Maman a tort

Je retrouve avec plaisir la plume de l'auteur. L'action se déroule cette fois-ci au Havre, une ville que nous avions visitée en famille et qui nous avait plu.

J'ai bien aimé les personnages sympathiques et humains, faisant leur maximum pour résoudre deux énigmes en même temps.

J'ai parfois ri, parfois été beaucoup moins convaincue par certains extraits du site envie-de-tuer.com (j'ai vérifié, rassurez-vous, ce site web n'existe pas). Oui, parfois dans la vie quotidienne, on a envie de tuer son voisin ou son patron. Certaines situations en exergue de chapitres sont parfois cocasses.

Comme à chaque intrigue, l'auteur sème des indices. Trop contente d'en déchiffrer certains, j'ai tout de même été attrapée à la conclusion du roman.

J'ai encore une fois passée un bon moment de lecture.

Merci, Monsieur Bussi.

L'image que je retiendrai :

Celle du château qu'imagine Malone, et qui s'avère être des cheminées d'usine.
Lien : http://alexmotamots.fr/?p=2166

Je ne vous raconterai pas l'intrigue de ce policier qui se déroule dans Le Havre et ses villes et villages voisins.
Je citerai juste Malone, Maman-da, Angie, Timo Soler, le professeur Larochelle et tous les autres.
Sachez seulement que c'est un Bussi que vous aurez entre les mains et que, encore une fois, vous ne serez pas déçus.
C'est tout et je trouve cela bien suffisant. Ah si…. Excellent.
et "Les mamans ont toujours raison".

J'ai beaucoup aimé découvrir ce roman de Michel Bussi, comme toujours.
J'ai aimé le fait d'avoir, encore une fois, été surprise par les rebondissements qui tiennent du génie, que nous propose l'auteur.
Et le fait que des contes - avec une très jolie morale, soient chevauchés avec le réel, peuplé de nom sortie de conte de fée, est très appréciable !
Lien : http://blog-dune-passionnee...

Malone a presque 4 ans. Suivi par un psychologue scolaire, il ne cesse de répéter que sa maman n'est pas sa vraie maman et raconte des histoires qu'il partage avec sa peluche Gouti.
Le psy Vasile Dragonman va juger nécessaire de le signaler à la commandante de police Marianne Augresse, voyant l'urgence de la situation du fait que la mémoire d'un enfant de cet âge s'efface au bout de quelques mois.
Une fois de plus Michel BUSSI nous entraine dans une enquête à rebondissements. Tout au long du roman on est persuadé d'avoir deviné la fin.
Grave erreur. Vous ne saurez rien avant les toutes dernières pages.
"Maman à tort" mais pas vous en choisissant ce bon polar.
Pour ne rien gâcher, l'auteur rencontré au salon Quai du Polar est extrêmement sympathique.

Malone, 3 ans, raconte au psychologue scolaire que sa mère n'est pas sa vraie maman. Contre toute attente, Vasile croit ce petit garçon aux souvenirs fragiles. Il pressent le danger et décide de se rendre au commissariat. Deux jours plus tard, tout bascule.
Moi je dirais » Magic Bussi » . J'avais adoré « Nymphéas noirs » puis j'étais passée à « Un avion sans elle » qui ne m'avait pas « attrapé » ! Là, bravo ! Un véritable page turner qu'on ne peut lâcher avant d'avoir atteint l'épilogue. Une intrigue bien ficelée et le fait de l'aventure ou plutôt des mésaventures d'un enfant de 3 ans, font qu'on ne peut que vouloir comprendre ce qui arrive à ce petit bout de chou ! Même si j'ai trouvé la fin un peu compliquée, j'ai bien retrouvé la patte de l'auteur ! Je vous le conseille sans hésitation aucune !
Lien : https://collectifpolar.com/

‘C'est pas ma maman'
ok bon d'accord mais qui est réellement sa maman alors ?
Qu'est-ce qui pousse un enfant de 3 ans à dire cela ?
Est-ce son imagination qui est trop élaborée ?
Ou est-ce vraiment la vérité ?
Quelle histoire se cache derrière ce petit garçon ?
En voilà plein de questions qu'on se pose avec ce livre. Il faudra être patient et attendre la fin du livre pour réellement comprendre la vrai histoire, mon dieu que c'est intenable d'attendre !

Mon deuxième Bussi, après avoir lu ‘un avion sans elle', je me suis plongé dans celui-ci que j'ai beaucoup aimé, encore plus que le premier.
Oui bon ce n'est pas un livre bien compliqué et certains vous diront que ça manque de profondeur, les personnages ne sont pas assez attachants ou que sais-je…, et effectivement quand on lit du Connelly, on sait que le niveau ne sera pas le même. Mais justement moi j'ai aimé cette légèreté, qui me permettait de voler à travers les pages sans trop me prendre la tête, et pour enfin dire, ‘ahhhhhhh la voilà donc la vérité'.
Et quand on y pense, le sujet est plutôt dur... Un enfant qui accuse sa mère de ne pas être sa vrai mère…, un cauchemar pour toute maman.

Si vous n'avez pas encore lu ce livre, je vous laisse le découvrir par vous même.

C'est toujours un plaisir de retrouver Michel Bussi, il a su une fois de plus m'entrainer dans cette histoire sur la mémoire d'un enfant, la manipulation, les évaluations psychologiques et la frilosité des systèmes scolaires, a quoi s'ajoute une amitié, une femme en quête d'un homme pour lui faire un enfant, une vieille enquête non résolue ... tout pour faire un bon roman.

Alors oui il y a quelques invraisemblances, mais c'est bien écrit rythmé, des sentiments, des confidences quelques coups d'éclats qui tombent à pic pour nous surprendre.

Alors que j'arrivais aux environs de la 350ème il me semblait que l'enquête arrivait à sa fin et bien non Michel Bussi a su me tenir en haleine pendant les quelques 200 pages restantes.... je me fais toujours avoir pour mon plus grand plaisir.
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..

Vasile Dragonman, psychologue scolaire, reçoit en entretien un petit Malone âgé de trois ans qui affirme que sa maman n'est pas sa vraie maman. Contre toute attente et contre l'avis de tous, Vasile croit cet enfant qui affirme que sa peluche lui parle tous les soirs. Il va sortir des sentiers battus et dépasser les limites du rôle qui lui est assigné pour convaincre que le petit Malone à raison.
En parallèle, la commandante Marianne Augresse est sur une affaire de braquage qui s'est déroulée, il y a plusieurs mois à Deauville. Un des protagonistes est en cavale, le butin n'a pas été retrouvé. A priori, elle n'a aucune raison d'écouter ce psychologue hors du commun, mais elle se laisse séduire par son discours et sa capacité de persuasion, elle n'est d'ailleurs pas indifférente à son regard pailleté d'or.
Les jours comptent, il ne faut pas perdre de temps. La mémoire d'un enfant de 3 ans est éphémère. Petit à petit le filet se resserre.
C'est avec un rythme haletant que se déroule cette histoire, Michel Bussi semble maitriser parfaitement l'art de nous trimballer avec lui dans la recherche de la vérité. Jusqu'à la fin on doute, on s'interroge puis tout s'éclaircit.
Un très bon moment de lecture, un cours intéressant sur la mémoire de l'enfant avant trois ans.
Bravo, c'est le 2ème Bussi que je lis en deux mois et je ne suis pas déçue. L'action se déroule au Havre, ce qui rend les situations familières pour les autochtones bien évidemment .

Jamais déçue par Michel BUSSI, mon préféré reste "Nymphéas noirs", mais cet auteur a toujours une idée originale, traitée avec brio. Menée de main de maître du début à la fin, et quand on croit avoir trouvé la solution évidente, juste une phrase et vous vous demandez mais comment ça fini ? Vous commencez la lecture et vous avez du mal à arrêter, pressé d'y revenir pour enfin savoir. Magnifique.

Quatrième livre de Michel Bussi que je lis et je ne suis toujours pas déçue. C'est bien écrit, on se laisse bercer par l'histoire. A la fin du livre, il me tardait de savoir comment le récit allait terminer. La fin ne m'a pas déçu, j'en avais cependant imaginée une tout autre. J'aurais aimé connaître, lors de l'épilogue, ce que devient Marianne, mais si je reconnais qu'on peut le deviner.
L'intrigue est plus complexe que l'on peut l'imaginer au début du livre, ce que j'ai apprécié.