AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,98

sur 31851 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'ai du passer à côté de ce livre car je ne comprends vraiment pas d'où viennent les bonnes critiques.
C'est certain que ça ne sera pas un livre dont je me rappellerai. J'ai attendu une fin qui me fasse changer d'avis, mais elle n'est jamais venue.
Pour moi, mais vous allez certainement me dire que je n'ai rien compris, c'est juste l'histoire d'un mec sans coeur, sans sentiment... Ce type de mec existe-il vraiment ? Peut-être chez les fous.
Enfin bref, je ne vais pas m'aventurer dans des explications qui ne vont me mener nul part.
Peut-être que ce livre était trop profond pour moi 😉
Commenter  J’apprécie          218
Concernant l'Etranger d'Albert Camus je pense qu'on est toujours séduit par ce qui n'est pas soi , comme un continent à découvrir. Je me considère comme un mec sympa , gentil , honnête, tolérant , nuancé et modeste et pourtant je ne supporte pas les écrivains gentils , honnêtes , tolérants , humanistes , nuancés et modestes : bref je ne supporte pas les mecs bien et ils me font CHIER A MORT et il paraît qu'Albert Camus en était un de mec bien , honnête même ; car des mecs franchement pas biens le disent , des présidents de la république, des intellectuels communautaires sur rcj , des anciens Pieds-noirs ... ils adorent tous Camus et en parlent avec une grande émotion et beaucoup de pudeur, de discrétion et de trémolos dans la voix car comme moi je pense qu'assoiffés de changement et de ce qui n'est pas eux , ce nouveau continent de la difference que représente une oeuvre MORALE et ETHIQUE ne peut que les bouleverser.
Quand j'ai lu l'étranger de Camus , non seulement la mayonnaise n'a pas agi mais je suis rentré dans une colère noire.
C'est creux , niais , naïf, enfantin et moralisateur. Camus a un moment interpelle le lecteur en le vouvoyant , vous qui jugez etc : mais quel connard ! je ne suis ni pied noir , ni bourgeois , ni colon , ni coupable  ni quoi que ce soit : c'est présomptueux, prétentieux et ça m'a révolté ; je trouve ce texte scandaleux , ennuyeux , menteur et révoltant et je ne l'ai lu que parce que c'était une lecture imposée du lycée.
Je parlerai de son livre l'homme révolté et de Sartre et de monsieur Germain dans une prochaine critique.
En fait c'était la lecture imposée qui m'a forcé à finir l'étranger mais j'ai eu un rejet de greffe très violent : j'avais senti comme une odeur de morgue , une odeur de mort , l'odeur de la tartufferie et du mensonge auto-satisfait.
Quelque temps plus tard je lisais un article sur Roland Bartes qui disait qu'il ne supportait pas qu'on lui " tire les larmes de force " à propos de certaines photographies américaines qui estétisaient de manière explicite la douleur ; ce qui me fait penser à une scène magnifique de cynisme froid dans la série House of Cards parodie virulente des élites démocrates aux États-Unis ; des gens cruels , menteurs et psycopathiques  nottamment représentés symboliquement et parodiquement par des sortes de Bill et Hillary Clinton dans cette scène ou la femme du président Frank Underwood observé sa petite collection de photographies en noir et blanc de cette belle africaine qui vit dans la misère  " ne trouve tu pas sa pose sublime ; les gestes de ses mains c'est si ... bouleversant " bref Camus offre à une certaine " élite de gauche " leur  " arabe "; comme les démocrates ont leur " noirs ".
Camus c'est la"  pointe de la littérature " pour certains comme ironise Marc-edouard-nabe pour qui dans Au régal des Vermines il ne reste plus qu'à " tirer l'échelle " sur l'océan des grands , au choix , Jazz-men , peintres , acteurs , écrivains , bref tout et n'importe quoi en vérité et pourquoi pas la vie elle même soi disant " absurde ".
Pourquoi fait on lire ce livre déprimant à des jeunes élèves ? Pour les brimer ? les humilier ? les dégoûter de ce qu'il y a de plus précieux au monde à savoir la vie ; son sens et le sens qu'on lui donne.
Dans le mythe de sysiphe - qui est vraiment pour le coup comme quelqu'un non pas méchant mais juste l'a dit "  de la philosophie pour classes terminales " -  le fait de monter et de descendre un rocher c'est ça qui fait sens à savoir son courage de persévérer même si ça ne sert à rien et c'est ça qui est beau  : peuh ! Stupide ! On croirait que c'est écrit pour manipuler des gamins naïfs ce que sont en général les étudiants et lycéens...
Y'a quelque-chose dans le regard de Camus qui m'effraie dans les photographies de lui , un côté psychopathe dans le regard : démoraliser l'Europe l'occident, le monde ; mentir , travestir , ridiculiser , détruire tout , le sens de la vie , du monde , de la beauté , de la grandeur, de l'honnêteté tout en se montrant plus blanc que blanc était-ce chez lui quelque-chose de conscient ? Savait il qu'on le porterait aux nues ,  qu'on  gaverait les étudiants de sa prose  de force ?  lui et sa propagande lénifiante et malsaine, lui et ses conneries , dans la tête des petites oies lycéens naïves et influençables ... ?
Je pense qu'il y'a une piste à creuser là dedans dans le bourrage de crâne que représente cette oeuvre sur des jeunes fragiles et vulnérables à cause du monde qui les entoure : le choix d'étudier Camus et de le faire étudier à des jeunes n'est pas DU TOUT un choix neutre et faire croire à des jeunes que la vie n'a pas de sens et est absurde  est la forme la plus grave et sévère du lavage de cerveau.
J'y reviendrais sur cette idée notramment sur l'homme révolté , monsieur Germain et la manière dont des gens très précis et très en vue dans les médias parlent de lui et POURQUOI.
Commenter  J’apprécie          1526
Je n'ai peut-être jamais eu autant l'impression de perdre mon temps et d'aggraver mon ennuis qu'en lisant ce livre là. Lecture de commande d'un temps scolaire antédiluvien, je regrette encore de m'y être soumis avec servilité tellement les heures d'analyses et de palabres en communauté carcéralisée sur ce livre insipide dénué d'intérêt m'ont navré et ampli de dépit tel un spectateur devant un banc de carpes.
N'eusse été ce pénible souvenir et le fait de retrouver ce bouquin systématiquement en tête de liste des ouvrages que je n'ai pas en commun avec les autres lecteurs de babelio, que je ne n'aurai jamais dénié reperdre du temps à en faire la critique. Un mot, s'était déjà de trop...
et merde!
Commenter  J’apprécie          153
"Je vais revoir mes classiques", m'étais-je dit en empruntant L'Etranger à mon homme. Je ne l'avais jamais lu... et je ne parviens pas à aller au bout.

Bien qu'il soit un classique de la littérature française et étudié dans les écoles, je n'ai pas accroché à L'Etranger. Peut être que je m'imaginais que chaque lecteur était obligé d'aimer une oeuvre aussi classique. Hé bien non. La seule chose qui m'empêche de lire le livre jusqu'au bout est le style d'écriture pesant et répétitif. Que de dialogues rapportés qui viennent alourdir chaque page du roman qui finit par pesé lourd comme une brique dans mon crâne. "Il m'a dit truc. J'ai répondu machin. Ils m'ont dit ceci. J'ai pensé ça." Haaaa, insupportable !

La première partie du roman m'a laissée complètement indifférente (mise à part peut être son ouverture et l'enterrement de la mère du personnage principal). Je me suis cependant posée la question plusieurs fois : "mais c'est qui cet étranger finalement ?!" et j'ai essayé d'accrocher un tant soit peu au récit à coup de : "l'étranger est le personnage lui-même, ou sa mère, ou alors c'est peut être la ville elle-même, ou alors "l'Arabe" qu'il tue" etc etc. J'ai essayé de trouver un intérêt quelconque à L'Etranger par le biais de ces questions mais elles ne furent pas très efficaces. J'abandonne cet homme en plein milieu de son procès ; peut être que j'aurais du attendre la décision finale du juge. Mais l'histoire que nous raconte le narrateur est presque soporifique. J'ai piqué du nez à plusieurs reprises lors de sa lecture.
Commenter  J’apprécie          130
Je vais peut-être me faire taper sur les doigts parce que c'est un classique très apprécié, mais je n'ai pas aimé. J'ai trouvé le personnage déroutant (après c'était le but d'Albert Camus) et ça m'a bloquée durant toute ma lecture. Je n'ai pas réussi à rentrer dans cet univers un peu particulier que nous propose Albert Camus.
Commenter  J’apprécie          111
Je m'attendais à une révélation et n'ai eu droit qu'à une série de bâillements intempestifs qui m'ont poursuivie tout au long de la lecture, heureusement de fort courte durée... aucun style, aucune intrigue à moins que cette ébauche de portrait ne soit censée en être une, dans ce cas, elle n'est même pas digne d'une série policière américaine de début de soirée. Bref, j'ai cherché, fait des efforts, tenté de trouver une idée qui m'interpelle ou, à défaut, un minimum intéressante, je n'ai rien trouvé d'autre que ce vide, avant goût d'une sieste plus que méritée.

Je suis certainement passée à côté, tant pis, je n'aurai pas le courage de tenter une nouvelle rencontre avant de nombreuses années...
Commenter  J’apprécie          110
Ce roman ne m'a pas particulièrement plu.
La première partie est écrite avec un language simplicite : les actions sont mises à la suite et aucune émotion ne s'en dégage. Les personnages sont étranges et sombres, surtout le personnage principal qui est diffile à comprendre : il est distant à tout ce qu'il l'entoure.
La seconde partie est plus travaillée sur les sentiments et la pensée mais elle manque d'action.
Commenter  J’apprécie          100
Bien que ce livre soit considéré comme un chef d'oeuvre, je ne l'ai pas du tout apprécié. L'ayant trouvé très impersonnel, très froid et dénué de sentiments, je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire et ne l'ai lu que parce que j'y fus obligée. Jamais encore une lecture ne m'avait parut aussi longue et aussi ennuyante bien que le livre soit assez court. Je n'étais qu'une simple observatrice extérieure, incapable de comprendre la mentalité du "héros" et je me contentais de "lire les mots" sans y trouver un quelconque attrait.
Commenter  J’apprécie          100
Lu il y a très longtemps et pas aimé du tout. Heureusement, cela ne m'a pas découragé d'entreprendre d'autres Camus, notamment La Peste, oeuvre mythique s'il en est.
Commenter  J’apprécie          91
Je l'ai lu ! Ce n'est déjà pas si mal ! Et je suis vraiment allée au bout !
Mais que ce fut long et fastidieux... Je n'ai pas aimé cette plongée en terre algérienne, je n'ai pas aimé les personnages et je n'ai pas aimé l'histoire...
Commenter  J’apprécie          80





Lecteurs (139764) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur l´Etranger par Albert Camus

L´Etranger s´ouvre sur cet incipit célèbre : "Aujourd´hui maman est morte...

Et je n´ai pas versé de larmes
Un testament sans héritage
Tant pis
Ou peut-être hier je ne sais pas

9 questions
4768 lecteurs ont répondu
Thème : L'étranger de Albert CamusCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..