreuve de la pandémie (La Découverte 2020).
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