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sur 32176 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Albert Camus, célèbre pour ses idées existentialistes et ses réflexions profondes sur l'absurdité de la vie, nous offre ici une oeuvre qui, malheureusement, semble se noyer dans ses propres prétentions. "La Peste" se présente comme une exploration métaphorique de l'oppression et de l'isolement, mais elle échoue lamentablement à captiver ou à susciter un réel intérêt.

L'histoire se déroule dans la ville fictive d'Oran, frappée par une épidémie de peste bubonique. Camus utilise cette situation désespérée comme un fond pour explorer les réactions humaines face à la mortalité et à la souffrance. Cependant, au lieu de créer des personnages complexes et nuancés, Camus nous livre un assortiment de stéréotypes plats. le docteur Rieux, le protagoniste, est aussi fade que du pain sans levain, avec des réflexions existentielles qui semblent plus artificielles que profondes.

De plus, l'écriture de Camus, souvent encensée pour sa simplicité et sa clarté, se révèle ici terne et monotone. Les dialogues sonnent faux, dépourvus de toute authenticité émotionnelle, et les descriptions de la ville en quarantaine se répètent de manière lassante, créant un ennui persistant chez le lecteur.

Le plus grand péché de "La Peste" est peut-être son manque total de suspense ou d'excitation. Malgré les circonstances tragiques, l'histoire avance à un rythme de tortue, sans aucun pic d'action ou de tension. On a l'impression que Camus essaie désespérément d'insuffler une profondeur philosophique à chaque page, mais le résultat est une lecture laborieuse et dénuée de toute passion.

En résumé, "La Peste" d'Albert Camus est un exemple de prétention littéraire, un livre qui se prend beaucoup trop au sérieux sans jamais parvenir à toucher le coeur ou l'esprit de son public. Si vous recherchez une exploration authentique de l'existentialisme ou de la condition humaine, il vaut mieux chercher ailleurs.
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Lecture la plus subie , lu en entier tout de même, de toute ma carrière de lecteur : j aime pas, je comprends rien et... je comprends rien à cette histoire : je crois que Camus n était guère apprécié des Algériens, qu il était attaché à l Algérie française, je n ai jamais beaucoup creusé non plus...
Je n ai rien retenu des explications littéraires sur l oeuvre au lycée...Pas convaincu quoi...
Le mec y prend un coup de soleil, paf il tue un arabe qui passe...par hasard et...repaf! Un grand livre existentiel sur l absurde!
( l inconscient culturel du colonisateur ne joue même pas un petit rôle dans cette mise en scène fictionnelle?)
Ce sera tout : une étoile pour l encre
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Je n'ai pas du tout accroché avec la plume de Camus. Certes il soulève un sujet commun de la dépersonnalisation et du sens de nos actions, mais d'une manière tellement incohérente et inappropriée. le cadre de l'action est sans intérêt, je ne comprends pas qu'un tel auteur a pu susciter quelque intérêt, si ce n'est par réappropriation politique ou ethnique....
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J'ai lu ce livre pour mon cour de français et je dois dire que je n'ai pas aime. Je n'arrive pas a me mettre dedans et j'avance difficilement. J'ai lu un livre de 1000 page en deux jour et lui qui ne fait que 100 page en 3 jour. Les éléments sont mélangés et ont ne comprend pas toutes les motivations du personnage.
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La professeur de français nous a demander de lire ce roman. J'ai commencer à le lire. Je m'ennuyais très profondément mais je devais le lire. Donc je l'ai lue. J'ai espérer qu' il se passerai quelque chose. Mais non. Toujours plat. Je l'ai détesté mais je me suis dit qu'en l'étudiant en cours je comprendrai mieux. En fait non. C'est pour moi toujours aussi nul. J'ai trouver le style imbuvable, pesant, jusqu'à la caricature. C'est ce qui fait le génie de se livre. Moi je trouve que non.
J'ai essayer d'imiter son "style" a travers cette critique vous voyez comme c'est insupportable ! C'est tellement lourd ! Franchement je ne comprend pas comment on peut apprécier lire ce genre d'écrit insipide et fade.
Mais bon c'est surement trop profond pour moi, peut-être que je suis passé complètement a cote :)

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Bonjour. Je tiens à précises que ce qui s'en suit n'est que le fruit de ma propre expérience de lecture et que ce n'est que mon avis purement personnel.
Je n'ai vraiment pas aimé ce livre. C'est ennuyeux, simple et pas captivant du tout. Je ne l'ai terminé que pour me faire ma propre opinion sur la plume de Camus, sur son travail. Mais ce fut une vraie déception pour moi.
Déjà la plume. Elle est trop simpliste et pas du tout attirante. 2e, l'intrigue. Simple, inintéressante et nulle. Ensuite, les personnages. Ils ne sont pas utilisés à plein potentiel et on dirait vraiment qu'ils ne ressentent rien. Et leur comportement ! Franchement, on dirait pas des adultes.
En gros, une déception !
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Je vais vous décrire ce livre en quelques mots.
La plume ? Insipide.
Les phrases ? Sujet-verbe-complément. >, >.
Cette lecture n'a rien apporté à ma vie.
Et je préfère encore découvrir la philosophie de Camus dans une biographie que dans L'étranger.
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Concernant l'Etranger d'Albert Camus je pense qu'on est toujours séduit par ce qui n'est pas soi , comme un continent à découvrir. Je me considère comme un mec sympa , gentil , honnête, tolérant , nuancé et modeste et pourtant je ne supporte pas les écrivains gentils , honnêtes , tolérants , humanistes , nuancés et modestes : bref je ne supporte pas les mecs bien et ils me font CHIER A MORT et il paraît qu'Albert Camus en était un de mec bien , honnête même ; car des mecs franchement pas biens le disent , des présidents de la république, des intellectuels communautaires sur rcj , des anciens Pieds-noirs ... ils adorent tous Camus et en parlent avec une grande émotion et beaucoup de pudeur, de discrétion et de trémolos dans la voix car comme moi je pense qu'assoiffés de changement et de ce qui n'est pas eux , ce nouveau continent de la difference que représente une oeuvre MORALE et ETHIQUE ne peut que les bouleverser.
Quand j'ai lu l'étranger de Camus , non seulement la mayonnaise n'a pas agi mais je suis rentré dans une colère noire.
C'est creux , niais , naïf, enfantin et moralisateur. Camus a un moment interpelle le lecteur en le vouvoyant , vous qui jugez etc : mais quel connard ! je ne suis ni pied noir , ni bourgeois , ni colon , ni coupable  ni quoi que ce soit : c'est présomptueux, prétentieux et ça m'a révolté ; je trouve ce texte scandaleux , ennuyeux , menteur et révoltant et je ne l'ai lu que parce que c'était une lecture imposée du lycée.
Je parlerai de son livre l'homme révolté et de Sartre et de monsieur Germain dans une prochaine critique.
En fait c'était la lecture imposée qui m'a forcé à finir l'étranger mais j'ai eu un rejet de greffe très violent : j'avais senti comme une odeur de morgue , une odeur de mort , l'odeur de la tartufferie et du mensonge auto-satisfait.
Quelque temps plus tard je lisais un article sur Roland Bartes qui disait qu'il ne supportait pas qu'on lui " tire les larmes de force " à propos de certaines photographies américaines qui estétisaient de manière explicite la douleur ; ce qui me fait penser à une scène magnifique de cynisme froid dans la série House of Cards parodie virulente des élites démocrates aux États-Unis ; des gens cruels , menteurs et psycopathiques  nottamment représentés symboliquement et parodiquement par des sortes de Bill et Hillary Clinton dans cette scène ou la femme du président Frank Underwood observé sa petite collection de photographies en noir et blanc de cette belle africaine qui vit dans la misère  " ne trouve tu pas sa pose sublime ; les gestes de ses mains c'est si ... bouleversant " bref Camus offre à une certaine " élite de gauche " leur  " arabe "; comme les démocrates ont leur " noirs ".
Camus c'est la"  pointe de la littérature " pour certains comme ironise Marc-edouard-nabe pour qui dans Au régal des Vermines il ne reste plus qu'à " tirer l'échelle " sur l'océan des grands , au choix , Jazz-men , peintres , acteurs , écrivains , bref tout et n'importe quoi en vérité et pourquoi pas la vie elle même soi disant " absurde ".
Pourquoi fait on lire ce livre déprimant à des jeunes élèves ? Pour les brimer ? les humilier ? les dégoûter de ce qu'il y a de plus précieux au monde à savoir la vie ; son sens et le sens qu'on lui donne.
Dans le mythe de sysiphe - qui est vraiment pour le coup comme quelqu'un non pas méchant mais juste l'a dit "  de la philosophie pour classes terminales " -  le fait de monter et de descendre un rocher c'est ça qui fait sens à savoir son courage de persévérer même si ça ne sert à rien et c'est ça qui est beau  : peuh ! Stupide ! On croirait que c'est écrit pour manipuler des gamins naïfs ce que sont en général les étudiants et lycéens...
Y'a quelque-chose dans le regard de Camus qui m'effraie dans les photographies de lui , un côté psychopathe dans le regard : démoraliser l'Europe l'occident, le monde ; mentir , travestir , ridiculiser , détruire tout , le sens de la vie , du monde , de la beauté , de la grandeur, de l'honnêteté tout en se montrant plus blanc que blanc était-ce chez lui quelque-chose de conscient ? Savait il qu'on le porterait aux nues ,  qu'on  gaverait les étudiants de sa prose  de force ?  lui et sa propagande lénifiante et malsaine, lui et ses conneries , dans la tête des petites oies lycéens naïves et influençables ... ?
Je pense qu'il y'a une piste à creuser là dedans dans le bourrage de crâne que représente cette oeuvre sur des jeunes fragiles et vulnérables à cause du monde qui les entoure : le choix d'étudier Camus et de le faire étudier à des jeunes n'est pas DU TOUT un choix neutre et faire croire à des jeunes que la vie n'a pas de sens et est absurde  est la forme la plus grave et sévère du lavage de cerveau.
J'y reviendrais sur cette idée notramment sur l'homme révolté , monsieur Germain et la manière dont des gens très précis et très en vue dans les médias parlent de lui et POURQUOI.
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je n'ai pas aimé ce livre, non pas l'histoire mais plutôt le style utilisé pour l'écriture, je pense que ce style à été choisi dans le but de mettre mal à l'aise...
j'en ai conclu que le personnage principal est Etranger aux sentiments, ai-je bien compris ??
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Je suis très déçue de cette lecture: les nombreuses critiques que j'ai lu ainsi que la célébrité de ce livre promaittaient une bonne experience de lecture mais ce fut tout le contraire, pour ma part.

Dès les premières phrases, le style d'écriture un peu décalé de Camus se fait ressentir et je trouve cette touche absurde vraiment désagréable à lire. de plus, le personnage principal m'a rééllement mise en colère. Sa constante indifférence est, certes, traduction du principe de l'absurde, mais elle est avant tout insuportable.

J'ai eu beaucoup de mal àfinir ce livre pour la simple et bonne raison que je n'arrivais pas à "rentrer" dans l'histoire: la vision parfaitement objective et indifférente que nous offre Meursault créé une certaine distance entre l'auteur et le lecteur et m'a personnellement empêché de suivre les evênements avec attention

Bref, une énorme décéption, je m'attendais à quelque chose de beaucoup mieux, surtout en voyant le succès de ce livre.
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