Une jeune chinoise se fait capturer par des nomades Mogoles et participe à leur vie itinérante. Considérée comme captive et promise au fils ainé du chef de clan, elle refuse tout contact avec la tribu dans un premier temps. Elle doit cependant se plier aux règles du clan mais tente régulièrement de s'échapper pour rejoindre sa ville. Petit à petit elle accepte le fait qu'elle se lie d'amitié avec le frère cadet de celui avec qui elle doit se marier. L'amitié se transforme petit à petit en sentiments plus intenses et une rivalité s'installe entre les deux frères.
Livre lut avec ma fille de 11 ans qui a beaucoup appréciée l'aspect aventure et la découverte de modes de vie inconnus, de croyances, de cultures. La séparation avec la famille est aussi bien présente ainsi que l'idée de la reconstruction dans un ailleurs, la possibilité d'exister autrement sans renoncer ni renier ses origines ou tout simplement son identité.
Belle lecture riches d'enseignements et d'espoirs.
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J'ai eu l'occasion de lire ce livre pour un concours en primaire (ce qui commence a remonter a loin). Je me souviens l'avoir dévoré.
J'en garde un bon souvenir, je pense le relire a l'occasion :)
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Un livre qui traînait dans ma bibliothèque, et que je me suis enfin décidée à lire. Un peu déçue de l'histoire, qui n'évolue pas bien vite à certains moments. Peut-être est-ce parce qu'habituellement je n'aime pas vraiment ce genre de récit, qui se passe en Asie, dans une tribu ... Néanmoins, j'ai plutôt apprécié la fin. Un livre que je conseille aux plus jeunes.
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Livre passionant , l'histoire d'une fille chinoise kidnappée par des mongols ....
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Chez elle, dans sa jolie maison de la colline aux Dix-Mille-Pins, les sons étaient des amis: le pas de son père, le trottinement des servantes, les cloches du monastère, le frôlement du vent dans les feuilles, et le grondement de la cascade. Ici au contraire tout lui était étranger ; même la course des chevaux semblait différente...p 17
Un homme jeune, au nez épaté, venait de s’accroupir devant elle, lui maintenant les poignets au sol. Il avait la barbe rare, le crâne rasé comme les autres et deux tresses rattachées derrière les oreilles.
De ses yeux porcins, il la regardait fixement. Puis il approcha sa main calleuse du petit visage, observa longuement les doigts longs et minces, les pieds menus, et enserra les chevilles pour en apprécier la finesse. P 9
Sur sa droite, encore une tente, quelques chariots dont un très grand et un tas de bois ; au delà, la steppe grise , surveillée par un arbre morne, presque sans feuilles, sous lequel cherchaient à s'abriter une dizaine d'étranges petits chevaux. Encore un quart de tout et on apercevait le reste du troupeau, et puis trois chameaux.p 12
Chez elle, dans sa jolie maison de la colline aux Dix-Mille-Pins, les sons étaient des amis: le pas de son père, le trottinement des servantes, les cloches du monastère, le frôlement du vent dans les feuilles, et le grondement de la cascade. Ici au contraire tout lui était étranger ; même la course des chevaux semblait différente, et cette odeur écœurante...p 17
Chez elle, dans sa jolie maison de la colline aux Dix-Mille-Pins, les sons étaient des amis: le pas de son père, le trottinement des servantes, les cloches du monastère, le frôlement du vent dans les feuilles, et le grondement de la cascade. Ici au contraire tout lui était étranger ; même la course des chevaux semblait différente, et cette odeur écœurante...p 17