Au soleil redouté

Qui parlait ? Qui écrivait ? Qui avait choisi les membres de cet atelier d'écriture : qui payait qui? 24 heures d'avion pour rejoindre cette île mythique, est-ce bien raisonnable ? Me sont restés en tête les deux personnages qui ne participent pas à ce projet d'écriture mais qui mènent la danse au quotidien. Je me suis perdue dans la construction du roman.

J'ai enfin fini ce livre... Un roman qui traine, et un peu decousu. Je n'ai pas accroché avec les personnages et les descriptions des paysages ne m'ont pas fait voyager.
Pourtant la fin est comme toujours avec Michel Bussi grandiose. J'aime cet auteur pour ces fins mais là elle n'a pas suffit

Livre lu cet été, et contrairement aux autres BUSSI que j'ai déjà lu, ça n'a pas été une lecture transcendante … J'ai vraiment adoré l'immersion au coeur des Marquises, suivre ces dames qui sont des auteures en herbe mais je me suis perdue dans tous les personnages. Je me suis embrouillée, je revenais en arrière… Je n'étais peut-être pas dans les meilleures dispositions à ce moment là pour le lire (mais bon en étant en vacances et en ayant beaucoup de temps pour lire, cela aurait dû être plus évident...) La chute est bien, je l'avoue et je suis contente d'être allée jusqu'au bout, mais j'ai mis beaucoup de temps à le lire. Je n'avais pas cette addiction que j'ai souvent quand je commence un roman. Il n'est pas mauvais en soi, mais j'ai eu plus de plaisir avec les autres romans de Bussi.
Je suis vraiment déçue, car je ne suis pas parvenue à accrocher même si je l'ai lu jusqu'au bout...

Mon premier roman de Michel BUSSY. A la vue des commentaires que je viens de lire c'est, à priori, pas forcément le meilleur.

Pour résumer simplement : il s'agit ici d'un remake des 10 petits nègres, version moderne : cinq fans de l'auteur sont invités sur les Iles Marquises pour partager un atelier d'écriture avec celui-ci. Sauf que très rapidement, l'aventure va prendre un tournant tragique avec le décès d'une première de ces fans. S'en suivra alors un huis clos où chaque personnage paraîtra coupable et victime à la fois.

J'ai beaucoup apprécié les 3 premiers quarts du roman où l'intrigue se développe progressivement, où les personnages se dévoilent et où on se demande vraiment qui est le meurtrier. Comme dans un bon policier, je tournais alors les pages sans pouvoir m'arrêter.

Puis j'ai fini par me lasser et presque avoir hâte de terminer le roman. J'ai trouvé la dernière partie un peu compliqué à suivre car il y a de plus en plus de personnages et d'histoires mélangés.
J'ai surtout été très déçu par la fin qui m'a semblé grossière, et j'avais envie de dire " tout ça pour ça " !

Mais ça reste quand même une lecture agréable, et l'écriture m'a plu, je ne dirai donc pas non à un autre de ses romans.

Un peu déçue de ce roman policier qui m'a paru un peu trop simpliste et peu original.
J'ai eu du mal à m'imprégner des différents personnages et me suis un peu perdue au départ.
J'ai bien aimé par contre les descriptions de cet île et comme tout roman policier, j'ai être prise par l'intrigue.
Mais j'ai aussi trouvé que le final était un peu tiré par les cheveux.
Ce n'est pas le roman que je garderai en mémoire de Michel Bussi, c'est certain.

Un roman qui se laisse lire pour son cadre exotique et son intrigue littéraire bien ficelée. Néanmoins, le style est plutôt bon enfant, léger et direct - une agréable lecture estivale en somme. Aux Marquises, 5 lectrices/auteures en herbe participent à un atelier d'écriture qui se transforme vite en jeu meurtrier. Les personnages eux-mêmes ne sont guère attachants et il est plutôt difficile de s'identifier à l'un d'eux tant les traits de leur personnalité sont forcés. La fin tombe un peu comme un cheveux sur la soupe, mais je mets 3 étoiles pour le côté un peu atypique de ce roman entre mystère et soleil brûlant.

Tous les ans, c'est un plaisir de retrouver la plume de Michel Bussi. J'ai aimé voyagé aux îles Marquises au gré des pages et découvrir ces personnages féminins fans de polars. Bussi à un don pour plonger le lecteur dans une ambiance d'enquête tout en nous faisant découvrir le folklore local.

Le lieu de l'intrigue perdu au beau milieu de l'océan Pacifique et les différents personnages m'ont laissé un beau souvenir de ce roman. Mais cette fois, la magie n'a pas opéré avec moi, je me suis retrouvé trop perdue dans les différents liens qui unissais nos apprentis écrivaines. Un final rocambolesque qui m'a laissé sur un avis un peu partagé alors que j'avais accroché dès le début.

Il ne me restera pas en souvenir comme "mon Bussi favori", mais il reste tout de même un bon thriller en huis-clos qui me rappelle bien la reine du genre, Agatha Christie.

Une lecture sympa, une histoire quelque peu tirée par les cheveux mais à laquelle, somme toute, on croit, des personnages assez "hauts en couleur", un décor paradisiaque, bref tous les ingrédients d'un bon roman et d'un bon moment à passer. Un final à la Bussi qui aurait pu être moins "baclé" (le mot est trop dur) mais finalement un rebondissement qui, comme souvent chez cet auteur, nous surprend quand même. En résumé, pas le meilleur Bussi mais à lire car cela permet une bonne détente.

L'intrigue est lente. Pas de suspens… on a l'impression de tourner en rond. J'ai ramé pour aller jusqu'au bout mais il est vrai que la fin nous tient en haleine car surprenante. Et encore, c'est un peu tiré par les cheveux : on a l'impression de s'être fait avoir car on ne va pas tout relire pour vérifier si c'est cohérent tout ça.
Bon, le positif, c'est qu'on visite les Marquises, son paysage un peu idyllique, ses coutumes et ça, c'est agréable.
Je suis déçue par ces auteurs grand public qui veulent à tous prix sortir un livre chaque année : j'ai lu le dernier Olivier Adam, le dernier Guillaume Musso et c'est pareil… Dommage !

Je n'arrive pas à retrouver dans ses derniers livres ce qui m'a plu dans beaucoup des précédents. Celui là m'a quand même plus emballé que "j'ai du rêver trop fort"mais c'est pas encore ça. J'ai trouvé l'histoire, ou plutôt la façon dont elle est racontée plutôt tirée par les cheveux. Les références répétées à Brel et même à Gauguin sont fatigantes je trouve.
Franchement pas convaincu non plus par celui là...